Le Weekend Pervers

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Lucie poursuit son apprentissage.
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Le flash était passé. J'ai repris mes esprits, Pierre était à coté de moi. Les autres avaient disparu.

-"Lucie, tu es merveilleuse."

-"Pierre qu'est ce qui c'est passé."

-"Luce, tu as été saillie, tu as jouie sous la soumission."

Je me regarde, je suis en sueur nue dans ses bras. La salle est vide. On entend le vent dehors. Il me redresse et m'aide à m'habiller. Il m'a ramené chez moi. C'est sous la douche que j'ai réalisée. Qu'avais je fais? J'avais honte.

Le retour à la réalité fut rude, le matin inventer vite une histoire pour les collègues de travail, et surtout cacher cette bande rouge dans le dos. Mentir, en ayant honte de sois vraiment bizarre comme sensation, une sensation étrange mêlée de gêne et d'excitation.

Mes contacts avec Pierre comme à chaque fois étaient espacés et laconique, il me manquait, il en jouait.

Deux semaines après cette séance à la salle de gym. Un vendredi, Pierre m'a laissé un message sur mon répondeur. Oh laconique: "Luce, 20H ce soir je viens te chercher..."

Vous me direz il y a plus doux comme message, mais quand on est en manque chaque dose compte. Me voila prête. Il arrive, un baiser nous sommes partis. Une, deux heures de route, des pavillons encore un portail, nous voila devant un porte de garage elle s'ouvre il a la télécommande.

-"Pierre on va chez toi?"

-"Non Lucie, des amis. "

-"Qui c'est?"

-"Tu verras. "

On sort de la voiture, on entre dans le salon. -"Pierre bonjour, ca va?"

-"Oui très bien et toi Thierry?" Thierry, la trentaine bien avancé, brun assez grand s'avance pour serrer la main de Pierre.

-"Parfait tu as amené ta soum?"

-"Oui Luce, que voila?"

-"Bonjour, dis timidement?"

-"Elle est belle. "

-"Merci, euh ..."Pierre ne me laisse pas le temps de répondre déjà il me fait avancer vers le milieu de la pièce, vers le canapé.

Nous voila tous assis, ça parle vite de tout de rien, de ce que je fais, de ce qu'il fait, cadre dans la construction navale, de mon age, 25 ans, il sourit, de notre passion la voile. Thierry propose une visite de la maison. Elle commence par une descente des escaliers, sous le garage la pièce est grande et lambrissée.

J'ai compris, Pierre parle de moi, je me tais. Il fait chaud, vraiment chaud.

Luce, est soumise, elle a passé avec succès l'épreuve de la salle.

Félicitations, annonce Thierry, la main sur mon épaule. Mince alors, ce lieu de sport est aussi un lieu de débauche. Je l'ai amenée ici pour la perfectionnée. Oui Lucie, thierry à une passion le dressage de jeune comme toi et je n'ai pas son talent.

Ils me regardent. Pierre est assis sur un banc Thierry le rejoint. La porte est fermée. Lucie, Luce?

-"Appelle la Luce, rétorque pierre."

-"Luce, tu vas te déshabiller maintenant. Vas y. Maintenant il insiste."

Je fais vite. Me voila nue.

-"Bien." Il se lève cambre toi bien, sois fière de ta condition de soumise. Pierre se déplace il connaît ouvre un placard et met de la musique, un style que je ne lui connaissait genre baba cool, australien.

Thierry me masse les fesses, il glisse son index dans le long de ma raie. -"Vas te mettre contre le mur, voila, avance un peu main contre le mur. Oui, la un peu plus écartée. C'est bien." Sa main glisse, traine sur ma poitrine. Je regarde fixement cette planche de bois devant mes yeux.

Pierre me chuchote à l'oreille. -"Luce, on va te mettre un collier." Il glisse le collier, noir large de cuir déjà il se referme.

