Malaurie 02

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(Suite 01) L'exhibition.
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00

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 11/09/2021
Créé 11/23/2009
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La femme lui demande de se lever et de se mettre nue.

Pour se motiver, Malaurie se persuade que ce n'est qu'un strip-tease. Elle se lève, descend la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds. Malaurie tente d'écouter les bruits ambiants et ne perçoit qu'un silence oppressant. Son cœur bat la chamade. Instinctivement, elle resserre son ventre qui, selon elle, est trop gros. Les mains un peu tremblantes, Malaurie se défait de son slip. Elle a commencé à retirer son premier bas lorsque la voix de l'homme gros, pense t'elle, lui dit d'arrêter et d'écarter les jambes. Elle rétablit son bas dans une position qu'elle estime convenable puis laisse tomber ses bras le long de son corps ; La même voix lui ordonne de croiser les bras dans son dos ; Elle se soumet à cet ordre.

S'exposer nue devant ces inconnus lui procure force et insolence. Malaurie a réussi cette épreuve : elle est plus forte qu'eux.

Sa nudité n'est pas belle comme celle des jeunes femmes qui s'exposent dans les magazines de charme. Elle est simplement sensuelle : les seins sont galbés, les hanches évasées supportent un ventre arrondi, la toison dessine un triangle brun sur sa peau légèrement bronzée et sa chatte se révèle entre des cuisses fermes et des jambes galbées.

L'instant lui paraît interminable. Elle entend des bruits de bouteilles et de verres que l'on remplit. Malaurie tressaille à cause de la fraîcheur qui tombe sur ses épaules, aussi par nervosité, songe t'elle.

Elle tressaille lorsqu'on la prend par la taille pour la positionner à l'extérieur du cercle des fauteuils. Les mains qui l'ont accrochée sont celles d'un homme, devine t'elle, à cause de leurs tailles. « Pourvu que ce ne soit pas l'homme gros! » espère Malaurie en se laissant guider.

Puis, l'homme se plaque contre le dos de Malaurie qui perçoit les boutons de la veste et le toucher plutôt doux du textile. Malaurie allonge ses bras de long de son corps tandis que l'homme glisse sa jambe entre ses cuisses. Pour mieux sentir la chaleur de son intimité, il écarte les fesses de Malaurie qui se contracte. Le contact des mains chaudes de l'homme lui procure un peu de bien être. Malaurie cambre ses reins, sa fente est maintenant au contact du pantalon. Ce n'est pas l'homme gros qui la tient ; elle le reconnaît aux mains qui sont douces et leurs gestes sensuels. L'homme retire ses mains des fesses de Malaurie et les pose à plat sur son ventre, juste au dessus du pubis. Il presse fort au point que Malaurie est obligée de se maintenir en liant ses mains dans le dos de l'homme.

« Pas le ventre! » murmure Malaurie.

Et, comme si l'homme avait compris ce refus, il en visite toutes les parties. Il introduit un doigt dans son nombril ; il palpe les parties arrondies, il s'attarde sur le bas du ventre en glissant ses doigts dans les plis. Il fait remonter du plat de la main le ventre lourd. Malaurie prend du plaisir à ce massage ; Cette exploration lui procure une volupté qu'elle n'avait pas envisagée provenir de son ventre qu'elle n'aime pas.

Son corps se relâche et accepte les massages de cet inconnu.

Brusquement, l'homme abandonne le ventre de Malaurie et retire sa jambe d'entre les cuisses chaudes. Il se place devant Malaurie, empoigne ses deux seins et la pilote jusqu'au canapé sur lequel il la propulse. La rapidité et la puissance du mouvement ont forcé Malaurie, le souffle coupé, à suivre le mouvement.

« Vous avez raison ; elle est facile, elle mouille comme une impudique. Il faudra lui apprendre à se contenir», dit l'homme. Et comme preuve, il montre à ses compagnons une trace humide sur son pantalon.

Malaurie entend cette phrase comme un avilissement ; elle avait oublié ses appréhensions et trouvé du bien-être.

