L'élève

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Gwendoline aime beaucoup son prof et elle lui prouve.
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Mercredi 5

Je la regarde discrètement lorsqu'elle croise et décroise les jambes. Elle semble être perdue, peut-être même troublée par la feuille qui se trouve juste devant elle.

Assis dans mon fauteuil en cuir, derrière mon bureau, je me penche légèrement en avant quand elle saisit son effaceur et corrige sa copie en poussant un doux soupir.

Mes yeux sont attirés par sa silhouette, parcourant chaque centimètre de son corps. De ses courts cheveux blonds aux mèches noires, jusqu'à sa paire de Converse. Elle est étonnante, élégante, belle, douce et sa voix est la plus ravissante que je n'ai jamais entendu.

Une main vient toucher mon épaule. Je me tourne vers l'importun.

Un jeune homme debout à côté de moi me tend une feuille noircie d'encre.

"Mr Legrand, j'ai terminé." me dit-il pendant que je lui prends sa copie.

Je m'éclaircie la voix en posant la feuille sur mon bureau.

"Merci Tristan, vous pouvez partir." réponds-je simplement.

Le garçon s'éloigne de mon bureau pour rejoindre sa place. Il se penche pour attraper ses affaires, jette un coup d'oeil vers l'objet de mes désirs. Celle-ci se retourne et lui rend son regard. Avec un sourire satisfait, Tristan s'éloigne.

Oh que je hais ce garçon!!! Le connard parfait qui a malheureusement réussi a attiré mon ange entre ses sales pattes, depuis quelque temps déjà. Et depuis, j'ai souvent vu ma douce Gwendoline entrer dans ma salle de cours, un nombre incalculable de fois, à son bras. Parfois les yeux rougis par le chagrin, d'autre fois affichant un sourire radieux. Heureusement, ces derniers temps, il semble qu'elle se soit éloignée de cet abruti.

Enfin, Gwendoline apporte les ultimes retouches à sa copie avant de se lever lentement. Il n'y a plus personne d'autre dans la classe. Arrangeant l'ourlet de sa jupe, elle s'approche de moi. Sa démarche est gracieuse, un pas après l'autre ses hanches se balancent légèrement, lui donnant l'impression de flotter sur le sol.

Lorsqu'elle parvient à ma hauteur, elle me tend sa feuille, accompagnant son geste d'un soupir.

Je ne peux réprimer un sourire discret en constatant que sa copie est constellée de petites taches d'encre verte, et que de nombreux griffonnages "décorent" la marge de son devoir.

"Je suppose que je dois m'attendre au pire, Monsieur..." me dit-elle dans un léger murmure, tout en se penchant doucement vers mon bureau.

"Je ne vais pas vous mentir Mlle Marchand, c'est un drôle de spectacle que vous me rendez..." dis-je en riant et en désignant les dessins d'étoiles, de petits cœurs, d'animaux étranges.

Ses magnifiques dents blanches apparaissent lorsque ses lèvres s'écartent en souriant.

"Vous me connaissez, je m'ennuie rapidement." me confie-t-elle avec un petit rire, avant de se redresser.

Alors qu'elle est sur le point de retourner à sa place pour récupérer ses affaires, je la rappelle. Tournant les talons, elle me fait face.

"Oui?" demande-t-elle en inclinant délicatement la tête.

Elle est si adorable. Je sens les battements de mon cœur s'accélérer.

"Pourriez vous revenir, s'il vous plait?" associant ma demande d'un geste de la main.

"Bien sur..." répond-elle avant de se rapprocher à nouveau de moi. "Qu'est-ce qu'il y a?"

Je regarde ses mains se poser sur mon bureau. Mes yeux remontent sur ses bras pour parvenir sur son buste légèrement incliné vers moi.

"Eh bien Gwendol.."

"Gwen!" me coupe-t-elle.

"Très bien Gwen. Je voulais juste... Euh... Heum... Je voulais juste vous dire... que..."

Mon ange se penche davantage, s'approchant encore plus de moi.

"Allez Monsieur, dites moi ce qu'il y a! J'ai lamentablement échoué à mon contrôle? Ou bien vous êtes vous enfin décidé de m'avouer votre amour?"

Avec un petit rire moqueur, elle porte sa main à son coeur. Sa plaisanterie me prend au dépourvu. Mon attirance pour elle est vraiment si visible? Mais lorsque je prononce un simple "Oui" son rire s'arrête instantanément.

