Le pasteur victime d'un chantage

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Assise sur les bancs de l'église ce dimanche matin, Nell se tortillait lorsque son époux débuta son sermon portant sur les vœux de mariage et la fidélité entre époux.

Obligée de complaire au vieux salaud qui la faisait impitoyablement chanter, elle avait du le satisfaire la nuit dernière avec la bouche tout d'abord, puis avec sa chatte.

Tout s'était effacé de sa mémoire à part le fait qu'elle doive se rendre à son bureau à l'issue de la messe de son mari.

- Mais pourquoi? .....

- Pourquoi donc? ....

- "Il m'a dit quelque chose... Alors qu'on baisait, mais quoi? ..... Pourquoi est ce que je me sens obligée d'aller à son bureau..... Pourquoi ai-je une profonde envie de baiser. »?

Le service terminé, son fils partit jouer avec des amis pour l'après-midi, elle dit au revoir à son mari qui venait de la prévenir qu'il avait une réunion avec un groupe de sauveteurs volontaires à l'hôpital et qu'il ne rentrerait qu'en toute fin d'après-midi.

Ayant pris sa voiture, elle jeta un oeil sur la carte de visite de monsieur Mollway, elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle devait se rendre à son bureau! ....

- Pourquoi vais-je le voir? .....

- Pourquoi à son bureau? ....

- Pourquoi est ce que je me sens obligée d'y aller? .... se demandait-elle en son fort intérieur, abasourdie de se sentir obligée d'obéir à une volonté extérieure.

Elle ne pouvait pas savoir que c'était le fruit des suggestions qu'avaient implanté Mama Wanda dans son esprit lorsqu'elle l'avait plongée dans une puissante sidération hypnotique.

Une emprise qui se déclenchait lorsqu'elle entendait le sigle PPBN la soumettant alors à un urgent et profond désir de se faire baiser par de nombreuses grosse bites noires sous la conduite de son mentor disposant des mots clefs.

Cette fois, ce saligaud de Mollway l'avait programmée pour ressentir ces envies charnelles d'être possédée par des noirs et cet impérieux besoin de se rendre à son bureau dès le début su sermon de son mari.

Ce vieux bâtard l'attendait tout sourire à la porte de son bureau, ils traversèrent la salle d'attente menant à son bureau, meublé comme la salle de soins d'un psychiatre, un confortable canapé de psychanalyste jouxtant le bureau.

- "Aurait-il l'intention de me baiser ici? ...." s'interrogea-t-elle fugitivement.

Mais une main sur son coude il l'entraînait vers une porte au fond du bureau, avant même qu'il n'ouvre cette porte, Nell frémit alors que le vieux pervers lui prenait la taille murmurant à son oreille :

- "T'es une PPBN..... une Pouffe Pour Bites Noires... Une salope faite pour donner du plaisir aux noirs! .... Entre dans cette pièce, trois vrais étalons t'y attendent! ...."

La porte s'ouvrait sur très grande meublée d'un lit géant en son centre.

Trois noirs au début de la quarantaine étaient assis, ils faisaient tous partie de cette organisation la seule qui leur procura régulièrement des nouvelles jeunes femmes blanches et huppées à partouzer, aujourd'hui c'est la femme d'un pasteur blanc dont ils allaient savourer les appâts, une telle occasion s'avérait assez rare en fait.

L'écran de l'ordinateur dans un coin de la pièce affichait une image plein écran du pasteur et de sa femme extraite du site de la congrégation.

Ils affichaient de larges sourires à l'entrée de la jeune femme endimanchée, elle portait des hauts talons et une robe verte claire.

