L'invasion Ch. 14

Informations sur Récit
Arno visite le port et la salle de punition.
6.2k mots
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6.7k
2

Partie 14 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/20/2018
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J'ai dû tomber dans les pommes.

Je me réveille dans mon lit et je ne suis même pas attaché. Je me lève et vais voir Ayesha, vêtue d'une simple robe.

— Bonjour mon chéri, alors comment était ta soirée d'hier?

— J'ai adoré, dis-je.

— Tu voudras recommencer?

— Oh oui.

— Même sans la masturbation?

— Oui, j'ai adoré vous voir toutes en cuir noir. C'était... comme magique. Merci.

— Tant mieux. Sandra a raison, tu es un vrai CFNM. C'est très bien. Cela me fait très plaisir. Nous allons pouvoir avancer.

— Pourquoi était-ce des inconnues? Marta et Sadia n'étaient pas là.

— Je voulais une soirée avec ces amies-là, mais nous referons cela avec elles. Je leur dirai que tu veux les inviter. En tout cas, dès demain Sadia reprend ton entrainement quotidien, il faut que tu gardes la forme.

— Oui. J'aime bien m'entrainer avec Sadia.

— Vraiment? Tu ne trouves pas qu'elle est trop dure?

— Au début, oui, mais finalement, j'ai beaucoup apprécié.

— Dès demain, tu continues tous les matins avec elle. Et moi, je continuerai la discipline, il semble que cela t'améliore beaucoup.

— Oui Ayesha. J'ai eu vraiment peur, tout le temps, je me sens si faible tout petit avec vous, vous avez tellement de force. J'ai souffert, j'ai même pensé à m'enfuir, mais je n'ai aucune possibilité.

— Oh non, crois-moi, tu ne pourrais pas, et puis, essaye, c'est un crime, qui n'aurait vraiment aucune indulgence. Arno, tu auras beaucoup de discipline, mais sache que nous t'aimons, il ne t'arrivera jamais rien de grave. Nous veillerons toujours sur toi.

— Oui, mais c'est difficile, j'étais vraiment au désespoir.

Elle me serre dans ses bras.

— Au moins tout cela te rend sincère, c'est bien. Tu dois toujours confesser tes pensées et tes impressions, je dois tout savoir, d'accord?

— Oui Ayesha.

— Un garçon comme toi ne doit pas avoir d'intimité. Tu dois être contrôlé en permanence.

Elle me parle en me portant vers la salle de bains. Elle me lave doucement, puis me donne à manger sur le sol.

— Tu dois bien comprendre ta place, me dit-elle, tu es un mâle inférieur dans notre population de femmes. Tu dois manger à terre et en dehors de l'heure des repas des femmes.

— Oui Ayesha.

Quand j'ai fini de manger, elle me fait ranger la cuisine et les restes de la fête d'hier.

— Voilà, tu peux aller chez Sonia, tu es content?

— Oui, très content.

— Que vas-tu faire aujourd'hui?

— Sonia veut passer la journée avec moi, je devrai être nu.

— C'est très intéressant Arno. Je ne dois pas te donner de vêtements, dans ce cas?

— Euh oui, je préfère, je ne peux quand même pas sortir tout nu d'ici au port.

— Pourquoi pas?

— Mais... je serai dehors. Sur mon vélo!

— Tu n'es pas encore tout à fait prêt, il faut encore de l'entrainement.

— Euh oui, sans doute.

Elle me donne un short ultra-moulant, une sorte de spandex ou plutôt comme un ballon baudruche sans être en latex, et un T-shirt de la même matière, tous les deux orange-fluo. De quoi être très discret. Je n'ose rien dire. On voit la forme de mon sexe et même celle de mes muscles abdominaux et pectoraux. Je n'ai pas de recours, d'ailleurs, deux femmes arrivent sur le trottoir, elles font du jogging. Je file sur mon vélo en direction du port, gêné que mon sexe soit ainsi montré par le tissu. J'arrive et range mon vélo, puis entre dans le commissariat. Deux femmes en jaune en sortent.

— Tiens, notre fauteur.

— Bonjour, dis-je.

— Tu vas bien? Que viens-tu faire ici?

— Je viens voir madame Sonia, elle m'a invité.

— Tu as fait des bêtises?

— Oh non, elle m'a invité à passer la journée avec elle.

Je passe et vais au comptoir. Je demande à voir Sonia.

La femme me demande de la suivre et me conduit dans le bureau de Sonia, vêtue de sa tenue moulante noire habituelle. Elle est fantastique, je ne connais pas cette fabrique, qui est sans doute un latex ou du néoprène brillant qui la couvre comme une seconde peau.

