Les Jumeaux Croisés 03

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 3.
12k mots
4.55
26.3k
1

Partie 3 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
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Chapitre 3 : L'Expérience

Quand Cécile et Jean avaient quitté leur foyer la veille au soir, Jean avait pris le volant pour le contournement de Lille jusqu'à Saint-Quentin tandis que Cécile se laissait aller à une petite sieste réparatrice. Après l'inévitable arrêt pipi , il lui avait laissé le volant pour la laisser terminer le trajet pendant que lui-même dormait à poings fermés à ses côtés. Cécile avait toujours été très fière de la totale confiance que lui portait son mari. De par les histoires de ses amies, elle savait que la plupart des hommes étaient incapables de se relaxer lorsque leur femme conduisait. Avec Jean, pas de problème, elle aurait pu le conduire à l'échafaud qu'il n'aurait pas posé de question tant qu'elle était avec lui.

Ce moment de solitude sur une autoroute dégagée lui permit de réfléchir aux quelques jours de vacances qui les attendaient. Depuis qu'ils s'étaient connus sur les bancs de l'université, Cécile avait exigé qu'une fois par mois, ils envoient paître travail, amis, famille et relations pour passer au moins le week-end en tête-à-tête. Elle avait toujours été inflexible à ce sujet et même la naissance des jumeaux n'avait interrompu que très provisoirement ce rituel. Rituel salutaire car après plus de 20 ans de vie commune, ils étaient toujours aussi attachés l'un à l'autre et faisaient figure de miracle parmi leurs relations où le taux de séparation des couples frisait les 100% . Les quelques autres n'avaient jamais réussi à franchir le pas de la vie à deux.

Ces escapades leur avaient toujours permis de se rabibocher quand il y a avait eu de l'orage ou de relancer leur couple parfois menacé de désagrégation face à l'ennui de la vie quotidienne. L'une de leurs rares crises graves était survenue il y a quelques années après un long séjour de trois semaines de Jean à l'étranger. Durant son absence, Cécile se sentant esseulée malgré ses enfants avait recherché la compagnie d'un autre homme et avait fini par coucher avec l'étranger. Au retour de Jean, elle avait attendu leur premier week-end à deux pour lui avouer son infidélité. Après une crise de colère inouïe, Jean s'était métamorphosé en gorille en rut et l'avait littéralement violée en hurlant « tu es à moi, à moi » . Il l'avait baisée sauvagement tout le week-end, dans toutes les positions, l'attachant et la fouettant avec sa ceinture en répétant la même rengaine « tu es à moi, tu es mienne! ». Il l'avait même sodomisée pour la première fois en disant : « comme ça , je suis sur que tous tes trous m'appartiennent de nouveau » . Le dimanche matin, épuisé par deux nuits sans sommeil et par sa propre sauvagerie, il avait éclaté en sanglots, lui avait dit qu'il l'aimait et qu'il ne voulait pas la perdre. Cécile , encore plus épuisée, en larmes et au bord de l'évanouissement, l'avait pris dans ses bras et l'avait consolé et rassuré autant que son état le permettait. A leur retour, elle avait dû s'aliter pendant trois jours; son corps marqué n'étant plus qu'une longue douleur. Assez curieusement, cet épisode avait relancé leur vie sexuelle et sentimentale. Ils étaient redevenus les amants avides de leurs jeunes années et avaient retrouvé à la fois leur désir de l'autre et leur envie du plaisir de l'autre. Leurs relations avaient cependant évolué dans leur sphère intime : Jean éprouvait depuis lors le besoin de dominer sa femme comme pour mieux se convaincre qu'elle était sienne et Cécile, gardant un fort sentiment de culpabilité de son aventure adultère, se soumettait avec d'autant plus de bonne grâce que sa docilité semblait surexciter la virilité de son mari.

