Les Jumeaux D'amour Ch. 08

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Tome II Chapitre 8.
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Partie 8 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 01/14/2015
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Chapitre 8 : Détournements

Les deux hommes avaient jeté Tara sur un matelas qui trônait au centre de la camionnette et l'un d'entre eux s'était couché sur elle, la clouant au matelas et immobilisant ses bras. Elle tenta bien de se débattre en agitant ses jambes mais il était trop lourd et son complice était déjà occupé à lui lier les mains qu'il attacha ensuite à un anneau d'ancrage fixé dans le carrosserie du véhicule.

La camionnette avait pris de la vitesse et le bruit du moteur étouffait complètement les bruits de lutte. Elle essaya de hurler mais une gifle interrompit net sa tentative. Puis un gros morceau de bande adhésive fut collé sur sa bouche et les seuls sons qu'elle parvint encore à produire se limitèrent à de faibles « mmh .. mmh! ».

Les hommes s'attaquèrent ensuite à ses jambes qui furent écartelées et l'une après l'autre et attachées à d'autres anneaux . Tara était maintenant complètement à leur merci. Son long manteau était grand ouvert et ni son ample jupe qui couvrait encore ses jambes, ni son gros pull-over ne pourraient longtemps résister à ses agresseurs. Sa position obligeait en outre les lèvres de son sexe à s'écarter sous son slip. Et elle gémit en pensant à la réaction des deux hommes quand ils s'en apercevraient.

Elle était totalement incapable de protéger son corps des mains avides qui commencèrent à l'explorer sans aucun respect pour sa pudeur. L'un d'eux palpa brutalement ses seins en poussant des grognements approbateurs tandis que l'autre avait passé ses mains sous sa jupe et se repaissait de la douceur de la peau à l'intérieur de ses cuisses.

Elle ne pouvait pas distinguer leurs visages dans la pénombre de la carlingue mais soudain l'un d'eux, celui qui martyrisait sa poitrine, prit la parole

« Tu vas regretter de nous avoir déshonorés, espèce de putain! »

(« KADER? Mon frère Kader?? » )

Elle tenta de répondre, de le supplier, d'implorer son pardon et son aide mais seuls de sourds gémissements passèrent l'obstacle du tape.

« Le cousin Abdel a la bonté de nous laisser l'argent mais il veut prendre ta virginité puis te vendre à un autre cousin qui tient un bordel à Paris pour compenser sa perte. Mais avant de t'expédier au bordel, il nous a dit qu'il nous laisserait prendre notre plaisir avec toi pour nous récompenser. Et moi le premier puisque mon Père t'a rejetée ; tu n'es plus ma sœur, juste une putain.

Mais avant ça, ma Mère m'a dit de vérifier si tu es toujours vierge. Elle ne croit pas qu'une dévergondée comme toi soit restée pure! »

Il retroussa sa jupe sous son nombril et passa un doigt sous son slip et l'infiltra dans le vagin contracté par le peur et sec comme le sable.

« Elle avait raison! Tu t'es donnée à un homme! Et certainement un infidèle! Heureusement que Mère prévoit tout! »

Il sortit un petit cutter de sa poche, écarta le slip et introduisit le rasoir dans le vagin de la jeune fille terrifiée. Elle sentit une, puis deux puis trois brûlures lorsque la lame entama légèrement ses tendres chairs .

« Voilà, cet imbécile d'Abdel sera heureux de voir du sang sur sa vieille bite et ne se posera pas de questions! »

Il rabattit la jupe et remit le cutter dans sa poche.

« Une impure comme toi ne mérite pas ma bite dans ce sexe de pute! Quand le cousin en aura fini avec toi, je t'enculerai! Tu as failli gâcher ma vie et tu dois le payer! »

Tara pleurait à chaude larmes, sans savoir si c'était à cause de la brutalité de son enlèvement, de la haine de son frère et de ses parents ou du sort qui l'attendait.

