Ma mère Martine 08

BÊTA PUBLIQUE

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- Bordel, la bourge elle a vraiment de gros seins!

Mourad reste à contempler cette poitrine si provocante. Le soutien-gorge noir contraste avec la peau et souligne encore plus la grosseur de sa poitrine. Les globes mammaires ressortent par le haut comme deux ballons compressés. Les insultes fusent. Ma mère est traitée de pute à gros nichons, vache à lait, de bourgeoise salope, etc....

- Allez, montre-nous tes seins maintenant! Ils sont si gros qu'ils ne demandent qu'à sortir.

Ma mère refuse mais on la gifle et la menace à nouveau.

- Enlève ton soutien-gorge et vite!

Ma pauvre mère s'exécute et dégrafe maladroitement le soutif. Elle enlève les fines bretelles l'une après l'autre. L'un des jeunes dit en rigolant « Madame à du goût » mais il se tait lorsqu'il aperçoit les gros seins de maman qui tombent lourdement enfin libérés et exposés à la vue de tous.

- Vous avez vu ses gros nichons les mecs? On dirait une actrice de film de cul.

On lui arrache le soutif des mains et certains l'examinent fascinés. Il est noir, en dentelle et délicat au touché. Mourad, le premier, plaque ses mains sur les gros seins laiteux et les soupèse en les exhibant à ses copains.

- Regardez-moi, ça! Y'a de quoi allaiter tout un régiment.

Il les malaxe lentement. Ma mère, sensible des seins, commence à gémir et ses tétons durcissent. Mourad commence à les téter et pose sa bouche autour des larges auréoles brunes. Ma mère respire de plus en plus fort et ne peut s'empêcher de gémir de façon explicite. Là par contre les choses se précipitent. Voyant cela, deux autres décident de se joindre à Mourad et la mini- jupe en cuir lui ait enlevé sans ménagement. Elle est déchirée, lacérée de coups de couteaux et subit le même sort que le chemisier.

Mes potes et moi sommes subjugués par cette scène de viol qui pourtant devrait nous traumatiser et nous faire réagir. Je réalise notre perversion et en particulier la mienne : celle de mater ma propre mère en train de se faire violer. J'ai à la fois si honte de mon attitude mais je suis si excité. Le tabou de la situation nous excite tous les trois et aucun ne réagit devant la situation. Pas un ne songe à détourner le regard de cette scène pourtant si condamnable.

Les jeunes lui enlèvent son beau string noir qui lui rentrait si bien dans la raie des fesses. Ils le font glisser le long de ses jambes nues. Son string, lui aussi en dentelle, fait le tour des jeunes qui vont jusqu'à le renifler comme des chiens en rut.

- En tous cas, la bourgeoise sait choisir ses soutifs!

Cette fois, ma mère n'a plus que pour seul vêtement ses mules noires. Son chemisier et sa mini-jupe sont déchiquetés et répandus aux quatre coins du parking. Ses sous-vêtements sont confisqués et gardés comme trophées. La voilà belle et bien nue, son cul, sa chatte et ses gros seins à l'air dans ce parking et à la merci de ces jeunes.

Maintenant, on s'amuse à la tripoter, à se la passer comme un pantin. On la gifle et on lui roule des patins bien baveux tout en la traitant de tous les noms. On s'affaire activement sur ses gros seins aux larges auréoles brunes qui ballottent lourdement dans tous les sens. Des doigts s'insinuent dans sa chatte et son anus histoire de la préparer à recevoir des bites bien excitées. Pendant dix bonnes minutes, on explore tous ses orifices en concluant que de toute façon, ce n'était pas la première fois qu'une bite explorait sa bouche, son vagin et surtout son trou du cul.

Ma mère ne réagit plus et se laisse faire. Elle commence à éprouver du plaisir à se faire palper par ses jeunes qui pourraient être ses fils. Elle aime beaucoup sentir ces mains pétrir ses seins, les sucer et les lécher. Malgré la volonté d'humilier ma mère, les jeunes prennent plaisir à s'occuper de cette paire de loches.

Elle sent son sexe mouiller et le plaisir la gagner peu à peu. Après tout, cela ne la change pas beaucoup de ce qu'elle fait dans mon studio. Alors, pourquoi faire tous ces chichis. C'est pour cela, d'ailleurs, qu'elle ne dit rien lorsqu'on la force à se mettre à quatre pattes et lorsqu'une bite s'enfourne dans sa bouche. Habituée et même experte en fellation, ma mère suce machinalement l'homme.

