L'invasion Ch. 03

3

Je me réveille difficilement quand mon réveil sonne, mais je suis excité par la journée en perspective. Je vais voir ces femmes nues.

Je prends une douche et m'habille simplement, short et T-shirt avec sandales, faciles à retirer en quelques secondes, puis je sors de chez moi.

Il est encore relativement tôt. Je marche sur le trottoir et passe devant chez Marta, puis celle de leur voisine que je ne connais pas et enfin le numéro cinq, la maison de Sarah.

Deux géantes noires viennent à ma rencontre en marchant. Toujours des femmes qui me dominent de toute leur hauteur.

— Bonjour, me dit la première, tu es bien matinal.

— Tu es Arno, c'est ça?

— Bonjour mesdames, oui, c'est bien moi. Comment le savez-vous?

— Il n'y a plus qu'un seul garçon dans les environs, nous savons qu'il est jeune et blanc, très sexy. Donc tu ne peux être que lui.

Encore des géantes noires qui me trouvent beau et sexy. Je dois vraiment leur plaire.

— Nous habitons aussi le quartier, depuis un an.

— Excusez-moi, réponds-je, mais madame Sarah m'attend.

— Ne t'en fais pas, vas-y, nous nous reverrons certainement. Je m'appelle Clara, et voici Dora.

Je suis pratiquement contre les deux géantes et je dois lever la tête. Elles me tendent la main et nous nous saluons.

— A bientôt, me dit Dora.

J'entre dans la propriété de Sarah et vais sonner à sa porte. Peu de temps après, ma nouvelle amie ouvre. Ce matin, elle est vêtue d'une robe moulante rouge du plus bel effet. J'en reste presque muet d'admiration érotique. C'est très sexy.

— Arno, te voilà, comme je suis contente.

Elle me tire à elle, me soulève dans ses bras et m'embrasse. Quelle puissance, je me sens tout faible dans ses bras.

Elle ferme la porte et me porte dans ses bras jusqu'à sa salle à manger. Le style de la maison est dans le même genre que celle de Marta, luxueux et lumineux. La table a manger est recouverte de viennoiseries. Elle m'assied devant une assiette, et Marta entre également dans la pièce. Elle vient m'embrasser comme si elle ne m'avait plus vu depuis longtemps.

— Tu as bien dormi? Me demande-t-elle.

— Pas tellement. Je ne sais pas pourquoi, mens-je.

— Tu sais ce qu'il te faudrait? Un bon massage. Nous t'en ferons un tout à l'heure.

Leurs mains sur mon corps. J'en frémis d'impatience.

Nous mangeons. Je n'ai pas trop faim, mon estomac est tenaillé par l'excitation. Je me sens petit dans cette maison, comme chez Marta, les meubles sont adaptés à des personnes de 2m50. Je dois même avoir des coussins pour être assis à la bonne hauteur. Lorsque j'ai fini, Sarah se lève.

— Bien, allons nous préparer. Arno, viens je vais te montrer.

Nous sortons sur la terrasse. C'est un jardin oriental entouré de bambous avec des cabines, un jacuzzi et une pièce d'eau, une douche.

— Voilà, déshabille-toi, tu peux commencer par une douche et ensuite attends-nous dans le hammam. D'accord?

Elles me laissent seul.

Dans peu de temps, je vais voir ces deux superbes femmes complètement nues. Je n'ai jamais vu de femme nue, sauf à la télévision. Et avant quand j'avais douze ans, un de mes camarades avait apporté un livre érotique, avec des femmes nues partout. Il nous avait même fait payer pour voir, puis il avait promis de nous le prêter à tour de rôle et celui avant moi s'était fait pincer par ses parents. Je n'avais plus jamais eu de magazine.

Je me mets tout nu et dépose mes vêtements sur une chaise, puis prends une nouvelle douche rapide avant d'aller dans le hammam. J'ouvre la porte et me retrouve dans de la vapeur chaude. C'est génial. Je m'assieds sur le banc et attends avec impatience l'arrivée des deux femmes. Pas trop longtemps. La porte s'ouvre et la vapeur se dissipe un peu. Les deux géantes entrent et ferment la porte derrière elles. Elles ne sont pas nues, chacune d'elles porte un maillot de bain bleu. Sarah vient s'installer à ma gauche et Marta se place en face de moi.

