L'invasion Ch. 06

Informations sur Récit
Trois femmes pour Arno tout nu.
5.3k mots
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Partie 6 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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6

Je suis réveillé avant l'aube.

J'ai l'impression de ne pas avoir beaucoup dormi et en même temps d'avoir vécu des heures d'histoires imaginaires avec Ayesha. Je reste au lit avec le désir de voir Ayesha entrer et m'emmener tout nu à la salle de bains. J'entends du bruit dans la maison, mais au bout d'un long moment, je ne la vois pas entrer dans la chambre. Alors, je me lève. Mon état ne change pas, j'ai toujours ce sexe devenu énorme et trop dur qui palpite d'excitation.

Il y a du bruit dehors et je regarde par la fenêtre. Devant notre maison, j'aperçois quatre grandes femmes noires qui discutent sans que je puisse entendre ce qu'elles disent, malgré la fenêtre entrouverte. Marta vient les rejoindre et elles continuent de parler.

— Et bien, ce n'est pas beau d'espionner, entends-je la voix d'Ayesha dans mon dos.

Je me retourne. Elle est vraiment contre moi. Je vacille et elle me rattrape dans ses bras. Nu dans les bras d'Ayesha! Elle regarde à son tour par la fenêtre.

— Tu espionnais Marta? Me demande-t-elle très sévèrement.

— Mais non, je vous assure, j'ai entendu du bruit et j'ai regardé, c'est tout. Quelques secondes.

— Soit, je te crois. C'est très important de toujours dire la vérité, quoiqu'il arrive, tu as compris? Il n'y a rien de pire que le mensonge, je serai intransigeante à ce sujet.

— Oui Ayesha, réponds-je pendant qu'elle fait signe aux femmes dans la rue.

Je suis nu dans ses bras, heureusement de dehors on ne doit voir que mon corps jusqu'aux épaules. Ayesha ne me dépose par sur le sol, elle continue de me porter dans ses bras jusqu'à la salle de bains, et comme je l'espérais, elle me lave complètement et m'essuie, puis me ramène toujours nu dans la chambre. Après m'avoir déposé sur ma chaise, elle va ouvrir mes armoires et commence à chercher et regarder dans tous les coins.

— Il paraît que tu abimes tes maillots de bain, me dit-elle tout à coup sans me regarder et en poursuivant sa fouille.

— Non madame, juste une fois quand Marta m'a invité. J'ai plongé dans la piscine et mon maillot s'est retiré et a été aspiré dans les filtres. Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite.

— Cela arrive. Mais il faudra faire plus attention, sinon plus de maillot, tu as compris?

— Oui Ayesha.

Elle commence à retirer toute une série de vêtements et d'affaires de mes armoires pour les laisser sur le sol.

— Pourquoi retirez-vous cela?

— Parce que tu ne les mets pas pour le moment. Ce sont les vacances, il te faut uniquement des vêtements de vacances. Le reste, on le range, tu ne vas garder ici que ce que je décide qui est nécessaire.

Pratiquement toutes mes armoires sont sur le sol, et elle s'attaque aux tiroirs et à mon bureau. Un quart d'heure plus tard, pratiquement tout ce que j'ai est sur le sol, y compris mon iPhone et mon ordinateur portable.

— Viens ici!

Je quitte la chaise et la rejoins. Elle place un maximum d'affaires dans mes bras.

— Suis-moi.

Je la suis tout nu dans le couloir et nous descendons. Nous allons jusqu'à la cave et elle me fait placer toutes mes affaires dans une grande caisse. Puis nous remontons et effectuons quatre autres trajets avec mes affaires. Lorsque nous remontons du dernier voyage elle me fait aller dans la cuisine et me donne du pain et du fromage avec une tasse de thé. Dès que j'ai fini de manger, je place mes couverts dans le lave-vaisselle et nous retournons dans ma chambre. Je n'en reviens pas, cela fait une heure que je suis nu avec Ayesha et que nous déambulons partout dans la maison. J'ai mal au ventre et au sexe d'excitation.

— Regarde, me dit-elle quand nous sommes dans ma chambre, beaucoup plus de place.

— Vous avez tout retiré, il n'y a plus rien.

— Tu n'as pas besoin de cela pendant ma période.

— Même pas mes livres et mes affaires de cours?

— Vas-tu étudier pendant les vacances?

— Et mon iPhone? Et mon ordinateur?

— Ce sont les vacances, tu auras d'autres choses à faire.

