Le Jouet de ses Étudiants Ch. 02

Informations sur Récit
Suite des aventures de Chris.
2.9k mots
4.08
59.6k
2

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 10/21/2022
Créé 08/04/2008
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Le jouet de ses étudiants Ch. 02

Teacher Is The Pet Ch. 02

Coulybaca / Orexis

Alors qu'elle rougissait extrêmement gênée, sa chatoune secrétait un flot de cyprine qui lui engorgeait la fentine.

Elle aurait souhaité être autorisée à porter une petite culotte, mais sans, elle sentait son jus intime détremper le fond de son short.

Roger se dirigea vers le centre de la petite cuisine et se tourna pour lui faire face, ses trois copains s'alignant dans son dos.

Lorsque Chris se retourna une fois la porte de la cuisine fermée elle at-tendait son bon vouloir, Roger lui intima alors :

- Viens ici ma salope! En pointant du doigt l'espace devant lui.

Chris rougit à nouveau et obtempéra.

Il l'appelait toujours "salope" et elle aimait ce label, et ce que cela sous-entendait, c'était un des liens qui les unissait si fortement.

L'humiliation de se faire traiter de salope en face de ses copains embar-rassait la jeune prof, mais cette humiliation faisait partie de la félicité qui s'en suivrait.

Le rappel de sa soumission signifié par ce label infamant l'obligeait à en-dosser son rôle de soumise, elle lui répondit d'ailleurs de la façon appro-priée :

- Oui maître...

- Je suis content de ta tenue... La félicita-t-il appréciant sa tenue qui mettait en valeur ses charmes de façon obscène.

- Merci maître... Murmura-t-elle ravie de lui complaire.

- Je pensais que vous aimeriez me voir vêtue comme la pute que je suis, prête à servir, plutôt qu'habillée de la classique tenue de prof que je porte chaque jour... Elle lui souriait béatement en terminant son commentaire.

- Se focalisant sur les trois comparses de Roger elle vit la concupis-cence luire dans leurs yeux, et les bosses qui déformaient le de-vant de leurs pantalons.

- Lève les bras! Lui intima-t-il brusquement.

Elle remonta ses bras à hauteur d'épaule comme ordonné.

Sa petite brassière suivit le mouvement dévoilant les globes de ses gros nichons.

Si ses tétons n'avaient pas été aussi turgides, ils n'auraient pas empê-ché sa brassière de remonter plus haut dévoilant la totalité de ses lour-des miches.

Roger avança d'un pas se rapprochant d'elle.

- Je suis content de toi! La félicita-t-il tout en caressant sa joue. Sa main plongea ensuite le long de son cou jusqu'à son décolleté dans la quelle elle se glissa.

Il empoigna alors le haut de sa brassière et déchira la petite pièce de vê-tement la lui arrachant du buste.

- Ohhhhhhhhhh! S'exclama Chris à ce geste inattendu. Son cri ne révélait nulle peur mais seulement le plaisir escompté.

Elle rougit comme une tomate alors que son buste était entièrement dé-voilé à tous.

Ses tétons dardés au centre de ses larges aréoles sombres. Ses lourdes mamelles, dressées à 45 °, pointaient comme des obus.

Son buste se soulevait rythmiquement au rythme de ses émois, bien que momentanément embarrassée de sa semi-nudité elle plongeait lentement mais sûrement dans un océan de plaisir qui ne tarderait pas la submerger sous l'entière dépendance de son jeune maître.

Visiblement Roger pensait qu'elle ne dévoilait pas suffisamment ses charmes.

Il tendit la main sur la série de lacets fermant le mini short. Il tira sur le laçage qu'elle avait crée pour le refermer et le tenir en place.

Comme il n'était plus maintenu par le laçage, le short de Chris tomba sur ses chevilles dévoilant sa foufoune rasée de frais.

Elle exhiba sa chagatte sous leurs yeux ravis lorsqu'elle enjamba son short le repoussant du pied vers la brassière que lui avait déjà ôté Ro-ger.

