Le feu couve sous la Braise 01

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Une rencontre tourne au cauchemar.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 05/07/2022
Créé 12/23/2005
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Voila ce que l'on entendre ce matin, je prend mon café tranquillement pourquoi m'inquiétée. Je vis dans le centre, j'ai un appart payé par mes parents proche de ma fac. Ce matin pourtant je n'ai pas cours mais j'ai un truc important à faire. Il faut que j'aille acheter du cana gare du nord.

Et oui, moi marie 22ans étudiante j'aime les soirées maroco entre amis.

Me voila prête, après un bol de céréale et deux tartines, je me rend en métro gare du nord. Il fait froid en ce mois de novembre. Vivement les vacances de noël. Oui avec mon copain et ses parents on va partir en Autriche.

Une fois sur place si tu connais ton dealer c'est facile. Carole m'avait mise en relation avec un certain Marc. Le passe un coup de fils à ce marc et le l'attend, rien de très compliqué. Le voila,

-"Salut Marie c'est ca? Ca va?"

-"Oui et toi c'est Marc."

-"Oui Carole m'a parlé de toi tu es réglo"

-"Oui, Pas trop dur pour venir"

-"Si c'est le bordel, j'ai rien pu amener, il y a des keuf partout."

-"Merde, Marc demain j'ai des invités."

-"Oui Marie je sais mais on peu gérer ça. On va la chercher chez moi et on revient sur paris comme un couple pas de risque avec toi. Une blonde ça ne se fait jamais contrôlée."

-"Oula, ça c'est l'embrouille ça"

-"Marie, tu décides si t'en veux tu me suis sinon tu te casse."

-"Bon ok mais on fait vite."

On pris les transport en commun juste que dans la cité du nord est de la capitale. Pas jolie on marche. On tchatche un peu sur le chemin. On se dirige vers une des nombreuses tours du quartier. En bas, un groupe de jeune, Marc discute avec eux. Je suis copieusement sifflée.

Marc n'est pas étonné de l'accueil. Je sens qu'il est assez fier de son effet.

On monte. L'ascenseur sent la pisse. Il est complètement tagué. 5ieme. Voila appartement 54. Marc frappe, un black assez baraque ouvre et le fait rentré. Moi je reste sur le pas de la porte. Etonnée! Mais bon. La porte s'ouvre Marc me présente à Armand. On rentre.

-"Marie tu veux du cana," me demande Armand

-"Oui, j'en voudrais 150 grammes. J'ai l'argent. "

-"C'est bien c'est bien. Tu es une régulière de Marc? "

-"Euh non, c'est la première fois"

Armand attrape son téléphone. "Ouais c'est moi, tu montes avec fouad. Oui vite. "

-"Marie, voila la marchandise arrive."

La porte s'ouvre deux jeunes arrivent. Armand on est la.

Je stress un des jeunes a un couteau. Armand annonce marc tu as fait du bon boulot. On tient notre otage. Merde j'essaye d'atteindre la porte on me chope par le bras.

Je suis plaqué sur le sol par les deux jeunes. Marc referme son blouson et m'enjambe.

La porte se ferme, je suis seule avec mes ravisseurs. Armand se penche a coté de moi. Ecoute -"Marie, c'est bien ca."

-"Oui;"

J'aime avoir des esclaves a mon service. Surtout des esclaves comme toi. Alors maintenant tu es à moi.

Je panique, j'essaye de me débattre. Non Non. Laisser moi partir.

Calme toi Marie tu ne peux plus rien changer maintenant a ta destinée.

On me tord les bras le poignets je suis menottées. J'ai mal. Ils me redressent. "Ecoute petite pute", un couteau à la main Armand me parle "tu ne parle pas tu ne dis rien tu ne fais rien ou je te crève".

On se retrouve dans l'ascenseur un main ferme me malaxe ma poitrine, face à la paroi, je fixe le mur métallique et taggué.

Quelques étages plus hauts, ils me poussent dans un appart. Enfin une sorte d'appart. Il me jette dans une pièce sur le sol trois matelas, usagés.

Armand et ses deux acolytes me regardent, je tremble, je pleure. Un des deux a une bâte de baseball. Ils ferment la porte de la pièce à clef, ensuite on me détache.

-"Déshabilles toi"

-"Non"

-"Choisi c'est ça ou on te refait le visage avec la bâte."

Je tremble mais je m'exécute. Après les vêtements d'hiver j'en viens au sous vêtement.

-"Plus vite"

J'essaye de cacher mon intimité avec mes mains. Je suis rouge de honte.

-"Tourne toi"

-"Oh le cul! Elle est bonne."

-"Retire tes mains"

Je ne réagie pas

-"Fouad."

Fouad s'avance la bâte à la main. Je retire mes mains. Il s'approche je recule. Aculée contre le mur, il l'appuis sur mon ventre. Il contourne mes seins. Il soulève mes bras. Je lui la les bras en l'air.

Armand s'approche, "Voila, ce que j'appelle une belle blanche. Tu connais le dressage Marie, tu sais comment on dresse une femelle?

-"Euh non"

Le dressage d'une femelle c'est comme pour les chevaux. Ils faut les casser ensuite elle sont dociles."

-"Tourne toi voila, mets tes mains sur la tête, c'est bien cambre toi." La bâte est sur mes reins.

J'entends des vêtements.

-"Retourne toi." Armand est nu. Il est musclé, sec. -"Mets-toi à quatre pattes!"

J'obéie.

-"Regardez moi ce jolie abricot qui ressort."

Il se place derrière moi. Et je sens sa main ferme entre mes cuisses, sur mon sexe. Il le caresse, un doigt s'insinue en moi me faisant tressaillir

Fouad se place devant moi, il place la bâte au niveau de ma bouche et m'ordonne de la lécher. Je sors une langue timide. Je reçois une claque sur les fesses, Armand m'ordonne de lécher avec amour. J'y mets toute mon énergie. Il continue à me fouiller. Fouad passe la moi. Il lui passe cet engin. Armand, la passe entre mes jambes, la frotte à mon sexe. Il m'oblige a avancer à quatre pattes poussée par cet objet.

Il l'éloigne, Sa main caresse mes jambes, il me prend les jambes et me retourne sur le matelas. Ecarte tes jambes Marie. Allez plus vite. Il se place sur moi

J'ouvre les yeux d'effroi devant ce sexe sans capote. Il plonge en moi, me déchire. Je crie quand brutalement Armand plonge entre mes cuisses

Il me pénètre me fends en deux. Il est virile je recule sous ses coup de boutoir. Je crie. Je regarde le plafond, son visage crispé qui se couvre de sueur.

Il se crispe, il a joui. Il se relève. Tu es une bonne esclave Marie, je vais te garder. Fouad, Malik attachez la bien. On la prendra ce soir.

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