L'horrible Dette 05: Fin

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Marie est au supplice pour son dernier acte.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/30/2017
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Pour la matinée, Marie due se faire belle ou plutôt aguicheuse et sexy. Vic la voulait pute contrairement à la veille lors du resto. Ma mère s'exécuta et resta une bonne heure à faire une toilette et séance de maquillage. Elle sortit , nue, n'étant autorisée qu'à porter des mules à talons haut. Vic voulait que les clients voient en priorité sa grosse poitrine. Il me regarda , satisfait:

-Je crois que je vais faire une bonne vente cette fois ci!

-Pourquoi?

-Ta mère a une sacrée paire de nibards et son coté mature semble bien plaire aux clients! D'habitude, ils torturent des femmes plus jeunes!

-"Torturent" mais....

Il rit:

-tu as bien du entendre qu'elle irait au "supplice"!

-Non, non!! hurlais je

-Je t'avais dit dés le départ que des dettes de jeu devaient être remboursées sinon tu subirais un supplice pire que la mort!

-Ma mère a assez souffert comme cela! elle a été enlevée, séquestrée, humiliée et violée. Puis prostituée à la chaîne!

-Et alors? Je n'en ai rien à faire! le fautif , c'est toi, petit connard qui réalise enfin que tout à un prix! tu as voulu jouer au con en voulant te tirer sans payer!

Ma mère avança et posa ses douces mains sur mes épaules. Elle était vraiment bandante maquillée comme ça.

-Écoute! j'accepte mon sort, mon fils! tu dois t'en sortir! Moi, je suis fichue! les photos de mes actes sexuels sont sur le net! On me reconnaîtra tôt ou tard! Je préfère que ma famille me croie disparue plutôt que de réapparaître humiliée!

Vic prit ma mère par la taille et plota ses grosses pastèques!

-Ta mère a été une bonne putain et va rembourser ta dette avec de sacrés intérêts.

Marie, résignée baissa la tête lorsqu'un gars de Vic prévint:

-Çà y'est, les clients arrivent! ils ont hâte!

-La salle est prête?

-Oui, tous les outils sont là! les trois bourreaux aussi!

-Parfait! on signe l'acte de vente et vous emmènerez cette salope au lieu de torture!

-Avec plaisir!

Marie accompagna Vic qui la présenta nue cette fois, insista sur l'énorme poitrine maternelle. Les clients portaient des masque vénitiens et affichaient des sourires pervers. C'était les même qu'hier au resto. Je reconnaissais certains couples malgré les masques dont l'un où la femme avait une quarantaine d'année. Il y' avait aussi le couple malsain mère/fils qui semblait être les deux plus pervers. Ils étaient silencieux, en attente. Les trois bourreaux firent leur apparition. En latex avec cagoule. Ils étaient musculeux et on devinait à travers leurs yeux apparaissant à travers les trous de leur cagoule, une perversion extrême. Dans la salle, feutrée, une croix de saint André. Une longue table sur laquelle était posée une multitude d'outils étrange mais dont l'usage était évident. Lors de l'arrivée de ma mère, applaudissements. On apporta à Vic une petite mallette d'où il sortit des papiers: l'acte de vente.

-Très bien! mesdames et messieurs! Avant d'entamer les réjouissances, nous devons passer par la partie administrative de la chose. Chacun devra apposer sa signature sur les pages du formulaire, suite à cela, j'y apposerai la mienne et enfin Marie signera en dernier!

-pourquoi signe t'elle sa propre vente? demanda l'un des clients. J'étais moi même intrigué par la chose.

-Vous le saurez dés lors qu'elle devra signer! C'est elle qui m'a proposé de rajouter cela et j'ai accepté bien qu'à la base, elle n'avait pas son mot à dire.