Sa gêne dura peu bien qu'elle fut nue comme au jour de sa naissance sous les yeux concupiscents de ses élèves.

Sa chatte chauve et ses seins légèrement pendants captaient leur atten-tion, elle se considérait maintenant comme une vraie salope en atten-dant de devenir leur pute dévouée.

Levant les yeux vers Roger, pour la première fois depuis qu'il l'avait en-tièrement dénudée, elle lui demanda humblement :

- Mon maître est-il satisfait?

Sa réponse la remplit de fierté, c'était exactement ce qu'elle attendait.

- Oui ma petite chienne, et maintenant occupe-toi de moi!

Sans aucune hésitation elle se laissa tomber à genoux, et sortit la bite de Roger de son caleçon. Elle le prit avidement en bouche et entreprit une gorge profonde qui ne tarda pas à déployer son sceptre dans toute sa vigueur.

Elle lui caressait habilement les couilles maintenant qu'elle avait pris l'habitude de le recevoir en bouche et en gorge.

Elle allait maintenant devoir démontrer son expertise en suçant ses comparses.

Jamal fut le premier à commenter :

- Regardez-moi cette salope de suceuse de bites... Elle se dé-brouille mieux que toutes les putes que je connais!

Il frottait la grosse bosse déformant le devant de son pantalon tout en parlant, visiblement follement excité par la vue de sa prof de maths tail-lant une pipe à son copain.

Ils se branlaient tous trois machinalement en regardant le spectacle haut en couleur qu'elle leur offrait.

D'un signe Roger invita ses copains à participer à l'hallali.

Jamal s'accroupit aux coté de la jeune prof blonde qui suçait voluptueu-sement son ami, il empoigna son nichon le plus proche.

Todd se posta de l'autre coté et se pencha pour capturer son autre ni-chon entre ses lèvres. Eric se plaça dans son dos.

- Je vais lui bouffer le gazon... Annonça-t-il en s'asseyant entre ses jambes disjointes, et enfouissant son visage dans sa raie du cul cambrée en arrière il entreprit de la lécher du clito au trou du cul se régalant d'une bonne dose de cyprine à chaque coup de langue dans sa chagatte inondée de son jus intime.

Alors que Jamal lui malmenait diaboliquement u nibard, que Todd lui su-çotait tendrement le second et Eric lui bouffant la chatoune avec exper-tise, elle redoubla d'effort en taillant sa pipe à Roger.

Elle allait et venait bruyamment sur sa hampe alors qu'il coulissait sans vergogne dans sa bouche et sa gorge.

Lorsque Jamal lui mordit le téton du sein qu'il malaxait rudement la dou-leur diffusa dans toute sa poitrine alors qu'un orgasme mineur la secouait électrisant sa chatte qui s'avérait une excellente réceptrice. Elle gémit sous les vagues de plaisir qui couraient de ses miches à sa cra-mouille.

Ses efforts de cajoleries sur la bite de Roger furent bientôt récompensés, il gicla en épais geysers lui emplissant la bouche quelques secondes plus tard. Il poussait des beuglements bestiaux en frottant ses couilles contre son menton.

- Oh oui avale tout ma salope! Grogna-t-il ravi.

Lorsqu'il extirpa sa grosse bite de sa bouche frémissante et se recula pour s'asseoir sur une des chaises de la cuisine, Jamal changea de place. Sortant sa bite de son caleçon il se posta face à elle et intervint :

- A mon tour de profiter de ta bouche petite pute... Suce moi!

Sa bite était longue et épaisse : facilement 30 centimètres de long, et de la largeur du poignet d'un homme de taille moyenne. Et encore n'était-elle pas en pleine érection!

Elle regarda son maître assis à quelques centimètres d'elle quêtant son approbation, il hocha la tête en signe d'agrément.

