Le Mauvais Chemin 04

Informations sur Récit
L'enfer, toujours l'enfer pour Nathalie.
5k mots
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47k
1

Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2016
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Ce texte est écrit en collaboration avec Juis Karlos, j'espère qu'il vous plaira.

Attention, ce texte est violent, il décrit avec une certaine réalité, l'enfer du viol et des tournantes subit par certaine femmes, dans notre pays ou ailleurs. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, ne le lisez pas, sinon ce sera à vos risques et périls. Il n'est nul question ici de faire l'apologie du viol. Nous condamnons, mon quo-auteur et moi même le viol, ainsi que toutes violences faites aux femmes. Nous condamnons également la misogynie, ainsi que toutes formes de racismes sur quelques formes que ce soit. Ce récit est purement imaginaire, et, aucunement, n'est une apologie ou glorification à quoique ce soit. Il vise plutôt à avertir les consciences, sur certaines violence atroce qui vise certaine femmes dans notre pays. Il n'accuse personne, ne fais pas preuve de xénophobie. Nous avons tenté de faire ressembler notre récit, à la réalité, tout en incluant des passages purement exagérer, afin de bien montrer qu'il n'est qu'imaginaire. Je le répète, si vous n'aimez pas les histoires violentes, basée sur le viol, ne lisez pas ce qui suit, sinon, bonne lecture. Et n'oubliez toutes formes de violences sexuelles est passible de lourdes peines de prisons, bien que à notre goût, ces peines soit trop légère. N'oubliez pas, non plus, qu'en France, un pays développé, 240 femmes sont violée chaque jours, ce qui est un chiffre abominable. Une seule serait déjà une de trop. De plus les propos xénophobes prônait par les deux héroïnes sont eux aussi condamnable. Il est écœurant, que de nos jours de telles pensées puisse encore exister. Cette fois encore, ces propos dégueulasse ne sont inclus que pour le bien de l'histoire. Nous ne faisons pas l'apologie de quoique ce soit. Nous la condamnons même avec la plus extrême fermeté. Bien entendu, tout ceci est imaginaire, et toute ressemblance avec des personnes ou des événement ayant existé, serait purement fortuite. Bonne lecture.

Igor, le sexe dur, se dirigea vers la meute qui violait sauvagement Nathalie. En marchant il souriait, que Stéphanie l'ai sucée ou pas, ce serait pareil, il serait allé voir la jolie Nathalie. Il fendit la foule des gars qui attendaient leurs tour. Tous savaient que Igor venait prendre possession de son bien. Quand il arriva près de Nathalie, elle était allongée sur le dos. Mais quelques fois il était sympa Igor. Alors il laissa les violeurs terminer.

Pendant que l'un des gars, agenouillé entre les cuisses de la mère de famille, lui défonçait la chatte, un autre se faisait une branlette espagnole entre ses deux énormes seins. La malheureuse devait tenir sa poitrine serrée, un sein contre l'autre, tandis que son bourreau allait-et-venait entre eux, comme si il baisait une chatte. Un autre gars tenait la tête ravagée de Nathalie relevée, il obligeait cette dernière à lécher l'anus sale du mâle entre ses seins. La femme abattue était au bord du vomissement, se battant contre son corps pour ne pas dégueuler. Elle savait que la punition serait terrible. Le mec dans sa chatte se vida en premier. Le second ne tarda pas à suivre, inondant le ventre de la malheureuse de sa jouissance. Ils se relevèrent, laissant la place à Igor. Il regarda sa victime anéantie.

- Sale bourge, mets toi à quatre patte, et vite!

- Pitié!

Un terrible coup de pied dans les cotes la fit hurler. Il fut suivit d'un deuxième, d'un troisième.

- Obéis ou je continue!

Afin d'éviter les coups, Nathalie essaya de se mettre à quatre pattes. Elle s'était retournée avec difficulté. Tout son corps lui faisait atrocement mal, le moindre de ses mouvements lui déclenche une douleur insupportable. Elle est cassée. Elle a l'impression d'avoir été percutée, renversée par un camion ou d'être passée sous un rouleau compresseur.

Mais malgré sa douleur, afin d'éviter des nouveaux coups, la femme avait enfin réussie à se mettre à genoux sur le matelas.

Mais la pauvre était trop épuisée, trop fatiguée, trop affaiblie, elle n'avait pas pu tenir la position.

