Les Jumeaux Croisés 11

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 11.
11.2k mots
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Partie 11 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
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Chapitre 11 : L'Evolution

Cécile s'émerveillait de la facilité avec laquelle elle et Jean s'étaient adaptés à l'irruption d'Anne-Marie dans leur couple. Ce n'était pas seulement sexuel quoique leur libido ait été solidement fouettée par la concurrence amoureuse au sein du triangle. Quand ils ne faisaient pas l'amour à trois, il y avait tôt ou tard un couple homme-femme ou femme-femme qui se formait pour se donner mutuellement du plaisir.

Mais leur relation avait aussi mis en avant une forme de complémentarité sentimentale et affective entre la fougue un peu tourmentée d'Anne-Marie et la maturité parfois légèrement teintée de lassitude des deux quadras. Après une seule semaine de vacances -- et quelle semaine- Cécile n'imaginait plus une vie sans la jeune 'seconde épouse' . Le sobriquet ironique était devenu un titre affectueux au point qu'elle avait commencé à lire des articles sur la vie des Mormons jadis polygames pour comprendre comment faire marcher un ménage à trois.

Un des points qu'elle avait voulu discuter discrètement avec Jean était celui de l'activité d'Anne-Marie au cabinet mais son mari l'avait devancée. Ce n'était pas pour rien que leur cabinet de conseils marchait si bien ; il avait toujours un coup d'avance.

« Au point où nous en sommes dans notre relation » lui avait-il expliqué « nous ne pouvons pas garder notre compagne comme stagiaire. Si elle reste stagiaire, notre vie amoureuse va en pâtir mais nous ne pouvons pas lui confier des responsabilités sans relever le niveau de ses qualifications. Je vais lui proposer un marché : elle devient CDD, elle passe des cours du soir de compta puis d'audit aux frais du cabinet et, après son diplôme, elle devient CDI puis associée. Ou bien, si elle n'en a pas le courage ou ne se sent pas capable de réussir les examens, je lui trouve un job moins qualifié dans une de nos entreprises clientes et elle quitte le cabinet mais reste toujours avec nous. »

« Cela me semble bien pensé » réfléchit sa première épouse à voix haute « de mon côté, je me suis dit qu'on pouvait aménager les combles en studio pour qu'elle puisse y avoir un minimum d'intimité. En attendant, elle pourrait prendre la chambre d'amis. En semaine, on jouera à lit musical comme maintenant et le week-end, quand les enfants reviendront, on fera chambres à part. Mais il reste un point important sur lequel elle doit sérieusement méditer .. »

« Qui est? » s'enquit son mari intrigué.

« Elle a 21 ans, à peine plus âgée que nos propres enfants. Nous en avons quarante. Pour le moment, tout va bien, nous sommes en forme et en pleine santé. Mais dans dix ans , nous commencerons à décliner alors qu'elle entrera dans la fleur de l'âge. Et dans vingt ans, elle se retrouvera avec un couple de petits vieux alors qu'elle aura notre âge actuel avec tout ce que cela suppose de désir et de vigueur »

« Tu n'es pas un peu pessimiste? »

« Jean, cette fille en a déjà bavé dans la vie. Je ne veux pas qu'elle finisse comme infirmière de deux grabataires. Si nous décidons de mener à bien ce projet de vie commune, il faudra lui laisser une porte de sortie. Peut-être devra -t'on l'encourager à ne pas refuser une relation latérale le jour où nous commencerons à décliner »

« Vu comme cela , cela m'a l'air affreusement rationnel et dénué de sentiment mais tu as raison. Le tout sera de lui faire comprendre que nous ne voulons surtout pas la rejeter. Tu te rends compte qu'elle a un énorme besoin d'attachement réciproque? »

« J'en suis parfaitement consciente mais nous ne lui assènerons pas tout en même temps. Carpe diem! »

Cécile termina la préparation de l'apéro , mit les verres, la bouteille de rosé réfrigérée et les zakouski sur un plateau et rejoignit ses conjoints sur le bord de la piscine. Ils étaient tous trois en maillot vu qu'ils partageaient la piscine avec la famille du propriétaire ; famille au demeurant fort sympathique mais dont la présence les empêchait de se livrer au naturisme sans parler de leurs jeux érotiques. Heureusement, Emile leur avait déjà annoncé qu'ils iraient passer la journée du dimanche au bord du lac et qu'ils auraient la libre disposition des lieux. En attendant, elle déposa le plateau sur la table à l'ombre d'un platane et appela Jean qui faisait des longueurs tandis qu'Anne-Marie quittait son transat pour la rejoindre.