Sans aucune hésitation, Chris prit la grosse bite de Jamal en main et en-treprit de le branler lascivement, puis elle te,ndit la langue et lécha avec minutie son gros bourgeon noir avant d'ouvrir la bouche en grand pour l'emboucher servilement.

Après plusieurs tentatives elle parvint à l'enfourner jusqu'aux burnes dans sa bouche accueillante et Jamal se mit à gémir. Mais il voulait plus que sa bouche.

Se reculant de quelques centimètres il s'assit sur une chaise de cuisine. D'un geste autoritaire il lui fit signe d'approcher, elle rampa docilement jusque lui, elle pensa qu'il voulait se faire sucer assis aussi tendit-elle la main pour empoigner à nouveau sa bite. Mais l'idée de Jamal était toute autre.

Il se pencha sur elle et l'agrippant aux aisselles il la força à se relever, puis il la retourna de façon à ce qu'elle lui montre le dos, il l'attira à lui écarta ses cuisses.

Ses jambes enfourchaient les siennes, ouvrant sa chagatte en grand la livrant entièrement à l'intrusion d'une énorme mentule puis il l'emmancha lentement sur son épais chibre tendu.

Lorsque son gland aussi gros qu'une mandarine entra en contact avec sa chatoune écartant les lèvres soyeuses de sa fentine pour admettre le chibre luisant de son suborneur.

Il commença par presser son épais brugnon à l'entrée de son étroite caverne, Chris se contenta de retenir son souffle alors que son épaisse prune disparaissait dans sa foufoune liquoreuse.

Lorsque Jamal décontracta les muscles de ses bras elle glissa sur sa bite s'empalant sur 25 bons centimètres de son épaisse colonne avant que ses pieds touchent le sol arrêtant sa descente, elle haleta à cette brusque invasion distendant son goulot resserré.

Jamais auparavant la jeune prof n'avait été aussi distendue par une bite. Roger avait une grosse mentule, mais elle apparaissait moyenne en comparaison de celle de ce colosse noir qui l'emmanchait sans vergo-gne.

Lorsque Jamal se redressa claquant sa croupe contre son pubis, il en-gouffra ses 10 derniers centimètres de bite dans sa caverne, cette brutale intrusion chassa l'air de ses poumons, comme si sa grosse bite venait de les comprimer, ou comme si elle venait de prendre un coup de poing dans le plexus solaire.

Chris avait l'impression qu'on lui avait fourré un manche de masse dans la foufoune, ses muqueuses s'adaptaient lentement à leur énorme enva-hisseur, les parois de son utérus gainaient son épais chibre.

Elle était pleine de confusion, distendue à l'extrême comme un sac d'une contenance de 3 kgs bourré de 6 kgs de marchandise, elle était momen-tanément incapable de respirer correctement.

Mais bien vite son plaisir surmonta tous ces petits inconvénients.

Ses pieds reposaient à plat sur le sol, elle avait les genoux à demi fléchi.

Elle tirait avantage de cette posture et se mit à monter et descendre las-civement sur sa colonne de chair tendue. Son corps dirigeait ses actes, son esprit se polarisait sur la douleur de cette bite qui la labourait impi-toyablement.

Si son esprit avait contrôlé ses actes elle aurait attendu patiemment que son corps s'accommode de cet énorme envahisseur qui mettait à mal l'élasticité de sa foufoune.

Mais au lieu de ça, son corps lui induisait de s'empaler à fond sur cet énorme épieu noir qui lui dévastait la foufoune.

Alors qu'elle le chevauchait péniblement, ses petites lèvres semblaient aspirer dans son con comme si elles s'accrochaient à cet invraisembla-ble braquemart.

Lorsqu'il ressortait, elles étaient tirées à l'extérieur attenant qu'il la dé-fonce à nouveau.

Un nouvel orgasme grandit en elle, elle commença à babiller son plaisir.

- Oh mon Dieu fourre-moi! Je ne suis qu'une chienne en chaleur, sers-toi de moi comme d'une pute!

