L'horrible Dette 04

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Marie est prostituée à la chaîne puis vendue...
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/30/2017
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Vic avait pris le haut parleur et, avec un sourire pervers, se mit à vanter les mérites de la femme mature, aux formes opulentes, présente à ses cotés. La femme avait la cinquantaine passée mais en faisait bien dix de moins. Son corps, exhibé nu, avait de légères rondeurs mais sa chair était moelleuse, sans vergeture ni ride comme si elle n'avait jamais vieilli et n'avait jamais subit de grossesse. Elle ne portait juste que des mules blanches à lanière et talon haut et on voyait que la femme avait bien pris soin de se peindre les ongles en rouge. Son visage maquillé à outrance évoquait celui d'une pute:Cheveux teint en noir, impeccablement maquillé avec un gloss rose magnifique mettant en valeur ses lèvres. Ses gros seins lourds, naturels, exhibés la rendait à la fois vulgaire mais terriblement sexy. Sa chatte était bien entretenue. Vic vantait donc les mérites de cette femme à un groupe d'une cinquantaine d'hommes en rut de toutes races et de tout âge. La seule chose qui les reliaient, c'était qu'en temps normal, jamais ils n'auraient pu se taper ce genre de bourgeoise car ils étaient tous sans le sou. Car oui, malgré son apparence de putain, cette femme était une bourgeoise mariée et qui plus est, s'avère être ...ma propre mère, celle qui m'a mis au monde et qui a accepté de se faire prostituer pour payer mes dettes de jeu. Vic avait décidé de la faire tapiner pour une somme ridicule pendant une semaine à la sortie des bars puis eut l'idée de louer un local délabré dans une zone industrielle à l'abandon. Il s'arrangea pour faire connaitre le lieu et installa un vieux matelas crasseux au milieu d'un local connu pour être un squat à junkie. J'étais pour ma part encadré par deux molosses afin que je n'en perde pas une miette. Vic tenait à ce que je vois ma mère se faire baiser à la chaîne pour quelques misérables euros. Son but était de me détruire psychologiquement afin de me faire regretter de ne pas avoir payer ce que je devais. Vic avait les mots pour exciter ses clients et les gestes aussi...D'abord, il passa derrière elle et se mis à malaxer les gros obus moelleux devant 50 hommes en rut.

-regardez! des vrais de vrais! ils sont gros, chauds et sans doute avaient quoi allaiter tout un régiment quand elle a eut ses gosses! d'ailleurs, son minable fils est là pour en témoigner!

Il me pointa du doigt et tous éclatèrent de rire. Déjà , j'entendais des quolibets, des injures venant des hommes.

-Regarde bien, on va défoncer le cul de ta mère devant toi

-Oui, on va lui bouffer ses gros nibards pendant que tu regarderas!

Vic était aux anges:

-En parlant de son cul, regardez ce qui vous attend pour quelques malheureux euros.

Il retourna Marie, la fit se pencher et exhiba son anus: Applaudissement.

-Bref, cette femme de bourgeois, mariée, est à vous si vous payez!

Tous, sans exceptions, passèrent à la caisse, bien déterminés à se vider les couilles et à lécher du gros nibards. Tout commença bien, le premier gars qui allait se taper ma mère était un magrébin d'une cinquantaine d'année. Il resta en admiration devant le corps de Marie et surtout sur la grosse paire de loches naturelles qui n'ait que pour seule utilité que de servir de jouets sexuels. Marie fut étonnée de tant d'hésitation mais elle eut du plaisir à voir que cet homme l'admirait où plutôt son corps. Elle s'approcha de lui et prit ses mains et les posa sur ses gros seins. Le magrébin n'en pouvait plus mais fut délicat. Il caressa les grosses masses de chair, les embrassa avec délicatesse. Ma mère l'invita sur le vieux matelas crasseux et écarta les cuisses. Derrière, cela commençait à s'impatienter et déjà des insultes fusaient à l'égard du vieux. La plupart étaient des hommes jeunes et étaient excités à l'idée de se taper une femme qui pourrait être leur mère voire leur grand mère pour les plus jeunes. Le vieux, stressé, se dépêcha de se vider les couilles pour laisser place aux suivants. A partir de ce moment, la situation ne fit que dégénérer. La plupart n'avait que du mépris pour cette bourgeoise et au mieux la voyait comme un vide couille à gros seins. Quatre gars se détachèrent de la queue et s'emparèrent de Marie afin de la torturer avant de la baiser mais Vic et ses gars intervinrent. Il y eut de longues discussions sans compter que d'autres clients arrivèrent en masse. Le groupe de quatre passa à dix et ne cessa d'augmenter. Ils voulaient payer plus pour torturer ma mère mais Vic s'y opposa:

-Hors de question d'abimer ma marchandise! le fils de cette pute me doit un paquet de fric et je ne veux pas que vous me l'abimiez!