"Hein?!" s'exclame-t-elle en me fixant avec ses jolis yeux grands ouverts.

"Je dois admettre que j'ai des sentiments pour vous... Je veux dire que vous m'attirez. Rien n'y fait. Je ne parviens pas à controler mes émotions. Ni vous ni moi ne sommes responsables de ce qu'il m'arrive. Excusez moi Mlle Marchand, je voulais juste que vous le sachiez."

Ma voix n'a pas faibli et mes yeux n'ont pas quitté les siens un seul instant.

"Oh. Euh... Monsieur... Je ne sais pas ce que..." bafouille-t-elle en portant une main sur son visage devenu rouge. Tout juste laisse-t-elle échapper un petit rire nerveux.

"Tu n'as pas à me répondre quoi que ce soit. Comme je te l'ai dit, je voulais juste que tu sois au courant. Je t'aime, et maintenant tu le sais." Puis reprenant le ton du professeur, j'ajoute : "Vous pouvez disposer Mlle Marchand."

Ceci dit, je pose mon regard sur les copies disposées sur mon bureau. Mon coeur bat la chamade et je ne sais quoi pas quoi faire. Écouter mon coeur et lui demander de rester là? Me fier à ma raison qui voudrait que je la supplie d'oublier ce que je viens de lui dire? Me laisser porter par mon désir intense et la prendre maintenant avec passion, ici même? Je prends conscience qu'en lui avouant ainsi mes sentiments, je risque de perdre ma place et de voir ma vie exploser.

Durant un petit moment Gwendoline reste immobile à côté de mon bureau, puis elle retourne vers sa table, rassemble ses affaires et se dirige vers la porte.

" Monsieur..." me dit-elle, d'une voix à peine audible.

Je redresse la tête. Ses yeux bleus brillent d'un étrange éclat. Son corps est appuyé contre l'encadrement de la porte, relevant encore plus sa silhouette parfaite.

"Oui?" réponds-je, incapable de détacher mon regard de son corps.

"Je... Vous me plaisez aussi... Beaucoup."

Et avant que je puisse avoir l'occasion de lui répondre, elle disparait en fermant la porte derrière elle.

Jeudi 6

Après une nuit pauvre en sommeil mais pleine de pensées tendres pour la délicieuse Gwen, je me rends au lycée d'un pas rapide, motivé par la perspective de la revoir. Toutefois, il va me falloir attendre toute la journée car je n'ai sa classe qu'en dernière heure.

Lorsque, enfin, la sonnerie retentit pour annoncer l'instant magique, je me lève et je me mets à guetter son arrivée.

Enfin elle entre, vêtue d'un leggings noir et d'un haut blanc très ample, dont la large encolure permet d'entrevoir les bretelles de son soutien-gorge blanc. Son visage d'ange est délicatement maquillé par une touche d'ombre à paupières et un léger gloss sur sa bouche délicate. Qu'elle est incroyable!

Nos regards se croisent et nous nous sourions. De nouveau mon coeur s'accélère.

Il me faut une grande concentration pour pouvoir faire mon cour sans me déconcentrer. D'autant plus que Gwendoline semble vouloir jouer avec moi. Dessous son pupitre, elle passe sa main sur sa cuisse qu'elle caresse, se penche discrètement en avant quand mon regard s'attarde sur elle. Je comprends la raison d'un haut aussi ouvert puisque lorsqu'elle s'incline, la naissance de ses seins généreux m'apparait. Son petit jeu me tue... Son petit jeu m'excite.

La sonnerie de fin de journée retentit déjà.

Tous les élèves s'empressent de ranger leurs affaires et de quitter la salle. Tous sauf Gwendoline qui reste assise à sa place.

Nous voilà seuls.

Je me dirige vers la porte pour la fermer. Puis je me tourne vers le fruit de toutes mes tentations. Contrairement à toute l'heure de cours, elle me regarde sagement. Je devine même une teinte rose sur son visage. Elle semble intimidée. Mais certainement pas autant que moi. Pourtant je masque mes émotions.

"Mademoiselle Gwen..." dis-je simplement, avec un sourire qui se nourrit de sa nervosité apparente, tout en rejoignant mon bureau.

"Monsieur Legrand..." me répond-elle doucement.

