Les Jumeaux Croisés 04

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 4.
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Partie 4 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
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Chapitre 4 : L'Envie

Le repas avais mis Loïc au supplice : Léa, toujours uniquement vêtue du slip trop moulant de leur mère, s'était démenée pour les servir en bonne maîtresse de maison mais ce faisant, elle avait surtout exhibé sa fière poitrine à ses deux convives qui en avaient presque perdu l'appétit, trop fascinés par le spectacle hautement érotique qu'elle leur offrait.

Si Lucie, assouvie par les jouissances apéritives, parvenait encore à se contenir, Loïc, bandait comme un taureau furieux, enflammé par l'endurance et la vigueur sexuelles si caractéristiques de fin de l'adolescence. Il avait une folle envie d'aller se branler dans sa chambre pour se soulager mais il n'osait pas bouger, ne sachant comment justifier sa soudaine disparition. Le plus simple aurait été de demander aux filles de se s'occuper de lui mais elle étaient trop occupées à papoter pour s'apercevoir de impérieux besoin de jouir.

« Loïc, ...LOIC! » l'appela Léa

« Uh oui? »

« Tu n'écoutes pas! Lucie doit rentrer chez elle mais elle propose de revenir ce soir et de passer la nuit et la journée de demain avec nous . Tu es d'accord? Oui tu es d'accord! Je me demande pourquoi je te pose la question! »

« Et j'apporterai mes jouets » ajouta Lucie les yeux brillants. « Tâchez de vous reposer cette après-midi mes chéris, vous allez avoir besoin de toutes vos forces ce soir! Mais maintenant il faut que je me sauve!»

Lucie embrassa Léa sur les lèvres tout en lui pelotant vigoureusement les seins puis vint s'asseoir à califourchon sur Loïc et l'embrassa lui-aussi tout en agitant sa croupe sur son pauvre pénis prêt à éclater. Le jeune homme sentait d'ailleurs venir la délivrance tant attendue lorsqu'elle se releva avec un petit rire narquois et lui dit : « Grande leçon pour aujourd'hui, mon bel étalon : savoir se retenir » Et sur ces mots, elle s'enfuit vers la chambre récupérer ses vêtements tandis que Loïc gémissait de frustration. Il fit un effort démesuré sur lui-même, les mains crispées sur la table pour contenir son éjaculation, le front couvert de transpiration. Lorsque Lucie redescendit et se dirigea en boulet de canon vers la sortie, il resta assis à la table, incapable de bouger. Lucie tendit le maillot de foot à Léa en lui disant « Tiens, couvre ces trésors sinon Loïc n'aura plus rien en réserve pour nous ce soir » Et comme Léa s'exécutait, elle se retourna dans l'embrasure de la porte et siffla

« Pas sur que cela l'aide beaucoup! »

Et dans un dernier geste de défi, elle remonta un instant sa jupe pour montrer à Léa qu'elle ne portait pas de culotte et s'enfuit vers sa voiture.

Riant de bon cœur, Léa referma la porte et retourna vers son frère. Elle lui caressa les cheveux et lui dit

« Mon pauvre gros loup, tu as l'air sonné . Va dans ta chambre et essaye de faire une sieste, tu en as bien besoin»

Dubitatif, Loïc obéit, persuadé que jamais il ne parviendrait à fermer l'œil mais une fois sur son lit, son excitation retomba comme un soufflé et il se rendit compte que ses multiples éjaculations l'avaient plus atteint qu'il ne le pensait. Il s'endormit comme une souche . Léa fit rapidement la vaisselle puis s'installa dans le divan , songeant aux événements survenus depuis 24h . Son frère était devenu son amant -- ou presque - , sa gyneco aussi ; il n'y avait qu'une seule ombre au tableau : elle était toujours vierge mais c'était une question de quelques jours avant qu'elle ne puisse se livrer aux désirs surexcités de son beau mâle perpétuellement en rut. Penser à Lolo et à son énorme queue déclencha la montée d'une douce chaleur dans son sexe. Elle se frotta les seins avec le maillot de foot imprégné de l'odeur de son frère et du parfum de Lucie. La chaleur de son bas-ventre allait croissante mais elle se ressaisit : « Non, pas question, il faut que je me réserve pour ce soir! » . Elle mit en route la TV ; regarda d'un œil vague et d'une oreille très distraite un talk-show .. et s'endormit en quelques minutes.

