Le Gant de Velours

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Les aventures d'Aurélie #1
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Vous ne me croirez pas. Enfin oui, peut-être. C’est difficile à dire parce que franchement, c’est difficile à imaginer.

Allez, mettons-nous en contexte. Je suis un homme dans trentaine, un bon gars tout ce qui a de plus banal. Je suis technicien sur la route, je répare des ordinateurs, des portables, des PCs, peu importe. Je fais ça depuis des années, j’aime les gens et la résolution de leurs problèmes technologiques. C’est apprécié, un tech qui se déplace pour réparer votre internet à 2h du matin mais ça signifie aussi que je m’impose malgré moi dans leur intimité et croyez-moi quand je vous dit que j’en ai du des vertes et des pas mûres. La maison d’une vieille femme, surpeuplée d’animaux de compagnie, pas très plaisant. L’appartement d’une jeune collégienne transformé en lieu de culte envers la dernière « teen pop star » de l’heure, étrange. Quand on entre chez les gens, on en voit de toutes les couleurs.

Aujourd’hui, pour ajouter à ma liste d’étranges, je travaille dans un petit appartement un peu glauque qui a la particularité d’être le lieu d’un tournage d’un film porno. Oui, vous avez bien lu, il y a littéralement des gens qui baisent à deux mètres de moi en ce moment précis et je peux tout voir. On ne parle pas de véritable studio de tournage ici, mais à en juger la quantité et la qualité de l’équipment, ce ne sont pas des petits amateurs non plus. Il faut croire que ces gens ont assez d’argent pour bien s’équipper mais pas assez pour un espace de travail respectable.

Je sais ce que vous pensez. « Allez, tu vas pas essayer de nous faire croire qu’ils t’ont offert un role? Que tu as pu baiser la fille? » Non, heureusement. L’actrice nue devant moi me laisse largement indifférent. De toute façon, on est dans la réalité, pas dans la fiction. Ils m’ont appelé pour que je répare un portable et c’est ce que je suis en train de faire.

Par contre, je peux regarder autant que je veu. L’ordinateur à réparer appartient au mec qui fait le montage donc, je dois faire tout sur place et mes clients apprécient visiblement mon travail. Je leur “sauve la vie”, comme le gars disait plus tôt. D’ailleurs, ce mec ignore totalement la scène charnelle qui se déroule tout près et semble fasciné par la carte mère que je suis en train de remplacer. Il faut comprendre que ces gens voient des acteurs baiser devant eux tous les jours alors, les deux types en charge ne se donnent même pas la peine de regarder ce qui se passe sur le lit au fond de la pièce. Ils me posent quelques questions sur les modèles de laptop les plus récents avant de me perdre intéret et finir par me laisser faire mon travail. Ils sont blasés du sexe, quoi.

Outre ces deux gaillards, engagés dans leur conversation sur leurs projets de tournages à venir, il y a quatre autres personnes dans l’appartement. Impossibles à manquer, les deux acteurs bien lancés dans leur scène : un homme dans la quarantaine avancée, pas spécialement beau mais plutôt costaud et à en juger le flot incessant de cris que pousse sa partenaire, il est très bon dans ce qu’il fait. La partenaire en question est une jeune fille dans la début vingtaine, blonde avec des meches rousses, les cheveux un peu trop courts. Elle pourrait être jolie si la vie avait été plus clémente avec elle mais elle est trop maigre, trop artificielle à mon gout. Ses seins sont décevants, un peu plats, sans intérêt. Ses fesses ne sont pas trop mal mais on voit les os de son bassin et c’est pas spécialement sexy. Sa chatte méticuleusement taillée en une mince ligne timide ne me dit rien du tout et ses tatouages aux omoplates et au bas du dos lui donnent un air un peu trash qui au bout du compte me déplait. Pour être honnête, elle ressemble plus à une prostituée finie qu’a une actrice porno. C’est peut-être ça que les gens veulent voir aujourd’hui, allez savoir.

