Le pasteur se fait maquereau

BÊTA PUBLIQUE

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Une fois qu'elle eut joui sous ses caresses labiales, Nell resta mollement étendue sur le dos, jambes toujours pendantes alors que son invité se débarrassait de ses vêtements.

Tout en se branlant, disposait Nell à sa convenance, sur le dos, cuisses grandes ouvertes, offrant largement ses appâts, prête à subir ses assauts lubriques

Puis il la rejoignit sur le lit conjugal.

Nell attrapa sa virilité entre ses petites mains la guidant à l'orée de sa féminité béante.

Elle frotta le gland turgescent de bas en haut dans sa fentine exacerbée, apparemment elle voulait stimuler ses appétits tout autant que lubrifier sa grosse pine.

-"Ohhhhhh ..... Votre bite est si épaisse, si longue!..... Ohhhhh oui, allez y ..... Plongez votre grosse bite dans ma chatte!..... Oh oui ... Embrochez moi!...... Ouiiiiiiiiiiiii ... Baisez moi ......... Jutez dans ma moule ........ Vide moi tes grosses couilles dans la foufoune!......."

Rich passa une nuit de vendredi fort divertissante dissimulé dans son cabinet de toilette, il put ainsi assister au final, alors que Nell à quatre pattes subissait un maître enculage de la part de Billy Ray qui lui labourait l'anus de coups de boutoirs d'une rare puissance, jamais Nell n'avait joui ainsi sous ses assauts.

Vers 22 heures, alors que Nell avait reconduit son invité à la porte, Rich saisit l'instant où elle reprenait une douche pour quitter discrètement le cabinet de toilette et partir sans avoir été repéré par sa femme.

Dehors, sur le chemin menant à sa voiture, Rich se demandait quand elle recevrait un nouveau coup de téléphone de Billy Ray ou d'un autre noir voulant jouir des appâts de sa ravissante femme.

-"Bordel cela s'avérait si excitant!......Comment pourrai-je obtenir que Nell s'agenouille entre mes cuisses pour me sucer comme elle a sucé Billy Ray?....." s'interrogeait-il anxieusement.

Enfermé dans son bureau le lendemain, Rich avait bien du mal à se concentrer sur la rédaction de son prêche du dimanche, sans cesse des images de sa femme se faisant baiser par ce puissant noir défilaient sous ses paupières.

C'était vraiment un coup de pot qu'il ait pris le téléphone lors de l'appel de Billy Ray.

Il cherchait un moyen d'espionner Nell, d'enregistrer les coups de fil pour en connaître le contenu et savoir quand il pourrait profiter à nouveau de la vue de sa femme faisant l'amour avec un noir ... Se faisant baiser par une grosse bite noire serait d'ailleurs un vocable plus approprié!...."

Il se souvint alors d'avoir regardé une émission télé montrant comment les détective privés espionnaient leurs proies, il avait alors appris que l'on pouvait acheter des micros à glisser dans les combinés téléphoniques permettant d'enregistrer toutes les communications.

Quelques semaines plus tard, dans son bureau, il écoutait , avec pessimisme les bandes enregistrées dans la journée, et comme chaque jour il fut déçu du résultat.

A chaque coup de téléphone, Nell toute excitée se ruait sur le téléphone espérant visiblement que Billy Ray, ou tout autre noir lui ressemblant prenne rendez-vous pour la sauter.

-"Bordel elle doit en mourir d'envie après deux semaines de frustration!....." pensait Rich se rappelant cette nuit où il n'avait pu se retenir éjaculant une bonne douzaine de jets crémeux à peine quelques secondes après l'avoir pénétrée.

Ayant reçu un appel pressant d'un de ses paroissiens, Rich se rendit chez lui pour l'apaiser et le conseiller au mieux.

Devant traverser banlieue la plus misérable de la ville, Rich observa attentivement les putes qui arpentaient le trottoir cherchant à racoler des clients.