D'un geste de la main, je lui fais signe d'approcher. Elle se lève et se dirige vers moi. Pour ma part, je reste immobile, attendant qu'elle soit suffisamment proche. Dés qu'elle se trouve à un souffle, je la tire vers moi. J'enroule mon bras autour de taille et elle se plaque contre mon torse. En me penchant à son oreille, je lui murmure :

"Tu es vraiment merveilleuse."

"Me... Merci Monsieur..." bégaye-t-elle.

"Emmanuel. Appelle moi Emmanuel." dis-je en remontant la main le long de son dos.

"D'accord Emmanuel..."

Je la sens trembler légèrement et pourtant elle se colle plus fortement à moi.

"Tu sembles avoir peur."

J'éprouve un peu de culpabilité, alors même que ma main dans son dos vient d'atteindre l'attache de son soutien-gorge.

"Ce n'est pas de la peur..."

Sa voix n'est qu'un souffle, et sa peau est parcourue par un frisson qui lui fait se hérisser les poils.

D'un geste, je fais sauter l'agrafe de son soutien-gorge.

"Eh bien, qu'est-ce donc?"

Avec mon autre ma main, je lui saisis délicatement le menton pour avoir son visage face au mien, et pouvoir la regarder droit dans les yeux.

"Euh... un peu nerveuse... et..."

J'approche mon visage du sien. J'incline légèrement la tête et viens déposer un baiser juste à la naissance de son oreille.

"Et...?"

Ma bouche descend, effleurant son cou.

"Très... excitée..." chuchote-t-elle.

Sans plus attendre, je plaque mes lèvres contre les siennes pour lui donner le baiser le plus passionné qu'il m'est permis de faire. Un baiser qu'elle me rend avec la même intensité. De temps à autre nous marquons une pause afin de reprendre notre souffle puis nos bouches se réunissent encore et encore.

Je la soulève alors du sol pour la placer sur mon bureau, en douceur. Sans plus attendre, elle déboutonne ma chemise alors que je lui retire son haut et son soutien-gorge.

Laissant libre cour à mon désir, je lui mordille l'épaule avant de venir me perdre sur sa poitrine. J'entreprends d'embrasser et de sucer son sein gauche, tout en laissant la satisfaction à une de mes mains de venir jouer avec le droit. Gwen se met à gémir et sa respiration devient plus forte. Ses doigts s'enfouissent dans ma chevelure dés l'instant où mes sucions deviennent plus intenses sur son mamelon.

Posant mes mains de chaque côté de sa taille étroite, je l'incite à s'allonger. Ma bouche délaisse ses seins et poursuit son périple sur son ventre. Parvenu à la ceinture de son leggin, je me dirige vers son pubis que j'embrasse par dessus le tissus élastique, tout en caressant ses cuisses puis ses fesses. Chacun de mes baisers, chacune de mes caresses tendent à faire accroitre son désir.

Il ne faut pas longtemps pour que son entrejambe soit imbibé de son fluide le plus intime.

"Maintenant... Maintenant bébé!" me commande-t-elle.

"Sois patiente." dis-je, un sourire aux lèvres, tout en la fixant droit dans les yeux, après que mes doigts se soient mis en action à l'endroit même où le tissus dissimule sa fente.

"Je ne peux plus attendre, Monsieur..." me confie-t-elle.

Je plonge ma bouche à la base de son cou et je lui mords tendrement sa peau fine et douce. Un petit glapissement de plaisir et de légère douleur s'échappe de ma plus désirable élève.

"Oooh... Monsieur..."

"Ne t'ai-je demandé de m'appeler Emmanuel?"

"Si... Monsieur..."

De nouveau je la mords. Elle gémit puis émet un petit rire.

"D'accord Emmanuel..."

Après quelques baisers passionnés, Gwendoline soulève son bassin et commence à retirer ses derniers vêtements. De peur qu'elle aille trop vite, je lui demande de me laisser faire. Une fois ses chaussurres retirées, je fais descendre uniquement son leggin afin de satisfaire mon gout prononcé pour la vision des petites culottes.

La sienne est un mini shorty gris orné d'un petit noeud rose à l'avant. Le tissus de son sous-vêtement, par son aspect plus humide et plus foncé est l'un des plus net révélateur de l'excitation de ma belle amante.

Il est temps de repasser à l'action.