— Oh, remarque-t-elle, tu es tout nu.

— Désolé, dis-je très rapidement, et horriblement gêné, je croyais. Euh. Je-je vais aller m'habiller, ajouté-je en tentant de me lever.

— Reste, me retient Sarah. C'est très bien comme cela.

Elle me tient assez fermement et je me rassieds.

— Tu as tout à fait raison, il vaut mieux être tout nu dans le hammam, me dit Marta

— Détends-toi, complète Sarah.

Je ferme les yeux. Je suis tout nu dans cette petite pièce avec deux immenses femmes noires. Mon cœur bat fort, j'ai mal au ventre, c'est trop excitant. Je pensais les voir nues, mais en fait, je suis encore plus excité en étant le seul à être nu. J'entrouvre les yeux. Mon sexe est énorme et dur sur mon ventre, malgré la chaleur moite. Petit à petit, la vapeur envahit la cabine et on ne voit plus rien.

Sarah me serre contre elle et passe son bras autour de moi, pendant que Marta serre ses jambes autour des miennes. C'est très sexy. Je n'ose plus bouger. Nous restons ainsi un long moment. Je me sens bien, à un niveau d'excitation jamais atteint. Je n'ose pas bouger, de peur de briser ce charme. J'aimerais les voir nues, mais la sensation d'être le seul tout nu avec ces deux femmes me semble encore plus forte. Au bout d'un moment, elles décident de sortir. Marta se lève et me prend la main. Sarah se lève également et je me retrouve coincé entre les deux corps, dans cette étroite cabine. Marta ouvre la porte et me tire à elle pendant que Sarah me pousse par les fesses. Nous nous retrouvons dehors dans le jardin, je me retrouve tout nu entre ces deux femmes dans le jardin.

— Tu n'avais pas pris de maillot? Questionne Marta.

— Euh non, bégayé-je, je... je pensais que quand on allait au spa, c'était sans vêtement.

— Ce n'est pas obligatoire mais si tu préfères comme ça, nous n'y voyons pas d'inconvénient, n'est-ce pas Sarah?

— Absolument pas. C'est beaucoup mieux ainsi.

Les deux femmes me prennent la main et nous allons à la douche pour nous rafraichir. Puis, nous traversons le joli jardin pour rejoindre la cabine en bois de sapin, le sauna. J'en avais déjà vu un, mais jamais avec une porte qui fait deux fois ma taille. L'intérieur est encore plus chaud, mais cette fois c'est sec. Marta m'installe sur une planche au milieu et elles s'asseyent de chaque côté.

— Respire lentement, me dit doucement Sarah en me serrant encore plus contre elle.

Personne ne parle, il fait trop chaud, et bientôt je suffoque. Mais je n'ose rien dire. Au bout de probablement un quart d'heure, nous sortons. Les deux femmes m'emmènent rapidement dans un petit bassin adjacent à la cabine, elles nous font sauter tous les trois. C'est un choc, l'eau est glacée.

Le bassin est étroit mais profond, au moins pour moi car Marta et Sarah se tiennent debout avec l'eau jusqu'à la poitrine, tandis que moi elles doivent me tenir entre elles à la surface. L'eau glacée ne change rien à mon sexe qui reste dur contre le corps de Marta.

— C'est bon, hein? Me demande Marta en souriant.

— C'est froid.

— Excellent pour le cœur.

Je tremble de froid et d'excitation, mon cœur bat trop fort. Elles me maintiennent tout nu dans leurs bras et finalement elles sortent. Quand elles sont dehors, elles me hissent sur le bord et nous retournons dans le sauna.

Après le troisième passage, je me sens exténué, surtout après cette trop courte nuit.

— C'est le but, me réconforte Marta. Viens te reposer un peu dans le jacuzzi.

Encore une fois, elles se placent de chaque côté et me tiennent dans leurs bras. Sarah appuie sur un bouton et l'eau se met à bouillonner. Puis, au bout d'une demi-heure, elles me font sortir. Chacune prend une grosse sortie de bain en coton blanc et elles viennent m'essuyer avec une grande serviette. Elles se gardent bien de me la laisser et je reste donc tout nu, un peu désemparé par tous ces événements.