Devant eux, l’incontournable cameraman qui manie son appareil d’épaule avec une adresse admirable. L’homme se déplace furtivement autour et parfois même sur le lit avec une aisance remarquable et trouve une façon de ne jamais leur nuire. Somme toutes, il semble bien s’amuser. Un artiste en son genre, quoi.

Un peu en retrait est assise une autre femme en train de lire une revue quelconque. Étrangement, c’est elle que je regarde le plus. En fait, je ne risque que quelques coups d’œil rapides, comme si j’avais peur qu’elle me surprenne à l’épier. C’est bizarre quand on y pense; s’il existe un endroit où on ne devrait pas avoir de gêne, c’est bien sur un tournage de porno.

Je la trouve vraiment jolie, cette femme silencieuse, beaucoup plus que la jeune fille en train de se faire joyeusement culbuter devant moi. Elle doit être à peu près de mon age donc, début de la trentaine. Délicate silhouette, longs cheveux châtains-bruns un peu vagués, un peu bouclés qui lui tombent doucement sur les épaules. Vêtue simplement d’un pantalon et d’un chandail de velours noir extensible et très moulant, elle a les jambes croisées et semble absorbée par sa lecture, complètement indifférente à ce qui se passe autour d’elle.

La réparation sera plutôt simple mais puisque je passe mon temps à jeter des regards furtifs vers la jolie brunette et surtout parce que les hurlements de la jeune fille n’aident en rien à ma concentration, il faut se rendre à l’évidence, je serai là un bon moment.

La scène s’étire, ça fait une bonne vingtaine de minutes que le caméraman-acrobate filme et rien ne semble près de se terminer. La pauvre blonde n’est pas au bout de ses peines: dans la chatte, dans le cul, dans la bouche et tout ça dans n’importe quel ordre, le mec se la fait avec une energie qui m’étonne franchement pour son age et son apparence. La jeune fille ne cesse de se lamenter mais ça sonne faux, comme si elle cherchait à l’exciter.

Ça commence à m’énerver mais bon, j’ai vu pire, j’imagine.

C’est d’ailleurs pendant un de ces moments où mes yeux s’attardent un peu trop longtemps sur la jolie lectrice que la jeune actrice blonde pousse un cri vraiment fort, tellement soudain qu’il surprend assez pour m’en faire échapper mon tournevis. Puisque je ne regarde pas la scène, je n’ai aucune idée de ce qui vient de se produire et je m’en moque. La délicieuse brunette sursaute également et lève ses yeux d’abord vers le lit mais rapidement vers moi, comme si elle se sentait épiée. Ses beaux yeux brun noisette fixent les miens pendant une seconde tendue mais elle me gratifie enfin d’un sourire mi timide, mi incertain, comme si elle était gênée de réaliser la présence d’un inconnu dans la pièce. Qu’elle est belle! Ses longues boucles bougent doucement, épousant les mouvements de sa tête, sa peau est pâle et sa fine bouche marque toujours ce petit sourire innocent. Beauté naturelle et simple, un net contraste avec la jeune fille sur le lit. Je sent mes trippes se tordre et le sang me monter au visage tellement je suis abasourdi par une gêne inexplicable face à cette attraction si soudaine. Comment est-ce qu’une simple tête peut-il me faire un tel effet?

C’est à ce moment qu’un des deux hommes en charge grogne une courte phrase que je saisis à peine. Ça sonne comme un signal ou une directive à suivre, ce n’est pas très clair. Les quelques secondes qui suivent ensuite passent vraiment trop vite pour que je puisse pleinement en absorber leur contenu.

La somptueuse brunette regarde dans la direction de l’homme qui vient de parler et hoche doucement de la tête en signe d’acquiescement. Avec un peu d’hésitation, elle se lève; le signal était visiblement pour elle. Je constate immédiatement que ce ne sont pas de simples vêtements qu’elle porte mais bien un costume ultra-moulant de velours noir d’une seule pièce qui la couvre du cou aux chevilles, ne dévoilant que ses mains et ses pieds, un peu comme un costume de femme-chat. C’est finalement lorsqu’elle se met à marcher, quand je la vois bien de face que j’en échappe mon tournevis par terre. Voyez-vous, c’est à ce moment que je commence à comprendre pourquoi elle est ici. Son costume possède en effet une particularité qui lui est unique et qui ne saurait trahir le seul usage qu’on peut en faire: il est décousu à l’avant de l'entrejambe, le tissu s’écartant donc pour révéler entièrement sa chatte, tout bêtement, comme si de rien n’était. Petit détail qui m’aura donc échappé puisqu’elle avait les jambes croisées jusqu’a maintenant. Peu importe le fait que je soit sur un site de tournage érotique, je ne m’attendais pas du tout à ça. La vue de son sexe nu me paralyse tellement je suis excité!

