Les Expériences du Dr. Mercer

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Un généticien fou décide de teste ses créations...
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/06/2017
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Le Dr. Ian Mercer venait juste de terminer les préparatifs du premier test de son dernier spécimen, un organisme capable de contrôler l'esprit de ses victimes via des phéromones. Il était sur le point de parvenir à comprendre comment fonctionnait exactement l'ensemble du processus mais pour y arriver il avait besoin d'assister à un test avec une cobaye vivante. Et il se retrouvait là, assis dans sa discrète camionnette, à quelques centaines de mètres du lieu qu'il avait choisi : une boîte décrépie en fin de vie. Il avait placé les spécimens « mâles », vivant à l'intérieur de cosses, en les laissant pendre au plafond de la dernière cabine de toilettes, la plus éloignée de la porte des toilettes pour femme. Le docteur avait aussi placé des micro-caméras dans l'ensemble de la pièce et regardait les écrans qui retransmettaient en direct ce qu'il s'y passait.

Son plan était vraiment simple : attendre qu'une femme rentre dans les toilettes. Dès qu'elle aurait mis un pied dans la pièce, les cosses émettraient leurs phéromones et imprimeraient leur volonté au corps de la victime. Cependant, elle resterait pleinement consciente de ce qui lui arriverait mais serait incapable d'arrêter le processus de reproduction du spécimen. L'expérience allait sans doute être terrifiante pour elle mais le docteur était prêt à tout pour la science.

Mercer commençait à marmonner impatiemment. L'heure de la fermeture approchait et aucune femme n'était encore entrée dans les toilettes, l'inquiétant quant au succès de son expérience. Mais alors qu'il lisait nerveusement d'autres rapports d'expérience, son attention fut à nouveau attirée par les écrans, en particulier celui centré sur la porte d'entrée alors qu'elle s'ouvrait, laissant passer une magnifique jeune femme au corps volupteux. Elle faisait pas loin de 1m80 perchée sur ses talons hauts, avec de longs cheveux roux qui encadraient son joli visage. Se dévisageant dans le miroir, elle soupira et se reposa contre le meuble des éviers en commençant à marmonner nerveusement.

« Foutu Marie et foutue soirée... Je n'arrive pas à croire qu'elle m'ait traînée ici... »

Elle fit une pause et renifla un moment.

« Des chiottes qui sentent bons... Je l'aurais pas cru. »

Elle secoua la tête et se frotta les tempes brièvement avant que la porte ne s'ouvre de nouveau. Une autre jeune femme se tenait à la porte, parlant à la première :

« Laura! Qu'est c'tu fouuuus... On va pas tarder à se barrer, a moins que tu vieeennes maintenant..., bredouilla la brunette.

— Laches-moi Marie! Je vais me démerder pour rentrer toute seule! » la coupa Marie, visiblement exaspérée par ce qu'avait pu faire son amie pendant la soirée.

Le docteur se hâta de relâcher tout contrôle sur les spécimens pour leurs permettre de réagir au maximum de leurs capacités, espérant capturer les deux jeunes femmes. Mais Marie claqua rapidement la porte en traitant Laura de salope. Mercer haussa les épaules, après tout une valait mieux que zéro.

« Bon, je suppose qu'il va falloir que je me trouve un tax... »

Elle se tut, secouant vigoureusement sa tête et grogna.

« J'ai bu que deux verres pourquoi est-ce que j'ai déjà mal à la tête...? »

Soudain elle se figea, fixant son reflet dans le miroir et laissant échapper son sac à main qui rebondit sous l'évier. Des impulsions, des images se déversaient dans son esprit, l'enjoignant à rejoindre la cabine du bout de la rangée. Elle hoqueta :

« Qu-qu-qu'est ce qu'il se passe...? »

Se redressant, elle commença à marcher avec raideur, bégayant à chaque pas alors que les cosses disputaient à son esprit le contrôle de son corps.