- "Messieurs, en remerciement de votre dernier dont à la PPBN, l'organisation, Mama Wanda m'a prié de vous présenter cette exquise jeune beauté... Je vous présente donc madame Nell Knowlton qui sort de la messe du dimanche célébrée par son mari, le pasteur Rich Knowlton que pouvait soir sur l'écran de l'ordinateur....Pour commencer vous deviez discuter d'une décision commune..... Préférez vous finalement que cette ravissante jeune femme enlève ses habits du Dimanche avant de s'agenouiller pour vous faire une pipe, où qu'elle vous suce revêtue de ces vêtements du dimanche qu'elle arborait lors de la messe de son mari! ... "les interrogea Mollway railleusement.

- "Dans ses habits du dimanche mon gars! ..." s'esclaffa l'un des trois.

- "Bordel attend ton tour mec! ..." rétorque le donateur opposé.

- "Allez chérie, viens te poster devant moi, je passe en premier... Tu peux branler mes potes pendant que tu me suces! ....." lui annonça le géant assis au milieu.

Et comme elle les regardait avec crainte, les trois bâtards lubriques se déshabillèrent exposant des musculatures impressionnantes.

Pendant ce temps le pasteur Knowlton était tombé dans un véritable traquenard, nombres de membres de la congrégation le retenaient pour lui évoquer leurs tracas, puis il s'était précipité retrouver l'adorable madame Julie MOrris avant qu'elle ne quitte l'église en compagnie de son mari.

- "Un ami, conseiller matrimonial de profession a choisi notre église et quelques autres pour étudier les mariages les plus solides et en tirer des facteurs favorables, susceptibles d'aider des jeunes couples en détresse... Sa première démarche est de consulter différentes épouses de ces églises, puis, par la suite leurs maris, pour obtenir une bonne couverture portant sur un large éventail de participants....."

Ayant reçu la promesse qu'une telle rencontre ne lui prendrait qu'une heure et au plus deux heures, la somptueuse madame Julie Morris ne put rejeter l'honneur que lui faisait leur très respectable pasteur en la sollicitant pour aider leur congrégation.

Comme monsieur Morris se joignait à ses employés et amis tous les vendredis de 16 h 30 à 18 h 30, elle retint cette date pour ce rendez-vous.

Il lui tendit alors la carte professionnelle de Mollway lui indiquant que le rendez-vous aurait lieu dans ses bureaux.

L'heureux couple était loin d'imaginer que ce faisant le très respecté pasteur Knowlton mettait leur mariage en un péril extrême.

Arrivé dans le parking central, Rich remarqua tout de suite la voiture de sa femme garée à quelques encablures du bureau de Mollway, il pensa qu'il valait parquer sa voiture plus loin dans un endroit discret.

Il appela alors Mollway pour l'informer en balbutiant qu'il avait fait ce qui lui était demandé : Julie Morris viendrait le voir vendredi à 16 h 30.

- "C'est bien mon gars! .... Je parie que tu es garé dans le parking en bas de chez moi! ..... Et que tu voudrais que je débloque la porte d'entrée pour que tu viennes mater ton adorable femme se faire sauter par des étalons noirs! ...." ironisait le vieux saligaud.

- "Euh... Oui... Oui c'est bien ça... " dut-il admettre misérablement.

Se ruant hors de sa voiture il se précipita sur la porte d'entrée, le buzzer résonna la débloquant, il se dirigea alors vers l'ascenseur.

En entrant dans le bureau de Mollway, Rich dut tout d'abord endurer ses rires et ses sarcasmes avant qu'il ne l'emmène derrière un miroir sans tain qui permettait de voir tout ce qui se passait dans la pièce adjacente.

Les lumières étaient orientées de telle façon que le lit soit bien visible du bureau. Riche retint sa salive à la vue de sa ravissante épouse à genoux toujours vêtue de sa robe pastel et des hauts talons blancs qu'elle portait pour assister la messe qu'il venait de célébrer.

A l'église sa femme s'était agenouillée pour prier, mais ici elle était à genoux devant 3 malabars noirs en branlant deux de ses petites mains gantées alors qu'un troisième la baisait en bouche.

Quel choc que de voir les deux hommes de coté les mains posées sur ses hanches tandis que l'homme du milieu avait les deux mains posées sur sa nuque alors qu'elle lui faisait une gorge profonde.