Mon cœur fait un bond, le temps qu’elle passe tout près de moi, de l’endroit ou je travaille. J’ai beau me sentir horriblement gêné, j’ai du mal à garder mon regard ailleurs que sur sa chatte. Elle me regarde, baisse la tête un rien du tout et sourit un peu piteusement, comme si elle était aussi mal à l’aise que je le suis. Sa démarche est un peu hésitante mais très sensuellement féminine. J’ai le gout de tendre les mains et de la toucher. Ses longs cheveux soyeux, sa peau pale et son sourire discret, son habit de velours et la jolie touffe qui couronne son entre-jambe, tout d’elle semble irradier une douceur incroyablement érotique. Je peine à respirer, commençant à peine à visualiser la conclusion de la scène qui se bâtit devant moi, je me refuse à l’accepter, c’est inconcevable. La créature de rêve passe outre mon aire de travail et pendant quelques secondes, je la vois de dos et je peux admirer ses longs cheveux qui dansent en tombant presque jusqu’a la hauteur de sa taille mais j’admire surtout son superbe cul. Elle n’a pas beaucoup de hanches mais ses formidables fesses sont rondes et rebondies, jalousement cachées sous son vêtement noir. C’est le genre de joli cul qu’on veut tapper ou du moins malmener à outrance.

La nymphe atteint enfin la scène et monte lentement sur le lit, avec une hésitation qui me rend dingue. Elle se retourne doucement et s’asseoit délicatement en posant son dos contre un des gros coussins, de façon à rester assise mais avec une inclinaison qui la place en position accesible, prête à être dominée mais surtout, une position parfaite pour lui permettre d’être pénétrée. Enfin presque; je ne vois plus sa chatte puisque ses jambes sont collées une contre l’autre. De longues mèches de ses cheveux tombent sur ses épaules et encadrent sa belle poitrine. Ses fines mains, jusqu’alors posées sur ses cuisses remontent lentement vers le haut de son corps, en profitant pour langoureusement caresser le vêtement de velours jusqu’a atteindre le haut de sa poitrine et insérer ses doigts au travers d’une fente horizontale savamment cachée. Elle tire lentement vers le bas et glisse un pan de tissu jusque sous sa poitrine pour mettre au grand jour ses superbes seins. Ses mamelons rebondissent doucement quand le tissus les libère de la tension qu’il leur imposait. Contrairement à la timide poitrine de la blonde qui l’a précédée, cette femme est dotée de seins naturellement généreux sans en être vulgairement gros. Ils sont courronés de délicieuses mamelles d’un rose un peu foncé. Sa poitrine maternelle un peu paresseuse tombe doucement sur son ventre. Je ne m’attarde que très rarement aux seins d’une femme mais celle-ci fera donc l’exception.