Sur ces entrefaites, la camionnette avait quitté l'autoroute et roulait à vitesse plus modérée. Le chauffeur finit par manœuvrer à angle droit et la carlingue s'assombrit encore jusqu'à ce que la double porte arrière ne soit ouverte par le chauffeur qui s'effaça pour laisser passer un gros homme qui avait bien 60 ans. Il n'était vêtu que d'une robe de chambre douteuse et s'exclama

« Elle est encore plus jolie que sur les photos! Je suis bien content d'avoir pris une triple dose de pilules, il faut que j'en profite jusqu'au trognon! »

Il se laissa tomber à genoux sur le matelas se releva le pull, entraînant la chemisette

« Elle est trop habillée! Kader, passe-moi un couteau! »

Kader lui tendit son cutter et le gros homme s'attaqua sans attendre au pull qu'il coupa en deux dans le sens de la hauteur. Il empoigna ensuite la chemisette et la déchira en gloussant. En apercevant les seins de la jeune fille couverts par un sage soutien-gorge blanc, qui tranchait sur sa peau bronzée, il gloussa de plus belle, lâcha le cutter et ses mains grassouillettes les malaxèrent les deux globes à travers le tissu.

Il récupéra le cutter et trancha net la bande qui reliait les bonnets du soutien. Il les écarta d'une main fébrile, mettant ses seins à nu. De la salive apparut sur ses lèvres et il se précipita sur les mamelons pour les sucer, les couvrant de bave avant de mordre un sein presqu'à sang et de faire ensuite subir le même sort à l'autre.

« MMMHH! MMMH! »

Le troisième homme se pencha et la gifla à nouveau

« Silence chienne! »

Abdel lui pinça cruellement les tétons l'un après l'autre avant de se redresser pour admirer son œuvre. Tara gémit en imaginant l'état de ses seins mais le gros homme n'en n'avait pas fini avec elle.

Il roula sa jupe autour de ses hanches et couina de plaisir en voyant le sage slip qui était le dernier rempart de son intimité. A nouveau, le cutter étincela dans la lumière blafarde qui passait à travers les portes ouvertes de la camionnette et il trancha le tissu le long d'une hanche, puis de l'autre côté et arracha le sous-vêtement en lambeaux. Ignorant le complot de Kader, il ne vit pas les quelques gouttes de sang qui maculaient l'entrejambe ou crut que c'était son cutter qui les avaient occasionnées.

Il ouvrit sa robe de chambre, dévoilant son gros ventre sous lequel dépassait à peine son sexe en érection. En d'autres circonstances, Tahira aurait trouvé Abdel pathétique mais ici, allongée nue ou presque, dans cette camionnette sordide, elle était terrifiée!

Il introduisit un doigt boudiné entre les lèvres désespérément sèches et dit à Kader

« Pour une pute, elle ne mouille pas beaucoup. Va me chercher le pot de graisse mécanique sur l'établi! »

Quelques secondes plus tard, le frère de Tahira tendait au patron du garage un pot d'une graisse jaunâtre dans lequel il plongea son sexe. Il jeta le pot sur le côté et s'étendit sur la jeune fille. Il eut les plus grandes peines du monde à présenter son sexe face à la vulve de sa victime et ses deux premiers coups de rein donnèrent dans le vide. Ce n'est qu'à la troisième tentative que son gland réussit à franchir l'étroit passage. Une fois à l'intérieur, il se hissa plus haut sur le corps de Tara, l'écrasant de son ventre au passage.

« MMMMMMHHHHH » gémit celle-ci désespérément, révulsée par la dégoûtante intromission dans sa délicate intimité. Malgré la graisse immonde, elle avait l'impression que son sexe était passé au papier de verre de par les coupures causées par son soi-disant frère et par la sécheresse totale de sa chatte qu'aucun lubrifiant ne pourrait rendre accueillante.

Le gros homme n'en avait cure et faisait des pieds et des mains pour accentuer la pénétration de sa verge trop courte.

Son visage arrivait juste à la hauteur des seins de la jeune fille et il les mordit à nouveau pour prendre le rythme de son désir abject. Ses grosses fesses s'agitèrent alors comme de la gelée dans un train de banlieue . Il finit par glapir sa jouissance en éjaculant quelques gouttes au fond du vagin martyrisé . Il se retira et contempla sa verge couverte de sang et triompha

« Elle n'est plus vierge! J'ai pris sa jeunesse! On ne se moque pas d'Abdel al Sharif!»