Cet homme a surpris son plaisir et il n'en veut pas. Humiliée, Malaurie repend ses esprits et se jure de ne plus s'abandonner ainsi. Ce ne sont pas ces hommes qui vont avoir raison d'elle. A l'avenir, elle se contrôlera et ne laissera plus rien apparaître. Elle est présente dans ce salon sur commande, pour satisfaire leurs envies, et c'est bien ce qu'elle se promet de faire en occultant sa propre jouissance.

Du fond de son canapé, elle reprend sa respiration en se massant les seins pour calmer leurs souffrances.

Elle attend ainsi : nue, les jambes repliées, dans la nuit de son foulard.

« Isabelle, mettez lui les bracelets. Ensuite vous lui calmerez ses ardeurs » dit Jean à la femme.

« La femme s'appelle Isabelle » mémorise Malaurie. Les bracelets? Quels bracelets?

Jean ne m'avait pas dit!

Dès qu'Isabelle approche Malaurie, celle ci se rebiffe ; elle ne veut pas des bracelets. D'une voix froide qu'elle ne reconnaît pas, Jean lui ordonne d'accepter les bracelets. Il lui dit qu'elle ne peut pas s'y opposer, qu'elle a le droit de crier si elle le veut ; ils lui poseront un bâillon. Il lui affirme qu'aucune maltraitance physique ne lui sera infligée. Il conclu en lui expliquant que les bracelets sont nécessaires pour l'asservir, l'empêcher d'utiliser ses mains et ses jambes et l'obliger à se soumettre à leurs envies, sans aucune obstruction de sa part.

La révolte intérieure de Malaurie est grande ; elle considère cette décision comme une rupture du pacte conclu. Ce n'est pas ce que Jean lui avait décrit ; il lui avait assurée qu'elle serait libre de ses actes et de ses choix.

Malaurie, au milieu de ces inconnus, n'entrevoit aucune échappatoire à la situation dans laquelle elle s'est mise. Elle se tait par crainte d'éventuelles représailles plus dures encore. Son cœur se durcit et se ferme.

Le gros homme déclare que c'est lui qui mettra les bracelets parce qu'il est fort et que ce n'est pas une femme qui va lui résister, surtout pas une pute. Le mot est lâché; ce mot qui humilie, ce mot que Malaurie espérait ne pas entendre.

A la lourdeur de la démarche, Malaurie déduit que le gros homme s'approche d'elle. Il force Malaurie à se lever en la tirant par les avants bras. Malaurie a un sentiment de répugnance dès qu'il la touche. Les mains du gros homme lui paraissent grasses et ses doigts sont courts. Malaurie cède sans résistances ; Elle se tient debout, les bras croisés, ses mains protégeant sa poitrine d'une éventuelle emprise.

Le gros homme passe autour du cou de Malaurie un collier de force pour chien qu'il serre modérément. Il s'accroupit aux pieds de Malaurie pour lui enserrer les chevilles dans des bracelets de cuir équipés d'un anneau d'acier. En se relevant, il constate que Malaurie continue à protéger sa poitrine de ses bras croisés.

« Dégage tes nichons et présente moi tes poignets » lui ordonne l'homme en tirant sur le collier du cou de Malaurie.

Craignant la brutalité de l'homme gros, elle refreine la peur grandissante qui monte en elle, relâche son étreinte et laisse aller les bras le long de son corps.

« Je t'ai dit de me présenter tes poignets, salope » lui rappelle l'homme en saisissant l'un des seins d'une main ferme.

« Je vais t'apprendre à obéir » complète t'il en forçant la pression de ses doigts dans la chair du mamelon.

Malaurie gémit sous la force de la poigne. Contrainte et meurtrie, elle lève ses bras et tend ses poignets. Satisfait, l'homme gros abandonne le nichon et s'applique à enserrer les poignées de Malaurie dans des bracelets de cuir.

Porter cet attirail écœure Malaurie.

