Le Propriétaire Pervers

Informations sur Récit
Mon propriétaire profite de mon problème de jeu.
2.1k mots
3.69
109.2k
8

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 02/10/2016
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
jdrd
jdrd
36 Admirateurs

J'ai un problème, je suis joueur. Longtemps ce n'est resté qu'un loisir, mais depuis quelques temps, j'ai intensifié mes mises...J'ai gagné quelques fois, mais j'ai perdu un peu plus souvent. Je me disais que j'allais me refaire, mais malheureusement j'ai eu une mauvaise passe et je me suis retrouvé dans le rouge. Ma femme ne le sais pas, pas encore en tous cas. Parce que ça fait 5 mois que je n'ai pas payé le loyer et que je ne suis pas sûr de pouvoir le payer pour le mois qui vient. Mais tout d'abord, je me présente.

Je m'appelle Michel, ma femme Verena. Nous avons une quarantaine d'année et nous vivons dans un petit village d'Alsace. Nous louons là un corps de ferme à un paysan du coin.

Verena est une belle blonde aux yeux bleus, portant très bien un 95C et avec un joli postérieur qui fait mon bonheur. Sa poitrine est très sensible et ses tétons pointent très rapidement. Elle est très timide et réservée, voire prude...J'aimerais qu'elle puisse se lâcher un peu plus, notamment au niveau sexuel. Quand elle a un peu bu, elle devient plus extravertie, et je dois avouer que j'aime ça. J'aimerais pouvoir la partager avec d'autres hommes, mais je n'ose même pas l'évoquer tellement ça lui paraitrait hors de propos.

Elle n'est pas au courant de mon addiction au jeu, et surtout de l'état des dettes que j'ai. En effet elle se charge de payer les courses et moi tout ce qui touche à la maison. Pour elle tout va bien. Mais moi je reçois des coups de téléphones de plus en plus insistants de la part de mon propriétaire. Pour cet homme de la terre, un sous est un sous, et il accepte de moins en moins mes excuses. Célibataire, il approche de l'âge de la retraite. Petit, râblé avec un gros bide, une grosse tête et un nez en patate. Il ne brille pas par sa gentillesse et j'essaie d'avoir le moins de relation possible avec lui. Cependant il m'a annoncé que ce soir il allait passer à la maison pour récupérer ses loyers, et qu'il valait mieux que j'ai l'argent. Mais cet argent, je ne l'ai pas...Même pas de quoi lui donner un mois. Je ne sais pas ce que je vais pouvoir lui dire...Mais ce qui m'ennuie surtout c'est que ma femme soit au courant de mes problèmes de jeu.

J'étais donc assez angoissé quand le moment de rentrer à la maison fût venu. En arrivant à la maison, je vis la vieille 4L de notre propriétaire garée dans la cour de notre maison. En entrant, je le vis assis à la table de la cuisine, ma femme lui servait un verre de schnaps. En me voyant arriver elle me demanda si j'en voulais un. Je me dis que ça me donnerait du courage pour la suite. Elle me servit et pour nous accompagner s'en servit un aussi. En cette fin d'été, elle portait une robe légère, boutonnée sur l'avant. Elle n'avait pas jugé utile de mettre un soutien-gorge, laissant sa belle poitrine se balader librement. Ses chaussures d'été à semelle compensée galbaient ses jambes et la cambraient légèrement. Elle était sublime. Je vis tout de suite le regard lubrique que lui jetait notre propriétaire, et j'en étais gêné.

- Monsieur Marcel est venu nous rendre visite, me dit mon épouse, il a dit que tu savais pourquoi.

- Heu...oui en effet

- Alors Michel, elle n'est pas au courant?

En me posant cette question, il savait qu'il me mettait en difficulté...

- Au courant de quoi?

- Je vais t'expliquer...

- Oui vas-y Michel, explique lui...

Il ne m'avait jamais tutoyé auparavant...Il se sentait en position de force, et de fait, il l'était...

- Et bien voilà, j'ai un peu joué sur Internet et j'ai un peu perdu d'argent, du coup j'ai un peu de retard pour les loyers...

- Tu appelles ça un peu de retard? Tu me dois plus de 5 mois de loyer!

- 5 mois?

Ma femme tombait des nues! Elle me regardait d'un air incrédule...

- Oui 5 mois, plus les charges et le mois en cours...J'espère pour toi que tu as apporté de quoi payer aujourd'hui, sinon demain je reviens avec un huissier pour vous saisir et vous expulser!

- Mais je n'ai pas l'argent!

- Demande à ta femme de payer alors!

Mon épouse continuait à ne pas y croire, nous regardant l'un après l'autre...Je savais qu'elle n'avait pas le moindre sous de côté...Il n'y avait pas d'échappatoire.

