La Vile Vengeance de L'ex-criminel

Informations sur Récit
Un ex-criminel de gerre japonais entreprend de se venger
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/23/2022
Créé 07/09/2007
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La vile vengeance de l'ex-criminel de guerre

Vile Vengeance

Coulybaca / The Samurai Stud

Pendant le vol de Los Angeles à Kyoto, alors qu'elle servait un thé à un moine Bouddhiste assis au fond de l'avion, Gwen réalisa qu'elle pensait à l'épreuve qu'elle venait de subir lorsque le moine avait constaté :

- "Vous sentez-vous bien, mon enfant? ..."

- "Oh oui... Oui... Veuillez m'excuser... Je suis dans les nuages! ..." ré-pondit-elle surprise que ce moine d'un âge avancé parla un anglais cou-rant.

Regagnant le fond de l'avion pour se reprendre, et fixer son esprit sur son boulot, Gwen vit le moine quitter son fauteuil pour la rejoindre.

Elle remercia vivement le moins de son intérêt lorsqu'il lui demanda s'il pouvait lui être d'une aide quelconque puisque visiblement quelque chose la tourmentait.

Il lui apprit alors qu'il appartenait au temple de Zuten, elle avait déjà en-tendu parler de ce sanctuaire par ses grands-parents, elle se rappelait avoir vu une vieille photo de ce temple adossé à la colline du petit village dont ils étaient originaires.

Gwen informa le moine qu'elle connaissait le temple de Zuten, ses grands-parents originaires de ce petit coin de campagne lui en ayant parlé.

Elle se rappelait par ailleurs qu'ils lui avaient dit que pendant la guerre les moines habitant le temple soignaient les âmes et les corps en les pu-rifiant.

Il lui semblait que ce vieux moine lisait dans ses pensées, il lui dit de ve-nir le visiter au temple pendant son escale, il pourrait alors délivrer son âme des douleurs qui l'accablaient, il allie prier avec ses coreligionnaires pour la soulager de cette chape de plomb qui l'étouffait.

Gwen frémit en entendant ces mots :

- "Se pourrait-il qu'il sache qu'elle venait de se faire violer? ... Pouvait-il le sentir? ... Comment pouvait-il connaître si exactement ses états d'âme? ..."

Elle fut sidérée de l'entendre poursuivre :

-"Ne vous hâtez pas de prendre une décision en ce qui concerne l'homme que vous aimez juste parce qu'une brute vous a profon-dément meurtrie! ..."

Agé de 80 ans, Sensei Moto semblait être ce genre de mentor qui sentait et connaissait les pensées et les sentiments de ses interlocuteurs.

Peut-être était-ce quelque chose qu'il avait acquis au cours de ses 60 années de méditation au sein de du temple de Zuten.

Lorsqu'il était dans ses vingt ans, il avait été choisi par les moines du temple de Zuten pour suivre leur apprentissage, il leur avait toujours été reconnaissant de leur enseignement.

S'ils n'avaient pas été là, il se serait sûrement fait hara-kiri où il aurait été pendu en raison des nombreux meurtres sadiques qu'il avait commis pendant la guerre.

Le temps avait coulé, tous les vieux moines du temple étaient morts, Sensei Moto dirigeait le temple de Zuten, la chasse aux criminels de guerre avait pris fin depuis bien des années.

Cependant il n'avait jamais oublié sa haine de ses envahisseurs améri-cains, ces ennemis qui avaient tué ses parents, sa femme, ses enfants et détruit son existence.

Il était maintenant pour le colonel Ichiro Motoyama de l'armée impériale du Japon de renaître et de lutter contre ces américains qu'il honnissait tant.

Dans cet appareil qui le ramenait au Japon après une conférence reli-gieuse à laquelle il avait assisté, il réfléchissait au meilleur moyen de débuter sa vengeance lorsqu'il avait rencontré cette ravissante jeune femme descendante d'un renégat qui avait trahi le Japon pour installer sa famille en Amérique.

En raison de son grand âge, sachant que son ennemi était une super puissance, les armes de l'époque de sa jeunesse étaient révolues et sû-rement inopérantes.

Bien qu'il ait réfléchi à sa vengeance depuis de longues années, c'est la vue de la somptueuse Gwen Nakayama qui lui avait inspiré son plan pervers.