C'était l'intention de Jamal de la baiser à couilles rabattues, mais as parce qu'elle le lui demandait.

Il empoigna sa taille menue pour l'empaler à nouveau sur sa bite, haus-sant encore l'intensité de son rythme de baise.

A cet instant même ses pieds décollèrent du sol alors que Jamal la sou-levait dans ses bras avant de la replanter avec force sur sa bite érigée. Ses couilles se calaient contre son scrotum et sa décharge se faisait imminente.

Son seul désir était de décharger dans la foufoune de son adorable pe-tite prof, avant qu'un quelconque problème vienne l'en empêcher. A cet instant il atteignait le point de non retour.

Eric an avait assez de regarder ce spectacle si excitant sans y participer, il s'approcha de Chris.

Ses yeux étaient fermés aussi n'est ce que lorsqu'il promena sa grosse bite sur ses lèvres entrouvertes qu'elle réalisa qu'il se tenait face à elle flamberge au vent.

Elle ouvrit alors les yeux et la bouche et l'enfourna pour lui tailler une somptueuse pipe.

Il était difficile de sucer correctement Eric alors qu'elle chevauchait Ja-mal. Elle tendit la main et empoigna la bite d'Eric à sa base pour faciliter son oeuvre et lui permettre de lui administrer une merveilleuse fellation.

Elle parvint à planter à nouveau ses pieds sur le sol. Jamal cessa sou-dain de la claquer de bas en haut sur son énorme pieu lorsque Chris manifesta l'intention de prendre les choses en main pour lui faire d'elle-même l'amour.

Elle parvenait maintenant à se concentrer et à oeuvrer plus aisément sur la bite qu'elle suçait.

Eric ne s'en plaignait pas, elle lui taillait une merveilleuse pipe. Sa queue était plus petite que celles qu'elle suçait d'ordinaire, elle mesurait seulement 17 à 18 centimètres, mais elle bien plus large que les bites habituelles des males de type caucasien.

Elle avait sucé peu de byroutes non-circoncises et c'était un plaisir nou-veau de sentir son prépuce suivre les mouvements de ses lèvres.

Comme la bite de Jamal lui labourait vigoureusement la fentine coulis-sant avec aisance dans sa caverne engorgée de cyprine, elle aspirait sa bite au fin fond de son utérus avec zélé et exubérance.

Eric savait qu'il ne tiendrait plus très longtemps et bientôt il extirpa sa bite frémissante de sa bouche et lui aspergea le visage et les nichons de son foutre crémeux, grognant et gémissant tout au long de son éjacula-tion.

Jamal explosa presque immédiatement après lui. Il se vida carrément les couilles se vidèrent dans sa cramouille tandis qu'elle hurlait son plaisir.

- Oh mon Dieu... Quelle salope je fais! Me faire baiser me donne tant de plaisir! Baise-moi... Baiiiiiiiiiiiiiiseeeeeee moooiiiiii...

Jamal extirpa sa bite de sa foufoune frémissante, et immédiatement elle se retourna pour la prendre en bouche et la nettoyer. Elle avait consigne de nettoyer les bites qui sortaient de ses orifices, elle savourait mainte-nant pleinement le goût de la semence de males mélangé à son propre jus qui couvrait sa mentule luisante.

Roger s'était éloigné de quelques pas juste afin que Jamal puisse se faire nettoyer la bite par une langue consciencieuse.

Dans le salon Jack sirotait une bière qu'il venait de prendre dans un pack de 12, il s'assit devant la télé qui marchait, mais il n'y prêtait aucune at-tention.

Attiré par les gémissements de plaisir, il s'approcha du passe-plats qui séparait la cuisine du salon.

Il avait entendu des grognements sourds provenant de la cuisine mais rien de vraiment intelligible.

Mais les derniers gémissements et grognements qu'il avait entendus évoquaient sans aucun doute des activités sexuelles.