— Oui, mais je veux continuer à communiquer avec mes amis.

— Je ne veux pas que tu utilises ces choses pendant les vacances. Si c'est absolument nécessaire, tu pourras communiquer sous surveillance. Nous avons un programme chargé, et tu n'as pas besoin de vêtements d'hiver, rien que quelques shorts, des polos et T-shirts et un maillot de bains. C'est largement suffisant. Maintenant, viens dans ma chambre.

Subjugué par son ton autoritaire, je vais à sa suite, sans prendre de vêtements. Je ne sais même pas si elle me le permet.

Nous sommes dans sa chambre. Je ne reconnais pratiquement pas la pièce un jour occupée par Nathalie, il ne reste que quelques caisses sur le sol et tous les meubles semblent changés, beaucoup plus grands. Même les murs ont changé de couleurs, et toutes les décorations sont changées. Il y avait des portraits de moi qui n'y sont plus.

— Vous avez retiré tout ce qui appartenait à Nathalie?

— Bien sûr, je ne suis pas Nathalie et j'ai mon propre mode de vie.

— Oui, mais quand elle va revenir, il faudra tout changer, elle ne part que quelques semaines.

— Je remettrai tout en place, ne t'en fais pas.

Je regarde le portrait de moi sur le sol.

— Je mettrai également un portrait de toi, me dit-elle. Je prendrai quelques photos et je les placerai dans la maison.

— Merci, réponds-je sans savoir si c'est nécessaire.

— Bien, prends toutes les affaires et descends-les à la cave.

A nouveau j'effectue une dizaine de transports entre la chambre et la cave, et ensuite d'autres pièces où elle a retiré les anciennes affaires. Quand j'ai fini, elle me rejoint dans la cave et me fait encore arranger tout ce que j'ai descendu dans la réserve, qu'elle ferme à clef, comme pour retirer de ma vue tout ce qui a fait ma vie dans cette maison pendant près de seize ans. Nous remontons dans ma chambre et elle me montre qu'elle a apporté des accessoires. Elle me demande de l'aider à les installer. C'est dingue, je suis tout le temps nu avec elle. Elle semble trouver cela tout à fait normal, usuel, alors que je perds mes moyens et ne peux m'empêcher d'être dans une situation d'excitation extrême à tout moment, surtout qu'Ayesha me touche beaucoup, elle me prend la main ou la dépose sur mes épaules.

Dans ma chambre, elle me fait accrocher de nouveaux cadres. Il s'agit uniquement de portraits de femmes noires comme elles, je ne les connais pas, mais on voit qu'elles sont géantes, portant parfois des tenues futuristes, il y a aussi des chanteuses ou des modèles, des actrices noires fantastiques, même si celles-là ne semblent pas comme le groupe qui s'est installé sur l'île. En tout cas, ma chambre est changée.

— Voilà, c'est beaucoup mieux comme ça, non?

— Oui, réponds-je sans oser la contrarier.

Elle retire la clef de ma porte.

— As-tu d'autres clefs?

— Non.

— Promis?

— Oui, je vous le jure.

— Tant mieux, tu ne peux jamais t'enfermer, il faut toujours pouvoir te surveiller. A ton âge, tu as besoin de constante surveillance.

Vers 13h, nous allons manger, quelque chose de simple, et elle me fait tout ranger et laver avant de me libérer.

— Tu ne faisais pas tout cela avec Nathalie?

— Oui, je l'aidais beaucoup.

— Avec moi, ce sera mieux qu'aider, je vais bien t'éduquer. Bien, cet après-midi nous allons chez Sarah, elle m'a contactée, nous pouvons aller y passer l'après-midi.

— Génial, m'exclamé-je ravi en pensant à la dernière fois.

— Dis-moi Arno, tu es encore tout nu, tu ne t'es pas habillé depuis ce matin, pourquoi?

Je me sens rougir, mon cœur s'emballe, que répondre?

— Euh... Je croyais que vous vouliez que je reste comme ça, je ne savais pas.

— Non, je n'ai pas compris pourquoi tu as tout fait tout nu avant de t'habiller, c'est normal d'être nu pour dormir et se laver, mais toi, tu as travaillé toute la matinée sans t'habiller. Bon, je ne vais pas t'ennuyer avec cela maintenant, tu peux aller chez Sarah, je te rejoindrai plus tard. Demain, s'il fait beau, nous irons à la plage.

— Oh oui, merci, cela faisait longtemps que je n'y étais plus allé. Je n'ai plus d'amis.

