L'Île de Marana Chapitre 05

Informations sur Récit
Arno passe la journée nu avec Biba et Lona.
1.6k mots
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Partie 5 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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C'est la troisième fois d'affilée que je me réveille ainsi, complètement groggy après être tombé dans les pommes à cause de trop de sexe. Cette fois, je suis seul dans le lit du bungalow. Il fait déjà jour. Je me lève et sors sur la terrasse.

J'ai bien dormi, le soleil est déjà haut dans le ciel, derrière moi. Aujourd'hui, je prends une journée de repos chez Biba et Lona. C'est le matin, et je me sens un peu timide à aller les retrouver tout nu. J'attends un moment et vais prendre une douche, puis retourne à mon bungalow. Je n'ose pas aller les trouver, dire qu'hier j'étais emballé, je disais n'importe quoi avec mon sexe gonflé qui m'empêchait de penser correctement.

— Ah, tu es réveillé? Entends-je la voix de Biba derrière moi. Viens manger.

Je me retourne. La belle grosse géante est devant moi, vêtue d'une simple robe comme hier. En deux grands pas, elle est sur moi et elle me soulève à sa hauteur pour m'embrasser. Sa présence m'a directement donné une forte érection. Mon sexe a commencé à grandir avant que je ne sache qu'elle était là. Est-ce qu'elles ont quelque chose qui fait qu'on bande en leur présence?

— Tu as bien dormi?

Déjà elle me porte vers la terrasse.

— Oui, réponds-je, très bien.

— On dort bien ici, et toi, tu es un champion. Cela faisait très longtemps qu'un mâle ne m'avait plus donné autant de plaisir.

Je me sens très fier tout à coup. Un tel compliment d'une femme qui semble si expérimentée. J'adore ce pays de plus en plus.

Lona arrive vers nous et me prend aussi dans ses bras.

— Bonjour Arno.

Comme chaque fois, la tension sexuelle est trop élevée. Je suis certain qu'il y a quelque chose, mais je ne peux m'empêcher de penser à leurs gros seins. En ce moment, il n'y a que ça qui compte.

Nous nous asseyons aux mêmes places qu'hier et mangeons les fruits et les œufs qu'elles ont préparés.

— Comment as-tu trouvé la soirée? Me demande Lona.

— Excellente, j'ai vraiment aimé tout ce qui s'est passé. Vous êtes des expertes. J'ai hâte de recommencer.

— Autant que tu veux, si tu tiens la route.

Elles rient.

— Tu es toujours content de vivre nu ici?

— Oui. Franchement, je vis les meilleurs moments de ma vie. Je me sens vraiment heureux sur cette île.

— Tu vois, tu pourrais envisager de t'y installer. Tu nous as dit que personne ne t'attendait.

— C'est vrai. Mais quand même, je ne sais pas ce que je pourrais faire.

— Il y a tellement. On n'a besoin de rien ici. Déjà toi, tu n'as besoin d'aucun vêtement. Tu travailles la journée ici, et au soir, tu as à manger et du sexe en permanence.

— C'est un bon programme, admets-je. J'aimerais visiter l'île, mais si vous voulez, quand je reviens, je passe ici et vous me montrez.

— Et comment pouvons-nous être certaines que tu reviendras?

— J'ai envie de vous revoir, je reviendrai. Sinon, je ne sais pas. Demandez au port de ne pas me laisser partir sans vous avoir revues.

— Ce n'est pas une mauvaise idée. Et si tu essaies de partir sans être revenu ici, nous demanderons à ce que tu nous sois amené nu en prisonnier.

— Tu ne voudrais pas nous voir en colère, n'est-ce pas?

— Oh non. Vous devriez être impressionnantes, j'aurais peur.

Elles rient. Nous finissons de manger et j'aide à débarrasser. Je me demande ce qu'elles attendraient de moi comme travail, je suis trop petit pour plein de choses. Un peu plus tard, Biba m'emmène cueillir des fruits et ensuite, Lona m'emmène pécher. Je n'ai pas beaucoup à faire si ce n'est porter le matériel et les poissons en plus au retour. Et pendant tout ce temps, je suis toujours nu et en érection. Impossible de faire quelque chose pour calmer cela. Dès qu'une de ces grandes femmes est à proximité, je me retrouve dans cet état. Nous allons dans leur cuisine, mais je ne vois rien car je suis trop petit, alors Biba me donne une bassine sur le sol pour que je puisse laver des plats. Elle me fait aussi laver le sol ainsi que toute la terrasse. A midi, nous mangeons.

— Tu vois? Nous avons une vie agréable, non?

— C'est cela que je devrais faire si je vivais ici?

— Un peu plus quand même. Tu es quand même en vacances. Mais c'est une vie agréable, il n'y a pas à s'en faire. C'est un paradis ici.

— C'est vrai, admets-je.

