La Vie Sexuelle D'Inès Chapitre 05

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Il sentait sa bite bien enserrée au fond de la chatte dégoulinante et chaude de sa belle amante. Soudain, dans sa frénésie endiablée, il perdit le contrôle de son corps et sortit son gros membre du vagin pour immédiatement le planter dans le cul d'Inès, d'un coup et jusqu'au bout!!!

« AAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!! »

Inès poussa un cri de douleur si strident que les murs en tremblèrent. Cependant, une lueur folle dans les yeux, Aurélien reprit ses va-et-vient, cette fois-ci dans l'anus d'Inès, comme si elle l'y avait autorisé.

« AAAAAAAHHHHHH!!! ARRETE!!! MAIS ARRETE!!! » hurla Inès de toutes ses forces.

Elle n'aurait pas pu décrire la douleur perçante qu'elle ressentait dans son anus. Il la ramonait sans ménagement, et sans lubrification! Inès était passé en un instant d'un état de grâce à un état de souffrances. Elle voulut crier de nouveau mais Aurélien lui tenait la gorge comme il en avait parfois l'habitude. L'homme avait laissé place à l'animal. Il a perdu la tête -- pensa Inès. Affaiblie, sans défense, sans même pouvoir lui communiquer quoi que ce soit, Inès n'avait d'autre choix que de se laisser faire. C'était un viol pur et dur. Sous les coups de massue, elle tentait de penser à autre chose, à quelque chose de moins horrible, mais elle ne le pouvait pas. Elle était prise au piège. Elle se mit à pleurer.

Pour une raison qu'elle ignorait, son anus se mettait cependant à ressentir du plaisir malgré la détresse psychologique qu'elle subissait. En une trentaine de seconde, elle subit un orgasme d'une puissance inouïe. Son cul se resserrait autour de la grosse bite qui la violait, et elle jouit ainsi en continu. Aurélien, toujours pris dans sa folie sexuelle, avait relâché son emprise, mais Inès ne pouvait toujours pas prononcer le moindre mot tant elle était victime d'émotions et de sensations toutes plus contradictoires les unes que les autres. Pourquoi venait-elle de jouir alors qu'elle se faisait défoncer le cul contre son gré? Aurélien, de son côté, éjacula tout le sperme qu'il avait au fin fond du cul somptueux de la jeune femme dévastée.

Il resta ainsi quelques secondes qui semblèrent une éternité. Il était aplati contre le dos d'Inès. Soudain, comme s'il se réveillait d'un cauchemar, il sursauta en réalisant ce qu'il venait de faire subir à sa partenaire. Il la libéra en bafouillant d'un air choqué. Immédiatement, elle se leva, se rhabilla en trombe tout en sanglotant, hurla quelque chose d'incompréhensible à l'intention d'Aurélien, claqua la porte et partit en courant. Lorsqu'elle rentra le soir, elle ne vit pas Baptiste et alla directement se coucher en pleurant à chaudes larmes.

***

La semaine suivante fut un calvaire pour Inès. Elle arrivait à peine à dormir. Lorsqu'elle était en présence d'autre personnes, notamment Baptiste, elle parvenait à ne pas s'effondrer mais on sentait qu'elle était infiniment triste. Baptiste n'avait pas osé trop s'immiscer dans sa vie privée quand elle lui avait dit qu'elle s'était très fâchée avec Aurélien. Cette nouvelle provoquait chez Baptiste deux sentiments contradictoires. D'un côté, il éprouvait de l'empathie envers la belle blonde qui le fascinait toujours par sa beauté. Mais d'un autre côté, il était secrètement ravi de voir son concurrent pour conquérir Inès écarté de la course. Inès lui avait certifié que c'était fini entre eux.

Aurélien, de son côté, s'en voulait terriblement. Depuis le mois dernier particulièrement, les ébats amoureux avec Inès étaient devenus de plus en plus sauvages pour finalement culminer dimanche soir, quand il péta complètement les plombs. Il n'arrivait pas lui non plus à dormir. Il tenta d'appeler Inès toute la semaine pour s'excuser et la supplier de l'écouter mais elle ne décrocha jamais. Il était désespéré. A sa grande surprise, il reçut un SMS le vendredi matin de la part d'Inès. Elle lui disait de venir la voir le soir-même pour mettre les choses au clair et lui laisser une dernière chance de s'exprimer.

Aurélien se pointa donc avec une petite mine dans l'appartement. Inès lui ouvrit et l'invita à venir dans sa chambre pour s'éloigner de Baptiste qui occupait la cuisine. Elle prit deux chaises et les plaça l'une en face de l'autre à deux mètres de distance. Ils s'assirent et mirent quelques secondes à démarrer la conversation, gênés.