— Viens, me dit doucement Sarah.

Nous allons sous un auvent dans le fond du jardin. Il y a une table de massage, mais elle se trouve à hauteur de mon visage. Elle est recouverte de serviettes.

— Attends, je vais t'aider me dit Marta en me soulevant et en m'étalant sur le ventre.

Elle vient se placer devant moi, sa lourde poitrine tend le peignoir et j'ai une vue sur le sommet de ses seins gonflés. Elle commence à enduire mon dos de lotion et me masse les épaules. Pendant ce temps, Sarah est sur le côté et elle masse le bas de mon dos. C'est bon et apaisant, au début je suis excité, mais leurs mains m'endorment presque. Lorsque je reviens à moi, je suis couché sur le dos et elles s'activent sur mon côté face. C'est divin. Surtout lorsque j'ouvre les yeux et vois l'opulente poitrine de Marta à quelques centimètres de mon nez. Elles continuent, je me laisse faire. C'est la volupté. Mon sexe est dressé sur mon ventre et à tout moment, leurs mains passent autour, à un millimètre sans jamais le toucher. C'est une torture divine, je tente parfois de bouger légèrement, pour sentir une main me toucher, mais je n'y parviens pas, comme si elles se bougeaient chaque fois au dernier moment. Elles quittent la zone, s'occupent de mes pieds, de ma nuque, de mon crâne, et je perds conscience.

Je reviens à moi, je suis tout seul sur la table. Je me lève et regarde autour de moi, je ne les vois pas. Je vais vers mes vêtements... qui ne sont plus à la place où je les avais laissés. Je regarde partout, un peu paniqué.

— Ah, tu t'es réveillé.

Je me retourne. Sarah se trouve là, vêtue d'une belle robe longue.

— Tiens, prends un verre d'eau.

Je le bois rapidement. Je suis toujours tout nu. Marta arrive aussi, également vêtue d'une robe longue et elle vient contre moi.

— Alors? Comment te sens-tu?

— Bien, réponds-je troublé.

— Tu dois boire beaucoup. Tu sais que tu as dormi plusieurs heures, il est plus de 16h.

— Ta tutrice est arrivée, m'apprend Marta. Je lui ai dit que tu étais avec nous. Elle est d'accord pour que tu passes les vacances ici et que tu sois gardé par Ayesha. Elles sont ensemble en ce moment.

— Il est déjà si tard?

— Tu as dormi longtemps.

— Je peux aller chez moi?

— Bien sûr.

— C'est que ... je ne vois pas mes affaires.

— Elles sont là, me désigne Sarah en montrant un petit meuble.

J'hésite. J'adore vraiment être tout nu en leur compagnie, et je n'ai presque pas envie de m'habiller encore moins de partir. Je pourrais geler le temps. Combien de temps vais-je avoir avant de me retrouver dans pareille situation?

— J'ai passé un très bon moment, dis-je sans m'éloigner des deux géantes noires.

— Nous aussi. Tu es toujours le bienvenu.

— Je reviendrai dès que je peux. J'essaierai de ne pas m'endormir, mais ce massage, c'était très bon.

— Nous t'en referons encore, c'était agréable.

— Oui, ton corps est parfait, et si doux.

A regret, je me dirige vers mes vêtements.

— Attends, me dit Sarah, il faut que tu boives encore un peu.

Ravi, je retourne vers elle. Marta me prend la main et nous retournons dans la maison. Sarah me montre un pichet d'eau et me sert un verre. Je le bois encore rapidement, et plusieurs encore par la suite. Je n'ai pas envie de partir.

— Nathalie a dit à quelle heure je devais rentrer?

— Non, tu peux rester encore un peu, me propose Sarah. Viens, tu n'as pas encore tout vu.