Après quelques baisers sur l'avant du shorty et entre ses cuisses pour me délecter de l'odeur envoutante de ce sexe caché, je dévie vers ses jambes. Le contact de ma bouche sur la peau blanche de ses cuisses fait haleter légèrement mon Gwen.

Je me perds sur ses longues jambes, descendant jusque sur ses chevilles fines, ses pieds délicats. Puis j'entame une dernière approche vers son sexe.

Je replace ma main sur l'emplacement de sa fente et reprends mes caresses pendant un instant par dessus son shorty. La tête basculée en arrière, mon élève gémit de plus en plus. Je juge le moment propice pour retirer ce dernier rempart à sa pudeur.

Un instant suffit pour que le shorty retrouve ses autres vêtements sur le sol.

La voilà nue sur mon bureau, dans ma salle de cours. Jamais dans mes rêves les plus fous je n'aurais cru une telle chose possible.

Sans patienter un instant de plus, je m'agenouille devant sa fente humide. Mes premiers effleurements vont sur les lèvres roses de son vagin. Un frisson lui parcourt le corps en un instant.

Vu sa réaction très positive aux légères morsures sur son cou, je reproduis le geste sur cette zone si sensible. Un "haan" de plaisir retentit. Son bassin se soulève.

Mes lèvres trouvent instinctivement le chemin vers son clitoris. Je m'active avec gourmandise sur son bouton. Elle est si sensible et excitée que tout son corps se met à bouger sur le bureau.

"Continue!!!!" m'ordonne-t-elle.

Je relève le regard pour l'observer. Son visage pourpre est couvert de sueur. Une mèche de cheveux lui couvre la moitié du visage.

"Continue..." insiste-t-elle, en se redressant.

Me voilà de nouveau la bouche sur son sexe. Je laisse ma langue tourbillonner sur sa chatte, en léchant chaque centimètre avec avidité. Gwen se dandine d'une façon pour le moins suggestive. Ses hanches se soulèvent, ses reins se cambrent. Ma langue, qui vient de trouver refuge à l'entrée de son vagin, laisse rapidement la place à deux de mes doigts longs et relativement fins. Je les active de plus en plus vite, provoquant un son humide. Sans parler de ses gémissements, devenus de petits cris de plaisir. Tant d'encouragements sonores m'incite à lui en donner plus encore. Et pendant que mes doigts poursuivent leurs mouvements, ma bouche et ma langue s'associent à cette quête du plaisir en "dévorant" son clitoris.

Je peux sentir les muscles de son sexe se resserrer sur mes phalanges détrempée de cyprine.

" Oui bébé, vas-y!!! Laisse toi aller..."

Ses mains m'agrippent lorsque, sous l'effet de l'orgasme, son corps se libère de cette exquise tension.

Je retire mes doigts mouillés de sa vulve pour les porter à ma bouche, puis je récolte son liquide intime sur les lèvres délicates de son sexe avec de rapides coups de langues.

Lentement, ensuite, je fais cheminer ma bouche vers le haut de son corps. Son oreille est mon ultime escale.

"Tu es vraiment sublime." dis-je dans un murmure qui se veut tendre.

Gwendoline halète encore un peu. Son visage laisse transparaître des signes évidents de fatigue. Même si tout mon être désire poursuivre notre petit jeu, je comprends que je n'aurai sans doute rien de plus aujourd'hui. Mais je m'en contente largement. J'ai pu profiter de la nudité de celle qui est la source d'une passion intense, je lui ai procuré un orgasme voluptueux... Cela suffit à mon bonheur.

Gwen descend du bureau. Et, tout en me jetant un regard plein de luxure, elle m'attire vers elle pour plaquer sa bouche contre la mienne. Et lorsque ses mains entreprennent de déboutonner mon pantalon, je comprends que j'ai eu tort.

Elle s'agenouille alors devant moi et fait descendre mon pantalon. La bosse révélatrice de mon désir la fait sourire. De sa main délicate, elle se met à caresser mon sexe par dessus le tissus de mon boxer. Puis elle l'embrasse. Même derrière ce voile qui sépare les deux parties de nos anatomies, je savoure la douceur de ses baisers et de ses gestes.

Avec envie, je la regarde descendre mon boxer et le lancer avec mon pantalon sur le tas que forment ses propres vétements.