La situation commença à s'envenimer et ma mère et moi échangions des regards inquiets. Puis Vic finit par sortir un calibre histoire de remettre de l'ordre. La vue de l'arme refroidit les ardeurs et l'ordre revint rapidement. Marie reprit son activité et enchaina les passes. En général, elle restait sur le matelas, jambes écartées , chatte luisante et les hommes n'avait plus qu'à la baiser à la missionnaire. Certains désiraient cependant la sodomiser et elle devait de temps en temps se mettre à quatre pattes sur le matelas. Les heures passèrent et pendant que Marie, au bord de l'évanouissement, finissait de se faire tringler à la chaîne , je demandai à parler à vic, satisfait de ce qu'il faisait subir à ma mère.

-Alors, tu peux être fier de ta maman! regarde ça, tout ce monde venu se vider les couilles spécialement pour elle.

-Écoute Vic, tu devrais faire payer le double! a ce tarif là, il faudra des mois et des mois afin que ma mère puisse tout rembourser et...

Je reçu un revers de main qui me sonna à moitié. Vic d'un air satisfait passa en mode colérique.

-Tu ne me dis pas ce que j'ai à faire, minable connard!

-Je m'excuse, je...

-Mais tu as effectivement raison, j'ai un calendrier à respecter! tu n'es pas le seul abruti à s'endetter puis à tenter de s'esquiver. La semaine prochaine, un mec et sa femme doivent nous être emmené et tout comme toi s'acquitter de leur dette! Tu vas rire, le gars s'est fait virer de son boulot et à préféré jouer au casino toutes leurs économies. Le tout alors que sa femme est en cloque de sept ou huit mois! Quel loser, ce type!

Il rit ainsi que ses deux comparses. Je réalisais l'horreur de la chose: la femme allait payer pour les dettes de son mari alors qu'elle était ...enceinte. Ces hommes n'avait plus aucune limite dans le perversité et l'immoralité. Vic dit:

-Du coup ton soucis sera réglé avant la semaine prochaine! Je vais lui faire faire la pute à la chaîne ici encore deux ou trois jours pour la forme et normalement , des clients d'un autre calibre devrait me l'acheter à un très bon prix!

Ce salaud avait tout prévu, c'était une affaire rodée. Après tout, je n'étais pas le seul à devoir du fric et qui ne pouvait pas payer. Combien a t'il violé, torturé et tué de femmes à cause de la crétinerie de leurs hommes. La, je pris conscience que pour lui, ma mère n'avait rien d'exceptionnelle hormis sa grosse poitrine. Elle n'était plus un être humain mais qu'un tas de chair, une fosse d'aisance, une paire de gros nichons à prostituer. Une fois utilisée, Marie ne lui serait plus d'aucune utilité et il s'en débarrasserai pour passer à autre chose.Je tombais à genoux, conscient de l'horreur. Vic éclata de rire en se délectant du sort de sa captive.

Une heure passa. Le dernier homme , affamé ne recula devant rien pour se vider les couilles. Ma mère était recouverte de sperme, elle était évanouie de fatigue sur ce matelas pourri. Malgré l'épaisse couche de foutre gluant qui recouvrait le corps de Marie, celui si s'agenouilla sur elle et s'empara des gros nichons visqueux. Il glissa sa grosse bite entre les deux loches et se branla entre. Il ne mit pas longtemps à juter, ajoutant une nouvelle couche de sperme sur le visage maternel devenu méconnaissable. le calvaire cessa pour aujourd'hui.

On la ramena, la doucha et fut posée sans ménagement sur le lit. je lui mis de la pommade sur l'anus ravagé et la massa à nouveau. Ses orifices lui faisait mal, surtout son trou du cul. A force de tailler des pipes, sa mâchoire commençait à la faire souffrir. Juste avant d'aller dormir, les hommes de vic vinrent se vider les couilles histoires de profiter de la gratuité du corps de ma mère.