Ravi, je les suis. Je reste nu, je ne veux pas de vêtements. D'ailleurs, nous n'allons pas vers le meuble où ils se trouvent, elles m'emmènent dans le fond du jardin, derrière l'ambiance orientale du spa se trouve la suite de sa propriété. Nous marchons dans le gazon, je me laisse guider, groggy par la situation. Je n'en reviens pas, je suis nu, et c'est comme si c'était moi qui le proposais. Au bout du jardin se trouve un petit portique que nous traversons. Nous sommes dans le parc situé entre les propriétés du quartier. Je n'en reviens pas. Sarah et Marta continuent, je me demande si cela ne va pas trop loin, et si nous tombions sur des gens?

— Rien de tel qu'une bonne petite promenade tout nu, hein? Me dit Marta.

— Oui, réponds-je dans un état second.

— Tu reviendras au spa? Me demande Sarah?

— Oh oui, j'adore.

— Tout nu alors, me dit Marta.

— Evidemment, lui répond Sarah à ma place. Nous devrons encore passer plein de journées ainsi. N'est-ce pas?

— Oui, réponds-je. Oui, j'adore passer du temps avec vous.

— Nous aussi.

Nous tournons plusieurs fois dans le parc, et finalement retournons dans la propriété de Sarah.

— Voilà, tu peux te rhabiller maintenant, à moins que tu ne veuilles que nous ne te ramenions tout nu chez toi?

— Oh oui... Enfin, non, me reprends-je. Je ne peux pas aller nu chez moi.

— Pourquoi?

— Je ne peux pas sortir ainsi, et puis je ne veux pas que Nathalie me voie nu. Non.

— Tant pis, une autre fois.

Marta ouvre le petit meuble et y prend mes affaires. Elle ne me les donne pas, elles m'emmènent dans l'entrée.

— Que ce moment pénible soit le plus loin possible, fait elle en ouvrant la porte et en jetant mes affaires dans le jardinet de façade.

— Que faites-vous? M'écrié-je paniqué en me précipitant dehors.

Je suis retenu par Sarah.

— Tu ne vas pas nous quitter sans nous dire au revoir!

Elle me prend dans ses bras et me soulève pour m'embrasser. Puis Marta fait de même.

— A bientôt.

Elles me déposent et je me précipite sur mes affaires éparpillées dans la pelouse. Je m'accroupis pour tout ramasser au moment où trois autres géantes noires entrent dans la propriété.

— Il me semblait bien, dit l'une d'elles, nous avions bien vu un petit blanc se promener tout nu avec Sarah.

Je n'en peux plus de honte. Je reste accroupi, presque tétanisé, incapable de bouger. J'attrape mon short en tremblant.

Je sens qu'on me fait lever.

— Viens, me dit Sarah, je vais te présenter.

— Je n'en reviens pas, dit encore une voix alors que je me lève tout tremblant, vous avez le petit mâle blanc tout nu, comment avez-vous fait?

— Nous n'avons rien fait, répond Marta, c'est lui qui se déshabille. Nous l'avons invité au spa, il arrive et se met tout nu. Et au moment de partir, il voulait rester nu avec nous, alors nous avons fait un tour dans le parc, et puis il devait retourner chez lui.

Sarah m'amène devant Marta et les trois autres femmes noires. Elle prend mon short de ma main et le jette encore derrière elle.

— Voilà, je vous présente Arno, notre charmant voisin. Arno, ce sont nos amies, Krista, Sophia et Maria.

Je suis au milieu des cinq géantes, qui se penchent sur moi. Les trois nouvelles venues me serrent la main

— Quel beau mâle, s'extasient-elle. C'est bien de vouloir rester tout nu, nous adorons cela.

Elles éclatent de rire.

— Entrez, leur propose Sarah, venez prendre un verre.

— Avec joie.

Elles entrent dans la maison et je me retrouve toujours au milieu d'elles dans le hall, et puis le salon. Elles s'asseyent, je reste debout.

— Alors, me dit Marta, cela ne va pas?

— Je... je dois rentrer, bégayé-je, Nathalie m'attend.

— Elle ne t'a pas donné d'heure, elle sait que tu es ici. Ne t'en fais pas.

— S'il vous plait, laissez-moi y aller.

Marta sourit.

— Tu es si mignon, comme si tu avais les yeux plus grands que le ventre. Soit, salue tout le monde.

Fébrilement, je passe devant chaque femme et lui dis au revoir, d'une manière mécanique. C'est trop.