Kader se coucha à côté de sa sœur et se mit à la tourmenter

« Ce n'est que le début, salope, je vais bientôt t'enculer et tu vas comprendre que tu n'aurais jamais dû me trahir. Je vais prendre ton cul de femelle ingrate et tu vas payer pour toutes les putes qui m'ont ignoré jusqu'à maintenant! Tu vas enfin retourner à ta place! Tu n'es qu'un trou destiné uniquement à soulager un homme! »

Il attendit qu'Abdel soit descendu de la malheureuse pour la tourner sur le flanc et ouvrit sa braguette, libérant son sexe qu'il enduisit à son tour de la graisse trop vieille. Il s'introduisit dans l'anus sans défense et commença à sodomiser sa propre sœur. Il ahanait vers un plaisir trop rapide quand il eut l'impression que son complice qui gardait la porte de la camionnette s'envolait.

Il entendit le bruit un peu écœurant d'os qui se brisaient mais ne réagit pas tout de suite , trop préoccupé par la poursuite de l'humiliation de son ex-sœur. Lorsque la carlingue s'obscurcit à nouveau, il était trop tard. Une gigantesque main noire saisit sa gorge et l'arracha à sa victime pour le jeter en dehors du véhicule . Il tomba à quatre pattes sur le sol, juste à temps pour recevoir un violent coup de pied dans les testicules qui lui fit pousser un cri strident qui n'avait plus grand chose d'humain.

Un moment plus tard, Abdel atterrissait à son côté avant qu'un colosse noir ne ressorte de la camionnette pour lui asséner un violent coup sur la nuque avec une matraque télescopique.

Loïc monta alors à bord et se précipita vers Tara. Il trancha ses liens avec un énorme couteau de combat trouvé dans la mallette de Toussaint. La malheureuse se mit en position fœtale et plaqua ses deux mains sur son bas ventre ensanglanté en sanglotant convulsivement. Le garçon arracha le bas nylon qui lui enserrait le visage

« Tara, c'est moi, Loïc! C'est fini ma chérie, c'est fini! On va t'emmener à l'hôpital. C'est fini! »

Il referma le long manteau sur le corps blessé de son amie et la souleva dans ses bras et Il l'emmena hors du véhicule. A l'extérieur, Toussaint achevait de menotter les quatre hommes. Ce dernier lui dit « Passe-moi le coupe-coupe, porte la dans la voiture et reste avec elle, j'arrive! »

En fin de compte, Loïc attendit près de dix minutes que Toussaint ne réapparaisse, essuyant le coutelas sur un chiffon maculé de sang. Il ouvrit la petite mallette métallique qu'il avait emmené y rangea le coupe-coupe et en sortit un téléphone portable, un vieux modèle que Loïc n'avait jamais vu. Il composa un numéro court et dit avec un accent africain qui n'avait rien à voir avec son parler normal

« C'est pouw vous diwe une bagawe tewible au gawage de Nowd. Wenez wite! »

Puis il jeta le téléphone devant l'amas de corps et démarra. Loïc était sur le siège arrière avec Tara. Il lui caressait les cheveux et l'avait recouverte d'une couverture de survie qui faisait partie du matériel très spécial entreposé dans le coffre de la voiture. Toussaint lui dit :

« Téléphone à Léa, qu'elle aille au CHRU et nous attende à 50 mètres en-dessous de l'entrée des Urgences avec une chaise roulante. Nous ne pourrons pas aller jusqu'à l'entrée à cause des caméras ; je ne veux pas être repéré. La police aurait trop de questions à poser vu l'état des bonshommes et le petit cadeau que je leur ai laissé. »

« Quel cadeau? »

« Mon patron m'avait signalé qu'Abdel est soupçonné de trafic de drogue. Ce salopard m'a spontanément avoué où se trouvait son stock et j'en ai mis une partie à côté de ces messieurs pour que les flics n'aient pas à chercher trop longtemps.. »

« Spontanément? »

« Au troisième doigt! »

Léa était au rendez-vous mais en compagnie de Gabi de Cécile et d'Anne-Marie. Les trois européennes étaient en larmes et c'est Gabi qui prit la direction des opérations. Poussant la chaise, elle mena la petite caravane jusqu'aux urgences tandis que les garçons repartaient incognito.