Il fit tourner le bar dans une position entrouverte, juste assez pour voir clairement ce qui se passait dans la cuisine.

Roger avait détecté ce mouvement suspect dans la cuisine, il regardait justement le panneau tourner légèrement s'entrouvrant assez pour lui permettre de voir un visage de l'autre coté du bar.

Jack jeta un oeil attentif dans la cuisine et vit tout de suite son adorable petite femme entièrement nue, à genoux, suçant la plus grosse mentule qu'il ait jamais vu.

Elle regardait amoureusement la monstruosité qu'elle avait en main.

Une grosse flaque de foutre s'étalait sur ses nibards et ses cheveux ébouriffés.

Un autre athlétique jeune était assis de l'autre coté de la pièce, sa bite reprenant visiblement de la vigueur, un troisième se tenait à coté du couple comme s'il attendait son tour.

A cette vue salace, la bite de Jack se raidit instantanément dans son ca-leçon.

Tous ces gaillards semblaient particulièrement forts, prudemment Jack décoda de ne pas entrer dans la cuisine, il referma simplement le vantail et retourna à son fauteuil pour s'ouvrir une nouvelle bière.

Dans la cuisine Chris finissait de nettoyer la bite de Jamal et lécher les dernières traces de leurs jus mêlés sur ses lèvres pulpeuses.

En se retournant, elle vit que Todd était prêt elle le prit à son tour en main.

- Viens mon chéri allons nous installer plus confortablement!

Ils quittèrent la cuisine pour gagner le chambres, elle voulait se rendre dans une chambre d'amis, mais décida en dernier ressort que le grand lit de la chambre conjugale serait plus confortable. C'était le lit acheté lors de leur mariage, ce mariage qui n'était plus qu'une farce.

En atteignant le lit qu'elle partageait avec son mollasson de mari, Chris descendit le couvre lit et se lança sur le lit.

Elle fit signe à Todd et il s'installa sur son torse prêt à la pénétrer.

Chris mourrait d'envie d'être possédée à nouveau, tenant la main entre ses cuisses elle empoigna la petite queue de Todd et la guida dans sa cramouille affamée.

Bien que sa bite fut moins grosse et moins grande que celle de ses deux comparses, elle s'avérait plus grosse que celle de son mari.

Il commença à la labourer énergiquement dès qu'elle l'eut introduit en elle.

Elle lança ses jambes de chaque coté du torse de ce jeune gaillard qui la sautait si vigoureusement sur un rythme soutenu.

Sa bite était plus petite que celle de ses deux amis et encore plus de celle de l'énorme bite de Jamal qui avait ravagé sa moule avant de décharger un flot de foutre dans ses profondeurs, celle de Todd coulissait avec aisance dans sa grotte élargie et copieusement lubrifiée de leur jus mêlés.

Todd semblait fort goûter leur accouplement.

Même s'il n'était pas vierge, il n'avait baisé qu'une ou deux filles avant elle. C'est pourquoi il était si impatient de foutre sa petite prof et il projeta rapidement de lourdes giclées de foutre au fin fond de son utérus.

Comme Todd désenfourchait la petite prof devenue une rude salope, Roger, son érection revenue, lui grimpa dessus.

Il la pénétra vivement et sans aucun préliminaires il se mit à utiliser avi-dement son corps.

Chris était au ciel, alors qu'ils se succédaient sur son ventre dans sa chatoune et sa bouche les heures qui suivirent profitant de leur endu-rance juvénile.

Ils avaient jailli dans ses profondeurs à 11 reprises lorsque l'heure se termina.

Et ils n'en avaient pas fini avec elle, ils escomptaient la sauter chacun à son tour jusqu'à épuisement de leurs réserves de foutre, tous appétits satisfait.

14 août 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur : Orexis

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AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Pas de textes originaux, ok. Traduction, ok. Mais quand la traduction est moins excitante que le texte original, pas ok!

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