En rentrant chez elle, Lucie se rendit compte qu'elle avait fait une erreur en ne remettant pas son slip. Elle sentait en effet du liquide s'échapper de son sexe et couler sur le siège. « je pensais que Léa m'avait bien asséchée » se dit-elle « mais c'est vrai que notre Lolo m'a inondée à plusieurs reprises. Cela m'apprendra à vouloir jouer à la garce. Encore heureux que j'avais remonté ma jupe sinon j'aurais eu une belle aréole à un endroit gênant ». En arrivant devant sa maison, elle aperçu une silhouette un peu rondelette devant la porte et reconnu son amie Françoise qui semblait l'attendre .

« Flûte » se dit-elle, « j'adore Soise mais elle a mal choisi son jour pour une visite surprise ». Elle se gara, descendit de voiture, embrassa Françoise et la fit entrer. Cette dernière la dévisagea d'un air suspicieux puis l'attrapant par les hanches, la toisa et dit

« Moi je connais une vilaine fille qui s'est fait tringler en beauté! Tu as ton air de femelle heureuse d'avoir été bien baisée . Tu vas devoir tout me raconter!»

Lucie n'avait pas grand-chose à cacher à son amie. Elles avaient le même âge et avaient déjà partagé des amants et même couché ensemble à plusieurs reprises lors de leurs périodes de solitude. Lorsqu'elle décrit le splendide jeune couple qu'elle avait entrepris de dévergonder, Françoise bavait littéralement de jalousie

« Un super-mâle et une amazone! Quand est-ce que tu me les présentes? »

« Attends un peu » répondit Lucie, » les malheureux n'ont pas encore pu consommer et tu veux déjà sauter dans la soupe? »

« Tu l'as bien fait toi! » lui reprocha Françoise .

« Moi, je suis l'initiatrice ; c'est presque dans mes attributions médicales »

« Médicales?! La seule chose qui t'intéressait, c'était de te faire sauter » la moqua Françoise le rose aux joues. D'ailleurs, je veux voir le résultat »

et elle souleva la jupe pour découvrir la motte aux lèvres bombées

« Même pas de culotte, petite salope »

et , plongeant deux doigts dans l'antre du délit, Françoise ajouta

« Et toujours mouillée, dévergondée! ».

« Arrête Soise, je les revois ce soir, j'ai besoin de prendre une douche et de récupérer un peu »

« Parce que tu vas remettre le couvert! Je veux te veux à ma botte demain soir pour tout me raconter et tu as intérêt à avoir la langue bien pendue -- dans tous les sens du terme! »

Lucie se dégagea de l'étreinte de Soise et la poussa sur le canapé

« Pour cela, j'ai encore assez d'énergie » .

Elle s'agenouilla à ses pieds et s'ingénia à ôter son slip. Aussitôt que la voie fut libre, elle écarta les jambes de son amie et se mit à la lécher avec application . Dès qu'elle fut bien lubrifiée, Lucie introduisit en elle trois puis cinq doigts avant de refermer le poing et de lui dire, la voix un peu étouffée

« Tiens , c'est Loïc qui te prend » .

Elle la martela de son poing et se son poignet raidis jusqu'à ce que dans un spasme brutal, Françoise ne referme brutalement ses cuisses tout en hurlant son plaisir! Son vagin contracté retenait Lucie prisonnière et sans ouvrir les yeux, Françoise lui dit

« Promets-moi que tu me le présenteras, promets! » .

Lucie lui embrassa les cuisses et répondit « je te promet d'essayer mais c'est sans garantie . une fois qu'il aura baisé sa jeune pouliche, je ne sais pas s'il voudra encore de vieilles catins comme nous! »

« La jeune pouliche m'intéresse aussi »

« Ma chérie, un porte-manteau avec un soutien-gorge te ferait mouiller! »

« Salope »

« Traînée »

Françoise la quitta en souriant. Au moment où elle allait sortir, Lucie lui demanda

« Mais au fonds, tu ne m'as pas dit ce qui t'amenait? »

« J'avais un besoin pressant » lui répondit son amie, « ca va beaucoup mieux maintenant ».