— Je sais, nous irons tous les deux et tu me feras découvrir, je ne connais pas encore très bien l'île.

Elle m'emmène dans ma chambre.

— Allez, habille-toi. A moins que tu ne veuilles rester tout nu toute la journée?

— Oh non, m'inquiété-je. Je vais m'habiller.

Je choisis un short de coton et le passe, il est ample et j'ai des difficultés à y entrer mon sexe. Cela fait un drôle de volume devant moi. Pendant que je passe mon polo et mes sandales, je repense à des discussions que nous avions, mes amis et moi, à propos de la taille des sexes. C'était bien dans avoir un gros, et je pensais que j'étais relativement bien nanti quand je voyais celui de mes camarades. Cette dernière semaine, mes parties génitales ont comme doublé. Et je suis en constante érection. Dès que je me retrouve nu avec Ayesha ou Marta ou Sarah, je me sens exploser, et cela a un effet sur mes pensées. Je ne parviens plus à réagir correctement, comme si toute mon intelligence était dirigée par mon sexe. Quand je suis habillé, Ayesha m'emmène au rez-de-chaussée et ouvre la porte.

— A tout de suite, je viens dès que j'ai fini.

Elle m'embrasse tendrement et me pousse par les fesses vers la rue. Sarah habite trois maisons plus loin, j'y suis rapidement, et j'entre dans la propriété au moment où la porte s'ouvre. Trois géantes noires sortent de la maison, avec Sarah. Elles ont l'air contentes et rient. Alors, elles m'aperçoivent.

— Mais qui voilà, s'exclame Sarah, mon beau petit voisin Arno. Vous le connaissez?

— Oh oui, répond une des dames, nous l'avons déjà aperçu plusieurs fois, et particulièrement ces derniers jours. Tu l'as promené dans le parc avant hier, non?

Je rougis à cette évocation, comme si toutes les voisines m'avaient vu me promener tout nu avec Sarah et Marta.

— Effectivement, c'était très agréable. Entre Arno, tu peux directement aller sur la terrasse et te préparer, j'arrive.

Alors que je m'éloigne, j'entends Sarah confirmer :

— Arno a voulu passer toute la journée nu au spa, nous l'avons laissé faire évidemment, et ensuite, il a demandé à faire une promenade sans s'habiller.

J'arrive à la terrasse, mort de honte, même si quelque part c'est vrai, l'entendre est autre chose. Malgré tout, je me sens émoustillé d'être ici, et je retire mes vêtements. Après tout c'est le sauna, c'est normal d'être nu ici. Et en plus, Sarah m'a déjà vu tout nu assez longtemps, je suis habitué à elles. Après avoir déposé mes vêtements sur le même meuble que la dernière fois, je retourne au centre du jardin oriental. A peine arrivé, je vois Sarah qui arrive vers moi.

— Ah, je vois que tu es prêt. Oh, Arno, ne laisse pas tes affaires trainer sur le meuble, place-les dans le meuble!

— Oui Sarah, réponds-je confus.

C'est toujours humiliant de se faire réprimander lorsqu'on est nu. Elle me suit jusqu'à mon tas de vêtements que j'avais pourtant pliés. Lorsque je les ai placés dans le meuble, elle approche et ferme la porte à clef et puis garde la clef.

— Comme cela, quand tu voudras les récupérer, je serai là pour encore te faire comprendre que tu dois ranger tes affaires. Maintenant, j'ai besoin de ton aide, suis-moi.

Elle part rapidement vers son living et je la suis en devant pratiquement courir. Je me demande si elles aiment que je sois tout nu. Elles n'arrêtent pas de me faire faire des trucs tout nu. J'aurais pu me rhabiller, mais au contraire, elle enferme mes vêtements. Elles veulent que je sois nu le plus possible. Comme je traine un peu, elle vient me chercher par la main et me tire derrière elle. Nous allons dans le garage dont la porte donne sur le hall d'entrée. Le garage est ouvert et la voiture dans l'allée pratiquement dehors.

— Veux-tu aller décharger ce qui se trouve dans la voiture et aller porter les caisses dans la réserve?

Je ne le crois pas, elle me demande de sortir tout nu.

— Euh, oui Sarah, volontiers, puis-je aller m'habiller, la voiture est dehors.

— C'est toi qui as retiré tes vêtements, je te les rendrai ce soir.

Elle semble assez sèche et sévère aujourd'hui. C'est la deuxième fois qu'elle me réprimande.