Les attouchements du gros homme qui promène ensuite ses mains sans ménagements sur son corps la rebutent ; Il lui tâte les mollets, les cuisses, glisse sa main dans le creux de ses fesses, soupèse les mamelles comme un maquignon le ferait avant d'acheter un bestiau sur le foirail.

«On va la coucher sur la table ; débarrassez les verres » dit l'homme gros. Il a posé sa main sur une des fesses de Malaurie et installé un de ses doigts à l'entrée de son petit trou. Malaurie comprend que toute résistance aboutira à l'introduction du doigt dans son petit. Résignée, elle se laisse diriger jusqu'à la table.

Le gros homme lui ordonne de s'y allonger, sur le dos. Malaurie obtempère.

La table est assez longue pour supporter le corps et la tête de Malaurie. Elle serre ses jambes et les replie. Ses souliers reposent sur le tapis situé sous la table. Instinctivement, Malaurie barricade à nouveau ses seins dans ses bras croisés.

En frissonnant, elle subit l'écartement de ses cuisses par les mains grasses qui l'obligent à découvrir son intimité.

Le gros homme empoigne une cheville de Malaurie et l'attache au pied de la table avec l'anneau du bracelet ; il fait de même avec l'autre cheville.

« Elle recommence à planquer ses nichons » ergote l'homme en emparant les poignets de Malaurie qui résiste à relâcher son étreinte. Avec excitation, l'homme gros oblige Malaurie à lever ses bras. Il fixe ensemble les bracelets et passe une chaîne entre les bracelets liés. Puis, il tire les bras par dessus la tête de Malaurie et prend soin de tendre la chaîne pour que les bras soient étirés au plus possible. Il attache ensuite la chaîne aux pieds de la table. La traction de la chaîne sur les bras contraint Malaurie à bomber sa poitrine et cambrer ses reins.

Le gros homme juge que cela n'est pas suffisant et décide de lier les bras entre eux pour augmenter la tension. Au contact de la corde qui enserre ses bras, Malaurie refuse et se démène. Le gros homme suspend son action et, du bout de la corde pendante, il cravache d'un coup ferme le ventre de Malaurie. Une douleur cuisante envahit Malaurie lorsque la marque de la corde s'imprime sur la peau de son ventre. Son cri douloureux alerte Jean qui intime l'ordre au gros homme de ne pas flageller.

Un sentiment de haine envers Jean et l'homme gros envahit Malaurie. Le souffle court du gros homme l'écœure lorsqu'il se penche à nouveau sur elle pour reprendre sa besogne de ficelage qu'il termine en prenant soin de bien joindre entre eux les deux bras et ainsi, les bloquer.

Malaurie est maintenant exposée, la tête bloquée entre ses bras tendus, les seins retombants des deux cotés de sa poitrine, le ventre bombé, les cuisses écartées et la toison exhibée.

Malaurie a mal dans cette position inconfortable. La table est dure et froide. Les bras sont comprimés par la corde qui les enserre, la zébrure provoquée par la corde la brûle. Elle serre ses poings pour ne rien dire. Ce n'est pas la douleur qui lui est insupportable ; c'est la posture qui ne cache rien de son intimité et qui l'expose à toutes les humiliations.

Le gros homme estimant son œuvre bien faite enjambe Malaurie. Volontairement, il s'appuie sur le ventre exposé.

Lorsqu'elle ressent le sexe grossissant sous le tissu de pantalon, Malaurie contracte son ventre pour se dérober à cette chose mais le gros homme s'enfonce davantage. Sous le poids, Malaurie soupire et abandonne sa résistance. Les deux mains de l'homme s'approprient les seins ; il descend sa bouche vers celle de Malaurie. Elle sent l'haleine du gros homme, détourne la tête et maintient sa bouche fermée. Enervé par ce refus, il lui dit à l'oreille : « Tu ne perds rien à attendre ; je te la mettrai tout à l'heure quand tu seras chaude. »

La suite prochainement, si vous aimez.

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