Ma mère Martine 07

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
trouchard
trouchard
191 Admirateurs

- Pour commencer, tu vas sucer tout le monde ici et sans exception, tu entends ma salope?

Maman acquiesce sans rien dire et se met à l'ouvrage, obéissante et soumise. Elle enfourne les queues dans sa bouche et commence à pomper les uns après les autres les gars en rut. La plupart éjaculent et leur sperme recouvre le visage de ma génitrice. Certains demandent qu'elle leur fasse une branlette espagnole entre ses deux grosses loches (et je les comprends). Habile, elle presse la queue de ses tortionnaires entre ses gros seins (on précisera qu'elle a nettoyé sa grosse poitrine de la cire séchée) et les branle magnifiquement. L'un d'entre eux introduit sa grosse queue dans la bouche de maman tandis qu'elle effectue une branlette espagnole à un de ses compagnons. Le sperme gicle à flot et inonde son visage, sa poitrine et même ses beaux cheveux noirs. Elle tente d'avaler le plus de foutre possible et se tartine le reste sur tous le corps et en particulier sur ses gros nichons quelle se caresse outrageusement.

Le conducteur lui enlève le concombre et le gode :

- Maintenant, on va tous t'enculer et t'as intérêt que ce soit bien fait.

Ma mère se cambre et présente son cul dont l'anus est encore déformé par le concombre. Là, pareil, tous la sodomisent à volonté et maman ondule bien du bassin pour accompagner les va et vient. Tout en l'enculant, les hommes la traitent de : « pute à gros seins », « chienne en chaleur », « vache à lait », « truie » et bien d'autres insultes qui loin d'émouvoir ma mère, la stimule encore plus. Je ne vous décris pas l'explosion de foutre qui inonde ses entrailles.

Lorsque le dernier se retire de ma mère, son anus en feu à force d'être limé. Il dégouline de sperme. Un des gars me voit et remarque la bosse de mon pantalon :

- Putain, regardez-moi ça, il bande en voyant sa propre mère se faire enculer.

Le conducteur, le regard pervers, me prend par le bras :

- Voilà, un bon fils se doit d'aimer et honorer sa mère quand elle le désire. Mais avant, tu vas téter ta mère comme un bébé.

Ma mère se met à genoux et m'offre ses seins. Je suis là en train de les contempler. Ils sont vraiment gros et en fixant les tétons dressés, je savais que maman n'attendait qu'une seule chose : Que je lui tète les seins comme lorsque j'étais un bébé. Elle empoigne ses loches volumineuses et moi, je me jette dessus. Je commence à les soupeser et à les malaxer. J'ai un geste de recul car ils sont souillés mais plus je les regarde, plus je suis excité. Là, je me mets à lui lécher ses auréoles jusqu'au tétons que je titille avec le bout de ma langue. Puis, réflexe primaire, je me mets à les téter. Ma mère gémit de bonheur et plaque ma tête contre ses seins en m'incitant de téter encore plus. Le conducteur me prend par le cou et dit :

- Ce que c'est beau l'amour maternel. Mais je crois que ta maman veut se faire enculer.

Là, il vire mon pantalon et me place derrière ma mère. Je ne pose même pas de question de morale beaucoup trop excité par ce qui s'est passé. Je me penche sur elle en fixant ce trou du cul si tentant. Je la prend par les hanches et me voilà en train d'enculer ma propre mère. Je lui ramone le cul comme jamais, profitant du moment. Je suis là, en train de baiser ma mère, qui est à poil, soumise et humiliée, à quatre pattes et recouverte de sperme. Je finis par éjaculer comme un pourceau dans ses entrailles, celles dont je suis issu. Ma semence se mélange à celle des autres et je finis par me retirer tout honteux mais heureux de m'être vidé les couilles.

- Ah! Madame vient de faire cocu son mari avec son propre fils. Dit le conducteur en ricanant.

Ma pauvre mère est méconnaissable, recouverte de sperme et refusant de se mettre debout. Elle préfère rester à quatre pattes. Tout le monde semble satisfait, plus ou moins repu et je pensais que le conducteur nous laisserait partir à ce moment-là.

C'est alors qu'une vingtaine de jeunes issus de la cité débarquent. Un grand beur d'une vingtaine d'années prend la parole :

- Un gars m 'a dit qu'on peut se taper une salope de bourgeoise.

Le conducteur se dirige vers celui qui semble le chef :

- Ouais, mais elle est pas gratos la putain.

Le jeune beur semble perplexe.

- Tu nous la vends combien?