« Je... Je suis tellement désolé pour ce que j'ai fait... Je n'imagine pas à quel point ça a dû être insupportable pour toi... Si tu peux un jour me pardonner, même si ça te prend du temps, sache que je suis terriblement navré... » commença Aurélien, honteux. Inès le fixait droit dans les yeux d'un regard de fer.

« Je n'en attendais pas moins. » déclara-t-elle d'un ton rigide. « Mais j'aimerais comprendre comment tu as pu en arriver là. D'où te viens cette bestialité? D'où te viens cette violence? »

« Je crois qu'il est temps que je t'en dise plus sur mon passé... » souffla Aurélien d'un air mystérieux. Lentement, il sortit une cigarette et l'alluma...

« J'avais 8 ans à l'époque. Je vivais dans un vieil appartement avec mon père et ma mère dans le 94. C'était pas beau tous les jours... Mon père avait des habitudes pas très saines. Quand il rentrait tard le soir, complètement torché, il battait souvent ma mère, qui s'interposait toujours pour me protéger. Alors un soir, alors qu'il y allait encore plus fort que d'habitude, je suis intervenu au milieu de l'action. J'ai pris une mandale qui m'a envoyé balader contre un morceau de verre par terre. »

Aurélien s'arrêta un instant, comme pour réprimer un souvenir douloureux. Il passait son doigt contre sa joue. C'est comme ça qu'il a eu sa cicatrice! -- pensa Inès. Elle ressentit d'un coup une vague d'empathie pour le jeune homme. Il avait visiblement traversé des épreuves très dures. Elle en avait presque oublié qu'il l'avait agressé il y a moins d'une semaine. Elle était fascinée par son récit. Aurélien se reprit très vite et poursuivit son histoire.

« Peu de temps après cet incident, mon père est mort d'une crise cardiaque. Ça nous a beaucoup soulagé, moi et ma mère. J'ai vécu heureux jusqu'à mes 14 ans. Mais le destin est cruel... Ma mère est morte cette année-là d'un cancer éclair. On m'a mis dans un orphelinat. Certains établissements sont bien, mais celui dans lequel j'étais était vraiment violent. Finalement, j'ai découvert que mon père m'avait appris quelque chose. J'ai réussi à me défendre contre les plus grands qui brimaient les plus jeunes. Celui qui me cherchait avait de bonnes chances de finir à l'infirmerie... Evidemment, ça m'a coûté quelques allers-retours chez la directrice. C'était une sadique de 40 ans. Mais bien foutue quand même. C'est avec elle que j'ai eu mes premières expériences sexuelles à 15 ans. Elle aimait se taper des jeunes, et j'étais déjà bien grand et développé à l'époque. A tous les niveaux. Elle aimait les trucs violents, et j'y avait droit à chaque fois que je me retrouvais dans son bureau. J'acceptais de la baiser parce que je découvrais tout juste mes pulsions et ça faisait du bien. En plus, ça m'évitait d'être renvoyé pour mauvaise conduite. Elle me demandait de l'étrangler, de l'étouffer, de la claquer... J'ai construit toute ma sexualité sur ces bases malsaines. Donc pour répondre à ta question, je pense que c'est de là que vient la violence qui est en moi. Les gènes, l'enfance et l'adolescence. Je reconnais que j'ai dépassé les bornes. Rien n'excuse ce que j'ai fait. Si seulement tu pouvais me laisser une deuxième chance, je te promets que ça ne se reproduira plus jamais... »

Inès était sciée. L'homme qu'elle avait en face d'elle était bien plus profond et tourmenté qu'elle avait pu l'imaginer. Son histoire en disait long sur la construction de sa personnalité. Elle comprenait à présent. Elle était entrée, l'espace d'un moment, en communion avec Aurélien. Mais elle ne pouvait pas se remettre avec lui. Elle ne croyait pas qu'elle pourrait le revoir sans repenser à ce qu'il avait fait.

« Je te comprends. Je ne te pardonne pas encore. Mais je te comprends. Tu as été honnête avec moi. Je ne porterai pas plainte. » dit-elle solennellement. Elle sentit alors une envie soudaine et quasi-insoutenable de céder et de lui faire l'amour sur-le-champ. Mais elle resta forte. « Je ne veux plus te voir. C'est fini entre nous. Je te souhaite une bonne continuation. »

Aurélien perçut sur son visage que cela lui faisait de la peine, comme si elle regrettait déjà ce qu'elle était en train de dire. Il accepta cependant sa décision silencieusement. Elle le reconduit à la porte et s'échangèrent un dernier regard avant que l'homme à la cicatrice ne tourne les talons.

Le soir-même, dans son lit, sans comprendre pourquoi, Inès se masturba frénétiquement en repensant à l'histoire d'Aurélien. Elle jouit avec puissance. Malgré sa propre incompréhension de ces pulsions, Inès s'endormit calmement pour la première fois de la semaine.

*

Par Achabcooper

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