Malaurie 03

Informations sur Récit
Le dressage.
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 11/09/2021
Créé 11/23/2009
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« Laissez la moi, je vais la chauffer » dit Isabelle.

En se redressant, le gros homme accapare le pubis de Malaurie dans sa grosse main ; un doigt pénètre dans la fente et écrase le clitoris. Malaurie se force à ne pas crier ; Elle serre les dents et ne dit rien. Seul le soubresaut de son ventre exprime son désarroi : Elle réalise qu'elle est maintenant prisonnière de sa propre décision, elle a peur d'en payer le prix fort des contraintes et aliénations qu'elle redoute de se voir imposer.

Isabelle s'accroupit près de Malaurie et étend un onguent réparateur sur la marque de la corde. Puis, elle commence tout doucement à effleurer les seins de Malaurie en oubliant les bouts, puis remonte par pression plus prolongée vers les tétons.

Malgré sa réticence, Malaurie ne peut empêcher ses tétons de gonfler et durcir, ce qui n'échappe pas au regard d'Isabelle qui commente avec quelques mots crus : « Elle en veut toujours, la cochonne, Regardez comme elle pointe! Cela promet ».

Les seins de Malaurie se gonflent au contact de la peau douce des mains de cette femme. Malaurie oublie un instant les liens qui l'entravent. Elle se laisse enivrer par cet attouchement.

Isabelle remarque les poings fermés de Malaurie. Elle lui ordonne d'ouvrir ses mains et d'écarter les doigts. Dans le même temps, elle caresse les lèvres de Malaurie et la force à ouvrir la bouche. Doucement, elle lui rappelle à l'oreille qu'elle doit garder la bouche ouverte, offerte à tous les services. Joignant le geste à l'ordre, Isabelle s'approche de la bouche de Malaurie et enfonce sa langue jusqu'au fond de sa gorge. Malaurie se rétracte et refuse de répondre au baiser, mais la langue experte d'Isabelle a raison de sa retenue. Une chaleur douce envahit Malaurie, son ventre se relâche dans un grand soupir. Isabelle maintient son baiser pendant que sa main descend doucement vers l'intimité de Malaurie en s'attardant sur le ventre qu'elle sonde pour en capter les vibrations.

D'un doigt agile, elle saisit le clitoris, le tire et le branle jusqu'à ce qu'elle le fasse gonfler. Elle caresse les lèvres de la fente, enfonce son petit doigt dans le conduit pour en faire sortir l'humidité et humecte la petite partie sensible entre le sexe et l'anus. Ce toucher enflamme Malaurie qui a toujours aimé être branlée. Sentir une main de femme est nouveau pour elle. Elle trépide lorsque Isabelle enfonce un doigt dans son anus et le secoue frénétiquement. Malaurie gémit et laisse échapper une petite ondée de sa fente excitée. Isabelle reçoit ce fluide sans réagir ; Elle ne retire ses doigts que lorsqu'elle perçoit la rémission de Malaurie.

« Voilà, elle est prête » dit Isabelle en se relevant.

Malaurie est heureuse de son comportement. Il n'y a pas de sentiments amoureux dans ce qu'elle vient de vivre avec Isabelle. Elle s'est seulement abandonnée aux pulsions voluptueuses qu'Isabelle a su faire surgir et envahir son corps et son esprit. Le succès de l'épreuve remplit Malaurie de fierté.

Aux bruits des fauteuils déplacés et des pas qu'elle entend, Malaurie comprend qu'on se rapproche d'elle ; Elle comprend très vite qu'ils, les inconnus présents dans le salon, maintenant entourent la table sur laquelle elle est exposée. Elle réalise avec excitation que des yeux l'examinent et se promènent sur son anatomie sans pouvoir rien cacher de son intimité. Elle imagine le regard que ces inconnus doivent porter sur sa chatte humide, ses cuisses écartées et sa chair offerte. Elle prend du plaisir à subir cette perquisition même si les liens qui l'entravent lui rappellent qu'elle demeure à la merci de ces inconnus.

Elle frémit lorsque quel qu'un palpe son ventre et dit : « Son ventre est bombé »,

« Ses mamelles sont ramollies et ses tétons ne sont pas gros » dit un autre,

« Sa fente est fermée, il faudra l'ouvrir pour voir le rose » continue un autre en y mettant un doigt,

« Vous avez raison, on l'agrandira tout à l'heure » conclue Jean.