Cette femme qui d’ores et déjà hante mes pensées, toujours en caressant son habit de velours, redescend ses mains jusqu’à les immobiliser pres de ses hanches et de les poser sur le lit pour assurer son équilibre. Lentement, avec une délicieuse hésitation, elle entreprend de replier ses jambes vers elle en écartant ses pieds, offrant son sexe et l’exposant entièrement à la vue de tous, ce qui malgré ma plus sincère indignation me permet finalement de mieux observer ce que considère son plus bel atout. Son entre-jambe est recouvert d’une pleine crinière fournie de poils soyeux un peu frisés d’un châtain un rien plus pâle que ses cheveux. Un triangle parfaitement formé et méticuleusement entretenu qui descend doucement jusqu'à couronner ses lèvres vaginales d’une longue et douce bande de laquelle aucun poil rebelle ne parait. C’est presque délirant, le simple fait d’imaginer la douce caresse de cette chatte sur ma verge me donne le vertige. Les lèvres de son vagin sont roses comme le bout de ses seins et se touchent délicatement, telles deux amoureuses se caressant mutuellement, m’intimant à les rejoindre. De toute ma vie, je ne crois pas avoir vu une vulve aussi invitante. La jeune femme est maintenant prête, elle attend, elle roule ses hanches très légèrement, soit pour aguicher ou par simple nervosité, ses fesses frottent doucement sur le lit. Elle gratifie l’homme qui se tient près d’elle du sourire le plus adorable qu’il m’ait été permis de voir et tout son visage angélique semble dire “vas-y, je suis à toi”.

Je n’arrive toujours pas à croire ce que je vois, c’est irréel. Cette femme est beaucoup trop belle et précieuse pour être sur ce lit de débauche.

Toute cette mise en scène, tout ce rituel qui m’excite tellement que j’en la tête qui tourne et la résutat? Il ne la regarde même pas! Il ne l’a pas vue s’approcher doucement. Il n’a pas regardé alors qu’elle se soumettait nerveusement. C’est comme si elle n’existait même pas! L’acteur est en train de parler avec les “producteurs”. Je suis tellement absorbé par la fille que je ne peux même pas dire de quoi ils parlent mais en juger le ton, c’est tout sauf cordial.

Le cameraman ne filme plus. À voir à quel point cette nouvelle venue est tellement différente de la blonde de plus tôt, j’aurais du me poser des questions. En regardant cette déesse incroyablement belle sur le lit, on aurait cru être sur un tournage dans les années 70: formes généreuses, cheveux très longs, sexe velu, on ne voit plus ça dans le porno de nos jours. Sur le coup, je ne l’ai même pas réalisé, j’anticipe tout de même difficilement ce qui s’apprête à suivre, tout ce que je peux voir en ce moment me rend malade de jalousie. Cette femme est tellement, incroyablement belle et d’imaginer qu’elle va être ainsi prise par cette brute me rend malade. Jamais de ma vie je n’ai autant eu le gout de prendre une femme et de lui faire l’amour de toutes les façons possibles mais visiblement, cette femme n’est pas pour moi.

Elle reste là, mi assise, mi couchée à timidement trémousser son beau petit cul, ses yeux fixant nerveusement l’autre homme en attendant fébrilement pendant de longues secondes. Je peux sentir sa délicieuse détresse d’ici, sa belle et douce chatte, délicatement offerte sans aucune condition. L’acteur ne lui prête toujours aucune attention, sa conversation étant terminée, il est maintenant absorbé par l’état de son immense membre, rougi par la friction de la dernière demi heure d’effort. Je peux voir qu’il est en colère, il ne fait même pas d’effort pour le cacher.

D’ailleurs, elle le fixe de ses beaux yeux, ce monstrueux pénis et visiblement, elle en est intimidée; l’interminable attente n’aide en rien; sa respiration est de plus en plus courte et rapide, la pauvre, son courage initial disparait à vue d’oeil. Je ne sais trop quoi penser. C’est incroyable! On ne dirait plus du tout une scène de porno, ça fait plutôt penser à une offrande sexuelle; la jolie promise, foutue à poil en public pratiquement contre son gré, prête à être utilisée gratuitement. Une partie de moi hurle de jalousie et aimerait simplement que l’homme décide qu’ll en a eu assez et s’en aille; je pourrais peut-être alors parler à la fille et espérer me retrouver au lit avec elle ce soir. La partie un peu plus réaliste de mon cerveau me rappelle que cette fille est là pour une raison bien simple et que le mieux que je peux espérer est de la voir se faire défoncer, de voir sa superbe chatte se faire profaner odieusement et brutalement. C’est cru, c’est dégeulasse mais ce serait étrangement satisfaisant.