Bien qu'actuellement, il ne se serve guère des secrets que les moines de Zuten lui avaient enseignés, il avait correctement interprété le tumulte des pensées de la jeune beauté d'origine japonaise.

En fait, c'était son passé de criminel de guerre en tant que commandant d'une unité célèbre pour les pillages, les viols sauvages et les meurtres qu'elle avait commis, qui l'avait aidé à percevoir ses sentiments de dé-sespoir engendrés par son ignoble viol.

C'était en raison de ses longues d'années d'expérience de première main en tant que l'infâme colonel Motoyama que Sensei Moto était ca-pable d'immédiatement identifier une jeune femme qui s'était fait violer et violenter.

Leur regard, leur air désarmé, l'aura de déprime qui entourait ces jeunes femmes le renseignait de façon implicite sur leur statut de femme violée.

En fait c'était carrément un sixième sens qu'il avait développé qui lui permettait de repérer à coup sûr ces femmes, il en avait tant violé à son heure.

En maintes occasions, après la conquête d'un village ou même d'une ville, il avait sélectionné la captive la plus jolie pour son usage personnel alors que ses hommes maintenaient les femmes agenouillées face aux villageois ou aux citadins, si elle était mariée, l'époux était amené au premier rang pour pouvoir profiter du spectacle de sa ravissante femme sauvagement violée par ses oeuvres

Puis, en tant que colonel il traitait encore plus rudement le malheureux époux en le remerciant de se montrer assez hospitalier pour lui offrir sa femme, il était certain que son épouse s'abstiendrait de toute révolte, il pouvait tuer son mari séance tenante à la moindre protestation.

Inutile de préciser que pour récompenser ses hommes de leur bravoure au combat, le colonel Motoyama tenait à avoir l'honneur de leur distri-buer les femmes de leur choix, afin que ses compagnons d'armes jouissent aussi du droit de violer les captives à couilles rabattues.

De ce fait il avait vu à de multiples reprises l'expression qu'affichait les victimes de viols après leur terrible épreuve, il constatait les changements dans leur attitude, et remarquait à quel point elles étaient démoralisées après s'être fait violer publiquement.

Lorsqu'il était entré en contact avec l'adorable Gwen Nakayama, le vieux criminel de guerre sentit immédiatement l'aura de viol qui la nimbait. C'est à cet instant que son esprit pervers commença à concocter sa vengeance.

A la vue de cette descendante de Japonais pur races, de son appa-rence, et du fait qu'elle parlait parfaitement l'anglais il comprit immédiatement qu'elle avait été grandie aux USA.

Et, pour Sensei Moto, ce serait une agréable vengeance de violer sauvagement la descendante de ces japonais qui avaient choisi de s'exiler au pays de leurs ennemis américains.

Lorsqu'il eut résolu de la violer, il se mit à analyser les différentes possi-bilités, il était temps maintenant de se comporter en conquérants.

Cette jeune beauté asiatique née en Amérique ce pays ennemi où elle avait grandi entouré de ses traîtres de parents qui avaient abandonné leur pays, était l'objet idéal capable de raviver la colère de Sensei Moto désireux de soumettre ses ennemis séculiers.

Lorsque les anciens moines de Zuten devenus trop vieux pour diriger le sanctuaire moururent, ils l'avaient autorisé depuis un bon moment à se réfugier avec ses soldats dans le temple et de s'y cacher.

Ils avaient alors fondé une véritable secte sous l'autorité de Sensei Moto sous leur apparence de simples moines, ils dissimulaient leurs tendances aussi sadiques que démoniaques.

Le contrat des jeunes recrues était de suivre leur destin, au travers du vieux moine, ils s'engageaient à venger la défaite de leurs ancêtres lors de la dernière guerre.

Moto-san avait décidé de mettre en application un nouveau slogan émanant de cet ennemi héréditaire : "Faites l'amour, pas la guerre!"....

Sous les balles et les bombes, ils s'étaient emparés, avec sa petite troupe, d'un maximum de ces femmes américaines qu'ils honnissaient, les avaient violées à couilles rabattues, pour les abandonner ensuite le plus souvent engrossées de leurs oeuvres.