Alors tour à tour les participants signèrent avec hâte. Vic à son tour signa puis se fut autour de ma mère. Elle prit le stylo, déterminée puis regarda ses acheteurs:

-Voilà pourquoi je vais signer ce contrat! Comme vous le savez, mon fils à tenter de fuir ses dettes et Vic a décider de lui faire payer la chose à travers moi. Je suis consciente de la chose mais j'ai besoin de savoir que suite à mon supplice et à ma mise à mort, il soit dégagé de toute ses dettes et reparte sauf!

-M...mise à mort balbutiais je!

Il y' eut un brouhaha dans le public et les clients semblaient adorer la chose.

-Hmm! oui, c'est la première fois qu'une victime signe et accepte son châtiment! je trouve ça intéressant!

Ma mère repris:

-Donc par ma signature, j'accepte mon supplice et ma mise à mort devant vous! En échange, mon fils doit être libre et s'engage à ne rien dire à la police.

Elle me regarda et dit :

-tu apposeras toi aussi ta signature!

-Mais, maman, je ne peux pas signer pour te faire mourir!

-Fais le! je te l'ai dit, je préfère cela à la honte de réapparaître! Je vais être torturée et ma mort doit être utile pour toi!

Elle me pris la main et me fit signer puis à son tour, convaincu, elle mis sa signature sous les applaudissements. Vic jubilait:

-Voilà! à présent que le spectacle commence!

les bourreaux s'emparèrent d'elle. Elle ne se débattit pas, résignée, son corps ne lui appartenait plus en quelque sorte. Vic avait vendu ma pauvre mère comme un vulgaire tas de viande. L'un des bourreaux lui attacha les bras derrière le dos avec des menottes en plastique puis lui caressa les seins avec perversion. Il le faisait devant les spectateurs visiblement satisfaits de leur acquisition. Marie se laissait faire,détendue tout en sachant l'issue fatale de son supplice. A force de malaxage, ses tétons durcirent. Le plaisir commença à envahir son corps. Le bourreau la doigta devant l'assemblée masquée. Il voulait que la victime jouisse avant son supplice. Marie, les bras attachés derrière le dos, fut promenée dans le public qui se mit à la tripoter. Ma mère jouissait de sentir toute ses mains la toucher. Des doigts lui rentraient dans le cul tandis qu'on lui fouillait la chatte. Ils voulaient ploter ce corps qu'ils avaient acheté. Marie mouilla et se mit à gémir de plaisir, excitant l'assemblée. Après l'avoir laissé se faire tripoter pendant un moment,l'un des bourreau la ramena au centre de la pièce, la fit se mettre à genoux, sortit son sexe énorme et le lui enfourna dans la bouche. Marie s'activa à le pomper tandis que Vic me

regardait avec un sourire narquois. Il était heureux d'avoir transformé cette femme en la dernière des putes. Cette femme qui, il 'y a pas si longtemps était une bourgeoise ordinaire. oui, il avait transformé ma propre mère en putain: une putain qu'il allait faire torturer et mettre à mort pour me punir de ma tentative de ne pas payer ma dette. Pendant que ma mère attachée et à genoux, suçait à fond l'homme cagoulé,

