L'Île de Marana Chapitre 07

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Arno doit travailler nu pour les géantes noires.
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Partie 7 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/14/2018
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Je me réveille d'une nuit sans grand sommeil. J'ai rêvé que j'étais le seul garçon dans cette île de géantes noires, et que je vivais tout nu. Un jour, une femme m'avait pris mon sac avec toutes mes affaires et je n'avais plus eu d'autre choix. Chaque fois, je me réveillais et refaisais un rêve semblable. Et puis je rêvais de la directrice de l'orphelinat et de ses amies, et je rêvais que je lui avouais que j'adorais vivre nu avec elle, et elle acceptait.

Excité par ces rêves, je sors nu de ma chambre. Il fait déjà jour et un beau temps s'annonce, même si je ne vois pas le soleil depuis ce préau. Personne. Je me dirige rapidement vers la douche et me lave avant de retourner à ma chambre. Quand je reviens, je vois les femmes de la veille. Six femmes avec Sal'Lah. Elles portent toutes une sorte de peignoir rouge.

— Bonjour Arno, me dit la première, tu nous accompagnes à la source?

Automatiquement, je suis excité.

— Volontiers, réponds-je ravi de me retrouver une nouvelle fois le seul garçon nu avec toutes ces femmes.

Sal'Lah me prend la main pendant que les autres avancent déjà.

— Tu restes tout nu?

— Oui, c'est permis?

— Bien sûr. Tu veux passer quelques jours ici? Tu es le bienvenu. Tu ne dois même pas payer.

— Avec plaisir. Je ne sais pas combien de temps. Pour dire la vérité, j'avais un peu peur, le premier jour à cause des policières, et puis après avoir écouté les filles. Mais finalement, vous êtes très gentilles avec moi. Personne ne me fait payer.

— C'est parce que ta présence est très appréciée, tout le monde ne bénéficie pas d'un tel avantage.

Marcher nu dans la nature. J'adore. Au matin, le jardin est encore plus beau, surtout l'eau de la petite rivière rose, qui semble scintiller de mille feux. On dirait une rivière de diamants roses. Nous arrivons finalement aux sources. Je m'aperçois qu'il y a déjà quatre géantes noires dans l'eau. Cela commence à faire beaucoup, je m'étais à peine habitué à mes sept compagnes de la veille que voilà de nouvelles femmes, des inconnues. Elles sont dans l'eau, et on dirait qu'elles sont nues.

Mes compagnes retirent leur peignoir pour apparaître en bikini. Je ne perds rien au change, elles sont magnifiques. Elles viennent autour de moi et me font entrer dans l'eau. C'est vrai, ce matin l'eau est encore mieux qu'hier. Elle scintille comme la petite rivière, il y a comme des milliers d'étoiles dans les profondeurs. Mais la beauté du paysage est secondaire, je suis tout nu au milieu de onze géantes noires. Je suis présenté tout de suite aux quatre femmes qui se trouvaient dans l'eau.

— C'est Arno, un bon petit mâle qui adore nos traditions.

— Le meilleur mâle que je n'aie jamais rencontré, dit une autre.

C'est vraiment fort excitant. Les femmes se placent autour de moi pour me saluer. L'une d'elle me dit d'aller jusqu'à la cascade pour boire l'eau qui coule. Je nage donc jusque là et avale quelques gorgées de cette eau merveilleuse. L'effet est encore plus fort que la veille. Quand j'ai bu, je m'aperçois que toutes les femmes sont occupées de m'observer. Elles semblent étonnées, mêmes ravies sans doute, je ne sais pas. Mais elles discutent entre elles de moi. Je nage vers elles. Une première femme me prend dans ses bras et m'embrasse.

— Tu es un bon petit mâle toi, et il paraît que tu aimes les femmes comme nous?

— Oui, réponds-je, je trouve que vous êtes des femmes parfaites. Les plus belles femmes du monde.