Ils partent tous les deux dans un coin et discutent. Un accord est trouvé rapidement. A ce moment, je peux vous dire que la scène est absolument orgiaque et vraiment perverse. Les jeunes s'emparent de ma mère est la plaquent sans ménagement sur le matelas poisseux. Ils se précipitent à plusieurs sur elle avec une sauvagerie inouïe en s'acharnant surtout sur ses énormes seins qu'ils pelotent avec férocité. On lui écarte les cuisses et la pénètre avec une fougue incroyable.

Toute la haine cumulée pendant des semaines par les jeunes s'expriment sexuellement sur ma pauvre mère. Son corps est malmené de toute part, recouvert de sperme. Elle est baisée et enculée à la chaîne, sa bouche est constamment occupée par une queue qui déverse son foutre. Elle est forcée de sucer ces garçons de l'âge de son fils et même bien plus jeunes. Ses gros seins sont pétris, malaxés, triturés violemment mais aussi sucés, tétés et léchés. Ses énormes nichons ont tellement été sollicités qu'ils sont recouverts de suçons.

Les quolibets les plus vils fusent à son encontre et on se la dispute pour la baiser. On lui fait boire des alcools de mauvaise qualité et certains lui en verse sur tout le corps. La scène dure largement plus de deux heures. D'autant plus que d'autres groupes se joignent à la fête. Son anus, sa chatte et sa bouche sont en feu et dégoulinent de sperme comme jamais. Les jeunes lui font subir tous les plus vils sévices sexuels dont même moi, je n'aurais eu l'audace d'imaginer : on lui introduit des canettes de bières dans l'anus, on la fiste, on la fouette à nouveau et on lui fait bien d'autres choses dégueulasses et dégradantes. La pièce est remplie de jeunes qui se relayent et convient beaucoup d'autres amis à la fête. Le défilé semble ininterrompu mais ma mère hurle et semble inépuisable. Elle engorge une quantité de sperme hallucinante et n'arrête pas de se faire baiser.

J'ignore comment son anus a pu supporter autant de sodomies car cette nuit a été particulièrement rude. Repus sexuellement, les jeunes veulent néanmoins humilier maman qui est allongée sur le matelas, bras et cuisses largement écartés.

- On va te faire prendre un bain, salope de bourgeoise.

Une dizaine de jeunes l'entourent et exhibent leur sexe au-dessus d'elle. Là, et presque tous simultanément, ils lui urinent dessus. On lui pisse sur les jambes, la chatte, le ventre, ses gros seins et même dans sa bouche. Vaincue, ivre et soumise à un plus haut point, elle ne dit rien et essaye même de boire la pisse. La scène est vraiment dégradante et j'éprouve une certaine honte à voir ma propre mère se faire pisser dessus. Les jeunes ricanent et semblent heureux de pouvoir se défouler sur cette bourgeoise à gros seins qui n'est autre que ma mère. L'urine se mélange au foutre, à l'alcool et à la sueur et elle dégouline partout sur son corps rendant maman méconnaissable. Elle est bien pleine, souillée de la tête au pied, le corps gorgé de sperme.

Peu à peu, les jeunes se retirent ainsi que la quinzaine de mecs qui l'ont baisée précédemment. Il est 6h30 du matin lorsque les trois proxénètes nous déposent devant mon studio. Maman est recouverte de la couverture poisseuse et nous nous traînons jusqu'à mon appartement. Nous prenons une douche et ma mère s'endort à poil sur le lit. On voit encore les innombrables marques de suçons sur ses gros seins.

Mon père appelle vers 9h00 du matin et je lui explique que maman a une migraine et qu'elle dort encore. L'excuse est parfaitement crédible car, il est vrai que ma mère a, de temps en temps , des petites migraines

J'ai une gueule de bois monstrueuse et je n'ose même pas repenser à cette nuit terrible. D'ailleurs, je pense que maman et moi allons faire en sorte de l'oublier car je l'ai quand même enculée, moi, son propre fils.

Vers 14h00, nous prenons un petit déjeuner sans dire un mot et sans nous regarder. Ma mère a juste un peignoir et moi, je suis en caleçon. J'entends frapper à la porte de mon studio et en regardant par le judas, je vois à mon grand désarroi, le proxénète. Il me force à ouvrir et il entre avec cinq comparses.

Ils se précipitent sur ma mère surprise et lui arrache son peignoir. Nue, ses gros seins ballottant, elle essaye de se débattre mais reçoit une paire de gifle et la voilà traînée par les cheveux sur le lit.

Moi, j'ai droit également à une belle tarte qui me colle à terre.

Un grand costaud l'immobilise tandis que son copain sort sa queue, écarte les cuisses de ma mère et la viole. Une fois vidé, il la passe à ses potes qui la forcent à s'agenouiller et à leur tailler des pipes dans mon propre studio.