Léa nourrit ses chats puis prit une douche revigorante. Elle en profita pour passer un gel apaisant dans son intimité encore un peu sensible (« pas étonnant après avoir été chevauchée par une bite d'âne ») . Elle prépara son baise-en-ville sans oublier d'y ajouter une partie de son étonnante collection de sex toys , sélectionnant godes et plugs en fonction de ce que son imagination débordante lui laissait entrevoir de ses futurs ébats avec ses jeunes amants. Satisfaite, elle se coucha sur son lit pour une petite sieste

. Elle allait avoir besoin de toutes ses forces ce soir!

Elle se réveilla peu avant 18h et s'étira langoureusement « Encore cinq minutes et je me lance » se dit-elle. Les cinq minutes passèrent en un clin d'œil et elle se dirigea vers la salle de bain pour se rafraîchir le visage . « Pas de maquillage ce soir » annonça-t'elle à son miroir « pas question que cela coule dans tous les sens ». Elle décida de faire un effort particulier côté vestimentaire et farfouilla dans sa garde-robe pour retrouver des bas et porte-jarretelles blancs ainsi qu'un corset souple de même couleur qui ne couvrait pas ses seins tout en descendant jusqu'à ses reins. Elle s'admira dans le grand miroir de la commode et se dit « Si le petit loup ne me saute pas dessus, c'est qu'il est mort de chez mort ». Pour être certaine de son effet, elle décida de ne pas s'habiller plus avant mais dissimula ses trésors sous un imperméable long assez incongru en cette belle soirée d'été. Puis , empoignant son baise-en-ville, elle dit au revoir aux chats et se dirigea vers sa voiture.

Léa avait également décidé de faire un effort particulier pour sa présentation. Elle avait retrouvé un short en jeans de ses 16 ans évidemment très moulant et avait noué un chemisier sous ses seins. Ni slip ni soutien. « Cela n'en vaudra pas la peine » se dit-elle avec un frisson de plaisir anticipé.

Elle était encore en train de jauger l'effet de sa tenue lorsqu'elle entendit un moteur dans l'allée du garage.

« Loïc, Lucie est là, tu peux aller ouvrir? »

Loïc qui s'était contenté de remettre son bermuda, se précipita vers la porte et accueillit Lucie. Il regarda la jeune femme d'un air interloqué par l'imperméable qui la recouvrait de la tête aux pieds. Lucie sourit devant son étonnement et l'embrassa avec ferveur tout en palpant ses parties génitales .

« Et bien Lolo, tu m'as l'air fatigué, je m'attendais à un accueil plus raide »

Loïc rougit mais avant qu'il ait eu le temps de répondre, la tornade Léa avait dévalé l'escalier et avait enlacé Lucie, la soulevant du sol comme elle semblait en avoir pris l'habitude. La vue des deux femmes s'embrassant voluptueusement réveilla tous les sens de Loïc . il les enlaça à son tour et elles lui roulèrent un patin à tour de rôle.

« Vous voulez boire quelque chose ou direction la chambre tout de suite?» demanda Léa.

« la chambre » répondit Lucie, vous devez déballer vos cadeaux!»

Une fois dans la pièce, Lucie prit la direction des opérations : elle fit asseoir le frère et la sœur sur le lit tandis qu'elle se campait devant eux . Elle déboutonna son imper et le laissa glisser au sol. Loïc déglutit bruyamment tandis que Léa poussait une exclamation de ravissement

« Lucie, c'est sensass! »

Ladite Lucie virevolta sur elle-même pour faire admirer son fessier mis en évidence entre les bas et le bustier avant de refaire face aux deux jeunes gens. Léa en avait profité pour extraire la verge de Loïc du bermuda et la masturbait vigoureusement.

« Tout doux ma biche » s'exclama Lucie, « j'ai des projets pour cet obélisque!»

Elle se rapprocha du lit et laissa les tourtereaux se repaître l'un après l'autre de ses seins aux mamelons érigés par le frottement de l'imper avant de pousser Loïc à plat sur le lit. Si ce dernier espérait un coït rapide pour apaiser ses sens, il dut être déçu car Lucie commença à farfouiller dans son sac à malices d'où elle sortit deux paires de menottes dont elle se servit pour attacher chacun de ses poignets aux montants du lit. Loïc compris immédiatement qu'il serait à sa merci et ne pourrait compter que sur le bon vouloir d'une de ses amantes pour venir à bout de son érection.