Gwendoline embrasse mon engin dressé, puis, sans plus de cérémonie, elle l'introduit dans sa bouche. D'un coup de rein, j'accompagne son geste, afin que mon sexe entre le plus profondément possible. Elle accepte sans se plaindre. Elle lève même son regard d'ange avant de commencer à me pomper avec vigueur, tout en émettant des sons obscènes.

"Jamais je ne t'aurais cru aussi chaude..."

Sa langue experte se déplace habilement autour de ma queue. Est-ce avec ce crétin de Tristan qu'elle a appris à sucer aussi goulument? Une immense vague de jalousie me submerge. Je chasse cette pensée aussi vite que possible pour ne pas ternir le plaisir que m'offre sa bouche.

Au fur et à mesure que l'explosion se fait plus proche, je me mets à faire coulisser mon sexe, lui "baisant" la bouche autant qu'elle me suce.

"Oh continue bébé!.."

Mes paroles jaillissent comme un cri. Pour accentuer mon plaisir, déjà intense, se met à me mordiller le sexe tout doucement avant de se remettre à le sucer. Deux fois, peut-être trois, elle reproduit son petit jeu.

Incapable d'endurer plus longtemps un tel traitement, je laisse mon sperme se répandre et remplir sa bouche. Sans protester, elle tente d'avaler ce qu'elle peut, laissant le reste s'écouler, avec de la salive, de la commissure de ses lèvres jusqu'à son menton, puis terminant son parcours sur sa poitrine. D'un simple geste de ses doigts sur ses seins, elle récupère autant de ce mélange possible, puis le porte à sa bouche. Tout cela est accompagnée d'un regard provocateur

Je la saisis par un poignet et la force à se lever. Je me dirige vers mon fauteuil en cuir, tout en l'entraînant avec moi. Je m'y installe. Gwen prend place à mes pieds. Et après que je lui en ai donné l'ordre, et prend mon sexe dans sa main afin d'accélérer la renaissance de ma vigueur.

Il n'est pas véritablement dans ma nature d'être aussi brusque et directif avec les femmes qui partagent avec moi un moment charnel. Mais le petit manège de Gwendoline me semble propice à tenter quelque chose de la sorte. Et vu son sourire, elle ne semble guère choquée.

Mon sexe, à présent, a retrouvé sa taille maximum. D'un " Debout!", j'ordonne à mon élève de se lever. Elle obéit. Quand je lui prends la taille pour l'approcher de moi, elle oppose un début de résistance.

Suis-je allé trop loin?

Non!

Son sourire, qu'elle tente en vain de dissimuler, me redonne confiance. Je raffermis la pression de mes mains sur ses hanches, et je l'attire sans ménagement vers moi. Elle place d'elle même ses jambes de part et d'autre des miennes. La voila debout, les jambes écartées juste au dessus de mon bassin et de ma queue dressée. La tente de la faire s'asseoir sur moi. De nouveau elle résiste.

"Allez Gwen, tu dois m'obéir. Je suis ton prof, tu dois faire tout ce que je t'ordonne." dis-je en la saisissant à bras-le-corps.

D'un geste brusque, ma jeune élève vient prendre place sur moi, guidant elle même mon sexe dans le sien. Mon engin prend alors place dans son vagin serré et humide. Gwen marque un temps d'arrêt puis tout doucement, pour commencer, elle se décide a ondulé son bassin.

Ses avants bras se posent sur mes épaules. Mes mains viennent saisir ses fesses. Petit à petit, Gwen imprime des mouvements plus amples. Ses fesses se soulèvent et se rabaissent avec plus de force, tout un produisant un petit claquement à chaque contact. Les beaux seins fermes de ma merveilleuse partenaire rebondissent à chaque mouvement. Je veux en saisir le téton d'un, mais Gwendoline dévie ma bouche pour venir y plaquer la sienne.

Par ce baiser, ses gémissements se retrouvent un peu étouffés. Mais ils emplissent encore suffisamment la salle de cours au paroxysme de notre plaisir.

Lorsque ma chérie délaisse ma bouche, c'est pour se rapprocher de mon oreille. Dans un souffle, elle m'annonce qu'elle va jouir. Puis elle se laisse emporter par le plaisir. Je la suis presque aussitôt.

Repus de plaisir, nos corps se détendent. Gwen vient poser sa tête sur mon épaule.

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