— Quel flatteur, dit un autre derrière moi en venant également m'agripper.

Elle place une main entre mes jambes pour me porter un peu, et empoigne mes testicules.

— Tu aimes l'eau de la source? Me demande une autre femme.

— Elle est délicieuse, oui. C'est une eau spéciale?

— Très spéciale.

J'entends des bruits de plongeon et m'aperçois qu'il y a encore plus de femmes dans l'eau. Je ne vois plus Sal'Lah et celles avec qui j'étais venu. Autour de moi, il y a au moins une vingtaine de géantes noires que je n'avais jamais vues avec ce matin.

— Vous avez vu? Entends-je, il a bu de l'eau de la source.

— Qu'est-ce qu'elle a de spéciale? Demandé-je à celle en face de moi.

— C'est la première fois qu'un mâle réussit à en boire. Tu es spécial.

— Oui, mais qu'est-ce qui se passe d'habitude?

— Le mâle meurt, dit une femme derrière moi.

— Et... et vous m'avez laissé boire de l'eau sachant que j'aurais pu mourir?

— C'est comme ça, mais tu as réussi, donc tu es spécial. Si tu étais mort, tu n'aurais été qu'un stupide mâle mort.

Je suis choqué. Mais pas trop longtemps, je sens qu'on caresse mon sexe, et celle en face de moi bouge sa lourde poitrine pour emprisonner le sommet de mon sexe. Je manque de suffoquer.

— Mais, parviens-je à dire, vous étiez prêtes à m'assassiner.

— Non, répond la femme devant moi, c'est toi qui as bu l'eau. Et tu es en pleine forme, non?

Je tente de trouver Sal'Lah, mais impossible avec ce groupe de femmes géantes autour de moi, je ne vois que des visages inconnus et surtout des grosses poitrines.

L'eau a toujours des scintillements mais ils commencent à s'estomper.

— Puis-je retourner à la berge?

On me laisse un passage. Il y a vraiment beaucoup de femmes dans l'eau, peut-être une trentaine. Lorsque j'arrive au bord, on me pousse et je me retrouve à quatre pattes dans l'herbe. Je me relève vite. Enfin, j'ai Sal'Lah devant moi, déjà vêtue de son peignoir. Je vais vers elle et m'accroche à sa cuisse.

— Et bien Arno, que t'arrive-t-il?

— Il paraît que l'eau pouvait me tuer.

— Mais non, tu ne risquais rien.

— Alors pourquoi m'ont-elles dit cela?

— L'eau de vitalité fait vivre les Mars et des mâles comme toi. Un autre que toi n'aurait pu être admis dans ce parc.

— Pourquoi moi?

— Parce que tu es spécial.

Une femme arrive derrière moi et me caresse le visage.

— Je suis contente de t'avoir rencontré, me dit-elle. Comme nous toutes d'ailleurs. Je m'appelle Tash'A, je suis une guerrière Mar.

Je me retourne et admire une immense femme, encore plus grande que les autres, plus forte, plus musclée. Cette fois, je lui arrive sous l'entrejambe.

— Tu es un beau petit mâle, tu sembles parfait, physiquement et mentalement.

Impressionné par cette femme, je ne dis rien. Je suis encore accroché à la cuisse de Sal'Lah.

— Les guerrière sont impressionnantes, n'est-ce pas? Me dit Sal'Lah en riant.

Tash'A prend mes bras et me soulève par les deux poignets, comme le faisaient les policières. Elle me monte à hauteur de son visage.

Elle est très belle, complètement chauve, ce qui la rend sévère et cruelle, ce que dément un peu son sourire. Elle porte une tunique blanche qui ne cache rien de ses courbes féminines exagérées. Sa peau est très noire et luisante, sur des muscles développés sans être hypertrophiés comme les culturistes. Une très belle femme.

— Tu me plais beaucoup, petit mâle. Tu aimes te retrouver tout nu, n'est-ce pas?