J'essaye de me retourner je rencontre la main de Thierry je continue a donc à regarder le mur. Mes poignets, mes chevilles un a un sont eux aussi pris dans des bracelets,

Leurs mains sont sur moi, un ordre et j'ouvre la bouche pour recevoir un index. Ils me déplacent, je les suis une zombie. Ils m'allongent sur banc sur le ventre. Mains et pieds sont fixés au sol. Tiens, je n'avais pas vu ces anneaux. Ils tirent un cran me voila attachée. Une longue caresse et les voila partie. Reste la chaleur torride la musique et le noir.

J'attends, je lutte, j'abandonne, je ferme les yeux. J'ai chaud. Plein de questions fusent dans mon esprit. Une heure, deux heures...

L'air frais lorsque la porte s'ouvre me réveille. Je vois deux paires de jambes. Ils sont là, nue, encore leurs mains, sur mon dos mes fesses. Thierry prend la parole, elle a bien suée elle est cuite, à point. Un sexe passe près de moi, une main celle de Pierre écarte délicatement mes cheveux collés de sueur de mon visage, doucement il dit.

-"Luce, ca va?"

-"Oui"

-"Luce, ouvre la bouche, voila en grand."

-"Oh... "Ah ma surprise mes dents rencontrent du caoutchouc.

-"Luce, ouvre plus grand, fait place au bâillon." Ce bâillon boule est serrée sur ma bouche. J'étouffe.

Pierre continue. -"Lucie, tu dois apprendre qu'une soumise ne parle pas, tu vas passer un test, ensuite nous verrons." La main de Thierry n'a pas quitté mon dos. Ils me détachent, je ne me relève pas. Il m'aide. Sur le sol Thierry jette six anneaux de plastique que Pierre arrange du pied en deux séries parallèle. Il n'est pas si mal foutu Thierry, en fait.

A quatre pattes, j'entend l'ordre, mais ne peux répondre. J'esquisse un mouvement vers le bas,

-"Eh oh doucement!" Mets tes mains dans ces anneaux oui devant les genoux et voila bien pour les pieds. J'ai compris Pierre assis sur le banc face à moi, m'explique. -"Lucie, Thierry vas te prendre... virilement, ensuite nous verrons.

Thierry, est derrière moi, je sens sa main, ses doigts, son doigt. Il me pénètre. -"Elle mouille, bien, juste ce qu'il faut."

Il joue, traîne, et finalement entre. Je pousse un râle de plaisir pendant la pénétration. Râle, bestial du au bâillon. Lentement, il me besogne, s'agrippe à mes hanches. Ma respiration est haletante, saccadée. Pierre allongé sur le banc, me regarde souriant.

Thierry accélère, encore, encore. Je m'effondre, il continue à faire son œuvre, sans faire attention à mes murmures et supplications étouffés par le bâillon et couverte par les bruits humides de la pénétration. Il jouit, je sens sa semence en moi et se retire.

Pierre, demande. -"Thierry ton verdict?" Elle a encore des progrès à faire. Elle manque d'endurance. C'est normal pour une jeune, mais elle peut faire beaucoup mieux.

Pierre s'approche de moi, dans mon oreille il annonce, Luce, on va te garder ici en dressage au moins pour le week-end. Un baiser sur l'oreille. Il me redresse. Je suis ailleurs, je le suis jusque dans la salle de bain, la douche. Je reprends mes esprits lorsqu'il me sèche vigoureusement. J'essaye de parler, rien ne sort toujours ce bâillon. Pierre sourit. Luce il faut que tu te repose. Il me ramène dans la salle. Un matelas, un drap blanc.

-"Bonne nuit Lucie. Allez repose toi."

Un baiser...

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Anonymous
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2 Commentaires
normand2normand2il y a environ 2 ans

vraiment délicieux

AnonymousAnonymeil y a environ 14 ans
la soumission le début

j'adore cette histoire et suis heureux de voir une suite il faut la dresser a fond je pense cette jeune soumise félicitation salutation paul

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