Ma mère Martine 11

BÊTA PUBLIQUE

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Le proxénète en profite pour confirmer que c'est une bourgeoise, qu'elle est ma propre mère et qu'elle n'hésite pas à se dépraver sous les yeux de son fils. Ils commencent à me regarder avec un air de satisfaction. Moi, je n'ose lever les yeux vers eux tant j'ai honte surtout qu'ils ont tous remarqué la bosse sur mon pantalon. Et oui, ils me considèrent comme un pervers qui a la gaule à voir sa mère se comporter comme la dernière des salopes.

Puis, peu à peu, ils s'intéressent à nouveau à Martine. A leur regard, on devine qu'ils ne la ménageront pas et lui feront faire les pires choses, les plus dégradantes. De toute façon, elle est pour eux juste un objet sexuel. La voix indique :

-Bon, que le tournage commence!

Ma mère est debout entourée par les hommes. Gros plan sur ses nibards où une paire de main se met à les peloter sans ménagement. On a l'impression qu'il malaxe deux gros ballons à eau de plus d'1 litre chacun. Un autre passe derrière elle et lui prend les fesses qu'il pelote avec bonheur. Sur sa gauche, un autre gars lui attrape la tête et lui roule un patin baveux. Le cameraman fait un gros plan sur les deux bouches dont les langues se mêlent. Il en profite pour la doigter tandis que celui de derrière explore son anus avec son index. Ses gros seins sont pelotés, tirés et malaxés par des dizaines de mains.

J'entends des bruits de bouteilles de bières et je peux voir d'autres gars en train de se saouler. Ma mère est toujours pelotée sans relâche. Sa bouche, son sexe et son anus sont explorés par des doigts experts. Ses énormes seins sont malaxés puis gobés par des bouches avides. Pendant que ses assaillants explorent son corps, Martine ne perd pas son temps et malaxe de ses deux mains les testicules bien remplis de ses agresseurs. Elle ne désire qu'une chose : sentir au fond de ses entrailles la semence de ces hommes pervers.

Elle est amenée sur la table est allongée sur le dos. Chacun de ses bras est maintenu par un gaillard vigoureux. Ses jambes sont saisies par deux autres hommes puis largement écartées afin d'exhiber son sexe imberbe. Le caméraman s'approche et fait un gros plan tandis que le proxénète introduit ses doigts dans la chatte humide lubrifiée depuis longtemps. Il écarte les lèvres et exhibe ce sexe de bourgeoise. Le caméraman en profite bien pendant une quinzaine de seconde. Pendant ce temps, le hooligan n'en pouvant plus, s'est jeté sur elle et se rue sur ses seins qu'il lèche avec une ardeur incroyable. Il grimpe sur elle et baisse son pantalon. Excité au plus haut point, il enfourne son sexe entre les deux gros nichons de ma mère. Heureux de sentir les énormes globes mammaires rouler autour de sa queue, il pousse des râles de bonheur tout en faisant fi de la caméra. Tant pis si on le voit se taper une branlette espagnole entre les seins de cette prostituée aux gros seins. Croyez-moi, il prend son pied ce pervers et se retient d'éjaculer afin de faire durer le plaisir.

Un autre homme a commencé à la baiser. Sa queue pénètre maman à grand coup de boutoir. Son corps est secoué. Elle est à la fois baisée et subit une branlette espagnole. Comme elle est allongée, deux gars en rut se sont postés au niveau de son visage et sortent deux énormes sexes gonflés à bloc. Ma mère n'a d'autre choix que de les sucer allongée et chacun leur tour. Elle est frustrée de ne pouvoir utiliser ses mains car ses bras sont maintenus par deux solides gaillards tout comme ses jambes d'ailleurs. Là, le hooligan et les deux gars éjaculent sur ma mère. L'un a explosé sur son visage tandis que l'autre s'est lâché dans sa bouche pendant la fellation. Elle sent aussi du foutre inonder son énorme poitrine. Celui qui la baisait s'est lâché aussi et la semence se répand en elle. La sueur a envahi son corps, elle est prête à se faire baiser à la chaîne maintenant.

De toute façon, d'autres hommes arrivent sans cesse et font la queue pour avoir leur dose de sexe. Pour patienter, ils se saoulent avec l'énorme quantité d'alcool disponible. Rassurez-vous, tous sont sûr de baiser cette femme et ce, devant les caméras. Ils sont sûr aussi moyennant une certaine somme, de pouvoir avoir une copie de ce film avec pour seule héroïne porno, ma propre mère.

La séance se poursuit et ma mère est assaillie par tous ces hommes en rut et alcoolisés. Certains s'acharnent sur ses énormes seins, d'autres préfèrent se vider les couilles en la baisant tout simplement. Elle est obligée de tailler des pipes allongée car elle est toujours maintenue sur la table. Les caméramans en ont profité pour faire des gros plans sur sa chatte se faisant ramoner sans cesse et sur sa bouche en train de sucer ces hommes sans relâche. Elle en a presque mal à la mâchoire.