Je n'ose répondre. Cette femme est encore plus intimidante que toutes celles que j'ai rencontrées jusqu'à présent.

— Il adore, répond mon hôtesse à ma place, la preuve, il est tout le temps resté nu hier et ce matin, il a tenu à venir tout nu ici en sachant que c'était un endroit public.

— Comment était l'eau de la source? Poursuit-elle son interrogatoire.

— Délicieuse, réponds-je, la meilleure eau que je n'ai jamais bue. Et la sensation de l'eau sur ma peau est aussi unique.

— Tu as raison, petit mâle, c'est bien cela. Tu mérites vraiment ta présence ici.

Elle m'approche de son visage et m'embrasse sur les lèvres, avant de me redéposer sur le sol. Sal'Lah me prend la main.

— Viens, allons prendre le petit déjeuner et te remettre de toutes ces émotions.

Nous passons entre de nombreuses femmes noires géantes. C'est excitant, je ne sais dire pourquoi alors que je me sens si intimidé.

Dès que nous passons le pont rouge, Sal'Lah commence quelques explications.

— Personne n'a voulu te tuer, mais tu sais, les mâles qui peuvent sortir vivant de cette source sont très rares. Quand je t'ai vu hier, j'étais certaine que tu étais l'un d'eux.

— Et si vous n'en aviez pas été certaine? Ou même si vous vous étiez trompée?

— Tu ne serais pas ici. Arno, tu as réussi. Ne fais pas cette tête.

— Donc, quand j'entends des histoires sur des types qui disparaissent, ce ne sont pas des rumeurs, c'est vrai.

— Ne te pose pas de questions à ce sujet, me répond-elle un peu sèchement. Arno, tu es dans notre monde avec nos lois. Tu es venu de ton plein gré. Dans notre monde, la place des mâles est différente que là d'où tu viens. Toi, tu l'as compris et tu l'as apprécié et adopté. Ce n'est pas le cas de tout le monde.

Sal'Lah s'arrête tout à coup et s'assied sur un banc, puis me prend sur ses genoux. Elle empoigne doucement mon sexe et le caresse.

— Ne pense pas à cela, sois égoïste. Tu aimes la situation, non? Tu es le seul mâle ici, avec uniquement des femmes qui sont comme dans tes rêves. Ne t'occupe pas de ce qui peut arriver à des mâles que tu ne connais même pas. Ils ne méritent pas tes pensées.

— Oui, réponds-je excité et confus par la caresse, vous avez raison.

— Les mâles ne sont pas nécessaires en grand nombre, il faut un petit nombre pour l'harmonie du monde. Il faut donc qu'ils disparaissent, mais ne t'en fais pas tu n'es pas impliqué, bien au contraire.

Je ne suis plus la fin de son explication, elle me fait éjaculer sur l'herbe. C'est d'ailleurs encore plus fort et éprouvant depuis ce matin, comme si l'eau de la source rose avait donné un effet.

— Alors? Tu penses que tout est bien ici? Tu vas arrêter de penser aux mâles?

— Oui, réponds-je. J'aime trop vivre avec vous.

— C'est ce que je voulais entendre.

J'ouvre les yeux. Autour de nous se trouvent les autres géantes noires qui étaient venues avec nous ce matin. Sal'Lah leur explique mes états d'âme et leur soutient que tout est bon désormais.

Nous continuons notre chemin vers l'auberge.

— Tu ne dois pas t'en faire, dit une des femmes, tu sais, tu es le seul qui se déshabille et se promène nu ainsi, toutes les femmes ici t'adorent.

— Tu es unique.

— Nous t'aimons beaucoup.

Plein de belles paroles, c'est agréable d'être une sorte de héros au milieu de toutes ces femmes.