De nombreux hôtels de passe bordait la rue, certains portaient même des noms évocateurs comme : "l'hôtel sans nom ....." chacun affichait le nombre de chambres disponibles et l'avis affirmant que les draps étaient changés après chaque location.

-Sur le chemin du retour il passait devant un magasin appelé "Le monde de l'espionnage", Rich s'arrêta pour voir les produits en vente : minuscules caméras, micros dissimulés, GPS ... Et bien d'autres gadgets destinées à enthousiasmer un espion amateur.

Rich se demandait s'il existait d'autres articles autre que le magnétophone qu'il avait installé chez lui, d'autres produits qui lui permettraient de mieux espionner encore les agissements de sa petite femme chérie.

S'emparant du catalogue il rechercha les articles qu'il pourrait tester.

Une fois les tests terminés, il appela son propre numéro à l'église, il trouva que le synthétiseur de voix fonctionnait bien déformant totalement la voix de la personne qui s'en servait.

Il revint sur ses pas pour observer le minable hôtel qu'il avait remarqué, il visita les chambres et comprit que le "l'hôtel sans nom" correspondait exactement à ce qu'il recherchait pour mettre à exécution le plan qu'il avait en tête.

Se rendant à une cabine téléphonique proche, il utilisa le synthétiseur vocal pour appeler son numéro.

Il savait pertinemment que sa femme disposait de toute sa journée avant que son fils ne rentre de l'école en fin d'après midi.

Comme le numéro de son portable était identifiable, il devait nécessairement passer son appel d'une cabine. Lorsque Nell répondit, Rich se servit du synthétiseur pour déguiser sa voix l'avisant d'entrée :

-"Mama Wanda m'a donné ton numéro de téléphone et ton nom .... Si j'ai bien compris t'es une PPBN, une "Pouffe Pour Bites Noires" ..... N'est ce pas?........."

-"Euh oui .... Oui ...... C'est bien moi!....." balbutia sa femme en guise de réponse, la référence semblait avoir allumé quelque choses dans son cerveau.

-"Voulez-vous me rejoindre immédiatement chambre 7 à l"hôtel sans nom" rue de Bourgogne .... je vous regarderai des toilettes .... Je veux que vous fassiez le trottoir et que vous racoliez des clients!...... Des noirs prêts à payer pour user de vos appâts ....... Dans un lit!...... "

Il précisa ensuite à se femme, qui réagissait comme si elle se trouvait sous sujétion, comment se vêtir et de quoi se nettoyer entre chaque client.

Elle portait un ravissant petit tailleur jaune qu'elle avait acheté à Paques lorsqu'elle se rangea avec nervosité dans le parking de "l'hôtel sans nom".

Le temps de descendre de voiture et de verrouiller sa porte elle se trouva déjà en but aux avances d'un vieux noir qui lui demandait :

-"T'es ici parce que ton mari ne te donne pas assez de plaisir ma chérie?....... Allez chérie je suis sur que Nate pourra satisfaire tes appétits!....... Combien tu prends chérie?....."

Réalisant ce qui se passait sur le parking de l'hôtel, Rich se rendit dans les toilettes laissant la porte de la chambre entrouverte pour le couple qui arrivait.

De sa cachette Rich vit sa femme réclamer 100 $ au vieillard, et les ranger dans son sac, se jetant immédiatement à ses genoux pour dégrafer sa braguette.

-"Bordel on dirait une vraie pro!......" réalisait Rich alors que la tête blonde de Nell bougeait de bas en haut entre les grosses cuisses noires.

-

-

Tout comme il l'avait fait avec Billy Ray, Rich observa sa ravissante femme priant ce type de lui brouter le gazon.

Après une bonne baise, la chatte pleine du jus de Nate alors que sa femme regardait la porte se refermer, dans le cabinet de toilettes Rich éjaculait à grands jets sur la porte.

Son premier client parti , Nell prit une douche pour se nettoyer, puis elle se rhabilla sortit et revint un quart d'heure plus tard avec un autre client.