- Ma femme n'a pas d'argent, et de toute façon c'est à moi de payer!

- Vous êtes mariés, et vous habitez tous les deux dans MA maison. Donc je me fous d'où vient l'argent, mais il faut payer!

- Mais on n'a pas l'argent! Il faut nous laisser un peu de temps pour le trouver.

- Tu avais le temps pour le trouver avant...Maintenant il faut payer! Sinon, je vous fais expulser...

- Mais puisqu'on vous dit qu'on n'a pas l'argent, cria ma femme qui comprenait enfin le côté inextricable de la situation, on ne peut pas vous payer tout de suite!

- Il y a peut-être un moyen d'obtenir un délai, dit-il avec un sourire mauvais...

- Lequel?

- Madame est bien appétissante, si elle se montrait conciliante, je pourrais patienter un peu...

- Mais vous êtes fou!

Je ne pouvais pas imaginer qu'il demandait une chose pareille. En jetant un regard à ma femme, je m'aperçu qu'elle était aussi choquée que moi, ses joues devenant rouge.

- Alors tant pis pour vous, demain je reviens avec les huissiers!

- Mais il n'y a pas d'autre moyen?

- Sauf si vous avez l'argent aujourd'hui, non!

- ...

- Qu'est-ce que vous voudriez pour nous accorder un délai?

Je n'arrivais pas à croire que c'était mon épouse qui avait prononcé cette phrase-là! Mais pourtant si. Elle baissait les yeux et était rouge de honte, mais c'est bien elle qui venait de poser cette question.

- Pour une semaine de délai, à peine 30 minutes de ton temps...C'est pas cher payé non?

- ...

- Bon décidez-vous, je n'ai pas toute la journée. C'est oui ou c'est non mais c'est tout de suite!

- C'est d'accord, répliqua ma femme en baissant les yeux.

- Mais non, ce n'est pas possible! je ne voulais absolument pas de cet accord!

- Ecoute Michel, si on est dans cette situation, c'est de ta faute, alors ferme la, c'est déjà assez difficile comme ça!

- Oui Michel, ferme ta gueule et laisse nous faire! Bon ma petite, tu vas commencer par boire deux verres coups su coups pour te donner du cœur au ventre!

Ma femme ne se fit pas prier bu cul sec deux verres de schnaps à ras bord...

- Bon maintenant que tu es détendue, tu vas défaire 3 boutons de ta robe et danser devant moi.

3 boutons, ça ouvrait sa robe jusqu'au nombril! Les mains tremblantes, la tête toujours baissée, Verena défit un premier bouton, puis un second et enfin le troisième. En faisant ça elle se déhanchait lentement. Ses seins ballotaient, libres et maintenant à l'air nu. Le paysan la regardait avec un sourire pervers aux lèvres. Il promenait sa main sur son sexe à travers son pantalon.

- Allez maintenant tu déboutonnes tous les boutons et tu poses ta culotte...J'aime bien voir se dessaper les putes dans ton genre. Tu as des nibards de salope, avec tes gros tétons...

Sans même relever la grossièreté des propos, ma tendre épouse continua à suivre ses instructions défaisant l'ensemble des boutons en continuant à se déhancher comme une vulgaire stripteaseuse. Quand le dernier fût enlevé, elle saisit sa culotte par les côtés et la fit descendre doucement le long de ses jambes.

Je n'en croyais pas mes yeux...Ma femme était en train de se déshabiller devant un gros porc, à cause de mes propres bêtises. Et malgré moi, malgré le sordide de la situation, j'avais l'impression que ça m'excitait! Le gros porc, justement, avait défait son pantalon et sortit son sexe. J'étais stupéfait en voyant la taille de son braquemart. Assez long, il était surtout démesurément large, sa grosse paluche n'arrivant pas à en faire le tour, avec un gland énorme et violacé. Ses testicules, de la taille de celles d'un taureau, pendaient lourdement. Des trainées blanchâtres maculaient le gland, laissant douter de son hygiène corporelle.

- C'est bien ma belle salope. J'adore voir ta superbe chatte épilée! De belles grosses lèvres de trainée que tu as là! Maintenant tu vas te mettre à genoux devant moi et me sucer...comme une bonne petite pute que tu es.

Ebahi, je vis ma femme, si prude, s'avancer, docile et soumise, et s'agenouiller devant notre maître chanteur...

Doucement elle attrapa le sexe déjà bandé avec sa main, puis approcha sa bouche du gland turgescent et odorant. Avec une grimace de dégout, elle sortit sa langue et commença à appliquer de petites léchouilles. Le paysan était aux anges.