Elle s'était affalée, effondrée sur le matelas.

Igor savourait le spectacle en souriant. Il avait déclaré bien fort pour qu'elle entende :

- Mais tu a l'air épuisée ma belle!!! C'est pas possible, qu'est ce qu'ils t'ont fait ces sauvages???

Il prenait un réel plaisir à se moquer d'elle.

Puis il s'était adressé aux jeunes en riant, en se moquant

- Mais qu'est ce que vous lui avait fait à cette belle bourgeoise pour que cette chienne soit dans un tel état???? Vous y êtes aller trop fort avec elle les mecs!!!! Il ne fallait pas!!!!

Les moqueries d'Igor avaient déclenché l'hilarité générale ainsi que les moqueries, les commentaires des jeunes qui exultais.

Mais tout cela Igor déjà le savait. Vicieux, il faisait semblant de s'apitoyer sur le sort de Nathalie. Mais il se foutait plutôt de sa gueule.

Le géant s'était de nouveau adressé à l'assistance, au public des gars, il leur avait dit :

- Vu l'état dans lequel vous avez mis Madame, disait il en insistant bien sur MADAME, il va falloir m'aider les mecs.

Et d'un coup il changea de ton et cria

- Allez les mecs tenez moi cette pute!!!!!

Là encore, aussitôt dit, aussitôt fait.

Une multitude de mains se saisirent de Nathalie, ils la relevèrent, ils l'installèrent à quatre pattes sur le matelas

- Écartez lui les jambes, mettez la en appuie sur les avants bras!!! avait ordonné Igor.

Les ordres avaient été immédiatement exécutés, accomplis.

Puis Igor s'était agenouillé devant Nathalie, il lui avait relevé le menton, lui avait dit avec douceur mais ironiquement :

- Je ne sais pas ce qu'ils t'ont fait ma belle mais tu es dans un drôle d'état. Dans un sale état même. Tu sais que j'ai bien fait de ne pas t'enlever ta jupe, tu ne peux pas imaginer le spectacle que tu nous offre, à genoux avec ta petite jupe roulée sur ton ventre, tes chaussures à talons hauts. C'est vraiment un magnifique tableau que tu nous donne. C'est super excitant. Tes gros seins ils sont magnifiques. Dans la position où tu es, ils pendent bien, ils tombent, ils touchent même le matelas.

Le chef de la bande s'était adressé à la foule, en changeant une nouvelle fois de ton.

- Pas vrai les mecs qu'elle est hyper bandante cette chienne à quatre pattes avec ses chaussures et sa jupe???

Les mecs avaient acquiescé, approuvé. Certains avaient même applaudis, fait des commentaires orduriers, grossiers, avilissants.

Puis Igor avait effleuré et touché doucement d'abord les gros nibards qui pendaient.

Malgré les douces caresses de Igor, Nathalie grogna de douleur tellement ses seins avaient été maltraités, brutalisés. Les mecs c'étaient acharnés dessus, lui faisant très mal.

Mais c'était mal connaître Igor car les douces caresses du début étaient vite devenus des attouchements, des tripotages brutaux.

Nathalie hurlait de douleur.

Puis soudainement Igor avait saisis un de ses mamelons, il l'avait tiré comme s'il voulait l'arracher.

Il avait prit le bout du sein, entre le pouce et l'index, il l'avait fait tourner, tordu, en le vrillant plusieurs fois.

Nathalie avait hurlée sous la douleur en s'égosillant, en s'époumonant

Tour cela avait déclenché l'hilarité et les rigolades du public.

Igor avait déclaré

- Vous avez vu ses gros nibards les mecs???? Ils vous plaisent????

Et les moqueries avait reprises de plus belle

Puis de nouveau avec douceur, mais toujours ironiquement, narquoisement, il lui avait déclaré.

- Je ne sais pas comme tu fais pour les exciter comme ça. Je les connais depuis longtemps, je les ai souvent vu baiser des nanas, mais je les aient jamais vu dans cet état.

Franchement je ne sais pas comment tu fais. C'est peut-être parce qu'ils savent que tu est une bonne bourgeoise raciste, que tu a cinquante ans aujourd'hui et qu'ils sont content de te faire plaisir pour ton anniversaire???? Tu en pense quoi chérie????