Il n'était pas au bout de sa déconvenue . Lucie exhibait maintenant trois objets en forme de double cône et un tube de gel. Elle leur expliqua :

« Ca, ce sont de vrais plugs anaux et vous allez m'en dire des nouvelles! » « Elle en tendit un, le plus fin, à Léa en disant « Viens , je vais te montrer comment t'en servir : d'abord, tu l'enduit de gel ... et maintenant, enfonce-le dans le petit trou de ton copain. Tu vas prendre sa virginité avant qu'il ne prenne la tienne , hi hi »

Choqué, Loïc serrait les fesses et refusait l'entrée du plug dans ses fesses. Lucie le regarda d'un air sévère :

« Si tu ne te laisses pas faire, non seulement on va te laisser te débrouiller avec ta bite d'âne en rut mais en plus, quand tu cèderas, j'emploierai un plus gros! »

Penaud, Loïc se décontracta quelque peu et Léa en profita pour présenter le gode à l'orée de son anus. Prise de pitié pour son frère-amant-victime, elle prit le gland gonflé dans sa bouche, distrayant un peu son attention tandis qu'elle poussait le plug dans ses entrailles.

« OK » dit Lucie, « laisse le s'habituer, on va s'occuper de nous »

Et pendant que Loïc essayait de s'adapter au double inconfort du plug qui lui distendait le rectum et de sa verge toujours aussi raide, Lucie tendit le gode de taille moyenne à Léa tout en se penchant pour lui donner accès à son cul. Léa ne se fit pas prier ; elle enduisit le plug et l'enfourna dans l'anus de Lucie qui le laissa passer avec une facilité qui en disait long sur ses mœurs. Une fois l'engin fiché dans ses tréfonds, cette dernière dit à Léa . « A ton tour maintenant ma chérie mais je te préviens, je t'ai réservé le plus gros. Si tu veux un jour accueillir le monstre de ton amant, il va falloir t'habituer à ce genre de calibre »

A ces mots, Loïc ne se tint plus . Lucie proposait à sa sœur de se laisser enculer . C'était un fantasme qui peuplait ses rêves masturbatoires mais il n'avait jamais cru qu'il pourrait un jour être à même de l'assouvir. Il était tellement excité qu'il ne se rendait pas compte que ses mouvements de bassin qui appelaient à la copulation, agissaient en même temps sur le plug qui allait et venait en lui comme une petite verge.

Lucie dénoua le chemisier de Léa puis ouvrit son short et glissa sa main à l'intérieur. Sa main se glissa jusqu'à la fente qu'elle découvrit trempée . Elle caressa légèrement le clitoris bien dressé hors de sa gaine puis ôta son short, fit s'étendre Léa aux côtés de son Loïc sur le grand lit et poussa un oreiller sous ses fesses. Elle commença à lécher la vulve et le clitoris qui s'offraient à elle pour aider la jeune fille à se relaxer. Ensuite, elle dirigea le gros plug bien enduit de gel vers le sphincter qui semblait déjà se dilater par anticipation. A sa grande surprise, Léa ne se contracta pas et au contraire semblait accueillir cette pénétration perverse avec délectation.

« Aaaaagh » gémit-elle sans que son amante ne décèle la moindre intonation de douleur, « c'est trop bon de se faire baiser » « Et tu n'as pas encore connu le meilleur » pensa Lucie.

Léa avait agrippé le sexe démesurément tendu de Loïc et le serrait convulsivement tandis que le plug achevait de se ficher dans son anus totalement dilaté comme pour se faire à l'idée de ce qui l'attendait. Mais les plans de Lucie ne s'arrêtaient pas là : elle obligea Léa à se redresser, adossée à l'oreiller, entremêla ses jambes aux siennes de façon à ce qu'elles soient assises face à face, leurs sexes béants à quelques centimètres l'un de l'autre et les plugs complètements enfoncés en elles. Lucie pelota les seins de sa jeune amante qui lui rendit la pareille avant de prendre l'initiative de caresser le clitoris de son aînée . Loïc tressautait maintenant comme si il recevait décharge électrique sur décharge électrique. Il ne sentait même plus le plug qui lui fouillait les entrailles ; tout son être était concentré dans sa verge qui appelait désespérément à la jouissance. Après s'être caressées comme deux chattes en chaleur, les deux filles se laissèrent aller presque simultanément à l'orgasme qui leur embrasait le ventre. Lorsqu'elles revinrent à elles, Lucie prit le jeune homme en pitié et dit à Léa, « Viens, il a assez souffert, on va lui faire un duo » . elles s'accroupirent de part et d'autre du garçon et réussirent à s'embrasser en englobant entre leurs bouches le gros gland violacé et caressèrent, l'une ses couilles, l'autre sa verge. Loïc ne résista qu'une minute à ce traitement ; il se cabra et se vida à gros bouillons dans leurs bouches gourmandes .

