Les aventures de Karla 09

Informations sur Récit
La vie à trois.
4.1k mots
4.24
23.4k
3

Partie 9 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 03/08/2014
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Depuis la mise en scène de Luc, ma vie avec deux hommes à la baguette s'est mise en place.

En effet, Luc est le chef d'orchestre. Il ne se cache désormais plus pour me voir et passe fréquemment à la maison, tandis que Jacques se sent comme libéré de son statut de gentil mari.

Mais cette clarification des choses ne me permets toujours pas d'assumer mon rôle de salope et soumise pour autant. Mon inhibition à me comporter ainsi, rend chaque idée de Luc, aussi perverse soit-elle, toujours un moment ambivalent mêlant chez moi honte et plaisir, à la plus grande joie de Luc d'ailleurs.

Je ne parle pas de Jacques mon mari car ce dernier laisse ouvertement Luc diriger ma vie sexuelle. Certes, il se plaît à me baiser sans gêne désormais, profitant de ma bouche comme de mon cul sans hésiter une seconde, mais cela n'en reste pas pour autant assez classique, façon de parler, car généralement dans un cadre intime.

Deux mois donc après ce coming-out à trois, Luc vient diner à la maison. A sa demande, il m'a demandé de l'accueillir comme une joueuse de tennis. Je dois porter un T-shirt blanc sans soutien-gorge et une jupe ultra courte si possible translucide.

Malgré l'embarras, j'ai fait le nécessaire pour débusquer dans les boutiques de sport des alentours un haut et un bas des plus sexy pour mon amant. Je suis tombé en fait sur une tenue très sensuelle. Bien que ne répondant pas à la demande de Luc, j'étais sûr qu'il accepterait ma prise d'initiative vu son orientation.

Et pour lui faire plaisir j'ai complété ma tenue d'un joli tanga blanc très ajouré, dévoilant mon mont vénus imberbe, à celui qui aurait la chance de soulever ma jupette.

Le vendredi soir venu quelques minutes avant d'arriver Luc me laisse le texto « ma petite salope, tu me feras plaisir de sortir d'ici 5 minutes pour m'attendre devant ton portail. Et quand j'arriverai tu viendras à ma portière récupérer une petite surprise ».

Selon sa requête, je me précipite à sa rencontre, dans un mélange d'excitation et d'appréhension. Rien n'est gratuit avec Luc.

Je suis à peine en place que sa voiture se présente à l'entrée de la rue. Mon cœur palpite.

Il s'arrête puis abaisse sa vitre. Je fais le tour de la voiture, essayant de retenir les soubresauts de ma jupette à cause de mes mouvements et de la légère brise.

- Luc : Bonjour ma petite pute.

- Karla : Bonjour Luc

- Luc : Très belle tenue.

- Karla : merci Luc, j'ai beaucoup cherché pour te faire plaisir.

- Luc : On voit bien tes auréoles et en plus ma salope a les tétons tellement durs qu'ils ressortent malgré le tissu. Tu t'en rends compte n'est-ce pas?

- Karla : je suis un peu excitée, tu me fais faire des choses si vicieuses.

- Luc : Et tu aimes être ma chienne! Tire sur ton T shirt pour qu'il baille et que je vois tes gros nichons.

- Karla : pas dans la rue et en plus devant chez moi.

Sans me laisser le temps de réagir, Luc le fait lui-même et d'un coup appuie sur l'encolure de mon haut.

Les boutons cèdent en un claquement de doigt. De fait mon haut baille désormais offrant une vue complète sur mes seins.

Prise par surprise, j'essaie instinctivement de les cacher mais Luc n'estpas du tout de cet avis.

- Luc : Que fais-tu Karla? Fais-moi le plaisir de poser tes mains sur la porte et te pencher pour voir tes gros nibards pendre.

- Karla : Luc, des voisins peuvent me voir.

- Luc : je n'attends que cela ... tu t'en doutes, pour te voir rougir et j'en suis sur mouiller comme une fontaine.

- Karla : Je vais avoir une crise cardiaque avec toi à faire des choses aussi immorales.

- Luc : t'inquiète je vais te faire rapidement oublier que tes nichons sont en exposition. Voici ta petite surprise!!!

- Karla : Mais c'est un string avec une ficelle faite de billes en argent!