Moto-san voulait maintenant se servir de la douce Gwen Nakayama pour attirer des femmes mariées ou des petites amies de ces américains abhorrés au temple de Zuten, où il les attendrait impatiemment en compagnie de sa bande de moines lubriques.

Le cercle des moines les plus âgés était constitué de criminels de guerre qui avaient suivi leur chef, alors que ce n'était pas la vocation religieuse qui étouffait les recrues de la nouvelle génération.

Une fois recrutée, les nouveaux passaient une année entière enfermés dans le temple, ils labouraient et cultivaient des herbes aux vertus très spéciales, à flanc de montagne, ils n'avaient pas rencontré d'américai-nes depuis leur recrutement.

Les herbes qu'ils cultivaient étaient prêtes à l'emploi et ils pourraient bientôt tirer bénéfice de leur rude travail.

Comme les ancêtre des Gwen Nakayama étaient originaires du village voisin l'arrivée de cette beauté américaine d'ascendance japonaise s'avérait une invitée très spécial dans leur esprit.

Une fois que la navette eut déposé, l'équipage à son hôtel, Gwen rejoignit les autres hôtesses pour partager leur repas, elle leur dit alors qu'elle était invitée à visiter un temple situé dans la localité d'où étaient originaire ses grands-parents.

Une fois sa valise déposée dans sa chambre, sans même se préoccuper de changer de tenue, elle sortit et trouva tout de suite le taxi que Sensei Moto avait retenu pour elle.

Elle gagna rapidement le flanc de montagne où était accroché le temple de Zuten.

Lorsqu'elle quitta son taxi, le paternaliste sensé la saluait déjà chaleu-reusement.

-"Bienvenue ma chère enfant..... Entrez... Une tasse de thé chaud vous attend, cela contribuera à vous relaxer! .... Vous pourrez alors m'entretenir de vos soucis ce qui me permettra de vous aider à les chasser! ..."

Ce thé chaud s'avérait très efficace, il ôtait toute inhibition à Gwen, il lui semblait qu'elle flottait maintenant sur un petit nuage.

En fait c'était une drôle de composition pour un thé, il était largement pourvu en herbes hallucinogènes cultivées par les moines à flanc de montagne.

C'était un thé qui vidait l'esprit de tout stress mais qui en même temps sensibilisait le sujet qui en avait bu à toutes suggestions, même les plus viles.

Tout en sirotant son thé, Gwen commençait à confier les problèmes qui la hantaient au vieux moine si bienveillant.

Elle lui livrait des informations sur sa vie privée et intime, sur son éduca-tion, ses parents et ses grands-parents, lui rapportant comment ses grands-parents avaient quitté la terre de leurs ancêtres pour se fixer aux USA où elle était née.

A sa grande surprise il s'enquit :

-"Dis moi ce qui te concerne intimement mon enfant... N'ait pas peur, raconte-moi tout en détail..... Détaille le viol dont tu as été victime dernièrement... "

-"Oh..... Comment savez-vous? ...." s'étonna Gwen qu'il connaisse cet épisode dramatique de sa vie.

Le vieux moine prit sa main dans la sienne la tapotant paternellement il lui révéla :

-"Les esprits de tes ancêtres me l'ont appris. Tes ancêtres me par-lent ..... Confie moi ta douleur ....."

La puissante drogue faisait son effet et Gwen en finissant la deuxième verre qu'on lui avait servi, entamait la relation détaillée de son viols dès l'instant où cet importun l'avait accosté sur le chemin de retour à son domicile.

Le vieux moine la faisait décrire avec une extrême précision chaque élément de son épreuve.

Elle fit un portrait fidèle ce colosse noir qui avait brisé sa vie, décrivit mé-ticuleusement la façon dont elle du assouvir ses appétits charnelles age-nouillée sur la carpette, continuant par son viol dans son propre lit, son brutal dépucelage et toutes les ignominies qu'elle avait du subir.

Puis elle avait du cuisiner pour lui, s'asseoir nue sur ses genoux, il la ca-ressait intimement tout en mangeant puis elle rapporta ce qu'il lui avait enduré sur le canapé avant qu'il ne la quitte.

L'esprit totalement embrumé, sous l'emprise de la drogue, elle vit quel-qu'un s'approcher un plateau à la main, l'invitant à prendre le verre posé sur le plateau.