« Pfou, ça plombe » dit la jeune fille en se saisissant du verre de vin que Cécile lui tendait. Mais elle faillit le laisser tomber lorsque Jean vint s'ébrouer à ses côtés ; l'aspergeant d'une eau qui semblait glacée au contact de sa peau brulante.

Après avoir siroté son verre de vin, Jean attaqua le sujet de leurs plans pour leur vie future. Anne-Marie eut d'abord l'air terrifiée, persuadée que le couple voulait l'éjecter de leur vie et il a fallu toute la force de persuasion du conseiller pour la convaincre qu'au contraire, ils faisaient tout pour l'installer à demeure dans leur existence et que le choix lui incombait.

« Comprends-nous bien ma chérie » disait-il, « nous voulons te garder avec nous dans notre vie amoureuse et si possible au cabinet mais pour le cabinet, tu vas devoir suivre une formation . Nous sommes persuadés au vu de ce que tu nous as montré que tu peux devenir audit sans problème si ce n'est que tu devras travailler dur mais nous t'aiderons. Si tu n'en n'as pas envie, je te trouverai un job plus relax, ne t'en fais pas! Mais quel que soit ton choix, tu habiteras avec nous. Je suis persuadé que les enfants ne broncheront pas. Après tout, ils ont déjà un pied hors de notre foyer »

Anne-Marie était passée des larmes de détresse aux larmes de joie et Cécile s'employait à les récupérer du bout de la langue.

« Désolée mais je n'ai pas l'habitude que l'on se donne autant de mal pour moi. » sanglota -t'elle.

Jean vérifia qu'aucun des nageurs de la piscine ne pouvait le voir et embrassa la jeune femme passionnément. Elle noua ses bras autour de son cou et répondit à son baiser comme si sa vie en dépendait . Cécile se leva et vint les enlacer également. Entre ses deux aînés, Anne-Marie était prise dans un cocon d'affection tumultueuse. Et elle finit par dire

« Aimez-moi , faites-moi l'amour , s'il vous plaît »

Abandonnant leurs verres de vin et les zakouski, ils rentrèrent dare-dare dans le gîte. Jean était tellement excité qu'il aurait bien pris sa jeune compagne à même le sol du living room mais il devinait instinctivement qu'une séance trois sur le grand lit serait nettement plus appropriée pour la rasséréner.

Cécile et lui se couchèrent de part et d'autre de la jeune femme et la caressèrent avec tendresse sur toute la surface de son corps puis de plus en plus sensuellement jusqu'à ce qu'elle explose de bonheur, versant encore quelques larmes de joie.

Puis Jean lui écarta les jambes et la pénétra en douceur tandis que Cécile embrassait les petits seins pointus avant de venir s'installer au-dessus de la tête de la deuxième épouse, présentant ses fesses à son homme et soumettant sa vulve à la langue toujours aussi experte de sa compagne . Anne-Marie entoura de ses jambes les reins de son amant pour l'attirer au plus profond de son vagin pendant que sa langue se déchaînait sur la vulve et le clitoris de son amie-amante-patronne-co-épouse ou quel que soit le titre qu'elle pouvait lui donner. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait aimée et en sécurité, un peu comme une petite fille avec des parents aimants. Elle voulait leur livrer son corps entier sans retenue pour les remercier de leur affection et de leur tendresse.

Jean avait les plus grandes peines du monde à se contenir. Outre le gant de velours chaud et humide et qui enserrait la verge, il avait devant les yeux la croupe bondissante de sa Cécile qui semblait l'inviter à la prendre séance tenante. Il regrettait de ne pas avoir deux bites pour pouvoir faire l'amour à ses deux femmes à la fois.

Cécile craqua la première, criant sa joie et inondant la langue d'Anne-Marie de ses sécrétions orgasmiques. Le son de sa femme en pleine jouissance déclencha l'éjaculation de Jean sans qu'il réalise vraiment qu'il avait atteint le point de non-retour ; il naviguait déjà dans un tel océan de félicité que la délivrance ne lui sembla qu'une péripétie. Mais les giclées de sperme ne furent pas perdues pour Anne-Marie puisque la chaude sensation et les spasmes de la verge contre sa matrice déclenchèrent en elle un orgasme de de première grandeur.