- Luc : Très beau constat et tu vas la mettre sur le champ. Après tu iras m'ouvrir le portail en te baissant sans plier les genoux. Je veux voir cette cordelette de billes argentées briller dans ta raie du cul suffisamment longtemps, 10 secondes pour pouvoir immortaliser cela.

- Karla : pas avec mes voisins pas cela.

- Luc : Fais-le tout de suite ma petite chienne ou je te fais faire le tour du quartier à quatre pattes.

Vaincue, je m'écarte de la voiture, puis tournant la tête à droite et à gauche pour vérifier que personne n'était présent, fort heureusement, je soulèveles quelques centimètres de ma jupe pour en faire descendre mon tanga.

Luc me tend la culotte de perle que j'enfile précipitamment.

Mais en la remontant, une vague d'embarras supplémentaire me submerge. Je me rends compte que les perles s'entrechoquent et font un cliquetis peu discret au moindre de mes mouvements.

Voyant ma confusion, Luc me dît de remonter au maximum ce maudit string pour que les billes ne puissent bouger aussi librement.

Je m'exécute immédiatement tellement gênée d'entendre un tel bruit s'echapper de mon entrejambe. Mais la contrepartie c'est que les billes viennent s'incruster dans ma chair.

Plantée entres les lèvres de ma chatte côté face, et le long de ma raie côté pile, mes petits pas pour me rapprocher de la portière de Luc me font découvrir une nouvelle caractéristique de cette culotte de perles. Les billes sont comme des petits doigts qui malaxent mes parties intimes. Mon corps a une secousse qui trahit ma surprenante découverte.

- Luc : Alors Karla contente de ta surprise?.

- Karla : Mais Luc c'est une torture, je ne vais pas pouvoir marcher avec cela planté dans mon sexe.

- Luc : oh que si ma belle salope, tu vas devoir t'habituer à la mettre régulièrement.

- Karla : mais c'est horrible car elle fait pression sur mon clito et je vais tacher ma jupe.

- Luc : Tu veux dire que tu mouilles en la portant. Cela ne fait que 2 minutes que tu l'as et ma chienne est déjà en chaleur. Tu n'as pas honte petite salope.

- Karla : Oui j'ai honte. Comment puis-je oser faire cela?

- Luc :Au lieu de te demander ce qui te fait le plus mouiller, les billes sur ta chatte ou ta personnalité même va plutôt m'ouvrir le portail comme je l'ai exigé.

Que puis-je dire à cela? Une nouvelle fois je n'avais pas refusé de me mettre en petite tenue même dans ma rue, Et, je ne me suis pas beaucoup débattu contre les demandes obscènes de Luc.

Il faut croire que j'aime cela à mon corps défendant ou plutôt mon esprit.

Je pars donc ouvrir le portail et comme demandé par Luc me penche bien en avant prétextant enlever un pseudo verrou bloquant le portail au niveau du sol. Je sens la robe désormais en haut de mes fesses dévoilant mon cul.

Après 10 secondes le cul à l'air Luc me gratifie d'un coup de klaxon que je prends pour un merci.

C'est le visage cramoisi et le sexe en émoi que je fais rentrer Luc chez nous. A peine suis-je dedans qu'il me demande de faire sortir mes « nibards » de mon ensemble blanc. Il s'approche lentement, son regard perçant me fait perdre pied. Il a une emprise sur moi incroyable. Et le pire c'est qu'il le sent.

Il est à quelques centimètres de moi. Il ne bouge plus, je ne sais quoi faire, j'ai l'impression qu'il attend quelque chose de moi alors sans réfléchir avec mes deux mains je lui présente mes nichons comme un présent qu'on offre.

Il sourit, puis il avance ses mains sur mes nichons. Le contact me fait frémir. Il les caresse, puis les malaxe tout en me demandant de garder mes mains ainsi.

Il me demande ensuite de regarder mes tétons qui trahissent mon plaisir.

Je sens sa main passer sous le pan de ma robe. La barrière de perle est bien superflue, et je sens ses doigts me pénétrer sans hésitation. J'écarte machinalement mes jambes pour mieux sentir ses pénétrations. De son autre main il fait rouler mon téton droit turgescent.

Ses gestes fermes font monter en moi cette si reconnaissable chaleur dans mon bas ventre. Je vais jouir, je vais prendre mon pied debout dans mon entrée juste avec ses doigts après m'être faite faire exhibée dans la rue. Quelle trainée suis-je devenue!!!