Mais dès que nous sommes à l'auberge, il y a une autre surprise. Il y a des policières un peu partout. Ma chambre a été fouillée et toutes mes affaires sont en tas dehors. Une des policières m'aperçoit au moment où nous passons dans le péristyle et elle arrive tout de suite vers moi.

— Tu es Arno?

— Euh oui madame.

— Tu es en état d'arrestation. Tu es arrivé ici hier après-midi et tu n'es pas venu directement signaler ta présence au poste. Ceci est un délit très grave. Suis-moi sans faire de résistance.

— Attendez, dis-je, laissez-moi prendre des vêtements.

— Pas question! Ne résiste pas et obéis! Crie-t-elle, ce qui fait apparaître trois autres policières autour de moi. L'une d'elles sort une sorte de menottes et me les passe aux poignets derrière mon dos. Elles m'entourent et m'emmènent à l'intérieur dans la salle principale de l'auberge bleue. Il y a de nouveau plein de femmes noires géantes autour de moi, celles en peignoir qui étaient aux sources, quelques employées de l'hôtel, d'autres clientes et une dizaine de policières.

— Ce mâle est en état d'arrestation pour délit grave. Nous l'emmenons au poste, il n'y a aucun problème pour les autres.

J'aperçois encore trois filles blanches dans un coin. Elles semblent terrorisées.

— Est-ce que vous allez el libérer? Demande Sal'Lah en venant près de moi.

— Cela dépendra de l'avis de la commissaire.

— Que faisons-nous de ses affaires?

— Gardez-les pour le moment.

— Je suis certaine que c'est un malentendu, me dit Sal'Lah. S'il le faut, je viendrai témoigner pour toi.

Je n'ose répondre. Le groupe de policières géantes m'emmène dehors. Je suis nu dans la rue, menotté et entouré de policières. La honte la plus totale. Des femmes noires géantes me voient et m'observent d'un œil mauvais. Quelques touristes me regardent également, sans doute heureuses de ne pas être à ma place. Nous marchons ainsi rapidement jusqu'à l'embouchure du fleuve sur une sorte de fjord. Il y a un petit port et une place avec un bureau de police comme à mon arrivée. Un bâtiment blanc plus moderne dans lequel on me fait entrer. Tout de suite, on m'emmène dans un bureau avec une géante noire en uniforme noir qui comporte quelques galons. La capitaine de poste sans doute comme à mon arrivée. La femme qui m'a arrêté lui remet mon laisser-passer et une pochette avec mon argent. Elle retire les menottes et me laisse seul devant le grand bureau. La gradée examine mes papiers.

— Alors Arno, on ne respecte pas les lois de Marana?

— S'il vous plait, madame, plaidé-je, j'ai mes papiers, je ne savais pas que je devais venir vous voir.

— Nous verrons cela. Pourquoi étais-tu tout nu quand tu as été arrêté?

— Je revenais de la source rose, j'allais m'habiller.

— Tout nu sur un si long chemin?

— Euh oui madame, j'étais avec madame Sal'Lah, je pensais que je pouvais rester tout nu.

— Qu'es-tu fait à la source? T'es-tu baigné?

— Oui madame, longuement, c'était très agréable, et l'eau a si bon goût.

— Ah? S'étonne-t-elle, tu as bu l'eau de source?

— Oui.

— Je vois que tes papiers ont été signés par mon amie Sonya. Je vais l'appeler et nous verrons les sanctions.

— Merci madame, je promets que je ne le ferai plus. A la prochaine ville, j'irai directement signaler ma présence.

Je sens qu'on prend mes poignets et qu'on les passe au dessus de ma tête. Encore une géante noire qui me soulève d'une main et m'emmène dehors, d'abord dans une grande salle puis dans une petite pièce, une cellule. Je me retrouve assis sur un banc, en compagnie de deux filles de type arabe, vêtues de tuniques grises.

— Bonjour, commencé-je, je me nomme Arno. Qu'avez-vous fait?

