L'Algérien Du Quai Augagneur

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Formaté pour la vie par sa premiere vraie rencontre.
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J'ai vécu quatre années à Lyon il y a vingt ans d'ici et j'y ai connu une expérience majeure - la première! - de soumission. Grand, un mètre quatre-vingt-sept, mais fluet avec soixante-six-soixante-dix kilos, brun, j'étais déjà en recherche d'hommes capables de me prendre en main virilement et j'ai rencontré pendant une chaude nuit d'été dans des chiottes publiques du bord du Rhône, quai Augagneur, un arabe algérien beaucoup plus âgé, la cinquantaine et moi vingt-cinq ans seulement, une peau sombre, bâti tout en force (ouvrier en chantier?) et, je le découvrirai plus tard, une queue large avec de lourdes bourses pendantes. Il m'a amené chez lui.

Dès le premier soir, je l'ai sucé et il m'a pris. J'étais alors encore vierge du cul, il fut doux et progressif et je l'en remercie encore. On s'est revus. Il me téléphonait au boulot pour m'avertir et je le rejoignais chez lui pour le soir après le taf. Il me voulait nu, sauf des baskets pour le froid et un G-string noir. C'était une routine : j'entrai, je me mettais rapidement en tenue dans l'entrée, je venais devant lui, à genoux entre ses cuisses musclées je le suçai à fond et, ses mains dans mes cheveux, j'avalai ses jets chauds et salés pendant qu'il regardait sa télé. Puis je faisais silencieusement le ménage dans son logis (vaisselle, nettoyage, rangement, changer les draps), je prenais ensuite une douche et je me graissais avant de le rejoindre dans son lit.

Là, je suis devenu sa femme, ou, au moins, son jouet sexuel : nouvelle fellation pour le remettre en forme avec en particulier de longs passages de ma langue sur ses bourses poilues et tout le long de sa large queue jusqu'au bout du gland, jamais de baiser sur la bouche avec lui, il ne voulait pas, et je lui suçais et léchais les seins qu'il avait sensibles. Lui, une main entre mes fesses, en terrain conquis, il s'assurait de ma lubrification et de la souplesse de cette rondelle qu'il s'apprêtait à écarteler une fois de plus. Physiquement, musculairement, la différence entre nous deux était telle, qu'il n'y avait qu'un seul patron possible. Ensuite il me prenait - dès le troisième soir, ce fut sans capote - et il jouissait en moi. Sa sailli était puissante, progressive, jamais brutale avant qu'il ne se soit confortablement installé en moi, avant qu'il ne m'ait enfilé toute sa longueur et que j'ai senti ses testicules venir frapper la peau de mon entrejambe. S'étant assuré de son emprise totale sur moi, il se laissait des fois aller à une cavalcade, parfois violente, ou je devais l'accompagner de mouvements de mon bassin pour atténuer autant que possible ses coups-de-boutoir... Ce que je préférai, c'est quand entrant et sortant entièrement à chaque mouvement, et qu'il me « limait » littéralement, il n'y pas d'autre mot qui s'applique à ce que je subissais alors que « limer », comme un menuisier lime une pièce.

Pour la position, il alternait (c'était toujours lui qui décidait, pour cela comme pour le reste...) entre la levrette et le missionnaire. Je préférai le missionnaire car j'aimais son odeur, dont le nez dans son poitrail, je pouvais alors m'enivrer. Puis venait son éjaculation, où il me gratifiait souvent de quelques mots : « je te féconde, ma gazelle... » Ou moins sympa : « Prends-ça au fond, la pute! ».

Je m'allongeais alors contre lui sous les draps, je nettoyais sa queue avec ma bouche de tout reste de sperme ou de graisse et je le branlais ensuite, lentement et longtemps, lovée contre son flanc, et je lui suçais encore doucement les seins, ressentant en moi cette plénitude de mon fondement tellement ouvert, encore palpitant, dont je sentais s'échapper et couler sur l'intérieur de mes cuisses le sperme de mon mec. Dans ses instants, j'étais vraiment une femelle, heureuse, comblée, écoutant la respiration apaisée de celui qui pouvait tout sur moi. A ces moments-là je comprenais, je vivais le sens entier des mots « se donner » et « être (bibliquement) prise ».

Il y avait parfois même une troisième mi-temps...

Quand il voulait enfin dormir, il me renvoyait chez moi, où souvent je me finissais au poignet. Et ainsi deux ou trois fois par semaine.