Elle se sentait d'ailleurs d'humeur particulièrement coquine. Jean et elle n'avaient pas eu l'occasion de faire l'amour ces deux dernières semaines. Entre le boulot, les jumeaux et les mondanités, ils n'avaient pas eu de temps pour eux-mêmes et elle comptait bien se rattraper. Ils arrivaient à hauteur de Troyes et elle décida de réveiller Jean mais elle fit d'abord remonter sa courte jupe jusqu'à ce que son slip de dentelle rose transparente soit bien visible . Puis elle posa sa main sur la cuisse de Jean, près de l'entrejambe et ô surprise, elle y découvrit son sexe en semi-érection . « Il doit avoir un rêve érotique » se dit-elle et, sans perdre de vue la route, elle secoua alternativement la cuisse et la verge pour le réveiller. Jean ouvrit un œil, grogna, s'étira et sourit en réalisant le manège de sa femme « Madame Cécile, vous devriez vous concentrer sur la route au lieu de laisser libre cours à votre lubricité ». Sur cette lancée, Cécile rétorqua « Désolée Maître mais j'ai tellement besoin d'être rudement chevauchée que j'en oublie ma place! » « Cela devra se payer ma chérie, de même que ce slip que tu exhibes à la vue des autres chauffeurs et des passants » « Tu crois qu'ils voient que je mouille?» demanda-t'elle , fausse ingénue éhontée. « Humpf » grogna-t'il, « Ca, tu vas le payer très cher » mais maintenant , regarde la route, je veux arriver aux Comtes de Champagne dans notre voiture, pas dans une ambulance.

Arrivés à la réception, Cécile flirta de manière outrageuse avec le réceptionniste qui ne savait pas où se mettre tant et si bien qu'à peine dans l'ascenseur, Jean la plaqua contre la paroi et l'embrassa comme si leur survie en dépendait. Il libéra sa bouche et lui dit « n'oublie jamais que tu es à moi ; A moi! » Le jeu était bien parti!

Jean propulsa les valises dans la chambre et ferma la porte d'un coup de pied. Il saisit sa femme, troussa sa jupe et la jeta , cul presque nu, sur la table-bureau de la chambre. Sans ménagement, il ôta son slip , le porta à son nez et renifla

« Ce slip sent la mouille! C'est le petit jeune de la réception qui t'a excitée comme cela? » « Non Maître, c'est parce que cela fait des heures que je pense à votre gros sexe qui va me prendre et me baiser à fond »

Jean ouvrit sa braguette, extirpa son imposante verge, écarta les jambes de sa femme d'un coup de genou et, presque sans viser, la pénétra avec un grand « Han » de satisfaction auquel répondit un « Huuuu » tout aussi satisfait de Cécile.

« Prends-moi » s'écria-t'elle « baise-moi, fais-moi jouir, je suis à toi! »

Jean roula le slip en boule et le lui enfonça dans la bouche pour la faire taire puis, l'empoignant par les hanches, il la besogna sans ménagement. Cécile dodelinait de la tête en proférant des grognements indistincts au travers du slip qui lui encombrait la bouche. Jean, revigoré par son somme dans la voiture, se sentait dans une forme olympique. Il releva d'un coup sec le T-shirt sans manche de sa femme puis, comme un soudard, il arracha le soutien-gorge qui masquait la magnifique poitrine de sa compagne. Lâchant ses hanches, il s'empara de ses seins et les brutalisa sans cesser de la défoncer de sa verge roide. Cécile geignait sans discontinuer. Elle s'accrocha soudain au cou de son mari et se cambra avec un hurlement étouffé

« CHE CH OUIS!»

Prise de spasmes convulsifs, elle s'empala à trois ou quatre reprises sur le membre qui la clouait à la table puis retomba contre la poitrine de Jean en haletant. Au bout d'une minute, elle ôta le baîllon de dentelle et lui dit

« Mais tu n'a .. Mais vous n'avez pas joui Maître? »

« Silence femelle, tu ne peux pas comprendre les intentions de ton Maître! Maintenant, nettoie-moi » .

Cécile se laissa tomber à genoux et prit le sexe ruisselant dans sa bouche sans l'aide de ses mains qui caressaient ses bourses ; exactement comme il aimait lorsqu'ils jouaient au Dominant/ dominée. Mais après seulement deux minutes, Jean s'arracha à l'étreinte de ses lèvres en réprimant un soupir de frustration et lui dit.

« Cela suffit, femme, rhabille-toi, nous allons faire prendre l'apéro et manger léger, tu dois encore me servir ce soir ».

« Maître, je devrais prendre une douche »

« Pas question, je veux que tu sentes la femelle bien baisée » .