Rassurez-vous, à la tête qu'elle fait, on voit bien qu'elle éprouve un plaisir indéniable à piper le jeune homme. La queue déforme sa bouche goulue et sa langue nettoie le sexe du gars. Au bout de quelques secondes, ne pouvant plus se retenir, le jeune explose et éjacule sur le visage de ma mère.

Le sperme chaud dégouline sur son visage et coule sur ses gros seins. Elle se met à se les lécher de façon perverse devant les yeux médusés des jeunes.

Éric, de son coté, a sorti sa queue et se branle sans se soucier de Jean-Luc et moi. Les autres sortent leur sexe et ma mère commence à les piper tour à tout et de façon professionnelle.

La scène est vraiment perverse. Nous sommes trois potes, en train de regarder ma propre mère se faire violer (Même si ce n'est plus un viol maintenant). Le sperme gicle à flot et maman tente d'en avaler le plus possible. Son visage est inondé et ses nichons énormes sont recouverts de foutre chaud qui dégouline sur son ventre jusqu'à son nombril.

Les jeunes éjaculent par grosses saccades et la plupart sont vidés avant d'avoir pu l'enculer. Les derniers qui ont pu se retenir lui écartent les fesses et la sodomisent brutalement.

Fort heureusement pour ma mère, c'est loin d'être sa première sodomie et les bites rentrent dans son cul comme dans du beurre.

A ce moment, Jean-Luc ne peut plus se retenir et à son tour il se branle en voyant ma propre mère se faire enculer. Elle accompagne les va et vient par des ondulations du bassin. Les jeunes enfoncent leur queue tour à tour, à la chaîne et éjaculent de toute leur force dans ce trou du cul de bourgeoise qu'ils se plaisent à défoncer. Ma mère gémit de bonheur à sentir cette semence chaude remplir ses entrailles. Cela lui plait d'être prise de cette façon et de se sentir soumise à ces jeunes.

Epuisés, Les jeunes laissent ma mère reprendre ses esprits. On a l'impression que son visage est recouvert d'un mascara de sperme. Ce qui est dommage, c'est qu'il soit mélangé à son beau maquillage. Ses gros seins en sueur sont enduits de sperme. Elle en a également sur le ventre. Son anus est en feu car les jeunes étaient fougueux et ils n'y sont pas aller de mains mortes.

- Toi, t'es une sacrée salope! Un véritable garage à bite!

Ma mère ne réagit pas aux insultes. On la relève.

- Ce serait dommage de ne pas profiter un peu plus longtemps de cette salope aux gros seins, vous croyez pas?

Tous sont d'accord et la forcent à rentrer à nouveau dans la voiture. L'intérieur pue la cigarette, l'alcool et les substances prohibées. La musique est assourdissante. Pendant le trajet, les jeunes n'hésitent pas à la peloter, à la doigter et à lui caresser les seins.

Nous décidons de suivre le véhicule et nous nous précipitons vers la voiture d'Éric. Nous prenons vraiment des risques car pour pas nous faire repérer, nous roulons phare éteint. Au bout d'un quart d'heure, leur voiture arrive dans une cité que je connais bien puisque c'est ici que j'ai connu ma copine Lucy. Nous nous garons un peu devant et nous sortons du véhicule. Leur véhicule se gare et les jeunes en sortent. Ils tirent maman hors de l'auto. Elle boit une bière. Comme elle est secouée, l'alcool lui éclabousse le visage et coule sur ses nichons.

- T'inquiète la bourge, y'en a plein d'autres et c'est gratuit pour toi.

Les voilà qui entre dans un HLM, direction les caves. Maman, à poil, les suit sans la moindre hésitation. Elle sait ce qu'il l'attend et ne veut pas se défiler, bien au contraire. La voilà contente à l'idée de se faire violer dans ce lieu. Il fait froid et l'odeur y est infect.

Ils arrivent dans une cave où l'on peut entendre des rires. Au bout, il y'a une bonne quinzaine de jeunes de toutes nationalités et sévèrement entamés par l'alcool. Il y'a un matelas pourri plaqué contre le mur. Le sol est jonché de détritus divers : on y trouve des mégots de cigarettes, des bouteilles vides, des sacs plastiques et même des capotes usagées. Une véritable porcherie. Les murs sont humides, délabrés, recouverts de graffitis mal foutus.

Nous parvenons à les suivre tout en nous tenant à distance raisonnable. La visibilité n'est pas des meilleures. Mais on ne peut aller plus loin de peur de se faire surprendre.

Dans la cave, tous les jeunes reluquent le corps de ma mère et tous sont complètement fascinés par son opulente poitrine. On lui a de nouveau tendu une bouteille de bière qu'elle vide presque d'un trait.