Ce gars étaient vraiment un pervers, un vicieux, un cruel de la pire espèce, démoniaque même, voila ce qu'elle en pensait dans ce moment de lucidité

Puis il l'avait fermement empoignée par sa chevelure, il l'avait forcé à relever la tête, à le regarder.

Il avait déballé son énorme sexe devant son visage. Il lui avait vanté la marchandise, vicieusement en prenant plaisir à lui faire peur, à la terrorisée.

Perversement il lui avait dit

- Regarde beauté, vingt huit centimètres et huit de diamètre. Rien que pour ton cul. Je parie que tu en a jamais vu d'aussi beau, que surtout tu n'en a jamais goûté d'aussi magnifique.

Prépare toi salope je vais un peu m'amuser avec toi.

Il était passé derrière elle, il avait longuement examiné l'état de son vagin.

Il était béant, démesurément large, géant même Surtout complètement rempli, saturé, débordant, inondé de sperme.

A cause des multiples pénétrations et le fait aussi qu'elle soit à genoux, le trop plein de sperme avait débordé, était ressorti de son vagin béant.

Elle en avait de partout sur les cuisses, sur le ventre, sur ses fesses, le sperme avait inondé sa raie culière.

Vicieusement et prenant plaisir à l'humilier, à l'avilir, il lui avait fait une description très détaillée de ce qu'il voyait :

- Si tu voyais ton vagin ma pauvre, il est littéralement grand ouvert. Il est béant, il est tout déformé, éclaté.

IL va mettre longtemps à se refermer, à redevenir normal. Je vais être obligé de te garder plusieurs jours, car si tu rentre dans cet état, tu va avoir des comptes à rendre à ton mari.

Mais qu'est ce qu'ils t'ont fait ma pauvre????

Il avait pris les jeunes à témoins en leur disant :

- Mais qu'est ce que vous lui avait fait les mecs, vous êtes fous vous n'auriez pas du...

Il avait fait comme s'il réprimandait, grondait les gars. Mais il plaisantait.

Les voyous savaient quant Igor plaisante et quant il ne plaisante pas.

Tout le public rigolait, pouffait en plaisantant.

Puis Igor avait repris sa description pour Nathalie :

- En plus ton vagin de chienne est rempli. Il déborde de sperme. Ça coule de partout.

Décidément ces voyous ne respectent rien. Tu n'aurait pas du te faire remplir sans capote ma chérie. Tu aurais du exiger, imposer des capotes.

Ah ces jeunes!!!! Bien sur pour eux tu es une belle bourgeoise bien proprette, bien soignée, une bonne mère de famille, une épouse sérieuse et fidèle, avec toi ils ne risquent rien. Mais toi avec eux c'est pas pareil. Tu ne les connais pas, tu ne sais pas à qui tu a affaire, si ils sont aussi net que toi.

Il prenait plaisir à l'humilier, à l'avilir, mais surtout à lui faire peur.

Il avait fait, à nouveau, semblant de gronder les violeurs :

- Mais vous êtes des chiens les mecs, des sauvages vous vous rendez compte de comment vous l'avez remplie, cette bonne bourgeoise, cette bonne mère de famille, cette épouse sérieuse et fidèle à son mari????

Vous avez déconné les amis.

Il s'était à nouveau adressé à Nathalie :

- Ouah mais ça pue. Tu empeste ma chérie. Tu pue, tu empoisonne.

Tu ne me crois pas???

Avant que Nathalie ait pu prononcer un seul mot, Igor lui avait brusquement et soudainement rentré sa main dans le vagin.

Nathalie avait hurlée de douleur.

- Ne me dit pas que je te fais mal avec ma petite main lui avait dit Igor.

La petite main de Igor... Le géant avait tout de proportionné, d'équilibré avec sa taille. Ses mains étaient des battoirs .

Puis il avait fouillé le vagin de la femelle hurlante avec sa main, il avait replié ses doigts afin de recueillir et de récolter le plus de sperme possible, il avait refermée, l'avait ressortie brutalement du vagin de Nathalie.

Elle avait hurlée, gueulée, criée de douleur.

IL s'était à nouveau agenouillé devant Nathalie en lui disant :

- Regarde tu me crois pas??

Mais trop humiliée, trop avilie, trop honteuse, Nathalie n'avait pas regardée.

Ce qui avait déclenché la violente colère de son tourmenteur.

- Quant je te dis regarde, tu regardes salope.