— Allez! Ordonne-t-elle en me poussant vers l'allée de sa maison, au travail.

Tant pis, me dis-je, allons-y. Je sors prudemment, en regardant partout. Heureusement la propriété est assez bien protégée de la vue depuis la route et même les maisons voisines. J'arrive à la voiture. Evidemment, le coffre est au bout et il me faut aller un peu sur le trottoir pour l'ouvrir. Heureusement, je ne vois personne nulle part. Rapidement je prends deux petites caisses et les porte dans le garage et je retourne. Toujours personne. Je prends encore des caisses. Le coffre en est plein. J'apporte le tout dans le garage en quatorze passages. Ce n'est qu'au dernier que je vois arriver des gens. Etant donné la nouvelle structure du quartier, ce sont certainement des femmes noires géantes. Mais je ferme le coffre, elles doivent m'avoir vu. Tant pis, elles sont trop loin. Le seul problème, c'est que je suis le seul garçon blanc dans les environs, elles vont savoir que j'étais nu sur le trottoir.

Je cours au garage et tente d'en fermer la porte. C'est bloqué. Alors, je prends deux caisses et entre dans la maison pour aller les ranger dans la réserve. Je reviens au garage sans voir Sarah, je crois que je l'entends depuis l'étage. J'effectue encore quatre trajets avec des caisses, et quand je reviens dans le hall pour aller encore prendre des caisses, je vois que Sarah a ouvert la porte de rue et est occupée de parler. Elle me voit.

— Arno, viens!

— Attendez- réponds-je, je... je dois terminer le rangement.

— Arno, viens tout de suite, tu continueras après.

Dompté par son ton autoritaire, je m'approche doucement d'elle. Sarah ouvre la porte en grand et je vois deux géantes noires, elles sourient en me voyant.

— Oui, nous l'avions bien vu depuis la rue. Pourquoi est-il nu?

— Il a retiré ses vêtements, il aime cela je crois. Arno, viens, je te présente Lisa et Carla, ce sont nos voisines, elles habitent la maison d'à-côté vers chez Marta.

— Bonjour, me disent les deux femmes en se baissant. Mais quel beau garçon tu es.

— Nous te voyons passer depuis longtemps, et jamais nous n'avons pu parler.

— Le quartier a de nombreuses nouvelles habitantes, répond Sarah, il faudrait sans doute faire une petite soirée de présentation. Nous nous retrouvons toutes ici pour faire connaissance.

— C'est une excellente idée, répond Carla.

Je me sens tétanisé, je ne sais pas quoi faire.

— Tu as l'air bien serviable, tu pourras aussi venir chez nous? Nous avons quelques petites choses à faire.

Je ne parviens pas à répondre.

— Il faudra demander à sa tutrice.

— Nathalie? Oui, nous irons.

— Non, Nathalie est partie, c'est une amie qui est là pour lui, Ayesha.

— Oh, dans ce cas, nous irons lui demander, nous la connaissons très bien.

— Euh, je vais continuer à travailler, avertis-je tout bas, la gorge bloquée à cause de la situation.

Décidément, je ne m'habitue pas. Et pourtant, quelle excitation.

Je retourne au garage et effectue tous les derniers trajets. Quand j'ai fini, j'attends Sarah sur la terrasse ;

— Bravo, tu es un champion, tu as très bien travaillé.

Comme pour me remercier, elle me prend dans ses bras et m'embrasse. Je la vois faire signe et je me retourne.

— Voilà, merci beaucoup, je ne t'ennuierai plus. Tu peux aller au spa.

— Vous ne m'avez pas ennuyé, j'aime vous rendre service, réponds-je pour lui plaire.

— Merci. Dans ce cas, je ferai encore appel à toi. J'aime te voir travailler. Tu sais, ta présence est très agréable, tu es magnifique, c'est gai de t'avoir dans la maison.

On sonne à la porte. Sarah me laisse et va ouvrir. Mon cœur bat, j'ai peur. Elle revient un peu plus tard suivie d'Ayesha. Ouf, me dis-je pas une nouvelle femme.

— Arno m'a bien aidée, il a vidé toute la voiture et rangé les caisses dans la réserve.

— C'est très bien, me dit ma nouvelle tutrice. J'apprécie beaucoup que tu sois serviable. Il n'a pas fait de problème?

— A peine, il a voulu se déshabiller, mais il a laissé trainer ses vêtements. Nous les avons enfermés dans l'armoire, et ensuite, quand des amies sont venues sonner, il a fait le difficile pour venir dire bonjour.