« Qu-qu'est ce qu'il se passe putain?! Pourquoi je marche toute seule?! » pensa-t-elle, se découvrant en même temps incapable de parler ou de crier. La jolie rousse commençait à paniquer en comprenant que non seulement ses jambes avançaient toutes seules mais qu'en plus elles ne lui obéissaient plus quand elle leur demandait de la conduire hors de la pièce. La panique se changea en peur lorsqu'elle atteignit la porte de la dernière cabine.

« Putain de merde mais qu'est ce qu'il se passe?!?! » se demanda-t-elle.

Plus d'images se succédèrent dans son esprit, la poussant à ouvrir la porte et rentrer dans cette cabine. Elle obéit et hurla intérieurement en découvrir les spécimens. Ses yeux, écarquillés d'horreur, découvrirent deux cosses sphériques de la taille d'un ballon de volleyball, pendant du plafond par des appendices gélatineux, une au-dessus de la cuvette des toilettes, l'autre près de la porte. Leurs enveloppes avaient une étrange teinte rouge-orangée, une masse noire apparaissant par transparence au centre des cosses. La respiration de Laura devint rapide alors qu'elle poussait de toute la force de son esprit pour appeler à l'aide. Rien de bon ne pouvait venir de ces choses, mais sa bouche resta close, seuls ses yeux parvinrent à s'écarquiller encore plus.

Un torrent de questions et de pensées se succédèrent dans son esprit jusqu'à ce qu'une seule image n'écrase le reste. Les cosses étaient en train de lui imposer de retirer son string et de remonter sa robe de soirée au-dessus de ses hanches, puis de se pencher en avant, entre les deux cosses, ses fesses en face de celle proche de la porte et sa bouche entrouverte devant celle au-dessus de la cuvette. Les battements de son cœur s'emballaient et son souffle se faisait haletant. Des larmes coulèrent sur ses joues mais malgré toute la force de son désespoir, elle ne put qu'émettre un gémissement presque inaudible en tentant de se retenir d'obéir.

Son corps tremblait de la lutte que son esprit menait pour tenter de se libérer des spécimens du docteur. Mais les phéromones étaient trop puissants et Laura sentit ses mains remonter le tissu étroit de sa robe jusqu'au-dessus de ses hanches.

« Non... » gémissait-elle en pensée alors que ses mains faisaient tomber son string jusqu'au sol.

« Non!!! » cria-t-elle en pensée en sentant son corps avancer d'un pas et se pencher en avant entre les deux étranges créatures, exposant son sexe vulnérable et sa bouche aux cosses.

« NOOON!!! Pitié stop!!! » se lamentait-elle tandis que ses yeux déversaient un flot de larmes. Puis elle aperçut quelque chose sur les murs de la cabine.

« Pile au moment prévu! » se félicita le docteur en voyant les deux spécimens femelles abandonner leur camouflage naturel, sentant la proie fraîchement capturée.

Elles ressemblaient à des arachnides mais avec seulement quatre pattes et une longue queue. Sautant du mur sur les cosses, elles passèrent rapidement sur le corps de Laura. Leurs queues, longues de presque deux mètres et préhensibles, glissèrent sur la peau nue de la jeune femme, la faisant frémir de peur et d'anxiété. Le dessous des queues étaient transparentes et creuses, leurs extrémités étaient effilées, avec une orifice à l'extrémité les faisant ressembler à des sortes de seringues de chair.

Alors que ces appendices se déroulaient, Laura parvint à gémir de façon audible, juste avant que celle en face d'elle ne s'enfonce dans sa bouche. L'extrémité charnue et chaude glissa sur sa langue et vint s'arrêter juste un peu avant le fond de sa gorge. Elle s'immobilisa tandis que l'autre spécimen femelle frottait l'extrémité de sa propre queue sur les cuisses de la jeune femme, cherchant un point d'entrée en sa victime.