Il avait saisi la chevelure de sa proie, lui avait redressé la tête au maximum.

- Regarde que j'ai raison

Il avait badigeonné, barbouillé tout le visage de Nathalie avec sa main remplie de sperme. En prenant bien soin de lui en introduire et de lui en faire couler le maximum dans sa bouche.

L'homme avait rajouté que comme elle n'avait pas regardé la première fois, il allait être obligé de recommencer.

Quatre ou cinq fois Igor était allé récupérer une grande quantité de sperme au plus profond du sexe de Nathalie, la faisant gueuler à chaque introduction, à chaque sorties.

A chaque fois, Igor attrape Nathalie par les cheveux, il lui maintient la tête haute et renversée en arrière, il étalait et il étalait le sperme sur son visage. Il lui rentrait sa main dans la bouche pour y déverser le trop plein de semence.

- Je te fais un masque de beauté, du bon sperme d'arabe Mémé, c'est très bon pour les rides et moins cher que les crèmes de beauté.

Toute la foule des gars était hilare, riant aux éclats.

Les moqueries, les commentaires injurieux, grossiers et avilissant allaient bon train, ne s'arrêtaient pas.

Le monstre était repassé derrière Nathalie. Elle était toujours à quatre patte, devant lui, attendant que le géant vienne la prendre avec son énorme sexe.

Elle s'attendait à subir l'affreuse, la monstrueuse pénétration qu'elle devinait très douloureuse et insupportable.

Mais soudain Igor avait proclamé à son encontre, bien fort pour qu'elle entende :

- Non franchement je ne peux pas te baiser. Ton trou est trop dégueulasse, trop sale. C'est trop dégoûtant, ça pue, c'est une véritable infection. Il déborde encore de sperme. Non malgré toute ma bonne volonté, ma grande envie de te baiser, je ne peux vraiment pas passer dans ton trou pourri.

Pourtant j'ai trop envie de te baiser ma salope, alors je ne vois qu'une seule solution je vais passer par ton autre trou qui lui est propre. Enfin relativement propre, je dirais plutôt qui 'na pas de sperme à l'intérieur.

Je vais t'enculer

Nathalie avait été encore plus tourmentée que lorsqu'elle avait entendue Igor parlé de l'état de son vagin.

En attendant sa dernière phrase elle avait été littéralement horrifiée, terrorisée.

En effet Nathalie avait toujours refusé la sodomie, trouvant cette pratique avilissante, humiliante, sale, contre nature. La bourge pensait que c'était s'accoupler comme des animaux , mais surtout d'une manière extrêmement douloureuse.

Au début de leur mariage, la femelle avait accepté d'essayer, par amour pour son époux. Alors, son mari avait essayé deux ou trois fois de la prendre ainsi, par le cul, mais il avait du y renoncer, vu les pleurs, les contractions, les craintes et les angoisses de sa femme. Mais surtout vu la résistance, la fermeté, la force de ses sphincters.

Toutes ses tentatives avaient été des échecs Pour lui comme pour elle.

Le couple avait définitivement accepté de ne plus renouveler leurs essais, l'homme avait juré de ne plus essayer de sodomiser sa femme.

Peut-être allait il voir ailleurs???? Mais ça, c'est une autre question, une autre histoire.

De plus Nathalie était très classique dans sa pratique du sexe.

Elle n'aimait pas trop pratiquer des fellations, elle refusait systématiquement d'avaler le sperme, refusant même que son mari lui crache seulement dans la bouche.

Ses positions étaient des plus classiques aussi. Elle refusait la levrette qui la rabaissait également au rang d'animal.

Alors on comprends très facilement l'effet qu'avait provoqué chez Nathalie la dernière phrase d'Igor disant qu'il allait "l'enculer ».

En plus avec la taille monstrueuse, démesurée, énorme de son sexe. Mais surtout avec la brutalité, la cruauté, le vice et la perversité de son bourreau.

Nathalie devinait ce qu'elle allait endurer, elle savait qu'elle allait souffrir atrocement et horriblement. Tout du moins, elle se l'imagine, pourtant, la réalité dépassera de beaucoup ce qu'elle pense.

Il joignit deux doigts, puis sans aucune douceur les enfonça entièrement dans le cul encore pratiquement vierge. Nathalie poussa un hurlement terrible, qui fit rire la troupe

Très intelligent, très perspicace Igor avait vite compris la situation.