Ayesha se tourne vers moi avec un air fâché et sévère. Elle me regarde longuement, rien que ce moment est trop humiliant. Nu à me faire réprimander, pour des erreurs qui n'en sont même pas.

— Arno, tu sais que j'admets les erreurs toujours une fois. Donc je ne dirai rien maintenant, nous sommes ici pour en profiter. Mais gare à toi la prochaine fois, nous sommes en vacances, il faut prendre du bon temps, mais il ne faut pas abuser.

— Oui Ayesha, excuse-moi, je ferai attention.

— C'est bien, tu t'es excusé. C'est très important. Donc, tu n'es pas encore allé au spa?

— Non Ayesha, madame Sarah m'a appelé juste avant que je n'y aille, enfin j'attendais, je ne savais pas si je pouvais y aller seul.

— Ce n'est pas grave, tu pourras y aller maintenant.

Mais on sonne encore. Je tremble de peur, je suis nu avec ces deux géantes noires et on sonne à la porte.

— Allons voir qui c'est, dit Ayesha, Arno, viens avec nous.

Je la suis tout de suite, de peur de me faire encore réprimander, et pourtant, j'ai peur de voir encore une nouvelle femme. Sarah ouvre la porte et Marta entre. Elle sourit en me voyant et me prend dans ses bras pour me soulever à sa hauteur.

— Alors, tu es content? Tu es avec nous pour les vacances.

— Oui, réponds-je intimidé.

— On ne dirait pas, tu n'es pas très enthousiaste.

Mon sexe frotte un peu contre son ventre, c'est encore plus fort, je suis trop excité pour le moment.

— Je suis très content, réponds-je. C'est vraiment génial.

— Tant mieux, et je vois que tu es déjà nu, tu sors du sauna?

— Non, répond Sarah à ma place, il est arrivé et il a tout de suite tout retiré, avant même de me rendre service.

— C'est très bien, me dit Marta alors que nous marchons vers la terrasse.

Nous sommes à nouveau dans le jardin oriental. Marta me dépose entre elles.

— Il semble qu'il aime être nu, annonce Ayesha. Ce matin, il est resté tout nu dans la maison pour m'aider, et je vois que quand il vient chez vous, il se met tout de suite tout nu.

— S'il aime cela, laissons-le faire, dit Sarah. Moi j'ai un spa, il peut venir ici nu, pas de problème.

— De même que chez moi, poursuit Marta.

Elles me regardent toutes les trois de haut. Je ne sais pratiquement pas bouger, entre les trois femmes qui forment un petit cercle serré.

Je suis nu au milieu de trois femmes! J'adore, me dis-je, j'adore de plus en plus, cela devient une drogue, je ne parviens plus à penser à autre chose. Elles s'écartent un peu et Sarah s'abaisse pour me toucher les fesses et me pousser vers le hammam.

— Allez, va donc profiter du spa, petit chéri, fait-elle d'un ton rieur.

Je vais dans la cabine. J'y reste le plus longtemps possible. Au bout d'une demi-heure, elles ne sont pas venues et je sors. Elles ne sont pas là. Elles me manquent, je deviens fou, il me faut être avec elles, complètement nu. J'avise le jacuzzi et vais m'y plonger. Une autre demi-heure et je suis toujours seul. Alors, je sors, me sèche et noue la serviette à la taille pour les retrouver. Elles sont dans le salon, occupées de discuter.

— Déjà fini? Me demande Sarah.

— Non, mais je croyais que vous veniez aussi.

— Nous arrivons, me dit Marta. Ne t'en fais pas.

— Viens, me dit Ayesha, après le spa, tu dois avoir soif.

Elle me prend dans ses bras et sur ses genoux. Sarah me donne un verre d'eau parfumée et je le bois d'un trait, c'est vrai que cela donne soif le hammam. Ayesha me serre contre elle, j'adore le contact avec cette femme. Je me sens complètement envouté. Elle m'électrise, je bouge un peu et la serviette s'ouvre, mon sexe sort et va toucher son poignet. Elle fait comme si cela n'arrivait pas, ou alors, pour elle, le sexe c'est comme n'importe quelle autre partie du corps. Je parviens à terminer mon verre pendant qu'elles terminent leur conversation. Je suis tellement distrait par mon sexe au-dessus des mains d'Ayesha que je ne sais absolument pas de quoi elles parlent. Sarah prend mon verre et se lève.

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