« Pitié non... Quoi que vous fassiez, arrêtez... Pitié! » supplia-t-elle intérieurement avant de sentir que l'appendice dans sa gorge commençait à gonfler en rythme. Son souffle se figea un instant alors qu'elle tentait de comprendre ce qu'il passait, juste avant de le voir.

Un gros objet bleu en forme d'œuf, à peu près de la taille d'une balle de tennis, glissait lentement dans le tube transparent. Elle réalisa aussitôt ce dont il s'agissait :

« Oh mon Dieu!!! Un œuf, c'est un putain d'œuf!!! » cria-t-elle mentalement, seulement capable de sangloter alors qu'il se rapprochait de plus en plus de ses lèvres ouvertes. Un faible hoquet s'échappa de sa gorge alors que la queue de la femelle située dans son dos trouva enfin l'entrée de sa vulve, se glissant rapidement en elle jusqu'à atteindre le col de son utérus.

« Non-non-non-non-non-non-non... » suppliait-elle, alors que l'œuf écarta un peu plus ses lèvres avant de franchir l'orifice de l'oviscapte dans un ploc écœurant. Il se déposa sur sa langue et les cosses se chargèrent de lui ordonner de l'avaler aussitôt. Elle sentit l'œuf mou, visqueux et gluant, glisser dans son œsophage jusqu'à son estomac vide, laissant un gout graisseux et écœurant, vomitif dans sa bouche. La jeune femme implorait mentalement : « Non... Pitié noooooooon.... ».

Soudain, elle inspira en sursautant, sentant l'autre oviscapte forcer son entrée dans son utérus.

« Oh mon Dieu... Pourquoi moi... » se demanda-t-elle pitoyablement en réalisant que son estomac et son utérus allaient être remplis d'œufs. Malgré cela, elle supplia silencieusement pour cela s'arrête, tout en sentant un second œuf franchir ses lèvres en direction de son estomac.

« Pitié pas plus... » priait la jolie jeune femme, espérant que ça s'arrête.

Mais la seule réponse qu'elle obtint fut d'autres œufs se glissant dans sa bouche et l'horrible réalisation que la queue qui avait pénétré son sexe se mettait également à pulser.

Le Dr. Mercer jubilait en voyant son expérience se réaliser avec succès et il bascula l'un des écrans sur l'affichage d'une caméra-scanner de son invention. Elle lui offrait une vue de côté du corps de Laura alors qu'elle était prise par ses spécimens, lui montrant comment son corps pris de palpitation alors que l'extrémité effilée d'un des oviscaptes pénétrait l'utérus de sa victime. Avec un pur émerveillement, il fixa l'écran en voyant les masses grisâtres des œufs franchir la bouche de la jeune femme, glisser dans sa gorge et atterrir en douceur dans son estomac.

Laura avait arrêté de compter combien d'œufs avaient été déposés en elle, tentant seulement de résister comme elle pouvait à la sensation étouffante qui avait saisi sa gorge. Puis elle sentit le gonflement à l'entrée de son vagin. De nouveau ses yeux s'écarquillèrent et elle tenta une nouvelle fois de bouger, me ne parvint qu'à sangloter encore plus fort alors qu'elle se rappelait qu'elle était complètement sans défense. Un œuf pressa plus contre son intimité et elle le sentit se glisser avec une lenteur horrible dans son vagin. Laura faisait tout ce qu'elle pouvait pour tenter de l'arrêter, mais rien n'y faisait et il finit par entrer en elle dans un « plop » sonore, lui arrachant un hoquet sonore de défaite. Il remonta lentement dans son vagin jusqu'à cogner doucement contre son col utérin. La créature émit un sifflement de frustration, luttant pour pousser l'œuf plus avant, mais avec peu de succès.