Au bord de l'explosion Luc, mon sadique amant s'arrête. Il me laisse pantelante, les jambes bien ouvertes pour accueillir ses doigts, et mes nichons à l'air.

- Luc : Regardez-moi cela, ma petite pute allait prendre son pied sans demander la permission

- Karla : je t'en prie Luc, pourquoi tu t'es arrêté.

- Luc : parce que ma petite truie n'a pas à prendre du plaisir sans en demander la permission. Et surtout, elle doit d'abord faire plaisir à son propriétaire avant.

- Karla : je t'en prie fais-moi jouir ne serait-ce qu'avec tes doigts et après je te ferais tout ce que tu veux.

- Luc : J'y compte bien mais c'est moi qui décide de l'ordonnancement des choses. En l'occurrence, je vais m'asseoir là en face de l'entrée et toi tu vas t'agenouiller et me sucer lentement et doucement. Et cela jusqu'à ce que ton mari arrive.

- Karla : Mais c'est dans 30 minutes environ.

- Luc : Eh bien pendant 30 minutes tu vas me pomper. Mais interdiction de me faire éjaculer. Ca ce sera uniquement quand il rentrera que tu avaleras mon foutre salope.

- Karla : Et si tu exploses avant.

- Luc : Ce sera de ta faute et tu seras punie. Alors débrouille-toi pour bien mesurer mon plaisir. Dernier point comme tu seras dos à la porte tu me suceras à poil.

Excité par ce qu'il venait de dire, Luc une fois assis m'ordonne de me dessaper puis il me demande de le rejoindre à quatre pattes comme une bonne chienne soumise. J'ai honte mais je le fais car ses ordres suscitenten moi de l'excitation.

Et telle une fille en manque je me rue sur sa bite qu'il me présente fièrement devant mon visage.

Je le lèche, je le gobe, jamais longtemps pour éviter l'accident synonyme de punition. Et dieu sait que je les crains connaissant Luc. Je me mets même à lui gober les testicules histoire de m'occuper de toute son intimité.

Il en profite pour s'avancer et remonter ses jambes et m'annoncer sans coup férir « lèche et titille mon anus petite trainée ». J'obéis, et avec une certaine appréhension, sans oser dire dégoût, me mets à lui masser avec ma langue son orifice.

Je sens sa main venir à l'arrière de mon crane. Il appuie implacablement ma tête pour écraser ma bouche contre son œillet. Je ne me débats pas bien au contraire, je suis embarrassée da faire cela mais aussi fière de moi, fière que la salope Karla réussisse a exciter son amant. Cela me fait drôle de voir son membre durcir à vue d'œil uniquement parce que ma langue pourlèche son petit trou.

Il se remet en position, assis les jambes bien écartées. Il m'oblige maintenant à enfoncer au plus profond sa tige dans ma bouche.

- Luc : Vas-y, suce salope, bouffe ma bite. Dis-moi que tu feras tout pour que je te défonce.

- Karla : SCHLRP, je ferais tout pour que tu me fasses jouir.

- Luc : utilise tes mains pour descendre ton string à mi-cuisse. Et écarte bien les jambes pour que l'élastique soit bien tendu. Comme cela je n'aurai que ta bouche de grosse pute qui coulissera sur mon pieu. D'accord.

- Karla : SCHLRP, oui.

- Luc : allez astique moi bien ma belle cochonne. Fait de grands mouvements et tes mains je veux qu'elles écartent au maximum tes grosses fesses pour que quiconque rentre voie ton trou du cul.

- Karla : SCHLRP, mais je ne veux pas vous faire éjaculer.

- Luc : je vais me retenir encore un peu. Et puis si ton mari est en retard tu seras punie de par sa faute. Tu verras ma punition sera de te faire baiser en public.

- Karla : SCHLRP, Non je t'en prie.

- Luc : Ta bouche est faite pour pomper pas pour parler, et pense à bien écarter ton cul pour qu'on le voie de loin.

- Karla : SCHLRP, pas d'exhibition

-

Je me concentre pour le pomper en faisant de mes lèvres des ventouses qui glissent sur sa tige. Je m'applique aussi a bien écartée mon cul car je veux faire plaisir à Luc, mon maitre, mon amant, mon tortionnaire, car au final j'attends qu'il me prenne, qu'il me baise comme il le dit et qu'il me fasse jouir.