Ma mère se retrouve à nouveau nue, la bouche remplie de sperme qu'elle avale. Le conducteur la prend par les cheveux et lui administre quelques claques histoire de lui rappeler qui est le maître :

- Alors sale pute, tu croyais que c'était fini, hein? Mais quand tu rentres dans ce système, c'est jamais fini! Jamais! En fait, tu n'aurais même jamais dû commencer.

Il reprend en se servant une bière qu'il a pris dans mon frigidaire :

- Voilà, le truc. Hier, on t'a filmé en train de te faire baiser et je ne crois pas que ton mari soit heureux que sa bonne femme fasse la pute avec son fils.

Il boit une gorgée.

- Désormais, tu travailleras pour moi, salope, et tu feras ce que je veux. Une fois par semaine, tu ramèneras ton cul par ici et tu tapineras toute la nuit. On te vendra à l'occasion à des jeunes qui te baiseront à la chaîne dans des caves, histoire de les calmer et de les empêcher de malmener les autres pauvres filles.

Je commence à me rebiffer mais un revers de main me remet au sol.

- Je poursuis : donc tu diras à ton mari que tu viendras voir ton fils. Je compte faire des films de cul hardcore et tu vas devenir mon actrice fétiche. En te mettant une perruque blonde et un peu de maquillage, on ne te reconnaîtra pas. Si tu joues bien je te filerai du pognon peut- être.

Ma mère est complètement anéantie. Le proxénète la regarde :

- Bon, tu vas aussi augmenter de moitié le volume de tes seins et te faire injecter du collagène dans les lèvres. Pour tes hanches, ce serait bien un peu de liposuccion. Tu diras à ton mari ce que tu veux mais si tu ne le fais pas, alors il recevra un CD de tes exploits sexuels.

Les six hommes s'en vont et nous laisse, maman et moi, complètement abasourdis. On peut dire qu'on s'est fait avoir en beauté, mais vraiment en beauté.

Aujourd'hui, Début octobre, la situation est la suivante. Ma mère a vraiment pris rendez-vous pour se faire augmenter le volume des seins. Je ne sais pas ce que cela va donner surtout qu'elle a déjà des seins naturellement énormes

Elle a eu avec mon père une houleuse conversation à ce sujet. Mon père a cédé car ma mère, paradoxalement a émis l'idée de divorce. Ça a fonctionné mais ma mère est désormais soumise pour une durée indéterminée au proxénète.

Elle ne peut plus reculer et est prise au piège. Maman vient donc me voir une fois par semaine. Elle est toujours habillée le plus court possible et maquillée outrageusement comme la plus dépravée des putains. Elle met des mini-jupes en cuir qui lui arrive à ras le cul et des chemises à larges échancrures (très souvent, on voit ses seins à travers) voire des bodys qui lui compresse son opulente poitrine. Bien sûr, elle ne met plus de soutien-gorge ni de culotte.

Il lui arrive de baiser la journée dans mon studio et cela risque de poser problème à la fois de voisinage et pour mes études car les hommes défilent de plus en plus.

La nuit, je passe les détails mais elle boit pas mal de verres et part à moitié ivre faire son nouveau métier, celui qu'elle aurait dû faire depuis le début.

Je ne sors plus avec elle, trop écœuré par cette histoire, mais je sais qu'il y a deux jours, elle a été vendue pour toute une nuit à des jeunes d'une cité du coin. La seule chose que je peux vous dire, c'est que cela ira de pire en pire et que j'ai peur qu'elle touche le fond. La seule chose positive de cette histoire c'est que j'attends avec impatience son premier film de cul. J'avoue que je suis dépité de cet ignoble chantage mais je suis heureux que mon fantasme de toujours, voir maman en actrice de porno, se réalise enfin.........

A suivre...

***********************************************

Amis lecteurs, ces récits sont là pour votre plaisir alors n'oubliez pas que commentaires ou votes sont les bienvenus. Merci.

trouchard
trouchard
191 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
la chirurgie esthétique

Ah la chirurgie esthétique

https://www.la-chirurgie-esthetique-tunisie.com/

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Martine !!

Belle histoire, rondement menée !

Il y a du rythme : on suit presque Martine la caméra à l'épaule !

Martine va continuer son chemin, être marquée, punie et jouir ?

La suite est aussi attendue que Martine attend un mentule puissante et infatigable !

Partagez cette Récit

récit TAGS

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Ma mère Martine 08 Partie Suivante
Ma mère Martine 06 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Satisfaire Mme Martinet Envoyé par mon coach pour aider sa collègue blessée.
Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Addiction à la Fessée (Suite 01) Sophie est incapable de résietr à ses pulsions.
Maman Fessée Mère fessée par son fils.
Plus d'histoires