— Bonjour mon chéri, me dit-elle. Comment vas-tu?

— Très bien, réponds-je ému de la voir si excitante.

— Alors? Nous pouvons commencer notre journée?

— Oui.

— Dans ce cas, retire tes vêtements.

Me rappelant ma promesse, je retire le dessus moulant. C'est assez difficile mais j'y parviens. Lorsque je l'ai retiré, le polo a la taille d'un gant de toilette. Je le dépose et retire mon short.

— Voilà qui est mieux, tu le désirais depuis ton premier séjour ici, n'est-ce pas?

Je ne réponds pas. Elle vient près de moi et prend le bout de mon sexe entre ses deux doigts.

— N'est-ce pas?

— Oui, avoué-je tout excité.

— C'est bien, maintenant tu as ce que tu voulais. Je l'ai su dès que tu es entré, j'ai vu que tu regrettais de ne pas être tout nu. Tu aimes tant que cela mon uniforme?

— Oui madame, vous êtes très belle.

Elle s'approche encore et de haut de sa taille se colle à moi. Ses gros seins sont sur le haut de ma tête, elle s'approche et coince mon sexe entre ses cuisses.

— Voilà, comme cela nous sommes bien, tu sens mon corps contre le tien?

— Oui, réponds-je à bout de désir.

Elle me regarde et soulève mon visage pour que je la regarde.

— Tu sais que tu es très sexy? Aujourd'hui, nous allons bien nous amuser, nous allons recommencer la visite, mais cette fois, tu seras tout nu.

— Oui madame, réponds-je sans m'en rendre compte.

— C'est beaucoup mieux. Tu n'as plus besoin de ces vêtements, et tu n'en auras plus besoin pour venir ici, tu viendras toujours tout nu.

— Oui, madame, fais-je subjugué.

Elle se retire et me prend dans ses bras, elle me serre contre son corps recouvert de latex fin. C'est trop excitant, je sens tout son corps, je le devine mais elle est quand même entièrement vêtue et je suis tout nu.

Elle m'embrasse sur les lèvres tout en continuant de me serrer contre son corps.

— Tu es trop mignon.

On frappe à la porte, elle me dépose par terre et dit d'entrer.

Une femme en uniforme jaune entre.

— Madame, nous sommes prêtes.

— Nous aussi, répond Sonia.

Je tremble, je suis toujours excité comme pas possible, mais je commence à me rendre compte que dans mon excitation, j'ai accepté de sortir tout nu devant toutes ces femmes, juste parce qu'elles ont un super uniforme.

Sonia me prend la main, je résiste un tout petit peu.

— Allons, tu ne vas pas avoir peur maintenant, tu m'as promis de passer la journée tout nu avec moi.

— Oui, mais je croyais que c'était que nous deux.

— Nous n'avions pas spécifié. Allons, viens.

Je regarde mes vêtements. Deux mini morceaux de tissu, je ne peux même plus m'habiller. J'avance, le ventre tenaillé de peur et d'excitation. Nous sortons dans le couloir, la femme en jaune est avec nous, et puis nous sommes dans la grande salle, plein de femmes en jaune et d'autres en noir. Toutes dans ce même uniforme ultra moulant avec bottes et gants. J'en compte une bonne dizaine, ce qui fait mon record, être nu avec plus de dix femmes, plus qu'hier avec Ayesha et ses amies en cuir noir. Quelles sensations. Sonia me tient toujours par la main et me mène au milieu des femmes qui toutes me regardent. Je suis nu au milieu, tout nu, rien du tout sur moi, impossible de m'habiller, et je l'ai accepté. Mon cœur bat trop vite, j'ai un peu peur. Je ne peux pas m'échapper, impossible de faire marche arrière.

Nous sortons sur la place, entouré de trois femmes en jaune. Quelques passantes et un groupe en uniforme rouge nous regardent alors que nous atteignons un bateau. Nous montons à bord et appareillons. Sonia me tient contre elle. Une des femmes en jaune me montre une sorte de cage à l'arrière.

— Tu vois, si tu te comportes mal, et que nous t'attrapons, c'est là-dedans que nous te gardons jusqu'à l'arrivée au poste.

— C'est une cage, dis-je.

— Oui, spéciale pour les petits mâles désobéissants.

Sonia me tient contre elle.

— Allons, n'aie pas peur, si tu es toujours obéissant et respectueux, tu n'iras jamais dedans.