- Je savais que tu serais une bonne suceuse...Avec ta gueule de ne pas y toucher, je suis sûr que tu adore la bite

La langue de ma femme commençait à s'enrouler autour du membre, avant que sa bouche ne l'avale complètement. L'homme attrapa ses cheveux et lui enfonça son sexe au plus profond de la gorge, provoquant un hoquet.

- Tiens salope, je suis sûr que tu n'en as jamais eu d'aussi grosse dans la bouche. Tu aimes sucer ça se voit...Aller lèche moi les couilles!

Soumise, Verena promena sa langue sur les testicules velus. Penchée comme elle était, ses seins ballotaient et pendaient lourdement. Le paysan les attrapa et les pelota violemment. Il agrippa les tétons entre ses doigts et les tordis, provoquant un petit cri de douleur.

- Allez lève-toi et accoude toi sur la table. Tu m'as trop excité, il faut que je te baise. Soulève ta robe.

Comme un pantin, ma femme souleva sa robe et positionna ses coudes sur la table, offrant sa croupe au regard vicieux du vieux. Il se positionna derrière elle et commença à frotter sa verge contre l'intimité de Verena. Il me semblait que le sexe de celle-ci brillait comme si elle était en proie à de l'excitation.

D'un coup, il appuya de tout son poids et la pénétra jusqu'à la garde. Verena poussa un cri de surprise, mais apparemment pas de douleur. Pour la première fois, je voyais ma femme prendre en elle un autre sexe que le mien. Et quel sexe! Je voyais les lèvres intimes de mon épouse distendues par la taille du mandrin. Les grosses couilles tapaient contre son clitoris. Il commença à la besogner de plus en plus fort, en continuant à l'insulter en permanence. Verena, à chaque coup de butoir, poussait un petit cri, de plus en plus fort. Je connaissais ces cris...Ils étaient annonciateurs de sa jouissance...Je n'en croyais pas mes yeux et mes oreilles...Verena allait jouir malgré elle sous la bite de ce salop! Il s'en rendait compte d'ailleurs

- Ah, je savais que ma grosse bite te ferait couiner. Tu es vraiment une belle salope qui aime se faire baiser à longueur de journée...Tu vas voir, je vais te faire crier de plaisir. Tu pourras plus te passer de mon chibre après ça!

Il accéléra encore la cadence, et ma femme, cachant sa tête dans ses bras, partagée entre honte et plaisir, se mis à crier sa jouissance. Elle tressautait encore de jouissance quand il sortit son membre luisant de cyprine, l'attrapa par les cheveux et la remis à genoux devant lui.

- Ouvre la bouche salope, que tu goutes à mon foutre!

Toujours docile, et encore sous l'emprise de l'orgasme qui l'avait terrassé, Verena s'exécuta et ouvrit la bouche en tirant la langue. Le paysan se masturba frénétiquement au-dessus d'elle et dans un grand râle lâcha sa semence dans sa bouche et sur son visage. Je n'aurais pas cru possible qu'une telle quantité de sperme était possible. Il avait rempli sa bouche, mais aussi recouvert son joli visage et une partie de sa chevelure. Des trainées coulaient sur sa poitrine, et il y en avait même sur le sol...

- Allez, avale tout ma petite pute! Voilà, c'est bien, une bonne bouffeuse de foutre. Bon...vous venez de gagner une semaine de délai. Je reviens la semaine prochaine, et il vaudrait mieux pour vous que vous ayez le pognon!

Ayant prononcé ces paroles menaçantes, il renfourna son sexe dans son pantalon et nous laissa là, abasourdies par la scène surréaliste que nous venions de vivre. Verena se leva, pris une serviette pour s'essuyer le visage et me regardant en larme me demanda pardon. Pardon d'avoir joui malgré elle avec un homme hideux qui la débecte. Je la pris dans mes bras et lui dit que c'était moi qui m'excusait de l'avoir mis dans cette situation (qui malgré moi m'avait aussi excitée)...Le soir, nous avons fait l'amour, tendrement, intensément.

jdrd
jdrd
36 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Excitant waouhhh je mouille !

AnonymousAnonymeil y a environ 8 ans

J aimerai etre proprietaire je la baiserai bien la pouffiace92A3

CocuforeverCocuforeveril y a environ 8 ans
Fidèle lecteur

J'adore. Vivement la semaine prochaine, pour une rallonge du délai....

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Sandra, Esclave De Son Patron - 01 Une secrétaire vit une véritable descente aux enfers.
Dorothée asservie - Partie 01 Le piège se referme sur une jeune vendeuse.
Une Famille Soumise à Des Voyous Une famille soumise à une bande de jeunes.
Les Mésaventures de Laurence 01 Une jeune femme tombe dans les griffes de son compagnon.
Plus d'histoires