De temps en temps, on lui fait couler un peu d'alcool dans son gosier insatiable pour la récompenser et la désinhiber davantage. A peine a-t-elle finit de pomper une queue qu'une autre la remplace. Son visage est recouvert de foutre et elle n'a pas le temps de tout avaler. Ses gros seins sont maculés de sperme comme jamais. Certains se sont branlés sur elle trop impatients et trop excités. Elle en a sur les cuisses, les hanches et sur son ventre. Ses beaux cheveux sont tout collants la rendant méconnaissable. Le pire, c'est que le défilé continue sans cesse. Des hommes rentrent, se vident les couilles puis repartent laissant place aux autres. Au bout de deux bonnes heures, ma mère est recouverte de sperme de la tête au pied mais heureuse d'être ainsi ensemencée.

Pourtant, ce n'est pas terminé pour elle car la voici enfin retournée. Elle est allongée sur le ventre mais sur le bord de la table. Son cul est donc bien exposé. Elle se laisse manipuler comme un jouet à la disposition de ces pervers. Le basané n'attendait que ça après s'être retenu de se masturber devant ces hommes baisant cette femme aux gros seins. Lui, ce qu'il aime, c'est la sodomie. Et d'ailleurs il ouvre le bal en écartant les fesses de Martine pour exhiber son anus si souvent pénétré. Tout le monde profite du spectacle. Puis, il baisse son pantalon et encule sauvagement ma mère sur cette table. Il y va à grand coup de rein. Préparée par les godes, ma mère ne sent rien et se contente d'accompagner le va et vient en ondulant son cul. Elle sent néanmoins la grosse verge lui ramoner les intestins et l'idée de savoir être possédée de la sorte lui arrache un gémissement de plaisir. Le basané excité au plus haut point la prend par les cheveux et l'insulte en la traitant de putain, de sale bourgeoise, de salope aux gros nichons. Ses coups de reins sont violents et le corps de ma mère a des soubresauts. Puis en un long râle, il se libère de son foutre qui envahit les entrailles de Martine. Il se retire et aussitôt, c'est la ruée.

Ma mère est mise à quatre patte et la voilà se faisant enculer à la chaîne. Sa bouche si experte est à nouveau sollicitée. Elle est à quatre pattes, recouverte de sperme se faisant enculer tout en suçant des hommes. Le défilé continue et semble même s'accentuer. Ma mère ne ressemble plus à rien tant elle est recouverte de foutre mais elle continue, infatigable. L'alcool tout comme le sperme coule à flot.

La situation commence à dégénérer et elle est prise de toute les façons possibles et inimaginables, livrée aux perversions les plus ignobles de ces hommes dont le nombre ne cesse de croître. Je vois ma pauvre mère réduite à servir de fosse d'aisance à ces salauds de pervers. Elle a droit à plusieurs séances de fouet avec en prime quelques gifles. On lui introduit plusieurs objets dans la chatte et dans le cul, la forçant à se promener à quatre pattes dans la salle sous les regards approbateurs de la foule masculine. Tous ont du plaisir à voir cette bourgeoise se promener nue avec des bouteilles enfoncées au plus profond de ses entrailles. Ses seins lourds, enduis de foutre et d'alcool, ballottent outrageusement à chaque déplacement.

Le proxénète lui fouette le cul de temps en temps pour aller plus vite et la stimuler. Certains lui versent de l'alcool voire même lui urinent carrément dessus au passage. Substances qu'elle accueille avec une joie inimaginable. Après quelques tours de table, la séance reprend de plus belle. Son anus n'arrête pas d'être sollicité et sa bouche de même. Ses seins sont tirés dans tous les sens. Une véritable débauche de foutre, d'alcool et d'urine s'abatte sur cette femme qui semble prendre son pied.

Finalement, vers 7h00 du matin, les hommes finissent par s'en aller petit à petit. Ma mère n'en peut plus, épuisée. Sa bouche est en feu, sa chatte et son anus ravagés à force d'être limés et pénétrés par des objets énormes. Ses énormes seins lui font un peu mal à force d'avoir été malaxés, fouettés et sucés. Elle est par terre toute recouverte d'un mélange de sperme, d'alcool, de sueur et d'urine. Bien pleine, ensemencée comme jamais, elle pousse des soupirs de satisfaction en se caressant les jambes bien écartées. Jamais elle n'avait été baisée par autant d'hommes et de façon aussi perverse. La salle se vide et il ne reste que les médecins, le proxénète, le hooligan et le basané. La voix derrière le miroir reprend :

-Bon, maintenant une dernière chose. Tu vas te lever et tu vas baiser avec ton fils.