- Les gars ne vous gênez pas, c'est une vraie salope! une pro du cul! Et en plus, elle a traité Mourad de ...

- Quoi? tu n'aimes pas les Arabes on dirait! Espèce de bourgeoise fasciste! Faites la boire cette salope, on va lui montrer, pas vrai les gars?

Concentrés sur la scène, nous n'entendons pas les pas derrière nous. Soudain, nous voilà bousculés et frappés par une bande de jeunes de la cité qui rejoignaient leurs copains. On nous emmène devant la petite assemblée. Ma mère, horriblement gênée, s'écrit :

- Julien? mais qu'est-ce que tu fais ici?

- C'est quoi cette histoire? Tu les connais ces trois-là?

Ma mère répond toute tremblante :

- Bien sûr, Julien est mon fils et ces trois-là sont ses copains d'enfance.

Le blanc à la casquette dit :

- Mais vous nous avez suivis de la boite jusqu'ici. Ce qui veut dire que vous avez tout regardé. Tu as regardé ta propre mère se faire violer sans rien faire. Quel pervers, je n'ai jamais vu ça! Mais tu n'inquiètes pas, tu vas pouvoir te rincer l'œil, crois-moi.

Le gars à la casquette pousse ma mère vers les jeunes. Ceux-ci s'emparent d'elle sans délicatesse et recommencent à la tripoter. Tous veulent toucher ses gros seins et ce sont des dizaines de mains qui lui malaxent les nichons. La chose est faite de manière rude et cela devient douloureux pour sa poitrine malmenée. Les jeunes s'en fichent et continuent à l'assaillir de toute part. Ils n'hésitent pas à tirer sur ses énormes seins comme des sacs à patate.

Elle est entraînée sur le matelas qui est par terre maintenant. Là, les jeunes lui écartent les bras et les jambes. Elle est comme écartelée sur le matelas, ses orifices bien à la vue de tous. Les gars sont toujours affairés sur ses seins décidément si gros. Cette fois, ils les lèchent, les sucent et les embrassent de manière si vigoureuse que l'on voit la marque des suçons. Cela ne l'empêche pas d'être doigtée à plusieurs reprises à la fois dans son anus et son vagin.

La scène est vraiment perverse car on a l'impression d'une bande de fauve se disputant une proie sans défense. L'un d'entre eux grimpe sur elle, s'accroupit au niveau de sa poitrine et glisse son énorme sexe entre ses deux nichons. Il entame une branlette entre les deux grosses loches de ma mère à sa merci. Il presse les énormes seins autour de sa queue et effectue des va-et-vient. Il finit par lui éjaculer dessus. Sa grosse poitrine est inondée à nouveau ainsi qu'une partie de son visage.

Un autre la pénètre par le vagin et se libère de façon bestiale, répandant sa semence dans les entrailles de ma génitrice.

Afin de l'exciter davantage, on la force à boire une bouteille de bière. La bouteille est aussitôt remplacée par la queue d'un jeune excité. La voilà en train de sucer un mec qui ne tarde pas à lui inonder le gosier de son foutre chaud. On lui écarte encore plus les cuisses et on expose son sexe.

- Regardez cette belle toison, je me demande combien de bites ont pénétré à l'intérieur?

Un autre reprend :

- Moi je me demande la taille qu'elle pourrait supporter.

Là il finit sa bière et introduit la canette dans le sexe de ma mère dont le corps est assailli de toute part. On la relève et cette fois, elle a droit à une canette dans l'anus sous les rires pervers de l'assemblée.

- Allez la bourgeoise, essaie de marcher un peu.

On la fait boire à nouveau et, à moitié ivre, elle marche avec les deux bouteilles dans ses orifices. On la force à se remettre à quatre pattes et la voilà repartie à engouffrer des bites à la chaîne.

Entre temps, d'autres jeunes sont arrivés et participent à la fête. Sa bouche semble insatiable et le sperme gicle à flots. Après lui avoir retiré les bouteilles, les jeunes se relayent et l'enculent sauvagement. Sa bouche et son anus sont en feu mais cela ne l'empêche pas de gémir de bonheur.

Heureuse, elle se laisse à nouveau allonger sur le matelas. Là, ceux qui ont encore de la force se mettent en cercle, se branlent et lui offrent un magnifique bain de sperme. La semence lui coule sur tout le corps et elle s'en badigeonne les cuisses, le ventre et ses gros seins. Soudain elle s'écrie :

- Pissez-moi dessus, allez-y! Vite!! je vous en supplie!