Sur ces mots, Jean s'employa à grand peine à faire rentrer sa verge dans son pantalon tandis que Cécile rabaissait sa courte jupe et le T-shirt. Jean la regarda d'un œil torve

« Quoi, pas de slip ni de soutien? Tu vas encore t'exhiber, impudique »

« Mais Maître, vous avez dit de me rhabiller, pas de m'habiller et mes sous-vêtements ne sont plus en état »

« Exact femme, mais tu devras te faire pardonner à notre retour »

« oui Maître » .

Insouciants comme deux collégiens, ils quittèrent la chambre sans même défaire leurs bagages et s'installèrent à la terrasse en face de l'hôtel , profitant du soleil couchant de cette belle soirée de juillet. Sirotant son verre de vin blanc , Jean remarqua distraitement

« Tiens, la jupe je la connais évidemment, tu la mets chaque fois que tu as une envie pressante de te faire sauter mais je n'avais jamais vu le T-shirt »

« Mais si » rétorqua Cécile « mais c'était sur ta fille. D'ailleurs, tu vois très bien qu'il est trop grand pour moi : quand je me penche on voit mes seins alors que Léa le fait exploser avec sa poitrine de Walkyrie » .

La verge de Jean se manifesta à nouveau dans son pantalon. Il l'attribua d'abord à la vue des seins de Cécile dans l'échancrure du t-shirt mais réalisa dans un flash qu'il était en train de fantasmer sur les seins de sa fille. Très surprise par la soudaine rougeur des joues de son mari, Cécile comprit rapidement l'origine de son trouble et, sur une inspiration aussi subite que perverse, rapprocha sa chaise de celle de son mari pour poser comme négligemment sa main sur son entrejambe. Elle lui dit à voix basse

« Daddy a envie de sa fille, Daddy a envie de faire l'amour à sa fille aux gros seins? »

Jean s'étrangla sur son vin blanc et devint pivoine.

« Cécile arrête, on va se faire embarquer pour outrage aux bonnes mœurs »

« Mais mon gros loup, comment veux-tu qu'ils sachent que tu veux baiser ta propre fille » renchérit-elle, enfonçant le clou, « si quelqu'un voit ton énorme érection, il croira que tu as simplement très envie de ta tendre moitié à tes côtés »

Jean se racla la gorge, très éloigné de son rôle de Maître d'il y a seulement quelques instants.

« Cécile, s'il te plaît, rentrons à l'hôtel, j'ai besoin de te faire l'amour »

Il se leva , abandonnant un billet de dix euros sur la table, imité par sa femme qui chantonnait « Love me daddy, oh yes daddy ... »

Cette fois, c'est Cécile qui plaqua son mai dans l'ascenseur. Elle lui caressa la verge à travers le pantalon et leva la tête pour qu'il l'embrasse. Dans la chambre, elle l'aida à se débarrasser de ses vêtements puis le poussa vers le lit. Il était allongé nu comme un ver et elle l'enjamba, encore vêtue de sa jupe et du T-shirt du péché . « Je veux ta grosse queue daddy » lui murmura-t'elle d'une voix plus aigüe comme une petite fille et elle se contorsionna pour faire pénétrer le mandrin dans son vagin bien lubrifié.

« Oh daddy, que tu es dur, que ta grosse queue me fait du bien » délira-t'elle tandis que son mari la labourait de sa verge distendue . La respiration de Jean était rauque et sifflante comme une locomotive asthmatique. Il s'empara de ses seins par-dessus le T-shirt, s'imagina que c'étaient ceux de Léa ... et jouit comme un possédé! Pendant un instant, ses coups de piston s'accélérèrent et Cécile jouit à son tour , son hurlement « daddy » répondant à son « Léaaaa ». Ils retombèrent tous deux en s'étreignant convulsivement.

« C'était merveilleux mon amour » dit-Cécile après quelques minutes de silence « mais tu te rends compte que ta fille est hors-limite n'est-ce-pas? »

« Bien sur ma chérie mais tu sais que j'adore fantasmer et tu es une complice tellement fantastique que j'aurais tort de ne pas profiter de ce que tu m'offres! »

« OK ; tant que tu sais que c'est du fantasme, tu pourras continuer à baiser ta fille » Et sur ces mots, Cécile récupéra la bretelle déchirée de feu son soutien et s'en servit pour attacher ses cheveux en queue-de-cheval comme une jeune fille. Lorsqu'elle se tourna vers Jean, celui-ci siffla entre ses dents.