Tout d'un coup je sens la porte s'ouvrir. C'est mon mari. Je veux me retourner mais Luc m'en interdit avec ses mots crus.

- Luc : Ne te déconcentre pas et pompe bien ma salope. Tu vas bientôt pouvoir boire ma semence.

- Luc : Michèle, rentre et vient t'asseoir à côté de moi.

- Michèle : Attends je vais fermer la porte.

- Luc : surtout pas laisse là bien ouverte, ta salope de femme va s'en charger ; juste le temps qu'elle me finisse et boive son breuvage. Cela serait dommage qu'un voisin un peu curieux ne profite pas de l'aubaine et qui sait nous rejoigne, tu ne penses pas?

- Karla : SCHLRP, pas cela Luc, s'il te plait.

- Luc : Au lieu de parler prépare toi c'est le moment de la récompense ... et attention je ne veux aucune goutte par terre ma petite pute.

- Karla : d'accord.

- Luc : Michèle, Karla va aller fermer la porte dans sa tenue avec le string à mi-cuisse. Ensuite elle reviendra et te présentera son cul. Je veux que tu l'encules au plus profond. Je veux l'entendre geindre, tu comprends.

- Michèle : tu ne seras pas déçu, cette vision m'excite tant.

- Luc : tu as entendu ton mari ma cochonne, pardon ma pute. Aller, ton repas arrive, et après tu te presses d'aller fermer la porte à poil, en dandinant bien du cul. Aller, bon appétit.

Je gobe une dernière fois la bite de Luc, et aspire chaque saccade que sa queue crache. Je n'ai rien laissé échapper et me surprends à en être fière. Mais pas le temps de rêvasser. Je me lève avec pour unique habit mes escarpins qui claquent sur le parquet et mon string de perles à mi-cuisse. Je marche en me déhanchant fortement telle une vulgaire catin, je marche pour aller fermer la porte d'entrée, avec la boule au ventre qu'un voisin me découvre ainsi, mais avec un vagin en effervescence de jouer ainsi avec le feu.

En revenant, je vois mon mari, à poil son membre, au garde à vous, me montrer la table basse. Luc lui dit que c'est l'emplacement idéal vu la hauteur de la table et le fait « qu'une bonne chienne adore se faire prendre en levrette ».

Je ne dis rien, écarte sans qu'on me le demande mes jambes pour que Michel me prenne comme la plus belle des salopes. Cela me gêne encore malgré toute les turpitudes subies, mais j'attends avec impatience sa bite priant pour qu'il s'échauffe dans ma chatte avant de me sodomiser.

Je suis exaucée, même si cela me fait drôle de sentir mon mari me pilonner avec si peu de tendresse. Lui le gentleman que je trouvais trop gentil, trop doux commence à se muer en un Luc édulcoré. Mais au plus profond de moi ; j'aime, je le sais bien dorénavant, j'aime me sentir prise en main, dirigée, chahutée. Cela me trouble rien que d'y penser en cet instant, mais j'aime cela.

Prise dans mes pensées, j'en oublie Luc qui revient avec un grand sourire. Que manigance-t-il encore? J'appréhende et en même temps je sens mon plaisir décupler.

Luc demande à mon mari de me prendre avec plus de vigueur. Ses ordres sont exécutés à la lettre et sur le champ.

Mon plaisir monte, je couine maintenant à chaque fois qu'il vient buter dans mon vagin. Je laisse échapper un «Aie » surprise par une belle fessée sur mon cul offert. Puis, tout d'un coup, j'hurle. J'hurle car les mâchoires de la pince à linge viennent d'écraser mon téton gonflé de plaisir. Mais derrière cette douleur se profile à nouveau un plaisir, un plaisir renforcé par ce tourment à mes seins.

Tel un plat sucré salé, je me plais à attendre la suite avec impatience malgré une pointe d'angoisse.

Elle arrive vite. Michel vient de se retirer de mon con. Je pressens que mon petit œillet va être forcé par sa bite bien raide. Ca y est, son gland commence à appuyer. Je me détends quand soudain, un pincement horrible secoue mon bas ventre. Concentrée sur la douleur de mon clitoris qui vient de se faire prendre en tenaille lui aussi, j'intègre qu'après coup que mon mari est entré dans mon fondement.

Pour la première fois, je viens d'être enculée sans avoir été lubrifiée, sans qu'on ait échauffé, façon de parler. Mon mari ne me laisse pas le temps de digérer cette information. Malgré l'étroitesse de mon conduit, il va et vient avec des mouvements appuyés.