La jeune femme eut un instant d'espoir, se disant « C'est trop étroit, il ne peut pas passer! ». Elle sentait la femelle pousser et son appendice se tortiller en elle, tentant de toute ses forces d'assouvir ses pulsions primales jusqu'à ce que, lentement, l'extrémité déformable de l'œuf réussit à écarter les parois de son col utérin. Le progrès soudain fit hoqueter et frémir la jeune femme, qui réalisait bien ce qui se passait alors que l'organisme étranger redoublait d'effort.

« Non pitié stop! » demanda-t-elle encore une fois, sentant juste après qu'un autre œuf venait écarter contre ses lèvres vaginales.

« NON!!! Pitié pas dans mon ventre!!! » supplia-t-elle en vain la créature.

L'œuf, étant parvenu à se glisser sur plus de la moitié de son col, traversa rapidement ce qu'il en restait et se glissa dans son utérus, s'y installant en lui imposant une sensation répugnante, comme si elle était barbouillée.

« NNNNNOOOOOOONNNN!!! »

Encore une fois, ses plaintes restèrent silencieuse tandis qu'un autre œuf se frayait un chemin dans sa gorge et encore un autre poussait à son tour contre l'entrée de son utérus. Les larmes coulaient sans discontinuer de ses yeux et son corps semblait se tortiller alors que d'autres œufs passaient sa bouche et son sexe, s'enfonçant toujours plus profondément en elle, se déposant les uns après les autres dans son estomac et son utérus, avant que d'autres ne viennent presser ses entrées jusqu'à ce que deux douzaines d'œufs ne reposent en elle, distendant son ventre comme celui d'une femme en fin de grossesse.

Reniflant et pleurnichant, elle sentit les queues des spécimens se retirer, remerciant silencieusement le ciel que ce soit terminé. Les femelles sautèrent de son corps pour retourner sur les murs, la couleur de leurs corps se fondant derechef dans avec celle du mur. Laura essaya de rassembler les fragments brisés de son esprit, tentant de trouver une idée pour faire sortir ces œufs de son corps. Mais elle fut sortit de ses pensées par la masse noire de la cosse en face d'elle, à une dizaine de centimètres de son visage. Ça semblait se déployer, créer des points noirs à la surface de la cosse, s'ouvrant comme une horrible fleur. Elle comprit brutalement que ça n'était pas fini, que son corps ne réagissait toujours pas... Et réalisa qu'il fallait encore que les œufs soient fertilisés.

Les points noirs donnèrent chacun de multiples appendices qui s'étirèrent et vinrent s'enrouler autours de ses hanches et de ses cuisses, ainsi que de sa nuque et de son visage.

« Non! Oh non-non-non-non-non pitié... Pas ça... » supplia-t-elle encore une fois en pensée alors qu'un autre tentacule, rouge-orangé, nettement plus épais que les autres, éclosait du centre de la masses des petits, un par cosse. Pointant vers sa bouche et sa vulve, ils y pénétrèrent lentement, glissant facilement dans ses orifices grâce au mucus qui les recouvraient. Impitoyablement, ils la remplirent, dilatant sa gorge et sa minette au maximum avant d'en atteindre le fond. Laura grimaça légèrement tandis qu'ils l'emplissaient, juste avant qu'ils ne se retirent de leur victime.

Puis les petits appendices poussèrent d'un coup fort et brutal, forçant les cosses à venir s'accoupler avec la pauvre jeune femme, en lui imposant un rythme qui augmentant progressivement. Chaque poussée faisant rentrer les tentacules principaux au fond de Laura, la faisant tressaillir et lui arrachant des grognements mêlant peur et plaisir. De plus en plus vite, ils plongeaient en elle, chaque pénétration interrompant ses sanglots alors qu'elle hoquetait. Bientôt, elle put distinguer un sac transparent rattachée à l'arrière de la cosse qui commençait à se remplir d'un liquide vert sombre, à l'aspect gélatineux. Comprenant que l'autre derrière elle devait aussi se remplir peu à peu, elle sentit son corps prit par une poussée d'adrénaline et avec l'énergie du désespoir elle tenta une ultime fois de briser le contrôle des cosses, mais en vain. Elle ne pouvait qu'assister impuissante au viol de son corps par leurs monstrueux appendices et attendre, secouée par les tremblements qu'ils provoquaient, qu'ils fertilisent les œufs.