Ces commentaires provoquent de la honte mêlée de délectation chez Malaurie. En se souvenant du conseil d'Isabelle, Malaurie ouvre ses mains et sa bouche. Elle relâche son ventre, relève ses fesses en écartant au mieux ses cuisses et ainsi, mieux offrir sa chatte humide. Cela n'échappe pas aux inconnus qui reprennent leurs commentaires : « Elle aime ça, Regardez comme elle s'ouvre. Il faudra lui apprendre plus de retenue ».

Tout à la jouissance de son exhibition, Malaurie n'entend pas ces inconnus. Seuls, les liens qui la contraignent lui rappellent qu'elle ne peut se dérober. Savoir que Jean est présent l'excite davantage ; elle sait qu'il ne perd rien de la scène, lui à qui elle s'est toujours refusée.

Malaurie sursaute lorsqu'un objet dur est posé entre ses cuisses. Elle pressent avec angoisse que cet objet va lui être imposé. Elle tente d'en estimer les dimensions et appréhende le moment où cet objet la pénétrera ; Cela la remplit de panique.

Deux mains s'agrippent à ses cuisses pour les maintenir écartées, puis une autre main glisse vers la fente dont elle ouvre les lèvres tandis qu'on appuie sur son ventre pour rehausser le bassin. Des doigts ouvrent le goulet et la chose dure est enfoncée dans l'intérieur de Malaurie. Cette chose est froide et sèche. Malaurie reconnaît alors un chibre fortement membré, plus gros que celui que son compagnon lui avait introduit et qu'elle n'avait pas apprécié.

Après quelques va et vient, le chibre occupe tout l'espace et se colle aux parois.

L'introduction a été trop rapide et sa délectation disparaît. Elle se rebiffe contre cette intrusion, se cambre et tente de serrer ses cuisses pour évacuer la chose de son intimité.

Mais les mains qui la bloquent et les liens qui l'entravent l'obligent à subir l'incursion.

« Non, je ne veux pas, j'ai mal » supplie t'elle.

Par soubresauts elle essaye d'évacuer cette chose pénible, ce qui fait rire l'assistance.

Une dernière fois enfoncé jusqu'à la garde, le pilon est enfin devenu immobile.

« Lâchez la » ordonne un homme, « Je vais l'éduquer »

Les mains qui tenaient Malaurie la libèrent. Malaurie pousse un soupir profond. Elle abandonne sa résistance. Elle tente d'oublier le gourdin qui encombre son intérieur. Elle cherche une position qui rende plus supportable la tension de ses liens et l'occupation de son ventre.

L'étalage de Malaurie est obscène : les cuisses ouvertes, les bras tendus, la chatte obstruée et les seins avachis. Un sentiment de déchéance l'envahit.

Elle entend les consignes qui lui sont édictées :

« Vous devez vous soumettre et ne plus résister »,

« Vous accepterez sans mot dire nos ordres, autrement vous serez punie »,

« Vous recevrez nos envies en cherchant notre plaisir et non le vôtre »,

« Répondez : oui monsieur »

Le silence de Malaurie excite un inconnu qui lui indique :

« Répondez : oui monsieur ou vos nichons vont en payer les conséquences »

La crainte de subir à nouveau des tourments sur ses mamelles force Malaurie à exprimer son consentement par un « oui, monsieur » craintif et soumis.

« Maintenant, ouvrez votre bouche, écartez vos cuisses et exposez nous vos nichons. On veut vérifier votre soumission » déclare un autre.

Dans un silence oppressant, Malaurie lève son cul. Elle étale sa fente obturée. Ses nichons s'affaissent davantage sur chaque coté lorsqu'elle bombe sa poitrine. L'indignité s'empare d'elle lorsqu'elle ressent ses mamelles gonfler et ses tétons durcir. Dans un état second, son ravissement à s'exposer aux yeux de tous remplace progressivement la honte qui l'occupait. Elle y trouve du plaisir mêlé de la satisfaction à vaincre ses interdi.

Un inconnu dit : « Il faut la mouiller, autrement elle ne pourra plus être utilisée ».

La trique est retirée. Le gel froid déversé coule entre ses cuisses et pénètre son intimité lorsque l'objet est enfoncé à nouveau. Malaurie geint faiblement sous la poussée du pilon qui frotte son fourreau.