« Ma chérie, tu vas réveiller le mort »

« Quel mort? » demanda-t'elle en se penchant pour prendre se verge flaccide entre ses lèvres .

Elle le suça et le branla jusqu'à ce qu'il commence à haleter, fasciné par la queue-de-cheval qui s'agitait près de son bas-ventre . Elle se laissa alors aller sur le dos et il se coucha sur elle, la pénétrant de la manière la plus traditionnelle. Après cinq minutes d'un puissant va-et-vient, il s'interrompit alors que sa compagne approchait à grands pas d'un orgasme qui s'annonçait comme particulièrement intense . Il la retourna sur ses mains et ses genoux et la pénétra à nouveau , en levrette cette fois. . Accroché d'abord à ses hanches, il empoigna soudain ses cheveux de la main gauche tandis que son pouce droit s'infiltrait au milieu de ses fesses somptueuses, droit dans son anus. Toujours emportée dans leur jeu, Cécile dit,

« Oh daddy, tu veux me prendre par derrière? S'il te plaît daddy, mon cul est trop petit pour ta grosse queue » Après l'avoir laissée s'acclimater à son pouce, Jean le remplaça par son index et son majeur. Il avait déjà souvent enculé sa femme après de pareilles mises en train mais ,n'ayant pas de lubrifiant sous la main, il vivait son fantasme de sodomie incestueuse par l'entremise de ses doigts. Ses coups de reins s'accélérèrent tandis que Cécile , la crinière toujours prisonnière, se cambrait . Il abandonna ses cheveux et son cul et l'empoigna par les seins . Il donna un dernier coup de reins magistral et jouit à nouveau en elle avant que tous deux ne s'écroulent sur le lit et que Cécile ne connaisse à son tour l'orgasme.

Une heure plus tard, cette fois douchés et habillés décemment, ils avaient décidé de profiter de la gastronomie champenoise et attaquaient à belles dents deux andouillettes grillées et préparaient leur journée du lendemain. Repus du ventre et du bas-ventre, ils flânèrent encore un peu au centre-ville avant de rejoindre leur hôtel pour profiter d'une nuit de repos bien méritée.

Le lendemain soir, Cécile s'abattit sur le grand lit, complètement épuisée par les émotions d'une journée qui s'annonçait pourtant calme.

Comme prévu, ils avaient quitté Troyes peu après 9 heures pour se diriger vers les lacs de la Forêt d'Orient, s'arrêtant au passage à Lusigny pour acheter des provisions pour la journée. Mais tandis que Cécile pillait la boucherie et le supermarché, Jean s'était précipité à l'insu de sa femme dans la pharmacie du village pour y acheter du gel lubrifiant. Pendant qu'il attendait impatiemment son tour, il repéra une vitrine qui proposait des « instruments de soins » parmi lesquels une boîte de boules de geishas à laquelle il ne résista pas. La pharmacienne lui adressa un sourire complice en plaçant ses achats dans un emballage opaque et lui souhaita avec un sourire en coin « une excellente journée » tandis qu'il réglait sa note. Après avoir dissimulé ses achats dans la boîte à gants de leur Espace, il alla acheter deux baguettes et rejoignit Cécile à la sortie de la superette pour l'aider à porter les emplettes. Ils se dirigèrent ensuite vers Port Dienville où ils se garèrent sur le parking municipal quasi désert.

« on a bien fait de venir aujourd'hui » remarqua Jean . Le samedi et le dimanche on aurait eu du mal à trouver de la place, même à cette heure matinale! On va voir si notre petite plage privée existe toujours? »

« Pas tout de suite » répondit sa femme « il ne fait pas encore trop chaud, je voudrais en profiter pour un petit jogging. J'ai besoin d'exercice ... et toi aussi ; tu commences à prendre un peu de ventre! »

« Y a d'autres façons de perdre des calories » commença Jean

« On verra plus tard » dit Cécile inflexible. « En attendant , on va jusqu'à la Rothière et retour, cela fait moins de 5 km. Si tu n'y arrives plus, il faudra que je te mette au régime! »