— Je le suis, mais on ne sait jamais, il y a des lois bizarres maintenant.

— Tu oses critiquer notre administration?

— Non, mais les choses sont différentes, beaucoup plus contraignantes, pour moi en tout cas.

— Ah oui, les lois ne sont plus faites par des mâles pour le bénéfice des mâles. Elles sont faites par des femmes pour leur propre avantage, cela change beaucoup. Mais tu as dit que tu voulais vivre parmi nous, non?

— Oui, mais ce que je veux dire c'est que je n'ai pas de droit, si jamais on dit quelque chose contre moi, j'ai d'office tort, je ne sais rien. Par exemple hier, je me suis arrêté dans la forêt, je ne sais même pas si je peux encore aller dans les bois.

— Il faut donc refaire ton éducation, tu pourras demander à Ayesha.

Le bateau avance à vive allure en prenant par le nord, nous effectuons un tour de l'île,

— Tu aimes la promenade? Me demande Sonia.

— Oui. Cela faisait longtemps que je n'étais plus venu.

— Et tu étais habillé?

— Bien sûr.

— N'est-ce pas mieux de faire cela tout nu?

— Oui, réponds-je distraitement.

— Tu es fait pour vivre tout nu. Nous adorons cela.

Je ne réponds pas. Elle me serre contre elle, et parfois prend mon sexe en main, mon sexe dans sa main gantée. Je frémis d'excitation.

Nous arrivons en face d'une crique et pénétrons entre les rochers. Je ne connaissais pas cet endroit, qui me semble invisible depuis la falaise. Nous arrivons dans une grotte dont j'ignorais l'existence. Les roches ont une certaine phosphorescence verdâtre qui augmente lorsque nous entrons. Les eaux semblent calmes. Tant mieux car c'est assez étroit, mais la pilote est experte. Plus loin, cela s'élargit et il y a même un promontoire où nous accostons.

— Viens, me dit Sonia.

Nous débarquons tous les deux. L'endroit est merveilleux, comment n'en ai-je jamais entendu parler? Le sol est doux, chaud même. Sonia m'emmène dans une sorte de long couloir.

— Où allons-nous?

— Tu ne connais pas cet endroit?

— Non, je ne savais même pas qu'il y avait une telle grotte sous l'île. Même de la crique je n'avais jamais entendu parler.

— On te cachait beaucoup de choses, mon petit Arno. Nathalie ne t'a jamais parlé des secrets de l'île?

— Quels secrets?

— L'importance vitale et stratégique de cette île. Et ta propre importance.

— Non, jamais. J'ai toujours vécu ici. Il n'y a jamais rien eu d'anormal.

— Il faudra que nous t'expliquions.

— C'est pour cela que vous êtes ici? Pour prendre l'île?

— Oui, et vivre avec toi.

— Mais... vous ne voulez de moi que parce que j'ai quelque chose d'important dans l'île?

— Non. Ecoute, demande à Ayesha de te raconter. Elle est la mieux placée pour cela. Et crois-moi, tu es très important, et nous t'aimons beaucoup, île ou pas. Ayesha me disait encore l'autre jour que si nous devions partir, nous t'emmènerions avec nous, elle voulait que tu nous appartiennes.

Je me sens ébranlé par cette histoire.

Je touche le rocher devant moi et il se met à reluire d'une autre couleur, un blanc bleuté, comme un diamant.

— Tu vois, l'île reconnait son propriétaire.

Je retire vivement la main et la roche reprend sa faible phosphorescence verte.

— Il n'y a que toi qui produit cela, me montre-t-elle en touchant le même endroit que moi. Tu vois?

— Qu'est-ce que j'ai? M'inquiété-je?

— Une très grande valeur. Viens.

Nous rebroussons chemin. Il semble qu'il y ait d'autres couloirs dans la roche, de toute façon, il ne vaut mieux pas nous perdre. Nous retournons au bateau où nous attendent les trois femmes en uniforme jaune. Un peu ébranlé par ce que je viens d'apprendre, je me tais alors que nous sortons de la grotte et puis du chenal pour rejoindre la mer. Je prends mes repères, oui, je reconnais l'endroit, il faudra que je revienne. Mais comment? Le seul moyen d'accès semble être la mer.

Nous poursuivons notre route par l'est de l'île, le côté face au continent, et qui ne donne pratiquement aucun accès. Ce qui est bizarre, c'est que même par ce très beau temps, je ne vois pas du tout la côte.