Celui ci se fit d'abord faire une pipe, puis il la fit mettre toute habillée à quatre pattes sur le plancher, une fois qu'il eut descendu sa petite culotte au bas de ses chevilles, le noir bâtard se mit à couiner en forçant son petit oeillet si étroit.

Puis elle termina comme il lui avait été ordonné en faisant monter un vieux salaud immonde qu'elle suça pour un malheureux billet de 10 $.

Lorsque le vieillard lubrique atteignit le point de non retour, Nell précisa ce qu'elle voulait lui indiquant :

-"Jouis sur mon visage ... Eclabousse moi le visage!....."

Et comme il obtempérait elle lui lécha la hampe de bas en haut, elle frissonna alors que son estomac se révoltait à l'odeur mais elle devait complaire à l'homme enfermé dans le cabinet de toilette.

Le visage souillé, le devant de son tailleur vicié, son dernier client partit après lui avoir donné les 10 $ convenus, Nell fit alors le décompte de ses gains et rangea les billets dans le tiroir de la table de nuit.

Le regard rivé à la porte du cabinet de toilette elle se demandait qui pouvait bien se cacher derrière cette prenant plaisir à la voir se prostituer.

Elle hésita un instant à la porte de la salle de bain, elle voulait prendre une douche, puis se rappelant les consignes de son vil interlocuteur téléphonique elle se rappela qu'elle devait partir le visage couvert de foutre et ne pas se nettoyer tant qu'elle ne serait pas arrivée chez elle.

Une vingtaine de minutes plus tard, une fois rentrée chez elle, le sortilège envolé, Nell avala sa salive avec horreur en reprenant pied dans la réalité en se regardant dans le miroir de la salle de bain.

Son visage était couvet de taches de sperme séché, elle en avait jusque dans la chevelure, et son élégante veste de tailleur n'était plus aussi élégante.

Et cette odeur répugnante qui lui soulevait le cœur, une odeur qui lui avait littéralement imprégné le visage lorsque le vieillard lubrique avait juté tout son foutre sur son visage avant de frotter son ignoble mentule sur ses joues.

Prenant 50 % des gains de Nell il laissa le reste comme pourboire au gérant de l'hôtel, se ménageant ainsi sa complicité active à l'avenir, Il compta alors qu'il lui restait 120 $, il se sentait un peu coupable d'avoir tiré profit de la prostitution de son adorable femme.

Il aurait été normal qu'elle bénéficie de la totalité de ses gains, mais Rich se demandait déjà comment lui faire don de gains de la même valeur.

Il pensa alors à un asile de vieillards proche qu'il avait visité et un brillante idée lui vint :

- Il utiliserait le synthétiseur vocal pour convoquer à nouveau Nell à "l'Hôtel sans nom" elle viendrait en aide à se pauvres hères en les cajolant à concurrence de 120 $ l'après-midi ...... A 10 dollars le client elle devrait cajoler une douzaine de ces immondes épaves pour réunir ses 120 $, il la laisserait bénéficier de la totalité de ses gains cette fois ...... C'était là toute la ruse.

Rich sourit à pleines dents à l'idée de la mater suçant et se faisant baiser par ces vieux bâtards noirs, l'un après l'autre, ce qui allait faire son régal.

Ensuite il lui resterait à offrir son corps au gérant pour le remercier de sa complicité.

Et encore n'était ce là qu'un début, il comptait bien encore profiter de ses charmes longtemps, son train de vie pourrait vite en être amélioré alors qu'il satisferait pleinement ses instincts de voyeur, il pourrait la faire baiser par deux, trois cinq hommes qui la partouzeraient simultanément, ..... Et pourquoi pas, il pourrait même organiser des gangs-bangs, ce n'est pas les clients qui manqueraient pour goûter aux appâts de sa charmante épouse, qu'elle soit ensorcelée ou pas.

FIN DE L'HISTOIRE.

22 mai 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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