Ayant discrètement enfilé leurs shorts et chaussures de sport, ils se lancèrent à petites foulées dans leur course et, une demi-heure plus tard, étaient de retour à leur voiture, un peu essoufflés tout de même mais assez satisfaits de constater qu'ils étaient encore assez en forme. Emportant leur pique-nique et des serviettes de plage, ils ne se dirigèrent pas vers la plage mais empruntèrent un sentier qui se dirigeait vers le canal d'Amance. Après une dizaine de minutes de marche, ils obliquèrent, traversèrent tant bien que mal un épais taillis et se retrouvèrent à nouveau au bord du lac, entourés par un demi-cercle d'arbustes touffus qui les dissimulaient à la vue des éventuels promeneurs. Normalement, cette zone était interdite à la baignade mais depuis qu'ils avaient découvert cette retraite discrète trois ans plus tôt, ils ne manquaient jamais d'y revenir quand leur emploi du temps et la météo le leur permettaient. A l'abri des regards, ils pouvaient se livrer au naturisme sans gêner qui que ce soit. Cécile se débarrassa rapidement de ses vêtements et, nue comme Eve, se précipita dans l'eau froide en poussant des petits cris au fur et à mesure qu'elle progressait vers la profondeur. Jean termina de ranger leurs affaires, étendit les serviettes de plage et dissimula sous la sienne le tube de gel qu'il avait acheté un peu plus tôt. Puis après avoir vérifié que nul bateau des maîtres-nageurs n'était en vue, il plongea d'un coup dans l'eau pour rejoindre sa femme en quelques brasses puissantes.

« Brr elle est froide l » lui dit-il en arrivant à sa hauteur. Ils jouèrent un moment dans l'eau puis se hâtèrent de rejoindre la rive et s'étendirent sur les serviettes pour se laisser sécher par le soleil maintenant nettement plus ardent. Jean admirait sa femme dont les seins orgueilleux pointaient toujours malgré son âge, la grossesse et la position horizontale. Les mamelons étaient encore érigés par le froid et Jean, n'y tenant plus, roula sur le ventre pour être contre elle et les prit l'un après l'autre dans sa bouche. « Jean » murmura Cécile, « tu n'es pas sérieux ». La bouche pleine, son mari ne répondit pas mais sa main descendit le long de son ventre plat et vint se nicher entre les jambes de son épouse. Ses doigts dégagèrent son clitoris et il se mit à la caresser lentement. Sa bouche abandonna ses seins et il l'embrassa puis lui murmura « je t'aime Cécile » . Elle encercla son cou et se colla à lui, haletante de désir. Il jouait avec son corps, la maintenant un long moment au bord de l'orgasme mais lui refusant la délivrance. Cécile, tous les sens en ébullition, lui griffait le dos dans l'espoir de l'obliger à enfin la faire jouir. Désespérée, elle s'arracha à son étreinte et se mis à quatre pattes, le tête vers le lac et son splendide cul agité de soubresauts se tendant vers lui et lui cria « prends-moi , prends-moi comme une chienne ». Jean n'avait pas besoin d'autant d'encouragements et se précipita. Il la pénétra en force et commença immédiatement à la labourer comme si sa vie en dépendait. Cécile déjà surexcitée ne tint pas longtemps à ce régime et s'écroula en criant son bonheur. Seule sa croupe voluptueuse, toujours fichée sur le pal de son mari ne touchait pas encore le sol. Jean lui laissa une minute de répit puis recommença à se mouvoir en elle, lui arrachant un long feulement de plaisir.

Il farfouilla sous sa serviette et récupéra le tube de gel . Sans interrompre ses longues pénétrations, il ouvrit le tube et le pressa à l'entrée du petit trou de Cécile qui cria de surprise en sentant le fluide froid à l'orée de son anus. Profitant de son avantage, jean introduisit deux doigts dans l'oeillet serré et poussa, distendant le sphincter tout en le lubrifiant. Il poursuivit son manège pendant quelques minutes , rajoutant un peu de gel jusqu'à ce qu'il fut satisfait de l'onctuosité du conduit. Cécile s'était redressée et attendait le coup d'estocade. Elle s'était habituée à la sodomie et avait fini par l'apprécier mais se souvenait encore toujours douloureusement de la première fois où Jean l'avait prise ainsi pour se venger de son infidélité. C'est donc avec appréhension qu'elle sentit son homme arracher sa verge de son vagin et la présenter à l'entrée de service.