Les médecins me détachent et ma mère se relève les yeux brillants de luxure. Elle se met à genoux et sort mon sexe qu'elle se met à sucer avec ardeur. Ses lèvres pulpeuses se referment sur mon sexe et commencent à bien pomper. Je me rends compte à quel point elle est experte car elle s'arrête juste au moment où j'allais éjaculer. Toujours à genoux, elle me tend ses énormes seins dégoulinants de sperme. Autour de ses tétons, on peut voir une multitude de marque de succions. J'ai du mal à croire que c'est cette même poitrine qui m'a allaité un jour.

Maintenant, rien à voir avec le lien mère-fils d'autrefois. Le lien n'est plus mère et enfant mais de mâle à femelle. Pour moi, elle n'est plus qu'une femme en chaleur qui est soumise à n'importe quel homme. Je pose donc ma queue entre ses gros seins et elle fait le reste. Elle presse ses grosses mamelles autour de mon sexe en érection et elle me branle. Avec ses doigts, elle se pince les tétons et accélère la cadence. Ses seins sont vraiment énormes et me voilà en train de jouir sur la poitrine maternelle. Mon sperme se mélange avec ceux des autres pour la plus grande joie de cette femme heureuse de recevoir la semence de sa progéniture. Me restant encore de l'énergie, je la retourne et me voilà en train de l'enculer sauvagement comme les autres. Je finis par me vider à mon tour sonnant la fin de la séance. Je me refroque et laisse ma mère à quatre pattes encore sous l'effet du plaisir procuré par cet acte incestueux.

Les caméramans ont bien enregistré le tout. La, la porte s'ouvre et à ma grande surprise, un homme proche de la cinquantaine apparaît. Il est bien sapé et dans son regard, on peut lire une perversion inouïe. Il reste là, à regarder ma mère qui ne sait plus que dire car elle vient de reconnaître son mari. Et oui, son mari et donc mon propre père Dominique. C'était lui la voix derrière le miroir. Elle était déformée par un appareil spécial. Mon père dit :

-Surprise! Hein?

Personne n'ose rien dire et ma mère baisse les yeux. Il rajoute :

-Eh bien, me voilà avec une bonne famille de dépravé!

Il me regarde :

-Oui, la prochaine fois tu n'oublieras pas de faire le ménage dans les fichiers de ton portable. Je vois que ta mère t'inspire mais elle n'est pas contre visiblement.

Ma mère demande :

-Que veux-tu dire?

-Ton fils écrit des histoires porno sur toi. Je me suis régalé de les lire. Oui, j'ai été outré au début puis j'ai adoré.

Ma mère me regarde très en colère. Mais mon père continue :

- Mais je ne savais pas que ces histoires étaient vraies. Je suis au courant depuis cet été, en fait. J'ai trouvé un texte sur l'ordinateur portable de ton fils qu'il m'arrive d'utiliser. Je ne pensais pas que tu me faisais cocu comme la dernière des salopes pendant que j'étais au travail. Mes soupçons se sont confirmés depuis qu'elle va te voir dans ton studio. Et devine quoi?

Ma mère est abasourdie par tant de révélation. Il continue :

-Le proxénète, c'est moi qui l'ai embauché peu de temps après pour s'occuper de toi. Je t'ai fait suivre par un détective privé qui m'a tout raconté sur tes débauches et ta prostitution avec Julien. Puis, j'ai décidé de le contacter afin qu'il te déprave encore plus.

Mon père était un pervers et il avait payé quelqu'un pour mettre maman sur le trottoir. Toute cette soirée, il l'avait organisée depuis le départ et ma mère et moi avons été piégés. Je me risque :

-Mais on fait quoi maintenant?

Mon père réfléchit et les yeux luisant de perversité dit :

-Ta mère a besoin de vacances.

Il regarde le proxénète et lui dit :

-Bon, prends ma femme avec toi. Je te la donne pour une quinzaine de jours. Fais-en ce que tu veux, elle est à toi. Et n'hésite pas à l'humilier le plus possible.

Heureux, le proxénète demande à ses deux comparses d'emmener maman. Ils s'emparent d'elle sans qu'elle ne se débatte. Le basané la saisissant par les pieds et le hooligan par les bras. Elle est encore souillée et elle est transportée comme un vulgaire sac de patate vers une destination inconnue.

Moi, n'osant rien dire, j'ai suivi mon père et on est rentré. Nous avons discuté de la situation et mon père m'a dit qu'il s'en fichait finalement. Il reconnaît éprouver du plaisir à savoir ma mère se faisant baiser sans relâche quelque part. Je lui dis qu'il avait abusé en la donnant à ces hommes et qu'il lui faisait prendre des risques.