Les sacs semblaient quasiment pleins alors que les cosses la baisaient plus rapidement qu'aucun homme ne l'avait jamais fait. Elle couinait d'un plaisir honteux alors que sa minette, sa bouche et sa langue se contractaient sur ces abominables envahisseurs, les emmenant de plus en plus près de leur objectif final. Les tentacules des cosses venaient claquer en elle d'un rythme fiévreux, s'engouffrant dans son corps plus brutalement que ne l'aurait jamais cru possible, tandis que les sacs terminaient de se remplir, distendus par le liquide gélatineux.

« NNNNNNNOOOOOONNN!!! » hurla intérieurement Laura, ne parvenir qu'à produire un faible gémissement. D'un coup, les appendices s'étaient immobilisés tout au fond d'elle, un contre son col utérin dilaté, l'autre au fond de sa gorge. Simultanément, les cosses imposèrent un orgasme puissant et la poussèrent à avaler goulument tandis qu'ils giclaient en elle.

La voluptueuse jeune femme ne put les en empêcher tandis que son corps, à l'unisson avec ses agresseurs, jouissait plus fort qu'elle n'avait jamais jouit. Les poches translucides pleine de la substance verte, se contractèrent brutalement, déversant des flots de sperme dans sa bouche et son utérus. Chaque contraction des sacs envoyait un litre de la semence monstrueuse dans son corps. Le fluide salée et écœurant noyait sa langue et inondait son vagin tandis que son corps l'absorbait avec avidité jusqu'à la dernière goutte. Une fois les dernières giclées lâchées dans son corps, l'appendice dans sa bouche s'étendit brièvement jusqu'au fond de son œsophage. Et les deux tentacules enduisirent l'entrée de son estomac et de son col utérin d'une substance chaude et cireuse, qu'elle sentit rapidement sécher, scellant ces cavités et s'assurant que l'incubation irait à son terme.

Le sperme vert et gluant dégoulinant à l'intérieur de ses cuisses et le long de son menton, Laura fut prises de tremblements, réalisant pleinement que les cosses l'avaient bel et bien engrossée. Chancelante sous le choc de cet horrible évènement, elle remarqua à peine que les tentacules sexuels se rétractaient et que les cosses remontaient vers le plafond. Une dernière commande de celles-ci la fit s'allonger sur le dos au sol et elle s'évanouit enfin.

Laura se réveilla. Au début, elle se dit que ce qu'il venait d'arriver était forcément un rêve, un cauchemar alcoolisé. Elle ouvrit les yeux et paniqua immédiatement. Elle était dans une chambre blanche aux murs nus, attachée sur un lit. Elle lutta et tenta de crier mais elle réalisa qu'on lui avait mis un bâillon-boule dans la bouche. Ses souvenirs finirent de se clarifier et elle regarda vers son ventre, le découvrant énorme, encore plus qu'elle ne s'en souvenait. Elle cria « Noooon! » dans son bâillon.

« Ah, vous êtes réveillée, dit Mercer à l'interphone de la chambre. Bien. »

Il révéla à la jeune femme la présence d'une vitre sans tain qu'il désactiva pour qu'elle le voit.

« Vous avez été engrossée la nuit dernière par une de mes créations. Bientôt, vous donnerez naissance à ces œufs. Et après ça, vous servirez de cobaye pour d'autres de mes expériences, ricana le docteur. Bienvenu dans votre nouvelle maison. »

Et Laura ne put que crier pitoyablement en réalisant que son destin était maintenant scellé.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Génial !

Carrément génial !

C'est époustouflant !

J'adore

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans

Pitié ! La suite viiiiite !!

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans

très sympa, je suis curieux de voir la suite des expériences...

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