Cécile qui s'était accrochée au mur au moment suprême pour ne pas tomber sur ses compagnons de lit et de vie revint se coucher aux côtés d'Anne-Marie pour reprendre son souffle pendant que leur mari reprenait sa liberté pour venir s'affaler de l'autre côté. Seule la plus jeune ne bougea pas, savourant les vestiges de son orgasme et la douce chaleur des deux corps qui l'entouraient.

Voyant qu'Anne-Marie avait retrouvé son assurance, Jean revint à la charge et expliqua les détails de son plan pour l'intégrer dans la gestion de leur petite entreprise

« L'idée générale, c'est que tu reprennes la gestion quotidienne de la boîte à Cécile qui elle reprendra le suivi d'une partie des clients mais pour cela, tu as besoin d'un diplôme car tu verras que notre structure est beaucoup plus compliquée qu'on pourrait le penser vu nos participations dans certaines spin-off. Cela demande une consolidation comptable qui n'est pas à la portée d'un simple gestionnaire comme Thierry »

« Mais tu crois que j'en serai capable?»

« Ma belle, un de mes talents est de savoir jauger les gens tout en séparant l'affectif des affaires . Si je te fais cette proposition à toi plutôt qu'à notre fidèle gestionnaire, c'est que je crois que tu as le potentiel pour y arriver et lui pas. Et ce n'est pas parce que je préfère ton cul au sien » ajouta-t'il d'un ton salace.

« Comment sais-tu que tu préfères le cul de MaMie » demanda Cécile, « tu ne l'as même pas essayé »

« C'est vrai » répliqua Jean songeur « Il faudra réparer cette erreur un de ces jours »

« Tu veux m'enculer?» demanda Anne-Marie d'une toute petite voix

« Bien sûr qu'il veut te prendre par le petit trou » continua Cécile « Quel homme ne voudrait pas -- ou quelle femme? Moi j'en ai aussi envie en tout cas »

« Mais Cécile, personne ne m'a jamais ne fut-ce que mis le doigt de ce côté »

« Haha mais tu ne perds rien pour attendre ma chatte! Jean, ou as-tu mis le lubrifiant? »

Jean se hâta vers la salle de bain et revint avec le fameux tube.

« Regarde MaMie, tu vois quel effet cela lui fait? Il bande de nouveau comme un taureau »

« Cécile ... j'ai un peu peur »

« Ne t'en fais pas ma douce, aujourd'hui le grand vilain enculeur ne te touchera pas ; je vais me sacrifier pour toi. Par contre, tu vas me laisser explorer ton fondement! »

Elle prit le tube des mains de Jean et s'enduisit le majeur de gel. Puis elle vint se placer à genoux entre les jambes d'Anne-Marie et , se penchant en avant, elle lécha la vulve de la jeune fille tandis que son doigt partait à la conquête du petit trou resserré.

« tss, détend-toi ma pouliche, je ne te ferai pas de mal »

Elle dut néanmoins forcer le passage malgré l'étroitesse de son doigt alors elle continua à lécher son amie en laissant son doigt immobile dans l'anus contracté jusqu'à ce qu'elle sente le conduit se relâcher. Elle commença alors un minuscule va et vient dans le rectum, juste histoire de l'habituer à cette présence insolite.

Pendant ce temps, Jean avait récupéré le tube de gel et s'en était copieusement enduit le sexe qu'il présenta à l'orée de l'anus de sa première épouse. Celle-ci interrompit sa mini sodomie.

« Ouh ma biche! Viens voir notre mari. Il va me sodomiser avec son grand machin tout raide ; vient voir comme il disparaît entre mes fesses et me pénètre »

Anne-Marie, abandonnée par Cécile, pris l'initiative de pivoter sur elle-même et de ramper sur le dos jusqu'à ce que son visage arrive sous le bassin de son amie. De là, elle voyait parfaitement la grosse bite de leur seigneur et maître qui s'introduisait lentement entre les fesses de son aînée. Anne-Marie gémit devant ce spectacle inaccoutumé pour elle puis geignit carrément quand Cécile se lança à l'assaut du clitoris qui lui était offert. Comprenant le message, la cadette s'en prit elle aussi au clito qui resplendissait au-dessus d'elle tout en caressant les couilles de l'enculeur et le bout de verge qui n'avait encore point pénétré l'anus de Cécile.

Jean émettait déjà des grognements de plaisir. La sensation des petites mains d'Anne-Marie le stimulait encore plus que la vue de sa bite entre les fesses de sa femme. Il était heureux d'avoir déjà joui et comptait bien sur sa sensibilité amoindrie pour profiter de ce cul somptueux aussi longtemps que possible.

