Le Mauvais Chemin 03

Sinon, toujours empalée, elle tournait le dos à son empaleur, celui ci s'amusait avec ses fesses, avec son cul.

Dans cette posture, elle avait aussi le corps penché en avant.

Ils s'amusaient avec ses gros seins qui pendaient.

Bien entendu, d'autre profitaient aussi de sa bouche.

Cela devait beaucoup plaire, car ces positions d'empalement, d'embrochages avaient durée longtemps , il y avait eu beaucoup de volontaires pour faire pareil.

Puis un homme l'avait faite relever, il l'avait prise debout, les jambes bien écartées, le buste penché en avant.

Il s'était enfoncé dans son vagin, par derrière. Dans cette position, debout, du sperme s'échappait de son ventre comme d'une bonbonne, comme d'une cruche trop pleine et débordante, de grosses coulées entremêlant tout les spermes, puis encore une fois une coulée gélatineuse très épaisse, resta pendante entre ses jambes.

Elle balançait au rythme du mec qui la baisait, puis se détacha, elle vint se coller sur la cuisse de Nathalie.

Le mec avait jouit à son tour, la remplissant une fois de plus. Il s'était retiré, puis il l'avait reprise, histoire de bien montrer aux autres qu'il l'avait possédé à fond.

Certains l'imitèrent, d'autres la baisèrent plus classiquement.

L'un d'entre eux, un grand black l'avait prise debout dans ses bras comme pour un slow. Il ondulait comme s'il y avait de la musique. La seule différence, c'est que son sexe s'enfonçait entièrement dans le ventre de Nathalie.

Il lui massait les fesses en pressant pour mieux s'enfoncer, il commença à lui mettre des petites claques sur les fesses. Puis de plus en plus fort, les autre se joignant à lui pour ce succéder dans cette fessée collective.

Les coups étaient maintenant violents, sans retenue..

Nathalie criait, suppliait, demandait qu'on arrête. Ce qui n'avait fait qu'empirer les choses.

Les hommes, la sentant trop coopérante, avait décidé d'agir en violeur.

Excités par la situation, la facilité, les claques devinrent des coups de poings, d'abord sur les fesses, puis montèrent sur son corps.

Elle se faisait cogner comme dans une bagarre de rue.

Nathalie était, à présent, devenue complètement amorphe, molle et flasque. Elle ne luttait plus. Elle ne se défendait plus. Ou si peu.

Elle avait perdu toutes ses forces dans cette lutte inutile, mais surtout inégale.

La bourgeoise se laissait prendre, elle se laisser violer et surtout remplir.

La belle quinqua avait parfois quelques moments de lucidité où elle réagissait, en essayant encore de lutter, de résister. Mais elle était brisée, complètement cassée.

Les jeunes l'avaient bien compris. Ils ne la maintenaient même plus.

Tous malaxaient, tripotaient, le moindre morceau accessible de son corps.

Par moment elle perdait comme connaissance. Elle était dans un état second, semi comateux. Complètement inconsciente. Elle avait perdue la notion du temps.

Elle avait du perdre un peu connaissance. Elle était revenue à elle, en ayant l'impression qu'on lui faisait de la respiration artificielle ou qu'on la ranimait.

En fait elle avait un mec accroupis, à genoux sur elle qui se branlait entre ses seins.

IL avait saisis ses gros seins laiteux, et tout en les malaxant, il faisait glisser sa queue comme s'il baisait un vagin.

Quand le mec avait jouit, il lui avait balancé une grande quantité de sperme gras et abondant sur son visage.

La position avait du plaire car il avait été remplacé par un autre. Et encore un autre. Puis un autre...

Tous plus excités et sauvages les uns que les autres.

Mais ce n'était pas pour autant que son vagin était oublié. Il se succédaient les uns après les autres, tous, la défonçant avec fureur, en l'inondant abondamment, énormément....

Son vagin était béant. Le trop plein de sperme ressortait à chaque pénétrations brutales.

Le calvaire et le martyre de Nathalie durait depuis plus de deux longues heures.

Pratiquement toute la bande était passée, tous l'avaient défoncée, tous plus sauvagement, violemment les uns que les autres. Surtout tous l'avaient copieusement, énormément remplie de leur semence malfaisante.

Ceux qui étaient passés les premiers, recommence à être très excités, mais surtout à rebander.

Ils voulaient passer une seconde fois. Mais les autres, ne voulaient pas la lâcher.

Igor avait maté le spectacle en tripotant Stéphanie. Cette dernière horrifiée, regardait avec abjection, le terrible sort de sa mère. La jeune femme tremblait de tout son corps, pleurant à chaudes larmes. Ses seins surtout avait retenu l'attention du géant, arrachant des gémissements de douleur à la fille, qui pensait immédiatement subir le même sort que sa maman. A un moment, Igor l'avait même forcé à lui caresse son pieu à travers le pantalon. Le géant caressa les cheveux de Stéphanie, qui poussa un gémissement.

- Regarde bien ce qu'il fait à ta mère, j'ai quelques texto à envoyer, après on va faire connaissance. Ne quitte pas des yeux le spectacle offert par ta génitrice, si je te vois les détourner, je peux te dire que tu va morfler. Le moment où je t'ai pétée le doigt te paraîtra comme le plus doux des rêves. Compris?

- Oui.

- Elle avait parlée d'une toute petite voix. Il la gifla violemment.

- Tu m'appelle maître, si un de mes gars te parle c'est monsieur. Si tu oublie tu morfles. D'accord?

- Oui, maître.

Bien.

- Alors Igor sortit son téléphone portable. Il envoya des SMS en souriant pendant plus d'une demi-heure. Filmant même rapidement le viol de Nathalie, le corps, ainsi que le visage ravagé par les larmes de Stéphanie. Tout ça, sous le bruit des hurlements de Nathalie, des sanglots de Stéphanie. A un moment, il filma de nouveau le viol, mais cette fois beaucoup plus longtemps. Pendant cinq minutes une partie de ce que subissait la mère de famille. Il envoya ensuite la vidéo en message cryptée. Passant par une application bien connu des mafieux et autres voyous. Igor jeta un coup d'œil au plafond. Toutes les caméras fonctionnaient. Le film du viol de ces putes lui rapporterait pas mal de fric. Il caressa la cuisse de Stéphanie en rangeant son portable.

- Suce-moi.

- Pitié maître. Pas encore.

Stéphanie voyait bien le terrible sort que subissait sa mère, mais l'idée d'avoir de nouveau ce sexe dans sa bouche, la dégoûtait trop. C'était au dessus de ses forces. Igor hésita à la frapper. Puis il se ravisa, il avait un autre plan. L'humilier, la faire craquer, il aurait bien le temps pour la violence après.

- Tu ne veux pas?

Elle secoua négativement la tête. Il se leva.

- La première punition pour ton refus, sera de me venger sur ta mère.

- Non, pas elle. Pitié. Vous allez la tuer...

- Trop tard ma belle, regarde le spectacle et dis-toi que tout ça est de ta faute. Ensuite j'irais te faire visiter les lieux.Tu verras, cette vieille usine est très belle, mais surtout très surprenante.

- D'accord maître.

- Par contre je ne suis pas sûr que tu aimes ce que tu verra.

Stéphanie n'eut pas la force, ni le courage de lui répondre. Igor se leva, partant en rigolant vers le groupe de voyous qui violait la mère de la jeune femme.