-"C'est une boisson curative mon enfant..... Les moines l'ont prépa-rée spécialement pour toi, ils ont prié et chanté pour apaiser ton âme tout en la concoctant..." lui révéla le vieux moine d'une voix douce.

Puis il ajouta :

-"Bois cette potion mon enfant, vide le verre... Cette potion n'a pas mauvais goût... Tu en redemanderas à l'avenir... Tu ne pourras plus te passer d'elle! .... Dorénavant, à chaque voyage, tu nous honoreras d'une visite, à chacune des tes visites les moines te prépareront cette potion curative qui va te ravir! ...."

Gwen fit ce que lui indiquait le vieux sensei, à la voix de sage érudit, qui allait prier pour chasser les démons qui encombraient son esprit et la rasséréner.

La chaude potion sirupeuse glissait sur sa langue tandis qu'elle la sirotait avec plaisir, elle inclina alors le verre pour ingurgiter une nouvelle rasade du remède légèrement salé.

Un moment plus tard, Gwen se pourléchait les lèvres, elle avait avalé le verre de tisane droguée qui lui réchauffait maintenant l'estomac.

Un soudain étourdissement la prit alors qu'elle léchait les dernières gouttes sur ses lèvres, elle sentit alors le vieux moine se relever lui annonçant qu'il veillerait à ce qu'on lui apporte toute la potion nécessaire.

De fait ce breuvage avait été préparé par tous les moines qui avaient tous son image en tête... Ils y avaient tous concouru se branlant allégrement au-dessus d'un grand bol posait au sol devant eux.

Ils avaient consciencieusement rempli cette écuelle de bois de leur fou-tre qui mélangé à la tisane roborative avait été servie à leur hôte.

Et maintenant était venu l'instant d'apprendre comment obtenir cette eni-vrante potion dont le responsable n'était autre que le paternel Sensei lui-même.

Les yeux vides, elle ne n'avait aucune idée de ce qui se mettait en place devant elle, elle ne voyait pas que le vieux moine si chaleureux avait enlevé sa robe et se tenait son ventre pansu en avant devant elle.

Elle entendit alors le vieux Sensei la guider de la voix :

-"Ah, mon enfant t'as vraiment été bien avisée de revenir au pays de tes ancêtres! ... Les troubles qui te perturbent en Amérique vont être soigné dans ce temple! .... Maintenant je vais t'offrir une nou-velle ration de cette potion que tu adores, suffisamment pour concourir à ta guérison... Ouvre la bouche mon enfant... Ouiiiiii... Comme ça..... C'est bien....."

Mais au lieu de sentir le verre presser ses lèvres, une épaisse colonne caoutchouteuse se trouvait entre ses lèvres et le sensei lui intimait de sucer l'épais obélisque si elle voulait guérir.

- "C'est ça... C'est bien mon enfant... Ohhhhhhhhh oui, comme ça! ... "

Il avait posé sa main sur sa nuque la poussant en avant pour l'amener à enfourner une plus grande partie de l'épaisse colonne entre ses lèvres accueillantes.

Sous l'œil impavide des caméras, L'adorable Gwen Nakayama suçait avidement l'épais obélisque pour en extraire le plus de potion possible, mais elle ignorait totalement qu'en fait cette source jaillissait d'entre les cuisses du vieux Sensei.

-"Bienvenue pour ton retour au pays de tes ancêtres mon adorable petite américaine! ... Oh oui prends encore de ce délicieux élixir que j'ai secrété spécialement pour toi, ma petite chérie! ... Oh oui... Ouiiiii... Désormais tu chercheras de tout ton cœur à savourer à nouveau ce breuvage enivrant! ... Oh ouiiiiiiiii mon enfant! ... " Couinait le vieux Sensei attirant son front contre son estomac.

-"Ahhhhhhhhhhh .... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ..." grognait-il sa-vourant le savoureux contact de ses lèvres soyeuses sur sa hampe turgescente alors qu'elle le suçait de plus belle.

Cela faisait bien 60 ans qu'il n'avait plus ressenti un tel plaisir! ....

Ayant appris que la jeune américaine sous son emprise était fiancé à un trou du cul d'américain blanc, il était ravi de punir de façon aussi démo-niaque ses ennemis.