Avec les semaines, j'ai senti que je ne l'intéressais pas comme personne (il était marié avec enfants au pays), c'est ma bouche chaude et ma « chatte » et mon corps jeune qui seuls l'intéressaient. Il a même fait quelques photos de moi « en action », mon visage avec son sperme sur mes lèvres ou mon derrière avec mes fesses bien bombées et l'anus ouvert, rose et noir, et des trainées blanches le long de mes cuisses. Un soir, il y avait dans le salon un autre arabe avec lui devant la télé (c'était un soir de foot je me rappelle) et j'ai dû le sucer et faire mon service domestique en string devant cet autre type. Je l'ai fait les yeux baissés. La fois suivante, le même arabe était encore présent et j'ai dû cette fois le sucer et l'avaler, ce que j'ai fait, puis me laisser « monter » (avec capote) par ce type, à genoux sur le canapé, la tête face au mur. Ce second type est revenu d'autres fois, toujours pour le même scenario. Puis aussi un autre arabe encore, pas bien beau et avec un ventre proéminent, bien plus vieux celui-là, qui voulait que je sois « câlin » avec lui (des baisers dans la bouche, me frotter contre lui...), qu'il fallait sucer longtemps avant qu'il soit assez ferme pour m'enculer et me besogner péniblement. Il me prenait en levrette comme une chienne, c'était à moi de bouger et de venir m'empaler sur sa queue, ça durait longtemps et je devais simuler les petits cris d'une femelle satisfaite, pendant qu'il faisait jouer entre ses doigts le bout mes seins...

J'ai compris alors que mon type me prostituait. J'ai eu peur et des images tournaient dans ma tête : la mise en abattage en foyer à Villeurbanne ou ailleurs avec peut-être dix types à la suite, être baisée sans capote pour faire payer plus les clients, une séquestration loin de Lyon voire une vente a des réseaux de prostitution internationaux... Et j'ai coupé les ponts. Il m'a recontacté pour que je revienne, il a même voulu me faire chanter avec les quelques photos qu'il avait prises mais j'ai tenu bon et il ne l'a pas fait au final.

La vérité est que je regrette aujourd'hui amèrement d'avoir rompu avec mon arabe...

J'aurai dû m'accrocher, accepter et me soumettre parce que c'est cela que j'aime : le plaisir de l'autre. Il me voulait plus femme, plus femelle (oreilles percées pour ajouter des pendentifs, les ongles faits aux mains et aux pieds) et il aurait probablement continué à me vendre (sous sa protection) à ses connaissances proches. Moi, jeune male trop fier, j'ai refusé comme un coq pour protéger une virilité que je n'avais plus... Comme je regrette ma décision d'alors! Oui, j'ai compris mon erreur et je ne la ferai pas deux fois. Je ne suis plus si jeune aujourd'hui, mais si la vie me donne une autre chance, un autre mec, je saurai être la plus chaude et la plus ardente et je jure, quoique je doive m'abaisser à faire, pour gagner et pour garder ma place auprès de lui...

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Anonymous
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5 Commentaires
Petasse_panPetasse_panil y a 9 mois

Aillant moi aussi toujours assumer ma soumission au hommes arabes en leur servant de femelle blanche à baiser , j ai pris du bonheur à te lire, merci

Thibault06Thibault06il y a presque 2 ans

J ai beaucoup aimé ton histoire. Je suis moi aussi à la recherche d'un mâle pour me soumettre à lui

Michel1374Michel1374il y a plus de 3 ans
Mes dimanches sur les quais du rhône

une histoire très excitante

Moi aussi quand j'étais étudiant à lyon en internat, les dimanches après midi je me promenais souvent sur les quais du Rhône, il y avait souvent des hommes âgés et des arabes qui semblaient attendre. Certains se touchaient vers la braguette. Moi, jeune de 18 ans ça m'excitait...je les regardais et parfois je leur faisais des sourires.

Parfois certains rentraient dans les toilettes en me regardant et en me souriant. Alors je les suivais à l'intérieur, ils m'attendaient souvent leur gros sexe sorti de leur braguette, très dur. Ils se caressaient, se branlaient en me montrant leurs gros glands rouges, mouillés. Alors je me mettais accroupi devant eux et je les suçais avec mes lèvres et ma langue....jusquà ils giclent dans ma bouche, sur ma langue.

Souvent en sortant je voyais d'autres vieux qui m'attendait à la sortie en me souriant...

AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans
Vécu

Je te comprends car je suis comme toi, avoir la chance de tomber sur un mâle comme ça est finalement un bonheur pour nous. Il nous permet d'être celle que nous sommes. Et même s'il en profite, finalement nous ne pouvons lui en vouloir car nous aimons ça. Nous sommes faites pour servir ce genre de mâles.

Bises

lopestring@hotmail.fr

AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans

Bon texte. Merci.

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