Je pense de plus en plus à une vie ici, mais je ne dois pas me compromettre ainsi après seulement quatre jours sur cette île. J'avais vu un film un jour sur des gens qui étaient touristes et qui adoraient un endroit où ils étaient bien accueillis, et puis ils ont décidé de rester et tout était changé, les gens ne les aimaient plus et leur menaient la vie dure. D'un côté, quel bonheur de rester avec ces femmes, mais de l'autre, je perdrais mes copains. Oui, mais quels copains? Je n'en ai pas vraiment. Depuis que je vis seul, j'ai quelques connaissances, des camarades de cours, des filles surtout.

Et ici, je n'ai jamais ressenti autant de plaisir.

Après le déjeuner, j'aide encore un peu puis elles me disent que je dois aller aider au potager. Les deux femmes m'emmènent à deux cents mètres dans la forêt. Il y a une clairière avec de l'eau de source et un grand emplacement de fermage. Dans un premier temps, je cueille des fruits et des légumes, puis je dois préparer le sol pour des semailles. Biba et Lona travaillent également. C'est assez éprouvant sous le soleil, mais c'est somme toute agréable. Tout semble agréable ici, surtout lorsqu'on travaille nu et en érection.

Je suis éreinté. C'était sensé être une journée de repos, mais lorsque nous retournons chez elles, je me sens vraiment crevé. Je demande si je peux aller prendre une douche.

— Tu sembles bien vite fatigué. Tu n'as pas l'habitude des travaux?

— J'ai une bonne condition physique, rétorqué-je un peu vexé, mais tout est grand. C'est difficile de travailler pour vous. Mais j'adore, reprends-je tout de suite pour les flatter et acquérir leurs faveurs plus tard.

— Le principal c'est que tu aimes le faire. Va prendre une douche.

Je cours d'abord dans la mer pour nager un moment, puis je me rafraichis à l'eau douce de la douche.

Quand je retourne à la terrasse, Biba vient tout de suite me prendre dans ses bras et m'emmène à un salon qui surplombe les bungalows et la mer. J'aperçois l'endroit où j'ai pris ma douche. Elle s'assied et me place sur ses genoux avant de prendre mon sexe en main.

— Il faut te soulager un peu, tu as bien travaillé.

Elle commence à me masturber quand Lona arrive. Elle vient s'asseoir à nos côtés. Même si je suis excité, ces caresses ont un côté humiliant, je ne sais pas dire pourquoi.

— Tu aimes cela? Me demande Lona en souriant.

— Oui, réponds-je.

— Tu vois donc les avantages à rester ici. Mais c'est bien, tu vas aller voir le temple doré. Tu aimerais faire le pèlerinage? Aller voir une des déesses?

Biba me fait éjaculer, je me tends dans un plaisir grandiose. Pendant un moment, elle me laisse respirer, puis elle continue ses caresses.

— Voir une déesse? Quelle déesse?

— Les déesses Mars sont très puissantes. Si tu as de la chance tu en rencontreras une.

— Où ça?

— Dans le temple doré. C'est le plus haut lieu de consécration divine au monde.

— Mais il n'y a pas de dieu, c'est une invention des hommes.

— Tu ne crois pas dans les dieux des hommes, parce que rien ne te fait croire, plus personne n'a vu de dieu depuis longtemps, mais ici, la présence divine est très forte, tu verras.

Je ne réponds pas. Il n'y a pas de présence divine, je ne sais pas en quoi elles croient, mais je ne veux pas en discuter, je sais très bien qu'il ne faut jamais discuter de foi avec des croyants. D'ailleurs, Lona aide Biba maintenant et elles me masturbent à deux.

Au bout de cinq fois, je demande grâce.

— C'est bon, nous allons te prendre en considération, mais nous continuerons après le repas.

— Pourquoi faites-vous cela?

— Parce qu'il le faut. Tu as été bon, donc nous te récompensons.

— Mais hier, euh... enfin, pour faire l'amour, vous m'avez fait la même chose et vous m'avez fait utiliser ma bouche, mais nous n'avons pas, euh... enfin...

— Nous faisons ce que nous préférons. Nous sommes chez nous ici, et nous décidons, tu n'as pas de problème à laisser les femmes décider?

— Non, pas du tout. Je voulais savoir, c'est tout. De toute façon, ici, je n'ai pas tellement le choix, vous êtes dix fois plus fortes que moi. Et vous êtes nombreuses, je ne peux que faire ce que vous voulez.

— C'est bien de le prendre comme ça, tu as tout compris. Sur cette île, les Mar's décident de tout.

Biba m'envoie me doucher avant d'aller à table. Quelle vie! Le plaisir procuré par ces femmes est trop intense. Il faut que je trouve le courage de partir demain, sinon je vais rester ici tout le temps et il y a tant à voir.

Dès que nous avons fini de manger, je les aide à ranger et nous allons faire une promenade. Mais cette fois, pas de baignade. Elles me ramènent à mon bungalow et me masturbent sur la terrasse jusqu'à ce que je m'évanouisse.

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