Le lendemain, même scénario au même endroit. De nouveaux hommes arrivaient en masse, payaient vic une somme dérisoire et attendaient leur tour. Certains la baisèrent en groupe, se filmant entre eux. Sachant que c'était une bourgeoise, ils adoraient lui faire prendre des poses humiliantes, dégradantes tout en l'insultant. Tout ça terminerai sur le net et tôt ou tard, des gens de notre entourage finirait par tomber dessus. J'étais désespéré. Il n'y avait rien à faire que subir tout ça jusqu'à la fin. Ma mère semblait s'être résignée à son sort et ne se lamentait plus du tout. Son honneur détruit, son corps souillé et violé par tous les trous ne semblait plus l'affecter. Elle avalait le sperme et écartait les cuisses sans broncher pour le plus grand bonheur des clients. Vic avait réussi son coup: transformer une bourgeoise mère de famille en la dernière des putes. Son but était atteint et maintenant, il lui fallait porter le coup de grâce avant de passer à autre chose. Aussi, quand la fin de semaine arriva, il décida que Marie ne ferait plus le trottoir et qu'elle soit présentable pour la vente.

Jour de repos avant la vente. Vic vint nous voir et chose surprenante nous dit:

-Avant que la vente soit accomplie, je tiens à t'inviter toi et ta mère au restaurant: ce sera sans doute les derniers moments que vous passerez ensemble.

Marie et moi fûmes surpris.

-Habille toi sexy mais pas en pute! On va dans un resto chic!

Un des gars à Vic dit:

-Ça va lui faire bizarre de porter des fringues!

Ils rirent. C'était vrai que Marie n'avait pas porté de vêtement depuis des jours. Elle s'exécuta et moi, on me prêta un costard classe. Ma mère avait mis une robe de soirée verte foncée avec bien sûr, un large décolleté, qu'elle avait choisi parmi les vêtements proposait par Vic. Une grosse bm vint nous chercher direction un resto quatre étoiles. C'était étrange, ma mère, moi , Vic ainsi que deux de ses gorilles étions attablés. Je sentais le regard des autres clients sur ma mère. Beaucoup d'hommes, quelques couples mais pas de famille. En plein milieux du repas, vic pris sa fourchette et tapa sur le verre de son vin:

-Mes amis, je pense que vous avez eu tous le loisir d'observer cette superbe femme mature aux atouts plus que généreux.

Là, les clients se retournèrent et approuvèrent. Vic prit délicatement la main de ma mère et la fit se lever.

-Donc voici, comme d'habitude, un petit aperçut du produit que vous pourrez acquérir demain.

Vic la fit marcher et contrairement aux jours précédents, fut plus délicat dans sa présentation: la clientèle n'était pas la même. Une des femme de la clientèle, en couple dit:

-D'habitude, elles sont plus jeunes! Cette femme à mon âge bien qu'il est évident qu'elle en fasse dix ans de moins!

-et alors? dit un autre, la quarantaine! celà changera des habitudes! C'est une belle femme de toute façon et elle a une grosse poitrine!

Une autre femme, une belle blonde accompagnée se leva et dit:

-Oui, voir une femme de notre âge au supplice pourrait être excitant! qu'en penses tu mon chérie? dit-elle toute excitée en regardant son époux.

-J'avoue aimer voir les jeunettes au supplice! mais cette femme est quand même très attirante! voir son corps châtié et surtout sa grosse poitrine pourrait produire des plaisirs exquis!

Un jeune de mon âge se leva alors, il était avec une femme de 20 ans de plus que lui.

-Moi, ça me plait! Je veux bien payer pour voir une femme mature être au supplice!

La femme plus âgée le regarda étrangement:

-J'espère que tu ne vas pas l'identifier à moi?

-J'aime t'imaginer te voir supplicier, maman!

Horreur: la femme de 20 ans de plus était la mère du jeune homme et depuis le décès du père, un homme riche, ces dégénérés vivaient en couple et avaient une sexualité débridée. La majorité sembla apprécier la proposition de Vic, satisfait.

-Parfait, on se voit donc demain au lieu indiqué, comme d'habitude!

Vic fit rasseoir Marie et le repas se poursuivit comme si de rien était. Cette invitation au resto n'avait nul autre but que de présenter ma mère dans un lieu classe. je regardais ma génitrice qui touillait son dessert, sa grosse poitrine se gonflait et se dégonflait signe qu'elle était angoissée. Tout comme moi, elle devait appréhender le "supplice" surtout que l'un des clients avait évoqué la possible dégradation de son corps! Ces gens me mettait mal à l'aise. Je savais que ce n'était pas simplement se vider les couilles qui les intéressaient. Et malheureusement j'allais en avoir définitivement la confirmation très bientôt...

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