un deuxième bourreau s'empara d'une cravache et commença à lui fouetter les fesses. Surprise , elle hurla de douleur et faillit mordre la bite de son partenaire malgré elle. L'homme retira son sexe gonflé à bloc tandis que son collègue fouettait méthodiquement les fesses maternelles. Ma mère serra les dents tandis que son cul recevait les coups. Elle fut relevée et l'un des bourreaux la pris par les bras attachés derrière le dos et la poussa en avant. Il la maintint cambrée, poitrine en avant. Ce fut autour de sa grosse poitrine de subir les coups de cravache. Dans la salle , des hommes se masturbaient tandis que les femmes masquées jubilaient. Ma mère gémit de douleur cette fois. Elle était très sensible des seins surtout que son tortionnaire lui fouettait tantôt les nibards, tantôt les tétons. Le troisième avait une cravache aussi et aida son camarade. Il travailla les cuisses, le cul et le ventre tandis que l'autre se concentrait sur les grosses loches de Marie. Des marques commencèrent à apparaître. Ma mère souffrait terriblement. Ils s'arrêtèrent permettant à Marie de reprendre son souffle. L'un des bourreaux la caressa comme pour faire disparaître la douleur. Il lui caressa les seins, lécha les tétons et la doigta un peu. Le plaisir revint. La torture reprit. Maintenant les bourreaux se munissent de bâtons électriques. Chacun leur tour, ils lui provoquent de petites décharges. Ses seins sont la principale cible. A chaque décharge, ma mère gémit et les clients sont heureux de la voir se tordre. la souffrance de cette femme mâture, aux gros seins, les remplit d'excitation. Ils commencent à lui électrocuter la chatte. Les décharges ne sont pas puissantes mais suffisantes pour infliger de la douleur. Ma mère est saisie puis attachée lentement sur la croix de saint André: ses chevilles et poignets immobilisés par des lanières en cuir . On lui met aussi un "gag ball" noir. crucifiée, chatte et seins offerts, ma mère est godée puis baisée par l'un des bourreaux devant l'assemblée excitée. Certains clients ne peuvent plus se retenir et demandent de se vider les couilles à leur tour. Ils en profitent pour malaxer les grosses loches maternelles. Le visage de Marie alterne entre douleur et plaisir intense. Électrocutée, ramonée, son corps alterne plaisir et souffrance. La sueur recouvre son corps tant il est sollicité. Son corps est luisant, ses beaux cheveux commencent à coller et elle a du mal à reprendre son souffle. Vic savoure cette performance. Cette femme bien que mâture, aura sans doute était son meilleur gagne pain à court terme. Les bourreaux laissent la femme reprendre son souffle. Elle halète, épuisée faisant gonfler sa poitrine luisante. Pendant ce temps, les bourreaux déposèrent tout un matériel à coté d'elle puis lentement, lui posèrent des dizaines d'électrodes sur tous le corps. Ma mère tressaillit à cause du contact des mini

ventouses froides. Les électrodes lui furent placées sur les seins, le ventre, les biceps, les cuisses et les mollets. Les clients étaient assez circonspects: quel était l'intérêt de truffer ce corps plantureux d'électrodes? Vic regarda ses trois bourreaux et sourit. L'un des trois acquiesça et tourna un bouton sur la console. Le courant passa dans les fils et atteint le corps de Marie qui cria de douleur. Les deux gros seins se contractèrent puis se relâchèrent. Le courant contractait les pectoraux provoquant un ballotement des deux grosses masses de chair qu'étaient ses seins. La démonstration plu...tonnerre d'applaudissements. Le bourreau répéta une dizaine de fois l'opération et je vis avec à la fois fascination et horreur, la poitrine maternelle remuer sous l'effet de l'électricité. Vic proposa alors que chaque membre du public puisse jouer de la console. Pendant une heure qui dura une éternité, le corps plantureux de ma mère fut soumis à la torture. Ainsi, son ventre, ses cuisses, mollets, biceps et surtout son énorme poitrine subirent des contractions. La douleur était insoutenable mais Marie tint bon. Toujours basé sur le même principe que tout à l'heure, un bourreau la godait de temps à autre histoire de lui donner du plaisir. Je voyais que ma mère était à nouveau épuisée, suante, haletante. Mais ce qui importait au public masqué, c'était leur propre plaisir. Par exemple, le fils du couple incestueux éprouvait un immense plaisir à lui torturer les seins. Chacun avait son truc. Les cuisses plaisaient aussi. Le courant contractait les muscles et en se relâchant, bougeait la légère couche de cellulite. Le fils incestueux fit remarquer que les fesses avaient été oubliées. Pas de problème. On apposa deux électrodes sur chacune des fesses et le calvaire pu se poursuivre pour le plus grand plaisir des clients. Pareillement, les muscles fessiers se contractèrent et se relâchèrent provoquant un superbe ballottement.