Ma mère fut retrouvée trois semaines plus tard, déambulant nue dans un quartier sordide de Paris. Elle était à poil, souillée et droguée au GHB. Elle avait subi d'innombrables perversions sexuelles. Durant ces deux semaines qui se sont prolongées de quelques jours d'ailleurs, ma mère a été prise de toutes les façons possibles et inimaginables. Les lieux et les partenaires de ses débauches étaient les pires qui soit. Je me demande même si elle n'a pas dévié scato.

En tous cas, Papa et moi sommes allés la chercher à l'hôpital où elle est restée en observation. Pas pour longtemps d'ailleurs, on a juste contrôlé qu'elle n'avait pas de maladie vénérienne. Malgré le nombre incalculable de relations sexuelles qu'elle a eu, la chance a voulu qu'elle n'ait rien. J'en voulais un peu à mon père de l'avoir donné comme ça à des gens louches. Mais l'essentiel, c'était que ma mère soit de retour et en pleine forme

A peine arrivée sur Nantes, on se donne le mot et rapidement le défilé des hommes à la maison reprend. Mon père est obligé de mettre un bémol. Pas par jalousie, bien au contraire car il aime savoir sa femme baisée toute la journée pendant qu'il travaille mais à cause des voisins. Il menace d'interdire à maman de le faire cocu si elle continue à faire n'importe quoi. Ma mère, paniquée, a donc fixé des créneaux spécifiques. Rassurez-vous, elle a repris ses activités sexuelles de plus belle et même encore plus qu'avant. Elle fait toujours la pute sous le contrôle de son proxénète et toujours dans mon studio. De temps en temps, il la convoque dans une salle, histoire de lui rappeler qui est le maître. Il en profite pour faire quelques courts métrages pornographiques très hard avec ma mère comme seule héroïne. Il a été jusqu'à faire des moules du corps de Martine pour en faire des poupées gonflables afin que les pervers puissent s'exciter dessus. Elle est offerte régulièrement à des clochards histoire de leur faire oublier leur malheur.

Pendant son absence, mon père a fait faire des travaux. Il a fait installer un miroir sans teint dans la chambre conjugale et a fait construire une tout petite pièce jouxtant la même chambre. Chaque week-end, il s'installe dans la pièce et peu voir grâce au miroir sans teint, ma mère, sa propre femme, se faire baiser comme une putain dans la chambre conjugale. Mon père est en fait un véritable pervers voyeur, heureux de voir la femme qui a mis au monde et élevée ses enfants, se comporter comme la dernière des truies dans la maison familiale.

Ma mère est bien heureuse de savoir que son mari se masturbe en train de la voir se faire baiser outrageusement et croyez-moi, elle fait en sorte d'être la plus salope possible. Il envisage à plus ou moins long terme de faire installer des caméras afin d'épier les débauches sexuelles de maman dans les diverses pièces de la maison. Ma mère ne fréquente plus que des hommes et elle passe ses journées en peignoir, nue en dessous.

Elle sort pour voir des amis de la famille en tailleur-jupe pour montrer qu'elle est une femme bourgeoise, puritaine et bien tenue. Mais lorsqu'elle va faire des courses, il lui arrive de faire un petit détour par les cités. Elle est en tenue osée : mini-jupe et chemisier transparent sans soutien-gorge ni culotte. Elle s'exhibe de manière provocante près des HLM au plus grand désarroi des pauvres filles résistant contre le machisme environnant. A la vue de ses gros seins, qu'elle n'hésite pas à mettre en valeur par des décolletés largement échancrés, les jeunes se précipitent sur elle pour la draguer. Comme à son habitude, elle termine le plus souvent séquestrée dans une cave à subir les derniers outrages mais cela, pour son bonheur sexuel. Mes parents ont donc trouvé leur compte : Mon père éprouve du plaisir à mater et ma mère peut satisfaire son énorme appétit de sexe, de soumissions et de dépravations en tous genres.

Ma mère a eu bien des aventures et effectue les pires dépravations qui soient. Il arrive même à mon père, par perversion, d'accompagner Martine sur le trottoir. Il faudrait des pages et des pages pour raconter ce qu'elle a fait mais moi, je ne suis plus ses aventures car je suis actuellement avec une fille gentille. Peut-être un peu trop, il va falloir qu'elle prenne exemple sur ma mère. Ne vous inquiétez pas, je m'y emploie avec passion.

FIN

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4 Commentaires
milfoliviamilfoliviail y a presque 6 ans

Une histoire excellente

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
super

c'est sympa de relire cette histoire qui m'avais beaucoup plus il y a quelque années

mais elle n est pas terminé il y a d'autre épisode

ma mère prise au piège

ma mère et ma pute

Martine x

merci trouchard

AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans

Une belle saga qui date, mais qui fait toujours plaisir à relire

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 7 ans

J'aime la chute avec la fille gentille. Bientôt aussi salope que sa belle-mère?

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