Les jeunes sont abasourdis devant une telle perversion mais se ressaisissent vite. Ils se repositionnent à nouveau autour d'elle et lui urinent dessus. Mes copains et moi observons la scène avec dégoût, l'urine se mélangeant au sperme, à la sueur et à l'alcool. Nous la voyons même boire la pisse d'un de ses partenaires.

Ma mère est méconnaissable. Son corps nu est entièrement souillé de la tête au pied. Ses orifices en feu dégoulinent de sperme et elle gémit de bonheur se sentant bien pleine. Les jeunes désertent un à un la cave, épuisés mais heureux d'avoir pu humilier et baiser cette bourgeoise qui n'est autre que ma mère.

L'homme à la casquette me regarde :

- Eh ben, ta mère c'est une belle salope. Je n'ai jamais vu ça. On vous laisse partir mais à condition que tu donnes ton adresse pour qu'on lui rende visite de temps en temps.

-

Ma mère, qui se remet à peine de ses émotions, se relève décidée et c'est elle même qui lui donne l'adresse où nous habitons. Heureux, le jeune s'éloigne et va donner l'information à tous ses amis du quartier qui ne manqueront pas de venir lui rendre une petite visite de temps à autre.

- Maman, tu es complètement folle d'avoir fait ça.

Ma mère, toujours nue et ruisselante de souillure, nous dit seulement qu'il est temps de rentrer. Elle invite même mes copains à dormir à la maison.

Le lendemain, ma mère et mon père sont levés les premiers. Papa n'a rien remarqué cette nuit, il dormait trop profondément. Ma mère a fait un brin de toilette en revenant ce matin avec nous et s'est glissée discrètement dans le lit conjugal.

Elle porte un peignoir. Mon père remarque les cernes de maman :

- Chérie tu n'as pas bien dormie?

- Un peu d'insomnie à cause du vin d'hier soir au restaurant sans doute, mais j'irai faire une sieste cet après-midi.

Mon père est de bonne humeur :

- Je vais faire un saut à la boite et je serais là vers 16h00. On ira en balade après.

Ma mère lui sourit et lui dit :

- Prends ton temps mon chéri!

Sur ce, ils s'embrassent et mon père part bosser un dimanche matin. Mes copains et moi nous réveillons à peu près en même temps. Nous rejoignons maman dans la cuisine. Elle a enlevé son peignoir et se trouve en nuisette transparente et sans sous-vêtements.

- Bonjour les petits vicieux!

Personne ne dit rien mais tout le monde a le regard scotché sur l'énorme poitrine aux larges auréoles brunes bien visible à travers le fin tissu. On se chope tous une gaule de folie. Ma mère continue :

- J'espère que personne n'entendra parler de ce qui s'est passé cette nuit.

Mes amis jurent qu'ils ne diront rien.

- Bon, puisque vous êtes gentils, je vais vous faire une gâterie.

Elle enlève sa nuisette et se retrouve à poil devant nous. Elle enfourne le sexe d'Éric dans sa bouche et branle Jean-Luc. Ils ne mettent pas longtemps à éjaculer. Bien sûr, ma mère n'en perd pas une goutte.

- Vous voilà dans la confidence maintenant. Désormais, vous aussi, vous pourrez venir me voir si vous avez besoin de quelque chose. Dit-elle en souriant.

Ma mère mène maintenant une intense vie sexuelle. Sur Nantes, elle reçoit des jeunes en journée dans la maison familiale. En règle générale, elle les reçoit à des heures particulières pour éviter que mon père se doute de quelque chose.

Elle est souvent en peignoir mais totalement nue en dessous. Selon ce qu'elle me dit, ça défile de plus en plus chez nous et les jeunes se donnent le mot. Il lui arrive même d'aller faire des courses l'après midi et de bifurquer vers la cité. Elle n'a pas peur de se promener dans les quartiers les plus chauds outrageusement maquillée, en mini-jupe et en chemisier transparent au large décolleté mettant en valeur son opulente poitrine.

Inutile de vous dire qu'il lui arrive très souvent d'être entraînée dans une cave où elle subit les derniers outrages mais pour son plus grand plaisir.

Rassurez-vous, elle continue de venir régulièrement dans mon studio et fait toujours le trottoir. Elle a rendez-vous fin Novembre pour se faire grossir les seins. En attendant, elle fréquente assidûment les instituts de beauté car son corps est devenu très important pour elle. Comme vous pouvez le constater, ma mère est devenue une femme très active, passionnée par le sexe. Pour le moment, je n'ai pas de nouvelle en ce qui concerne un éventuel film de cul fait avec elle comme actrice principale.

Ce qui est sûr, c'est que bien des malheurs l'attendent et elle n'en a pas fini de toucher le fond...

A suivre......

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