— Chayma, dit la première.

— Halima, répond l'autre en regardant mes abdos et mon sexe. Nous venions d'arriver en bateau de Mar'Salla, nous avons débarquer en face de l'Auberge Bleue et nous sommes d'abord aller demander une chambre, la police était là et nous avons été embarquée. Il faut toujours aller s'enregistrer en premier lieu. Et toi?

— Je suis arrivé hier, je ne savais pas qu'il fallait s'enregistrer. Elles m'ont arrêté ce matin.

— Et elles t'ont foutu à poil?

— Non, je revenais du bain, elles ont refusé que je m'habille.

— C'est débile dans ce pays, me dit Chayma. On nous déshabille et fouille nos affaires partout. Cela valait bien la peine d'offrir des conditions de voyages si bon marché. A la fin, tu n'as plus envie de revenir.

— Pour toi c'est bien, dit son amie, nous pouvons voir un beau garçon tout nu. Comment es-tu venu sur l'île?

— J'ai gagné un billet d'avion à un concours.

Nous parlons de nos expériences. Elles habitent Marrakech et me donnent leur adresse, me demandant de les contacter à mon retour.

— Nous te ferons goûter les délices du désert, me promet Halima en passant sa main sur ma cuisse. Tu as l'air à l'aise à poil.

— Cela n'arrête pas. Elles me font toujours le coup. A la fin, je crois que si je me comporte bien comme elles veulent, je n'ai pas de problème.

— Tu as raison. Il paraît que beaucoup de types ont disparu, ils étaient contre le système, répond Chayma.

— Mais ces femmes ont raison, poursuit Halima un peu allumée. Je trouve que les hommes devraient être nus et soumis. Viens à Marrakech, tu verras.

Je ne sais pas où elle veut en venir, la porte de la cellule s'ouvre et une géante noire ordonne à mes deux compagnes de venir. Je reste donc seul une bonne demi-heure avant d'être emmené devant la capitaine, toujours porté par les poignets.

— Sonya m'a dit du bien de toi, ainsi que Sal'Lah. Je serai donc indulgente, mais tu comprends que tu as commis un délit et que tu dois être puni?

— Oui madame, je comprends très bien, me soumets-je. Je suis vraiment désolé. Punissez-moi comme je le mérite.

— C'est bien que tu te soumettes. Un mâle doit être nu et soumis. Je te condamne donc à quarante heures de travaux au service de la police.

Elle fait signe à celle qui est derrière moi et à nouveau je suis emmené par les poignets. Cette fois, nous allons à l'arrière. Elle me montre une pièce sale.

— Tu ranges et tu nettoies, m'ordonne-t-elle.

Mon calvaire commence, je passe la journée à tout nettoyer et frotter, la pièce semble avoir été négligée pendant des années. Enfin, tard le soir, elle est propre, et une femme vient me chercher par les poignets pour m'emmener dans une cage. Je reçois un bol d'eau et un morceau de pain. J'ai faim et soif et avale le tout rapidement. Une autre géante vient soulever la cage par une chaine et je me retrouve suspendu dans les airs, à cinq mètres du sol. La cage est inconfortable. Je passe une nuit épouvantable, jusqu'au matin où je dois sortir et aller courir dans la cour devant deux géantes noires. Je cours en rond autour d'elles, avant qu'elles ne m'aspergent avec des lances d'incendie. Enfin, je suis ramené dans le grand bureau. Cette fois, je dois prendre un seau et une brosse et nettoyer le sol à quatre pattes.

Quelle humiliation, surtout quand je vois passer des filles en tunique grise qui sont arrêtés et questionnées. A croire que la police ne fait que ça dans ce pays. Il n'y aura certainement plus de touriste après cette saison. Parfois, je suis nu et à quatre pattes dans l'entrée et des filles me voient ainsi occupé de frotter le sol.

Je passe ainsi une deuxième et une troisième journée.

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