« Tu as l'adresse des parents? » demanda Toussaint

« Je sais où ils habitent. Qu'est-ce que tu veux faire? »

« Quelques photos au téléobjectif que j'imprimerai pour leur envoyer un message d'avertissement »

« Tu es sur que tu es un réfugié du Mali et pas une sorte d'agent secret? »

Le géant rit sans joie

« Tout-à-fait sur. Mais entre mes copains militaires et Claude, j'ai eu d'excellents professeurs... Et ce que j'ai vécu au Mali m'a appris à apprendre ... très vite! »

« Je me demande si je n'abandonnerais pas le hand ball pour un sport de combat .. »

« C'est certainement plus utile et tu as une bonne morphologie. Tu devrais pouvoir progresser assez vite. »

Pendant que les infirmières s'occupaient de Tahira, Cécile téléphona à Fatima et lui expliqua la situation. La logeuse de Tara travaillait et ne pouvait venir tout de suite mais Cécile lui assura que Tahira serait bien entourée jusqu'à son arrivée. Moins d'une heure plus tard, Karim débarquait et Léa, sentant que Tara était heureuse de le voir, lui céda sa place à ses côtés.

Le garçon sentit une colère noire l'envahir en voyant le ravissant visage boursouflé par les gifles dont une avait causé un imposant hématome autour de l'œil. Tara ne lui parla pas de ses autres blessures et il n'osa pas poser de questions mais elle lui prit la main et la garda.

Cécile et les autres, qui avaient été rassurées par la doctoresse quant à la guérison future de la jeune fille, lui dirent au revoir et le quatuor se sépara. Léa et Gabi retournèrent vers l'appartement tandis que Cécile et Anne-Marie s'en allèrent chercher Jean pour rentrer le plus vite possible à la villa.

Toussaint et Loïc étaient déjà de retour lorsque les filles rentrèrent. Elles les embrassèrent et les appelèrent « leurs héros » quoique Loïc se défendit de tout héroïsme et attribua tout le mérite à son 'grand frère'.

Chargés d'adrénaline comme ils l'étaient, les garçons avaient une folle envie de faire l'amour mais cette envie était loin d'être partagée par leurs compagnes toujours sous le choc de l'agression de leur amie.

Bonne fille, Léa proposa un compromis et bientôt, elle et Gabi étaient à genoux devant leur homme respectif et mettaient tout leur talent dans une fellation somptueuse. Toussaint fut une fois de plus le premier à jouir car il ne pouvait jamais contrôler son excitation lorsqu'il voyait se grande verge noire disparaître dans la bouche de Léa, l'européenne. Et ses mains qui branlaient son membre ou caressaient ses lourdes bourses ne l'aidaient en rien à freiner la montée de son plaisir.

Il jouit en beuglant tandis que Loïc commençait seulement à haleter et Toussaint put ainsi assister, apaisé, à la jouissance de son ami qui éjacula tellement de foutre dans la bouche de sa sœur qu'elle ne parvint pas à tout avaler. Léa se précipita pourlécher le visage de sa belle-sœur et finit par l'embrasser.

« On devrait appeler ça ' La Cérémonie de Partage du Sperme' « ironisa Loïc.

« J'espère que vous en avez profité parce que cette nuit, je veux dormir avec Léa » dit Gabi « J'ai besoin de tendresse féminine après ce déluge de violence des mâles! »

« Moi aussi » ajouta Léa « On prend la petite chambre ; vous pouvez dormir dans la grande ou un dans la grande et l'autre dans l'appartement du 2ème , c'est comme vous voulez! »

Les garçons se regardèrent puis décidèrent de ne pas décider tout de suite mais de boire une bière pendant que les filles occupaient la salle d'eau . Elles repassèrent leur souhaiter la bonne nuit ; Gabi vêtue d'un T-Shirt de Loïc et Léa en tenue d'Eve comme d'habitude et se dirigèrent main dans la main vers leur chambre. Ils finirent leur bière puis prirent une douche eux aussi pour se débarrasser des miasmes de la journée et se mirent aux aussi au lit .

Mais ils ne purent fermer l'œil car, comme si la fermeture de la porte de leur chambre était un signal, ils entendirent un concert de gémissements tout ce qu'il y a de plus sexuel dans la chambre voisine et en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, le drap de leur lit était soulevé par deux mats .

Enhardi par leur précédente masturbation mutuelle, Loïc rabattit le drap et s'empara de la verge noire

« Viens frérot, on n'a pas toujours besoin de ces dames pour se donner du bon temps »

Toussaint, avec une certaine réticence, posa sa grande patte autour de la bite blanche et commença à lui rendre ses caresses.