J'essaie de l'accompagner pour éviter de me faire défoncer. Mais Luc ne l'entends pas ainsi. Il me prend par les cheveux et tire en arrière. Instinctivement je remonte ma tête pour me retrouver à 2 centimètres de sa bouche?

Luc : Ce n'est pas bien de tricher.

Karla : hum, hum ... je ne suis pas habituée Luc Hum hum, ... et puis je n'ai pas été préparée.

Michèle : Quoi???

Luc : Elle veut dire que tu la prends à sec et que ça pique un peu ladedans. N'est-ce pas?

Karla : Hum oui Luc.

Luc : Accélère Michèle elle veut ton sperme pour que cela coulisse sans mal. Et pour te remercier du geste notre petite pouliche va désormais faire des mouvements à contretemps histoire de s'empaler au maximum la bite de son pervers de mari dans le cul.

Luc, tout en parlant, commence à me doigter avec un puis deux doigts. Il appuie de temps à autre sur mo clito, donne un coup de pichenette dans la pince à linge. Je suis au bord de l'extase. Mes jambes tremblent, mes bras ne me tiennent plus, je m'affale sur la table ouvrant encore plus mon cul. J'explose, je jouis, mon sphincter se contracte au plus grand plaisir de mon mari qui crache son chaud venin dans mes entrailles. Quelle sensation, oh mon dieu.

Remise sur pied mais toujours aussi légèrement vêtue, Luc m'ordonne d'offrir à boire et des chips à mes hommes. Je reviens rapidement avec un verre de vin pour chacun et de chips. En remerciement Luc me retire la pince tétons non sans avoir tiré dessus pour distendre mes nichons encore très sensibles.

Luc : Bon Michèle si je suis là c'est aussi pour t'annoncer une bonne nouvelle et proposer quelque chose à ta femme mais pour lequel je souhaite ton agrément.

Michèle : Vas-y je suis curieux.

Luc : Eh bien j'ai repris avec un ami, le grand magasin dont je gérais la sécurité.

Michèle : Félicitations, bravo ... mais je ne vois pas le lien avec ma petite salope de femme.

Luc : Très simple, je te propose qu'elle devienne agent de sécurité pour mon compte.

Karla : C'est un métier d'homme pas de femme?

Michèle : Et encore moins de soumise.

Luc : Vous avez raison, mais j'ai besoin d'un agent de type médiateur.

Karla : pourquoi faire exactement.

Luc : à titre d'exemple pour palper les femmes en cas de contrôle, mais aussi et surtout pour gérer un problème très délicat.

Michèle : lequel?

Luc : J'ai deux vieux qui n'arrêtent pas de laisser trainer leurs mains sur les fesses des hôtesses ou de quelques clientes. Je suspecte même l'un deux de filmer sous les jupes.

Karla : pourquoi ne pas appeler la police?

Luc : Parce que ces deux vieux sont de fidèles et excellents clients du magasin. Y en un justement qui habite a deux rues d'ici. Il faut juste qu'ils continuent à être ainsi tout en laissant tranquille mon honorable clientèle féminine.

Michèle : et quel rôle vois-tu pour ma femme dans cette histoire?

Luc : ta femme, on ne peut pas dire qu'elle soit honorable elle. Tu es d'accord?

Karla : Non, Luc!!!

Michèle : Chut, laisse-moi parler. Je suis d'accord avec toi d'autant plus avec la performance du jour. C'est quoi ton idée concrètement.

Karla : Non je vous en prie pas avec deux vieux pervers!!!

Luc : Et bien ta femme va faire en sorte d'être leur attraction favorite tout en les poussant à acheter. Tu vois c'est un rôle d'agent de sécurité bien particulier et parfait pour une cochonne soumise comme ta femme.

Karla : Autre chose que cela. Pas avec des vieux dont un qui es du coin.

Luc ; Tu approuves mon idée Michèle?

Michèle : Je suis partant.

Luc : alors dans ce cas félicitations Karla tu es embauchée et tu commences dans 2 jours.

Karla : Mais je n'ai jamais été vigile, tout le monde va le voir rapidement.

Luc : ne t'en fais pas. Je t'attends demain en jupe plissée et pull à même le corps. Pour les dessous, peu de tissu c'est ce qui compte. Je t'attends mercredi à mon bureau.

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