Et comme Nell était là depuis une bonne vingtaine de minutes, Rich imaginait le plaisir que les trois potes avaient du en retirer.

Il n'y avait rien d'étonnant à ce qu'ils serrent les dents pour prolonger leur plaisir.

C'est alors qu'avec un ensemble de grognements quasi chorégraphique ils projetèrent tous trois d'épais jets de foutre crémeux, les deux de coté avaient empoigné leurs bites à pleines mains guidant leurs lances de façon à souiller le devant de la robe de Nell, le troisième avait rejeté sa tête en arrière en tirant brusquement sur sa longue chevelure blonde, il put ainsi l'humilier en crachant son venin sur son charmant visage.

Quelques instants plus tard, le vieux Mollway, qui entait entré dans la pièce, tendait à Nell une vieille serviette humide pour qu'elle puisse nettoyer son visage et le devant de sa robe.

Se dirigeant vers le miroir que Mollway lui avait désigné du doigt elle pouvait entendre les rires des quatre hommes exploser après une brève discussion.

Ses gants souillés de sperme enlevés, Nell vit son visage et le haut de sa robe empesés de foutre, il était évident qu'ils prenaient grand plaisir à l'observer tentant de se nettoyer.

Jamais elle n'aurait suspecté sue Mollway venait d'informer les trois comparses de l'arrivée de son mari qui se tenait de l'autre coté du miroir sans tain.

De l'autre coté du miroir, Rich avait une vue parfaite du visage de sa femme et du haut de sa robe recouverts d'une épaisse crème blanchâtre.

Lorsqu'elle eut utilisé la serviette pour nettoyer son visage, Rich se rendit compte que le torchon saturé de foutre ne pouvait plus qu'étaler la grasse semence sur le haut de sa belle robe du dimanche.

En arrière plan Rich voyait Mollway désigner le miroir, les trois hommes explosaient de rire tandis que Nell tentait toujours de réparer les dégâts.

Il savait qu'ils ne se moquaient pas de sa femme mais bel et bien de lui le voyeur mollasson qui se tenait derrière le miroir.

Et maintenant, alors que sa femme s'était postée à quelques centimètres du miroir Rich voyait les trois clients de sa femme de sa femme impatients d'assister au strip-tease de la ravissante femme d'un pasteur.

Il était si excité qu'il prit sa bite en main à la vue de sa femme dégrafant le haut de sa robe sous ses yeux.

Un peu plus tard, sa robe gisait au sol sur ses hauts talons blancs alors qu'elle tendait le bras dans son dos pour dégrafer l'attache de son soutien-gorge alors que les trois hommes braillaient leur impatience.

- "Allez chérie..... La petite culotte... Enlève ta petite culotte! ..." mugissait un des spectateurs.

Le contraste était étonnant de sa chair blanche avec la peau ébène de ces trois malabars qui s'étaient prestement dévêtus.

Le plus grand s'était couché sur le dos au centre du lit la bite dressée comme un piquet de tente, ils intimèrent alors à Nell :

- "Grimpe sur le lit, enfourche le et empale-toi sur sa grosse mentule! ...."

Elle semblait impatiente d'obéir, elle se pressa de s'approcher du lit elle escalada le malabar et empoigna sa grosse colonne d'une main se disposant par rapport à cet axe imposant.

- "Ohhhhhhhhhh, ahhhhhhhhhhhhhhhhhh... » l'entendait-on gémir alors qu'elle tentait d'adapter sa petite chatte embrasée aux mensurations de l'énorme pénis qu'elle absorbait lentement dans la foufoune.

Puis le second se posta dans son dos, se laissa tomber à genoux et pointa son gland tout contre son oeillet palpitant.

- "Aieeeeeeeeeeeeeee! ...." son jappement de douleur accompagna l'intrusion de la grosse bite dans son anus meurtri.