« Tu crois que c'est Léa qui est au-dessus et Gabi en-dessous ou l'inverse? » demanda-t'il

« Tu te fais ton cinéma porno dans ta tête? A mon avis , elles sont sur le côté ; c'est la position favorite des lesbiennes, demande à Caroline! »

« Aaaaahhh »

Un hurlement leur parvint depuis la chambre voisine et les deux membres se roidirent encore davantage.

« Ca c'était Gabi! » dit Toussaint les yeux fermés ; imaginant sa sœur en train de jouir

« J'aime la lécher » commenta Loïc « Continue, tu me donnes beaucoup de plaisir »

« Tu as déjà ... sodomisé .. ma sœur? »

« aah Non! Pas encore mais .. elle va.. bientôt y passer ... Chaque fois .. que je vois .. la cambrure .. de ses reins .. et ses petites.. fesses ... poussées en arrière ... J'ai envie .. de la sodo .. miser .. aah .. de l'enculer! Et toi avec Léa? »

« On a essayé .. mais rien qu'en .. m'approchant .. de son beau .. cul blanc ... j'ai joui.. sur ses fesses .. ooh j'ai joui ... LOÏC! »

« Viens frérot .. donne-moi ton .. sperme ... aah ... oui ... tout ce sperme ... blanc sur ton .. corps d'ébène! »

« Gabiiii!» . Encore un cri de jouissance dans la chambre à côté!

« Léa! Toussaint .. moi aussi ... je viens ... aaah mon foutre .. sur .. ta .. main ... noi ...! »

Les garçons se tournèrent l'un vers l'autre et se serrèrent convulsivement ; leurs bites encore agitées de spasmes crachant encore de faibles quantités de semence qui se répandait sur la peau de l'autre.

A la grande surprise de Loïc, et malgré ses deux éjaculations précédentes, il ne débandait pas! Il sentait par contre le contact de la grande bite noire contre son ventre et sa propre verge collée contre elle et cela l'excitait autant que s'il avait été en train de faire l'amour à Gabi.

Il raffermit leur étreinte et donna des petits coups de reins pour faire glisser sa verge sur les abdominaux de Toussaint dont le ventre inondé de leurs deux semences était délicieusement glissant. Son amant ne disait rien mais il bandait tout aussi furieusement que son 'petit frère'. Loïc avait envie de l'embrasser mais ne parvenait pas à franchir le pas. En tant que mâle hétéro, il était allé aussi loin qu'il se sentait capable d'aller dans l'acte d'amour homosexuel.

Leur excitation retomba graduellement et ils finirent par se calmer et même s'endormir , brisés par le torrent d'émotions de cette journée.

Vers 23h30, une silhouette corpulente se glissa dans la chambre de Tahira. Elle dormait et Karim s'était assoupi lui aussi dans le fauteuil. Fatima avait le visage baigné de larmes quand elle s'assit sur une chaise à côté du lit et contempla un long moment sa protégée au sortir de son calvaire .

Comme avertie par un sixième sens d'autant plus en éveil après son viol, Tara se réveilla et vit sa logeuse à ses côtés

« Fatima .. mais que faites-vous ici? »

« Tu ne pensais pas que j'allais passer devant l'hôpital sans venir prendre de tes nouvelles? »

« Mais je veux dire, comment avez-vous fait pour entrer à cette heure-ci? »

Fatima montra son cache-poussière « Qu'est-ce qui ressemble plus à une technicienne de surface qu'une autre technicienne? Personne ne nous prête attention! Comment te sens-tu ma pauvre chérie? Ils t'ont fait beaucoup de mal?»

« J'ai mal aux seins à causes de morsures et là où vous savez parce que mon fr .. parce que Kader m'a entaillée à l'intérieur pour faire croire au cousin Abdel que j'étais encore vierge mais ça commence à aller. Les médecins m'ont bien soignée. J'ai reçu des piqures d'antibiotiques et comme je prends la pilule, je n'ai pas à craindre d'être enceinte de ce vieux porc!

Il paraît que le plus dur a été de me débarrasser de la graisse pour machine qu'il ont utilisée pour me ... violer parce que j'étais trop sèche»

« J'espère qu'aucun d'eux n'a le SIDA! »

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