Vic s'empara de deux pinces crocodiles qu'il posa sur les tétons hypersensibles de ma mère qui hurla. puis, sans pitié , balança du courant . Ma mère se contorsionna pour échapper à la douleur mais les liens étaient bien serrés. Ses grosses loches ne pouvaient que subir l'abominable torture. Elle tentait de ne pas crier de douleur mais c'était quasi impossible. Je voyais son beau visage se crisper, les yeux fermés, serrant les mâchoires tandis que le courant torturait son corps.On lui enleva alors les électrodes et elle fut détachée de la croix de saint André. Les bourreaux la retenait pour pas qu'elle tombe tant elle était épuisée. Au bord de l'évanouissement, le corps de ma mère pendait mollement entre les bras puissants de ses bourreaux. la fin allait arriver bientôt , je le sentais. Marie fut attachée à deux anneaux reliés à une palan. puis suspendue, bras tendu vers le haut. Ses pieds touchaient le sol. Vic se positionna derrière elle et entama un discourt:

-Mesdames et messieurs! cette superbe femme mâture fut un régal pour ce spectacle! Je dois faire part de tout mes remerciements à son dégénéré de fils qui sans son addiction pour le jeu, n'aurait jamais permis que l'on puisse s'amuser avec le corps de sa propre mère. je vous demande de l'applaudir!

Applaudissements.

-Maintenant, il est temps que cet abruti paie les intérêts de sa dette!

Il se tourna vers moi et avec un regard monstrueux me dit:

-Tu vas voir que ton châtiment sera pire que la mort!

Il claqua des doigts. les bourreaux se mirent à fouetter les gros seins, le cul, le ventre de ma mère suspendue. La , ils se laissèrent aller. Des marques rouges commencèrent à strier son corps. Mais déjà Marie ne sentait presque plus rien. Pendant la flagellation, Vic sortit s'empara d'un gode électrique et la pénétra avec. Les vibrations déclenchèrent une immense vague de plaisir qui sembla ressusciter ma mère. Elle lâcha un râle de plaisir tandis que vic la masturbait. Son corps commença à se tordre sous l'effet du bonheur qui l'envahissait. Son cœur était sur le point d'exploser.Elle ruisselait complétement de sueur. Vic excité par la plaisir de cette femme continuait son acte. Le gode, d'une taille plus que raisonnable, semblait donner de l'énergie au corps de Marie. Les cris de plaisir de ma mère excita aussi toute la clientèle. Là, je me demandais si vic ne voulait pas la mettre à mort par un excès de plaisir sexuel. Si marie jouissait, on pouvait aisément voir qu'elle puisait dans ses dernière forces. Il la branla encore 5 minutes puis jeta un regard à un des bourreaux qui cette fois revint avec un poinçon. Méthodiquement, il s'empara d'une des grosses loches, tira sur le téton et le perça. puis il y fixa un anneau. Ma mère serra les dents et regarda l'opération se faire sur son gros nibard, impuissante. Le bourreau répéta l'opération sur son autre sein. Ensuite, il attacha les anneaux à de fines cordes reliées à des poulies au plafond. Puis lentement , il se mit à tirer sur les longs tétons, les cordes soulevant les énormes nichons maternels vers le plafond. Pendant ce temps, vic la masturba à nouveau avec le gode. On se mit à fouetter les loches suspendues, ses cuisses, son ventre et ses bras étirés au maximum. On pouvait lire le calvaire douloureux de Marie sur son visage. Ils étaient à 2 y compris Vic à s'affairer sur le corps sans défense de ma pauvre mère. L'homme qui fouettait les seins accéléra la cadence tandis que deux autres bourreaux vinrent avec de longues aiguilles. Marie hurla d'horreur puis de douleur lorsqu'on lui transperça de part en part ses si beaux seins. Ils prenaient leur temps tandis qu'un gode gigantesque fut inséré dans son anus. Rapidement les gros nichons ressemblaient à deux pelotes de laines transpercées par des dizaines et des dizaines d'aiguilles. Inutile de préciser que ça filmait et ça photographiait dans le public. Au bout de trois longues heures de tortures ininterrompues , l' homme masqué qui avait attaché les nichons se munit d'une pince et attrapa le téton. Il tira , tira jusqu'à l'arrachage de celui ci. Marie hurla de douleur et le nibard transpercé d'aiguilles aux mamelons ensanglantés retomba lourdement. L'homme fit de même pour l'autre sein gigantesque qui retomba en ballottant. Vic approcha du corps de ma mère meurtri et gémissante et me regarda .