Bien que la jeune asiatique ne soit pas responsable de son lieu de nais-sance, il pensait que ses grands-parents avaient trahi leur pays en s'exi-lant aux USA, et, de ce fait tous leurs descendants devaient être traités à la même enseigne.

De son implacable point de vue, cette adorable jeune femme dont les ancêtres étaient japonais ne devait pas subir le même traitement que les autres femmes d'ennemis qu'il avait pliées à sa loi.

-"Ahhh, oui, mon enfant, suce là..... Suce là jusqu'à ce qu'elle te ta-pisse ta jolie petite bouche! ..." haletait Moto-san tout en la baisant frénétiquement en bouche.

Flattant ses longs cheveux noirs soyeux, tout en gonflant son estomac sur lequel reposait la tête de l'adorable petite hôtesse de l'air, Moto-san regrettait que ce trou du cul d'américain qu'elle devait épouser ne soit pas dans cette pièce à cet instant même pour admirer la juteuse perfor-mance de sa jeune fiancée.

Tout en lui baisant son adorable petite bouche, il méditait :

-"Hummm... eut-être te ferai-je parvenir un cadeau spécial pour le jour de ton mariage, une cassette montrant à quel point elle aime sucer les bites d'hommes âgés! ..."

-"Ohhhhh... Ohhhh oui... Suce moi encore... Allez ma petite chérie! ... Cela concourra à punir tes grands-parents de leurs méfaits! ... Emmenant tes parents aux USA pour t'y faire naître! ..." haletait Moto-san grivoisement.

-"Oh oui... Oui... Tu as eu bien raison de revenir au village de tes ancêtres la traîtresse conduite de tes grands-parents en sera peut-être ainsi minimisée! ...

Et Sensei-Moto t'aidera à faire absoudre ta famille de son fourbe comportement..." Il pantelait maintenant de plus en pus accélérant le rythme de ses coups de boutoir.

-- "Ahhhhhh... Ahhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Avale tout... Absous ta fa-mille de ses crimes infamants! ..." grogna-t-il d'une voix sourde tout en projetant son foutre crémeux au fin fond de sa gorge.

Bien plus tard, alors qu'elle sortait quelques instants de son état de sidération tout lui sembla brumeux comme si elle évoluait au cœur d'un rêve.

On lui donna de suite un bol de thé fumant qu'elle sirota séance tenante et tout revint dans la norme apaisée.

Son rêve s'apparentait à un cauchemar, elle était allongée sur un mate-las, toujours vêtue de son uniforme d'hôtesse tous les moines se tenant entièrement nus, autour de la couche et la matant yeux écarquillés comme des soucoupes, leurs visages affichant des sourires bestiaux.

La voix familière, apaisante du vieux sensei lui disait de s'allonger sur le dos et d'adopter une position confortable, pour aider ses amis moines à la préparer, Gwen sentait de nombreuses mains l'aider à se positionner confortablement lui enlevant tout d'abord ses chaussures, puis ses vê-tements.

Dans son subconscient, la paternelle voix du sensei la guidait et la conseillait, lui disant qu'elle était une femme, et que le rôle des femmes sur cette terre était de donner du plaisir aux hommes, à tous les hommes

quels qu'ils soient.

-"Oh, oui... C'est ainsi que tu pourras plaire aux hommes mon en-fant! ..." l'entendit-elle la complimenter alors que d'ignobles grognements retentissaient dans en arrière plan accompagnant le flot sirupeux qui lui emplissait à nouveau la bouche, mais cette fois il provenait d'une colonne légèrement plus mince.

Alors que la doucereuse potion s'écoulait dans sa gorge, le vieux moins continuait à l'encourager :

-"Oui, oui mon enfant... Comme ça, enroule ta langue autour comme ça et tu pourras obtenir encore plus de ce délicieux élixir! ..."

Elle donna une chiquenaude de la pointe de la langue sur la nouvelle tige proposée qui se mit à vibrer, elle comprit alors qu'elle ne tarderait pas à recevoir de nouvelles rasades de cette potion si goûteuse.

Le sensei donnait des conseils avisés à Gwen : elle ne devrait pas faire part de son horrible épreuve à Dwight, elle pourrait ainsi épouser l'homme qu'elle aimait... Et elle aimerait tous les autres hommes! ...

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