Enfin le dernier se posta sur le lit jambes écartées, attirant la tête de Nell sur sa queue frémissante d'impatience, elle l'emboucha servilement.

Ce manège aurait pu être le dernier lorsque les trois hommes jouirent simultanément lui remplissant ses trois orifices de foutre chaud au même instant.

Bien plus tard, la séance terminée, alors que sa femme se rhabillait, Rich reprit le chemin de son domicile.

Il avait la tête farcie d'images des trois hommes satisfaisant leurs appétits lubriques dans chacun de ses orifices, et ce sans compter la première séquence alors qu'elle était entièrement vêtue et qu'ils avaient giclé sur son visage et sa robe.

Il approchait de sa maison lorsque son portable sonna, Rich vit tout de suite que c'était sa femme qui l'appelait, il écouta son message et lui répondit affirmativement.

- "C'est d'accord ma chérie, je cours droit chez l'épicier pour faire tes courses! ...."

Il savait pertinemment que la véritable raison de cet appel

était de l'éloigner de leur domicile le temps qu'elle rentre vêtue de sa robe souillée de sperme.

Il fit un détour par l'église, il avait besoin de s'y attarder quelques instants pour méditer sur le dilemme qui l'accablait.

Tout avait commencé lors de ces maudites vacances, sa lubricité et son voyeurisme avaient été enregistré sur cassettes et maintenant il devait se plier aux ordres d'un maître-chanteur ou voir ses turpitudes étalées sous les yeux du public.

Le prix à acquitter pour s'épargner ce scandale, était énorme il devait sacrifier des membres de sa congrégation pour se sauver lui-même.

Déjà il s'était résigné à sacrifier sa propre femme et à mettre en place le piège qui précipiterait l'adorable madame Julie Morris dans les griffes de l'ignoble ex-pasteur.

Il ferma les yeux secouant la tête dans son désespoir, Rich ne parvenait pas à comprendre comment les choses avaient pu s'emballer à une telle vitesse.

Non seulement il avait du sacrifier sa malheureuse épouse, mais il avait du complaire à son maître-chanteur au regard de Julie Morris, et déjà le chantage s'accentuait.

Plus tôt dans l'après-midi il avait assisté de première main au développement du plan de Mollway lorsque le téléphone sonna, alors que les partenaires qui partouzaient Nell, changeaient pour la seconde fois de place.

Mollway lui dit que c'était la ligne des donateurs qui sonnait, il lui avait fait signe de le suivre jusqu'à son ordinateur, il avait ainsi observé le vieux bâtard qui cliquait sur l'album photos de la congrégation.

Comme Mollway avait branché les haut-parleurs, Rich entendait le donateur potentiel nommé Jules Simpson et le vieux bâtard discuter de la hauteur de son don, ou plutôt de sa contribution.

C'était une pure escroquerie, il ne s'agissait pas de donation mais bel et bien de la négociation du prix d'un service.

Ce salopard, sous le nom de sociétaire de la fraternité, vendait des membres de la congrégation pour satisfaire les appétits lubriques de clients qui achetaient des plaisirs frelatés, réalisa rapidement Rich affolé.

Et c'était évident au travers de ce coup de fil, le client à l'autre bout du fil avait visionné la galerie de portraits de cette nouvelle section concernant les donations mise en place la veille au soir, et avait sélectionné une future jeune mariée de 25 ans : l'éblouissante mademoiselle Kristin Corbett.

Ils avaient transigé pour une somme de 30.000 $ que monsieur Simpson devrait acquitter pour goûter aux charmes de la future épousée, il voulait la déguster avant les épousailles.

Rich était chargé de la piéger, il devait la convaincre de suivre les cours de la classe préparation au mariage qu'il mettait en place avec un dévoué conseiller marital de ses amis.

Mais Rich s'était tout de même assuré d'une concession dans ce marché, Mollway lui avait promis qu'il pourrait assister à la déchéance de cette jeune beauté.

8 août 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de Black Demon

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