-Je t'avais dit! Si tu ne payais pas tes dettes, ta punition serait pire que la mort.

Il sortit alors son taser...Il visa entre les deux gros seins ravagés et transpercés d'aiguilles. Les deux aiguillons s'enfoncèrent dans la chair tendre rependant une nouvelle vague de souffrance pour la pauvre Marie dont le corps tressautait sous l'effet de l'électricité qui détruisait son corps. Sauf qu'il n'arrêta pas cette fois. Je m'évanouis horrifié car je m'apercevais qu'il était en train de la mettre à mort pour le plus grand plaisir de ses tarés de clients.J'émergeais au bout d'une bonne heure. Tous étaient partis sauf Vic et ses comparses qui m'observaient d'un air pervers. Là, je vis ma mère, échevelée, nue et sans vie allongée sur une bâche, les bras et les jambes n'importe comment. Elle ressemblait à un pantin au corps ravagé et souillée de sang, de foutre et de sueur.

-Des clients, des saletés de nécrophiles,même moi, je les déteste, ont payé pour jouer avec son corps après sa mort.

Je faillis vomir. Vic sorti un flingue et me mis en joue.

-Voilà, ta dette est effacée comme convenu avec ta mère. Mais si tu t'avises de baver , on s'attaquera a ta sœur et ton ex compagne. un gars va venir s'occuper du corps.

-elle savait depuis le début que vous alliez la mettre à mort!

-Elle s'est sacrifiée pour toi au nom de ta bêtise et de ta lâcheté. Les addictions ont des conséquences qui se répercutent sur tes proches.

-Vous auriez pu juste la prostituer.

-Non, les sales cons de ton espèce mérite une leçon de la pire espèce. Si tu n'avais pas joué et payé tes dettes comme convenu, elle serait encore en vie. Pire encore, tu as essayé de nous doubler. Et mes clients se sont bien amusés avec ta maman et nous aussi.

Il rit. Son téléphone portable vibra.

-Vous avez la blonde enceinte?...bien...son mari va comprendre son erreur!

Déjà, Vic avait oublié Marie et allait se concentrer sur la femme d'un autre connard comme moi. Une camionnette arriva. En sortit un homme, la cinquantaine, énorme. Il salua Vic et regarda le corps sans vie de Marie.

-J'aurai bien aimé la baiser celle là, avec ses gros nichons.

Il me regarda avec un air méprisant:

-Pauvre connard! une belle femme comme ça...à cause de toi!

Il ferma la bâche et l'emporta. On me déposa prés de chez moi. J'étais anéanti. Plus jamais je ne mis le pied dans un casino...Fin

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Agréablement dérangeant

Votre histoire m'a agréablement surprise. La conclusion brutale est sans concession. La mort de votre mère est l'aboutissement de la leçon terrible qu'a voulu vous donner Vic. Elle n'est pas gratuite et j'apprécie ce partie pris. J'ai apprécié aussi la façon progressive dont Vic vous punit à travers le calvaire de votre mère, victime de votre avarice et de votre lâcheté. Histoire agréable à lire à la fois déroutante et excitante. Merci

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