De son côté, Cécile n'avait pas encore dit son dernier mot et son majeur reprit la direction de l'anus de sa jeune partenaire et força à nouveau le sphincter mais beaucoup plus facilement cette fois. Etait-ce le léchage en règle de son clito ou l'excitation causée par le spectacle de l'implacable sodomie qu'elle subissait, elle ne le savait trop mais les petites fesses d'Anne-Marie s'ouvraient plus docilement à la pénétration de son doigt. Cécile tenta même un deuxième doigt qui rejoignit le premier quasi sans effort! La petite perverse commençait à prendre goût aux plaisirs arrières!

Anne-Marie ne soutint d'ailleurs pas très longtemps pareil régime d'agressions sensorielles et elle jouit en hurlant « CECILE, JEAN! JE VOUS AIME! JE JOUIS ... POUR VOUS AAOOW! » Provisoirement incapable de continuer ses caresses, elle ne put empêcher Jean d'accélérer le rythme de la sodomie qu'il imposait à sa Première Epouse ni de pousser ses pénétrations jusqu'au bout de sa bite. Jean commentait ses exploits « Oui ma chatte, tu sens que je te prends à fonds. Aaah, je prends mon pied. J'adore ton cul » Cécile ne voulait pas en être de reste et décida d'exciter encore plus son mari « Mais moi j'encule notre petite MaMie ; j'ai deux doigts dans son petit cul bien serré et elle en demande encore! Bientôt tu pourras aussi l'enculer mon amour! Tu entends Jean, bientôt tu pourras enculer Anne-Marie »

Des images des jeunes fesses défilèrent devant ses yeux et Jean se cambra, donnant un ultime coup de reins pour se déverser dans le rectum conjugal en gémissant « AAAnne-Maaarie, c'est pour toi! »

Abandonnée de tous, Cécile était au bord de la crise de nerfs et elle se branla rapidement, rejoignant son mari dans l'orgasme au moment où sa bite était expulsée de son sphincter. La double sensation de l'orgasme et du soulagement ressenti par la libération de son anus fut tellement grandiose qu'elle s'écroula en balbutiant sur sa co-épouse.

Ce samedi soir, ils se rendirent à une fête locale dans un village voisin. Jean n'était pas peu fier de se frayer un passage parmi la foule avec deux des plus belles filles de l'assistance à ses bras. Anne-Marie avait conseillé Cécile quant à sa façon de s'habiller et de se maquiller et cette dernière paraissait dix ans plus jeune que lorsqu'elle revêtait ses habituelles tenues de soirée beaucoup plus guindées. Si la plus jeune ne portait pas de soutien-gorge, elle avait étonné son aînée en bricolant un des soutiens de Cécile pour le transformer en push-up. Le résultat n'était pas des plus confortables mais l'effet sous la blouse échancrée était parfaitement réussi. « Quand on n'a pas de fric, il faut apprendre à se débrouiller » avait-elle commenté. Jean avait roulé des yeux de merlan frit lorsque son épouse officielle lui avait demandé son approbation ; surtout lorsqu'elle ajouta « Et la jupe fuseau va très bien avec la blouse mais je n'ai pas pu mettre de slip ; ce serait trop disgracieux! » En riant, Anne-Marie avait dû l'aider à repousser leur époux qui voulait absolument la prendre séance tenante à même le capot de la voiture. Malicieuse, Anne-Marie avait alors demandé « Et moi, est-ce qu'on voit que je n'ai pas de soutien? » Jean avait hululé et s'était précipité dans la voiture pour ne plus être tenté par les deux diablesses.

La soirée fut un enchantement ; Cécile et Anne-Marie étaient sans cesse conviées à danser et même Jean se laissa faire par des demoiselles intéressées par cet homme mûr qui semblait avoir tellement de succès auprès de partenaires plus jeunes. Il eut beaucoup de mal à les convaincre que la plus âgée des deux jeunes filles était son épouse et qu'elle avait le même âge que lui.

Un peu plus tard dans la soirée, Cécile rejoignit leur table le rose aux joues et en souriant de toutes ses dents.