— C'est normal, me dit Sonia, nous avons des systèmes de protection comme je te l'ai montré la dernière fois. Nous devenons invisibles, nous ne voulons pas que les gens viennent ici, nous voulons vivre entre nous.

— Et les gens qui ont vécu ici? Ils ne pourront pas revenir?

— Ils ne s'en souviendront pas.

— Et mes amis? Ils ne se souviennent pas de moi? C'est pour cela qu'ils ne m'ont jamais contacté?

— Oui, ils ont oublié.

— Mais alors, je n'ai plus personne?

— Tu as tes nouvelles amies.

Le fait d'être ainsi oublié me choque, je ne suis plus rien. Et si Nathalie m'avait oublié également? Sonia me prend dans ses bras et son contact me fait oublier mes pensées moroses. Encore une heure, et nous sommes de retour au port. C'est rapide, j'avais déjà effectué plusieurs fois ce tour à la voile. C'était beaucoup plus long. Je me demande si je pourrais encore aller naviguer.

— Pas tout de suite, me dit Sonia. Il faut que l'île soit totalement sécurisée.

— Vous avez peur que je m'en aille?

— Non, sourit-elle, tu veux partir?

— Non, pas du tout, mais j'aimerais parfois naviguer comme avant.

— Bientôt. Dans quelques mois, ce sera totalement sécurisé, tu pourras faire du bateau, de la plongée, tous les sports que tu veux.

— Oui, et vous m'attendrez partout pour m'arrêter.

— Ca, Arno, ce sont les risques, tu dois faire attention.

— De toute façon, je préfère naviguer, j'aime cela, je prendrai le risque.

Je regarde la cage, qui est vraiment petite.

Le bateau accoste sur la jetée et nous débarquons. Sonia me tient par la main pour marcher vers son bureau. Il y a plusieurs passantes, toutes géantes noires bien sûr, toute du même peuple. Elles sortent d'un bateau qui vient d'arriver et se dirigent vers un bâtiment sur le côté. Tout à coup, je tombe sur une apparition, elle se trouve juste devant moi et je faillis la percuter car je regardais sur le côté. Sarah est en face de moi. Elle est très sexy dans une robe légère multicolore.

— Arno, tu es ici? Tu passes une bonne journée?

— Oui Sarah. Très bonne.

— J'en suis ravie. Et je vois que tu es tout nu dans la rue, c'est très bien, tu as enfin décidé de te passer de vêtements?

— Oh non, réponds-je affolé à cette idée. Mais j'avais promis de passer la journée tout nu avec Sonia, je ne savais pas que je devais sortir.

— Mais c'est bien, tu as accepté. C'est comme cela que nous aimons les mâles, tu as dû t'en rendre compte.

— Effectivement, lui dit Sonia, Arno n'a plus besoin de vêtements, il devrait être tout le temps nu.

— Les habitantes de notre quartier ne veulent déjà plus le voir autrement.

— Ici non plus, je lui ai dit qu'il ne pouvait plus venir me voir avec des vêtements.

— On dirait que tu vas aller partout comme tu dois être, me dit Sarah en caressant ma tête. C'est bien. Je suis contente de tes progrès et du travail d'Ayesha. Tu n'as plus mal du fouet de Sadia?

— Non Sarah, réponds-je confus.

— Tant mieux.

— J'ai eu plusieurs plaintes pour son tapage. Pendant deux semaines, il a dérangé tout le monde avec ses cris.

— Il faut lui pardonner, il voulait juste devenir meilleur.

— La prochaine fois, j'enverrai une patrouille pour l'arrêter.

— Oui, tu as raison, une fois, tout le monde peut faire une erreur. As-tu repris ton entrainement, Arno?

— Je pense que je vais recommencer demain. Je devrai aller chez madame Sadia.

— C'est très bien aussi, rester en bonne condition physique, tu as un si beau corps, il faut l'entretenir et maintenir ta souplesse.

Sarah me soulève et m'embrasse.

— A bientôt, n'oublie pas, tu es toujours le bienvenu chez moi.

— Merci Sarah.

Elle me dépose, Sonia reprend ma main et m'emmène à son bureau.

— Viens, nous allons visiter la salle de punition.

— Je l'ai visitée la fois passée, réponds-je un peu effrayé.

— Oui, tu l'as vue de loin, cette fois, nous allons prétendre que tu es un mâle criminel, nous allons t'arrêter et t'emmener passer tous les stades.

— Euh... Je ne sais pas.

— Allons, me dit-elle en souriant, tu verras, ce sera très plaisant, et tu sauras ce qui t'attend quand tu désobéiras.