Comme si elle avait eu une pensée similaire à la mienne, comme si elle espérait également un dénouement différent, elle retourne son beau visage vers moi et me regarde d’un air piteux en me gratifiant de nouveau de son timide petit sourire. C’est comme si son visage angélique essayait de me dire “Je suis désolée mais, il est trop tard pour changer d’idée.” Je jette des regards furtifs vers son sexe nu, j’ai la queue tellement dure, je vais exploser. Son regard trahit une incertitude grandissante et mon désir pour elle atteint un sommet qui me donne carrément mal au ventre.

Quand je me dit que le mec va peut-être finalement changer d’idée, il se tourne vers elle et lui agrippe les mollets avant de se placer face à elle, l’air toujours aussi fâché.

Mon coeur s’arrête, je panique.

Avec une certaine hargne, l’homme la ramène soudainement vers lui en tirant sur ses délicates jambes. Ramenée à la réalité, elle tourne la tête et les yeux vers lui, désenchantée pour ne pas dire effrayée; elle ne sourit plus mais elle respire très vite. Elle comprend ce qui est en train d’arriver et secoue rapidement la tête en signe de refus mais l’homme n’en voit rien puisqu’il fixe sa chatte avec insistance. Les yeux de la demoiselle sont à nouveau fixés sur le monstrueux sexe qui la menace et sa délicate bouche légèrement entrouverte semble sur le point d’articuler une parole de protestation mais sans succès. Est-ce dans le scénario?

Elle tourne à nouveau les yeux vers moi, effrayée. Je cherche mes mots, je ne crois pas que ce soit prévu. Trop tard. C’est avec cette même hargne que l’homme comble la distance restante et la pénetre brutalement, la bite jusqu’au fond de sa chatte, comme ça, d’un coup! Elle ouvre sa bouche un petit moment et pousse un gémissement de surprise avant de retomber molle, comme si la seule chose qu’il lui restait maintenant à faire était d’attendre que la punition soit finie.

La foudre vient de me frapper et je ne suis plus du tout certain que ce que je vais maintenant voir va me satisfaire..

S’écrasant rageusement sur ma déesse de velours, l’homme commence alors un va et vient d’abord calculé mais augmentant rapidement la cadence, de plus en plus fort et de plus en plus agressif, la belle est prise sans aucun préliminaire, sans aucune considération. Les mains de l’homme s’activent, il lui malmène furieusement les seins, il lui pince les mamelons, lui tripote les jambes et surtout les fesses, il s’approprie litéralement la douceur de son corps. Le monstre approche son visage de celui de la belle et l’embrasse odieusement, si j’ose me permettre un tel verbe. En fait, il s’acharne ploutôt à introduire sa langue à lintérieur de la jolie bouche de sa victime, s’amusant au passage à lècher ses fines lèvres et son beau visage quand l’envie lui en prend. Quand il prend ainsi son joli visage d’assault, elle ferme les yeux comme si le fait de ne pas le voir enleverait à son épreuve mais elle les rouvre immédiatement quand il s’éloigne, de peur de se faire surprendre par autre chose. À chaque coup de rein qu’il donne, ses testicules vont s’écraser mollement contre la belle chatte prise d’assault. Elle referme les yeux et serre les poings, ses seins rebondissent de plus en plus à mesure que l’effort s’intensifie. Je n’en crois pas mes yeux, je suis complètement estomaqué, incapable de continuer mon travail devant ce que je vois.

Plus les secondes avancent, plus l’homme pousse sur les jambes de sa nouvelle partenaire pour graduellement les lui ramener vers le coussin sur lequel elle repose et éventuellement, les plaquer contre ses épaules couvertes de velours. Elle est pliée en deux, une position de domination complète où elle est totalement à sa merci, me donnant une vue envieuse sur l’ensemble de sa belle vulve malmenée. Ses yeux sont de nouveau grand ouverts et sa bouche est béante, cherchant une bouffée d’air pour essayer de garder le dessus. Au gré de cette brutale pénétration, la femme se met à pousser d’abord de doux soupirs mais ensuite de pénibles lamentations qui m’amènent très près d’une éjaculation sans même me toucher.

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