Un des hommes dit : « Levez lui le cul, il faut agrandir son entrée ; elle est trop serrée. »

Des mains glissent un coussin sous le cul de Malaurie, elles écartent les fesses pour agrandir l'accès.

Malaurie supplie qu'on arrête mais ils n'entendent pas. Le chibre reprend son taraudage ; la respiration de Malaurie devient haletante au rythme des assauts. Un gémissement plaintif accompagne chaque appropriation de son intérieur.

L'objet enfoncé au plus profond est maintenu figé jusqu'à ce que Malaurie, épuisée par l'assaut, abandonne sa résistance dans une convulsion qui est comprise comme une manifestation de jouissance.

A nouveau, le pilon s'engouffre dans le trou béant, il fouille la cavité, la creuse et s'impose aux parois. Les coups de butoir répétés bouleversent Malaurie qui vibre de tous ses membres. Ses seins son ballottés, son dos se cambre, son ventre s'enflamme et sa bouche se sèche. Dans un râle plaintif, la délectation réprimée jaillit de son ventre et coule entre ses cuisses. Malaurie est consternée de n'avoir pu contrôler son plaisir. « C'est bien ainsi, ils vont me retirer cette chose » pense t'elle.

« Ella a joui, la salope. Il faut lui en donner davantage pour calmer ses chaleurs » dit un inconnu.

« Cela suffit, elle est assez agrandie » rétorque un autre en retirant le chibre.

Malaurie ressent un grand soulagement à ne plus être triturée par le morceau de plastique. A plusieurs reprises; elle rentre son ventre en gonflant sa poitrine pour respirer profondément. Elle abandonne enfin son corps aux frissons qui la prennent.

« Il faut la punir, elle est trop facile » reprend sur un ton de désapprobation celui qui voulait que cela continue.

Malaurie entend le bruit d'une bouteille de champagne qu'on ouvre et de verres qui se remplissent.

Elle tressaille lorsque un filet de liquide froid coule sur son bas ventre, un des hommes déversant son verre en pointant le nombril. Les bulles de champagne glissent dans le sillon de ses cuisses ouvertes et ruissellent vers son triangle. Elle se tortille pour détourner le liquide hors de sa fente.

Le goulot d'une bouteille qui s'enfonce dans sa chatte la fait paniquer. Elle pousse un cri, serre son ventre et ses cuisses pour rejeter cet objet.

« Elle résiste ; il faut la débrider. » dit une voix qu'elle ne connaissait pas.

Deux mains prennent ses hanches pour les plaquer fermement sur la table basse. Ainsi bloquée, le goulot de la bouteille est introduit sans difficultés ; il écrase les lèvres et dilate le passage. Malaurie n'ose plus se défendre par peur de se blesser. Dans une forte inspiration accompagnée d'un gémissement plaintif, elle endure cette intrusion.

« Tu vas boire, maintenant!» insiste l'homme en redressant la bouteille.

Malaurie se contorsionne pour chasser le goulot. « Non, je ne veux pas » répond Malaurie d'une voix qu'elle veut ferme.

Sans rien écouter, les mains glissent des hanches sous les fesses et rehaussent son cul. Le goulot de la bouteille s'enfiche davantage. Malaurie pousse un long soupir, abandonne toute résistance et reçoit au plus profond de son intérieur le champagne froid.

« Pendant qu'elle pisse, buvons! » reprit la voix.

Lorsque la bouteille est retirée, le champagne envahisseur s'écoule sur la table. Malaurie abattue et inerte ne ressent pas la bouche qui s'applique à boire le liquide ruisselant de son sexe refroidi. Des spasmes secouent son corps.

Isabelle commence par dénouer le lien qui ceinturait les bras et décroche la chaîne qui les tenait tendus. Malaurie peut enfin allonger ses bras le long de son corps. Elle attend que la circulation sanguine apaise ses contractions. Ses chevilles sont également libérées. Avec l'aide d'Isabelle, elle s'assied sur la table basse.

Elle demande une serviette pour s'essuyer, ce qui lui est refusé. Elle doit conserver le jus pour plus tard lui dit on. Guidée par Isabelle, Malaurie est dirigée vers un fauteuil. Epuisée et enfin soulagée de ne plus être ligotée, elle s'y recroqueville pour mieux se protéger.

La suite, plus tard.

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