— Je ne veux jamais désobéir, me défends-je.

— Je sais que tu ne le veux pas, mais tu le feras.

Elle se campe devant moi, du haut de sa grande taille et me toise. J'ai peur. Elle me prend le poignet et m'emmène dans la grande salle.

— Nous allons faire effectuer une visite de nos facilités à Arno, veuillez l'arrêter et le conduire en salle de punition.

Deux géantes vêtues de noir se lèvent et viennent vers moi, l'air mauvais. Elles m'empoignent et me retournent, je suis suspendu par les chevilles et une autre vient me mettre un anneau au sexe et un au cou, qui sont reliés par une chaine. Lorsque c'est fait, je suis déposé sur le sol et emmené en laisse dans les couloirs. Comme la chaine entre mon cou et mon sexe est trop petite, je suis obligé de marcher courbé. C'est encore plus humiliant ainsi. Je dois marcher vite, sinon la laisse tire sur mon cou et puis sur mon sexe. En avançant, je reçois des claques sur les fesses. Des claques légères.

— Si tu étais vraiment puni, me dit Sonia, tu aurais de la cravache.

Nous descendons dans la grande salle de punition que j'avais visité.

— Quand tu seras arrêté, nous te placerons immédiatement ces chaines et te conduirons ici-même.

— Pitié, supplié-je, ne me faites pas mal.

— Non, aujourd'hui, tu n'es pas puni, mais tu viendras ici et seras attaché puis battu, fessé, fouetté en attendant l'arrivée de ta tutrice ou moi-même. Alors, tu seras attaché dans une cage et tu confesseras ton crime et tous les autres que tu as commis sans que nous soyons au courant.

Les deux femmes m'attachent sur un chevalet, je me retrouve avec la barre dans le ventre, courbé en deux, et puis mes poignets et mes chevilles sont placés dans des anneaux et serrés contre les pieds du chevalet, je suis ainsi complètement immobilisé avec les membres tendus et les fesses en l'air.

Sonia vient me donner une claque.

— Les femmes se relayeront pour te donner des coups. Aujourd'hui, elles semblent gentilles, et moi aussi, mais le jour où tu seras puni, sera un jour où tu regretteras d'avoir fait toutes les bêtises que tu as pu faire.

Elle vient se placer devant moi pendant que d'autres passent derrière et me frappent les fesses. Si Sonia me donnait de faibles coups, celles-ci me donnent presque une vraie fessée. A un moment une main empoigne mes testicules et les tire très fort vers le bas. Je hurle.

— Doucement, intime Sonia, il n'est pas vraiment puni aujourd'hui.

— Je voulais lui montrer ceci, dit la femme sans que je voie.

Mais je sens qu'elle accroche l'anneau que j'ai à une chaine qui tire le tout vers le bas.

— C'est vrai, me dit Sonia, il faut également attacher ton anneau pénien. Il est tiré vers le bas, ce qui expose tes testicules aux punisseuses qui peuvent également les frapper. Une punition, ce n'est pas rien! Il faut que ce soit très fort pour que tu n'aies plus jamais envie de recommencer.

J'éprouve à nouveau ce sentiment de peur et d'impuissance. Si je me retrouve ici pour une vraie punition, je vais souffrir, alors que maintenant, j'ai déjà mal, j'ai déjà peur.

— Tu verras, me dit encore Sonia, être ici, c'est pire que l'enfer. Tu n'auras aucun moment de répit. Tu es seul à subir une punition, mais il y a des dizaines de gardiennes qui peuvent se relayer. Et qui se disputeront même pour pouvoir te traiter.

Je reçois encore quelques coups. Quand cela atteint mes testicules, c'est vraiment douloureux. Je tente de ne pas crier.

— Allons, tout cela n'est rien, tu dois être capable de subir beaucoup plus. Donc, pendant que l'on prévient ta tutrice, tu seras attaché ici, et frappé jusqu'à notre arrivée. Nous analyserons la situation et nous ferons expliquer les faits par celles qui les ont découverts. Si c'est bénin, je statuerai sur ton sort ici même, et tu seras puni dans cette pièce. Si c'est grave, tu seras envoyé devant la juge. Un mâle n'a pas droit à une avocate, tu seras emmené nu et enchainé. Tu entendras les accusations, tu pourras si tu le désires répondre aux accusations, mais en général, cela aggrave ton cas, et ensuite, tu auras la sentence. Si tu dois faire de la prison, c'est ici. Sans arrêt sur les engins de cette salle.

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