- Putain c'est vachement serré. Je le crois pas tu es vierge du cul? tu t'es jamais faite enculer? A ton âge?

Igor était repassé devant Nathalie.

Le géant s'agenouilla devant elle, il lui prit le menton dans la main, la forçant à le regarder dans les yeux.

- On t'as déjà enculer ma jolie?

- Pitié, pas ça.

Sans lâcher son menton, il la gifla violemment de son autre main. Un puissant aller-retour qui laissa les joues rouge à la putain.

- Je t'ai posé une question réponds. Sinon je vais vraiment être très méchant.

- Une... Une seule fois. Enfin mon mari a essayé deux ou trois fois mais sans pouvoir y arriver.

- Tu as aimée?

- Non... J'ai... Je ne l'ai pas laissé finir...

- Pourquoi?

- C'était trop douloureux. J'ai eus trop mal. Alors mon mari à stoppé.

- Il était allé loin?

- Non, pas trop, même pas sept ou huit centimètres. Il ne pouvait pas aller plus loin, je me contractais trop, j'avais trop mal.

- Je vois, il n'a pas le choix. C'est toi qui doit porter le pantalon.

- Non! Il m'aime!

Igor la gifla encore une fois. Si fort que la lèvre de la malheureuse éclata.

- C'est la seule raison?

- Non. C'est dégradant, c'est humiliant, c'est répugnant, puis c'est sale.

- Je vois, tu préfère que j'encule ta fille?

- Non, pitié, pas elle.

- Pourquoi?

- Elle est fragile, elle est douce, c'est un ange.

- Je vois. Mais je l'enculerais quand même, plus tard. Je vais me mettre derrière toi, je vais te défoncer le cul. Si tu bouges, si tu ne reste pas à quatre pattes, c'est avec la main que je vais te défoncer l'anus. Compris?

- Oui.

- Il y a autre chose que tu n'aime pas faire? Lui avait il demandé, en la secouant, en la menaçant de la frapper encore.

- Oui j'aime pas trop sucer, j'avale pas le sperme. J'aime pas, non plus, la position de levrette, j'aime pas quand mon mari éjacule dans ma bouche.

Sous la contrainte, sous la menace d'Igor Nathalie avait dévoilé tous ses tabous.

Igor avait déclaré à la foule des gars :

- Vous avez entendu les mecs cette salope ne s'est jamais faite enculer, elle aime pas sucer, pas avaler, pas la levrette en plus!!!! Vous avez bien entendu les mecs!!!!!!

Oui ils avaient entendus, ils étaient déchaînés comme des fanatiques, très excités.

- Les gars, je vais exploser, devant vous, un cul tout neuf, d'une salope de cinquante ans!!!!! Après ce sera votre tour!!!!

Et s'adressant à Nathalie qui entendait ses paroles avec horreur et terreur, il avait rajouté :

- Je vais te faire le plus beau des cadeaux d'anniversaire ma jolie, ma belle. Un cadeau dont tu te souviendra toute ta vie. Je vais te casser, te péter ton cul tout neuf!!!!!!

Igor se redressa, il fit le tour de la femme, s'agenouillant derrière elle. Comme tout à l'heure Il joignit deux doigts, puis sans aucune douceur, les enfonça entièrement dans le cul encore pratiquement vierge.

Une fois encore la bourgeoise poussa un hurlement terrible, qui fit rire la troupe, hypnotisé par Igor et Nathalie.

« Maman ». Igor jeta une œil sur la fille de sa victime. Elle regardait avec horreur ce que ce monstre faisait à sa mère adorée. Igor regarda Moussa.

- Va t'asseoir à coté d'elle, veille bien à ce qu'elle ne manque pas une miette du spectacle.

- D'accord chef.

L'homme avait toujours les doigts enfoncé entre les fesses de la salope. Cette dernière couinait, braillait de douleur.

- Putain, tu es bien serrée toi. Ne pleure pas, c'est juste deux doigts.

Il se mit à tourner les doigts dans le cul de la femelle, lui assouplissant le sphincter. Déclenchant des petits cris de souffrance de la part de la malheureuse. Tout en l'assouplissant, il lui caressa son petit ventre rond.

- Tu sais j'aime bien ton petit ventre, ton gros cul, ça me fait bander. Tu es presque aussi bandante que ta salope de fille. J'adore les femmes mures, même si je préfère les jeunettes!

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