Marta m'emmène à la porte et me laisse sortir. Je me jette sur mes affaires dans la pelouse, et enfile mon short puis mon T-shirt. Finalement, j'aurais bien aimé rester un peu plus. Je trouve mes sandales.

— A bientôt, me dit Marta.

Je vais sur le trottoir. Quelle aventure, je commençais à m'habituer, c'était génial, et puis ces trois autres femmes sont arrivées.

Je marche lentement dans la rue et une voiture s'arrête à ma hauteur. La vitre descend et j'aperçois deux autres grandes Noires.

— C'est toi que nous avons vu dans le parc, n'est-ce pas?

— Euh... Je ne sais pas.

— Allons, tu es le seul mâle de la région, ce ne peut être que toi, tu ne dois pas être honteux, tu es très beau à voir.

— Merci, réponds-je.

— J'espère que nous aurons le plaisir de nous revoir. La prochaine fois que je te vois dans le parc, nous viendrons à ta rencontre.

Elles rient et démarrent. Je poursuis jusque chez moi. La voiture de ma tutrice Nathalie se trouve juste devant l'entrée. J'entre dans la maison par derrière, et aperçois Nathalie dans la cuisine. Elle vient tout de suite à ma rencontre et m'embrasse.

— Tu as fait bon voyage? Demandé-je.

— Excellent. Tu arrives juste à temps pour le repas. Viens t'asseoir.

Nous sommes l'un en face de l'autre. Elle me sert un plat.

— J'ai vu quelques amies, cela m'a fait du bien. Ici, nous sommes toujours tous les deux, et cela fait longtemps que je ne peux plus discuter avec personne.

— Et nos voisines, Marta?

— Ce n'est pas mon amie. Et puis, tu as vu leur taille? C'est difficile d'avoir une conversation avec de si grandes femmes.

— Je ne trouve pas, réponds-je distraitement.

Au contraire, je trouve cela génial.

— Si tu aimes cela, tant mieux pour toi. Ecoute, cette année, ma sœur m'a invitée à Nice. Je vais aller la rejoindre, me changer d'air. Je viens de discuter avec Marta, tu aimerais rester ici?

— Oh oui, merci.

— Tu n'aurais pas aimé voyager un peu? Tu ne sors jamais.

— J'aime bien ici.

— J'en suis ravie, j'ai vraiment besoin d'un changement. Marta m'a dit que tu te plaisais bien avec elle, tu étais au sauna et hier chez elle?

— Oui, c'était génial.

— Tu pourras donc rester ici. Mais je ne peux te laisser seul si longtemps, je préfère que tu sois gardé. Marta m'a conseillé une de ses amies.

— Oui? Prétends-je ne rien savoir.

— Cette dame viendra loger ici pendant quelques temps, elle me remplacera. Je pense que ce sera bien pour toi aussi d'avoir du changement. Et Marta m'a dit que tu t'entendais bien avec elle. Tu sais, j'en suis très contente.

— Je ne vois pas de problème à avoir une remplaçante. Il fait beau, Marta a une piscine, il y a la plage, je crois que je vais avoir un été super. J'espère même que j'aurai l'occasion de me faire de nouvelles amies.

— C'est vrai que tu as l'air heureux. Je suis contente. Donc tout est dit. Ta nouvelle tutrice s'appelle madame Ayesha, elle arrive demain matin. Le temps de nous parler et je pourrai partir. Je te laisserai mon numéro pour m'appeler.

Je débarrasse et place les couverts dans le lave-vaisselle. Puis, je vais un moment sur la terrasse avant d'aller regarder la télévision. Il n'y a rien, aucune émission que j'aime, et en plus il manque plein de chaines. De toute façon, je ne vais pas passer mes vacances ici, je préfère une journée comme aujourd'hui, même la fin. J'en viens à regretter que je ne suis pas resté plus longtemps avec les cinq femmes.

Nathalie me réveille, je m'étais endormi devant la télévision. Dans ma chambre, je me remets à penser à ma journée, et je me masturbe en imaginant Sarah et Marta, et même d'autres, toutes celles que j'ai rencontrées aujourd'hui.