Ma Logeuse Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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À un moment, elle me prit par la main et m'emmenât en dehors du chemin dans les fourrés.

« Allonge toi là »

Je m'allongeais sur un tapis de feuilles mortes. Je la vis relever sa jupe et, écartant sa culotte d'une main s'accroupir au-dessus de mon visage. J'avais sa chatte entrouverte par sa position à quelques centimètres des yeux.

« Ouvre la bouche »

J'étais là, bouche grande ouverte tandis qu'elle m'observait. Pendant quelques seconde, il ne se passa rien...puis un mince filet coula sur les lèvres de sa chatte et me tomba sur le menton. J'essayais de bouger ma tête pour capter ce liquide clair quand brutalement un jet puissant me remplit la bouche presque instantanément d'urine tiède. J'avalais cette première gorgée, puis une deuxième mais le jet ne tarissait pas et je fini par m'étrangler, je me mis à tousser, inondé maintenant par le flot de pisse qui me rentrais dans les narines, dans les cheveux, dans les yeux, tandis que je cherchais à reprendre mon souffle, je réussis à rouvrir la bouche pour capter encore une ou deux gorgées acres...puis le jet se fit plus doux et s'arrêta bientôt complètement. J'essayais de reprendre mon souffle . Hélène baissa encore davantage son sexe sur mon visage.

« Allez, un petit coup de langue pour m'essuyer »

Je léchais ses lèvres intimes, et suçait les poils drus de sa chatte pour enlever les quelques gouttes qui y étaient resté accrochées, elle relâcha sa culotte et se releva

Je restais un moment allongé, trempé de ce liquide tiède. Hélène me regardait avec un sourire moqueur.

« Alors, ça t'a plus petit-puceau? ...mais tu t'en ai mis partout »

« Oui...je ne peux pas...ça va trop vite...c'est trop fort...je n'ai pas le temps d'avaler »

« La prochaine fois, on amènera un entonnoir... du coup, il va falloir rentrer sinon, tu vas prendre froid »

Nous prîmes le chemin du retour. J'avais, dans la bouche, le goût acre de l'urine mais cette fois ci, je n'avais éprouvé aucun haut-le-cœur et même si j'avais eu beaucoup de difficulté à m'habituer au flot bouillonnant de sa miction, au fond de moi, je savais que j'avais adoré cette acte servile.

Le début de la semaine suivante fut des plus normale, enfin normale selon nos habitudes. Je passais le mardi sous ses pieds pendant qu'elle regardait la télé.

Le mercredi soir, elle m'appela pour me dire qu'elle rentrerait tard et qu'elle aurait mangé. Elle arriva vers 22h30, me fit la bise, et monta tout de suite se coucher. J'éteignis les lumières et montait la rejoindre. Quand j'arrivais dans la chambre, elle était en train de lire

je m'allongeais sur le tapis en lui souhaitant une bonne nuit. Quelque minutes plus tard, je l'entendis bouger et je compris aux bruits qu'elle faisait qu'elle était en train de se caresser. Je sentis les barreaux de ma cage pénétrer un peu plus dans mes chairs et je savais qu'elle n'allait pas tarder à avoir besoin de mes services...cela ne prit pas longtemps

« Pascal...viens me lécher »

Je me relevai prêt à participer à son plaisir quand j'eus la surprise de la trouver à quatre pattes sur son lit, en train de se masturber. Je compris tout de suite le service qu'elle voulait que je lui rende et j'en eus un frisson. Me mettant à genoux derrière elle, j'écartai ses fesses et j'approchais doucement mon visage de l'anneau brun de son anus.

Je fus accueilli par une odeur lourde, terreuse, acide. Fermant les yeux, je passai ma langue sur la chair fripée et j'en goûtai la saveur légèrement amère.

Je léchais un moment, sentant disparaître peu à peu l'amertume et humectant le sphincter de ma salive, puis j'essayais de le forcer avec ma langue. Il résista un moment avant de s'ouvrir et de me laisser pénétrer dans ses entrailles. Je m'absorbais alors dans cete amertume acide, plaquant mon visage contre ses fesses, je tentais de pénétrer au plus loin dans cet antre obscur. Hélène s'était effondrée sur ses bras, cambrant les reins pour projeter au mieux son derrière contre ma langue. Et brusquement elle se raidit, poussant un cri guttural et me chassant par sa contraction de sa chair onctueuse. Elle resta un moment immobile, la respiration haletante, puis elle reprit doucement sa masturbation.

« Continue..c'est trop bon ça... »

Docilement, je pénétrai à nouveau le canal étroit et essayai de remuer ma lanque comme je le pouvais pour stimuler son plaisir. Au bout d'un instant de cet exercice, je commençais à éprouver une fatigue douloureuse. Hélène murmura d'une voix précipitée.

« Mets moi un doigt »

M'écartant de ses fesses, je suçai mon index et l'introduisis lentement dans son sphincter ouvert, d'abord à moitié, puis jusqu'au bout. Hélène commençait à geindre .

« Ooooh...ça vient...mets m'en un autre, vite.. »

Mes deux doigts dans son corps, je les activais comme l'aurait fait le sexe d'un amant imaginaire. Elle jouit une deuxième fois en poussant un hurlement strident. Je sentis l'anneau de son anus se serrer sur mes doigts. Tout son corps était agité de tremblement et elle gardait sa main ferment appuyée sur son sexe,, les reins cambrés au maximum pour mieux s'offrir à ma pénétration...cela dura un long moment avant qu'elle ne se détende, puis elle s'effondra sur le lit, me faisant m'écrouler moi aussi contre ses fesses.

Nous restâmes ainsi, l'un sur l'autre. Elle s'était détendue et mes doigts avaient retrouvé leur liberté de mouvement mais je n'osais pas les bouger et je restais ainsi, enfoncé en elle, enfin elle repris conscience.

« Sors tes doigts...doucement »

Une fois libéré, je me redressais sur mes genoux entre ses jambes. Elle ne bougeait pas, comme assommée par la violence de son orgasme. Je me reculais pour descendre du lit quand elle se retourna sur le dos et me regarda, le visage rouge, le souffle court.

« Ouahouu...c'est trop bon ça... Attends, ne va pas sur le tapis ce soir, restes là...»

Je m'étendis à côté d'elle. Elle passa une jambe sur mon corps et me serra la tête contre ses seins. en m'embrassant sur le front.

« Bonne nuit Pascal»

« Bonne nuit Hélène »

Elle me libéra juste de sa tendre étreinte pour éteindre la lumière.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 10 mois

On s'y sent comme si on y était! Je me suis caressée jusqu'à la jouissance. Mon vibromasseur noir est trempé! Ces récits me rendent folle, mon clitoris est encore gonflé. Bisous pour Hélène.

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Montée en puissance...

Très beau texte, précis et puissant. Bravo!

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