« Celui-là je l'ai bien eu » dit-elle

« Tu veux dire le jeune gars avec qui tu dansais?» demanda Anne-Marie

« Oui, il m'a fait danser sur un slow en me faisant sentir une bien belle érection et il m'a fait des propositions pour le moins explicites mais je lui ai répondu que je n'étais pas disponible, mon mari étant tellement viril que j'avais dû faire appel à ma jeune cousine pour m'aider à le satisfaire. J'ai même ajouté que je ne portais pas de slip pour qu'il puisse me prendre selon son bon plaisir. Tu aurais dû voir sa tête. Je parie qu'il s'est éclipsé pour aller se branler dans un coin en pensant à ce qu'il rate »

Jean se rengorgea « A la vitesse où vont les racontars dans un village comme celui-ci, j'aurai bientôt besoin d'un fouet pour repousser les donzelles »

'Ne t'en fais pas mon amour , MaMie et moi te défendrons ; elles devront nous passer sur le corps! »

« Et plutôt deux fois qu'une » renchérit la délurée.

« Et si on rentrait » demanda Jean, « j'ai bien envie de démontrer que Cécile n'a pas exagéré »

« Oh non, pas maintenant » supplia Anne-Marie, « je veux aussi en faire baver un ou deux »

Et au fur et à mesure que la soirée se poursuivait, Jean fut de plus en plus invité à danser tandis que les filles faisaient tourner la tête à leurs cavaliers.

« J'ai fait jouir le mien dans son slip » annonça fièrement Anne-Marie en revenant d'un slow particulièrement 'frotti-frotta'.

« Ce n'est pas juste » se plaignit Cécile, « avec la transpiration, on voit tes seins à travers ta blouse comme si elle était transparente! »

« Les filles, si on ne s'en va pas tout de suite, je vais finir par vous trousser et vous prendre l'une après l'autre sur la table »

« Oh chic! cela mettrait une ambiance folle » applaudit Anne-Marie.

« OK, on y va mais pas sans un dernier coup d'archet » dit Cécile « Donne-moi un coup de main pour défaire mon soutien MaMie » Elle se tortilla ensuite, fit un tour de passe-passe avec les bras et exhiba le soutien arrangé par sa jeune amie. Laquelle avait compris le but de la manœuvre bien avant Jean et s'était déhanchée sur sa chaise pour faire tomber son slip sur les chevilles. Mais au lieu de se baisser pour le ramasser, elle releva les jambes et le récupéra ainsi, les fesses à l'air .

« Maintenant on peut y aller » dit-elle.

Les deux femmes traversèrent la piste de danse bras-dessus, bras-dessous en exagérant leur démarche naturellement chaloupée, faisant tressauter les seins de Cécile qui avait défait un bouton supplémentaire de sa blouse pour être certaine de ne rien laisser à l'imagination des spectateurs transformés en voyeurs. Quant à Anne-Marie, les projecteurs de la piste passaient tels des rayons X à travers ses fins vêtements dévoilant son anatomie comme dans les pages centrales d'un magazine pour hommes.

Jean les suivait à quelques pas, bandant comme un cerf en rut derrière ses biches. « J'ai une chance phénoménale » se disait-il. « Beaucoup d'hommes donneraient cher pour avoir une compagne belle et intelligente. Moi j'en ai deux et ce sont des amantes exceptionnelles par-dessus le marché! »

Jean prit le volant tandis que les deux femmes s'installaient à l'arrière. Il fit un effort surhumain pour ignorer les bruits de succion et les gémissements qui ne tardèrent pas à remplir l'habitacle. Il fit le court trajet à la vitesse d'un pilote de rallye mais pas assez vite cependant pour empêcher Cécile de jouir bruyamment sous les doigts de fée de sa chère MaMie. Il arrêta la voiture devant le gite, ouvrit la portière arrière et arracha sa femme officielle de la banquette. Il la poussa à plat ventre sur le coffre arrière du véhicule et essaya en vain de trousser la jupe fuseau. A bout de patience, il la tira vers le bas. Le tissu céda sous la violence de la traction et Cécile se retrouva à moitié nue. Docile, elle cambra les reins, et Jean put enfin admirer sa chatte béante sous ses fesses . Il fit tomber son pantalon et son boxer à terre et la pénétra avec une violence mal contenue. Déchaîné, il attrapa la blouse et tira sur les flancs, faisant sauter tous les boutons et libérant les lourds seins qu'il pétrit sauvagement. Puis il la repoussa sur le coffre et sa poitrine s'écrasa sur le métal froid tandis qu'il la saisissait aux hanches et se mettait à la besogner avec fureur. Complètement subjuguée par cette étreinte primitive, Cécile acceptait la domination de son mâle dans ce coït brutal.