Il retomba sur le lit les yeux clos. Sa verge enfin soulagée se ramollissait à vue d'œil et Lucie, désappointée, fit remarquer

« Je suis un peu déçue, je le pensais plus résistant notre bel étalon »

Léa voulut défendre son frère et rétorqua

« Il a déjà tellement donné le pauvre mais je crois que j'ai une idée pour le refaire bander comme un bouc »

Elle se dandina vers la salle de bains , la démarche rendue malaisée par le gros plug qui lui perforait toujours les fesses. Elle revint moins d'une minute plus tard vêtue du slip de la veille dans lequel elle s'était caressée et avait joui abondamment.

« Donne-moi 30 secondes et tu auras de nouveau de quoi te satisfaire »

Léa s'accroupit à califourchon au-dessus du visage de son frère qui avait une vue imprenable sur la bosse que faisait le plug anal qui saillait sous le slip déjà trop étroit de sa mère et, en même temps, il vit les doigts de sa sœur entamer une danse infernale de l'autre côté. Dans les 30 secondes imparties, sa verge était à nouveau roide. Ce slip était décidément un aphrodisiaque des plus puissants.

Lucie ne se fit pas prier et vint s'empaler sur son sexe en poussant un premier cri de plaisir. Elle était encore toujours émerveillée par les dimensions du phallus qui l'emplissait toute, faisant frémir des zones de son vagin dont elle ne soupçonnait pas l'existence jusqu'alors. Rapidement, elle se mit à gémir puis à crier à chaque coup de boutoir du garçon à nouveau excité. Enserré entre les jambes gainées de soie , il caressait le bustier, remontant lentement vers les petits seins mis en valeur par les balconnets push-up.

Lucie voulait faire durer cet accouplement le plus longtemps possible mais la vue de Léa se masturbant face à elle ne lui facilitait pas la tâche. De même que les seins de la jeune fille qui ballotaient à portée de ses mains et bientôt dans ses mains ... Elle se cassa en deux sous le coup d'une jouissance presque insoutenable . Elle s'accrochait aux mamelles de Léa qui elle-même n'en pouvait plus et inonda son slip.

Malgré les contractions autour de sa verge et les enivrantes odeurs qui s'échappaient du slip au-dessus de son nez, Loïc ne jouit pas. Il en était à sa cinquième éjaculation de la journée et commençait à reprendre le contrôle de ses sens. De plus, il avait la ferme intention de garder des réserves pour faire rendre grâce aux deux diablesses qui se disputaient son corps.

Léa se dégagea et proposa à ses amants d'aller chercher des rafraîchissements, ce que l'une et l'autre acceptèrent avec enthousiasme. Toujours vêtue du slip du délit, elle se dirigea vers l'escalier tandis que Lucie s'écroulait sur la poitrine du garçon. Cette dernière décida de profiter de l'absence de la jeune fille pour vérifier un soupçon.

« Lolo, Léa est ta sœur n'est-ce pas?»

« Comment as-tu deviné « demanda à son tour le garçon rougissant

« Pas bien difficile, vous vous ressemblez tellement et tu es beaucoup trop à l'aise dans cette maison que pour prétendre n'y être qu'un invité! »

« Tu n'es pas choquée? »

« Non, avec vous , l'inceste semble tellement naturel et puis, tant que vous n'avez pas d'enfant ensemble, ce n'est pas encore trop grave. Mais on devra être très très discrets d'autant plus que je suis votre complice maintenant! »

Quand Léa revint dans la chambre, chargée d'un plateau rempli de verres, de canettes et de restes de pizza froide, son frère l'accueillit en disant