Mascarade : 4 Cadeaux Mystérieux

Informations sur Récit
Luxure, érotisme et domination féminine: de plus en plus osé.
5.5k mots
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 08/26/2015
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Voici une histoire que j'ai écrite pour ma copine et Maîtresse. Nous sommes en couple depuis quelques années maintenant. Nous nous adonnons régulièrement à des jeux de domination féminine (FemDom).

Ce récit représente la suite de l'histoire « Mascarade et Fétichisme ». C'est une autre soirée au Manoir où les plaisirs deviennent de plus en plus débauchés alors que les protagonistes explorent l'endroit. Par contre, nul besoin d'avoir lu la première histoire pour apprécier et comprendre celle-ci.

La préparation

Nous avons découvert le Manoir depuis quelques mois maintenant et nos visites sont font de plus en plus fréquentes.

L'anonymat de ces soirées masquées avec l'ambiance de débauche nous poussent vers les sommets de la perversion. Nos propres fantasmes les plus extrêmes deviennent réalité.

La majorité du temps, nous improvisons nos soirées en fonction de l'ambiance et des protagonistes que nous rencontrons. Nous apercevons une Maîtresse qui teste les limites de la tolérance à la douleur de son esclave?

Tu décides de lui faire compétition. Une orgie se déroule sous nos yeux? Nous en profitons pour assouvir nos penchants de voyeurisme.

Ce soir, par contre, tu m'avertis que tu as préparé la soirée avec soins. Chaque pièce que nous allons visiter a été choisi pour une raison particulière. Quatre surprises m'attendent, mais tu refuses d'en dire plus. Je me prépare pour la soirée. Je fais près de six pieds de haut. Je m'entraîne plusieurs fois semaines et tu apprécies le résultat : après plusieurs mois d'effort, j'ai maintenant des abdominaux d'enfer comme tu les aimes. Je mets mon masque de démon rouge qui couvre le haut du visage. Pour moi, ce masque illustre bien le côté pervers et les interdits de ces soirées osées.

Tu me demandes de mettre des sous-vêtements, ce qui me surprend. Habituellement, je suis flambant nu à l'exception du masque et parfois d'un gros plug anal.

Tu m'avoues avoir fait plusieurs achats dont ces nouveaux sous-vêtements. Tu me donnes un g-string pour homme tout en cuir à enfiler. La texture du cuir est particulière sur mon sexe fraîchement rasé. La poche antérieure peine à cacher ma verge et mes couilles gonflées a bloc. Je sens le mince fils qui passe entre mes fesses.

Je suis très conscient de sa présence à chaque pas que je fais. Ce n'est pas aussi "invasif" qu'un plug anal, mais ça reste une stimulation constante autour de mon cul.

Une fois habillé, tu prends quelques minutes pour admirer ton choix. Tu m'as souvent complimenté sur mes fesses musclés et le mince fils noir de cuir ne fait qu'accentuer mon postérieur. D'un côté, le cuir fait ressortir le côté mâle avec un look un peu gladiateur ou guerrier grec. En même temps, l'exposition de mes fesses me rappelle mon rôle de servant. Je me sens comme un gladiateur-esclave, ce qui est probablement l'effet que tu recherchais.

De ton côté, tu es habillée plutôt glamour. Tu portes un élégant masque noir serti de quelques pierres scintillantes avec une seule plume rouge sur le côté. Tu couvres ton torse avec un magnifique bustier rouge et noir. Celui-ci met en évidence ta plantureuse poitrine et couvre à peine tes mamelons. Tu enfiles de longs gants rouges.

A la place de tes habituelles bottes noires de dominatrices, tu mets de jolis et délicats souliers à talon.

Un rouge à lèvre d'un rouge intense complète ta tenue de soirée.

Tu es magnifique avec ce look cabaret ou burlesque et j'en profite pour te complimenter à de maintes reprises.

Premier cadeau

À notre arrivée, le majordome te remet un curieux trousseau de clés. Il s'agit d'un anneau en métal avec quatre petites clés. Tu prends le trousseau avec assurance et l'on pénètre dans les pièces plus sombres du Manoir. Tu me fais un sourire un peu prédateur. Avec les clés, ton apparence et l'éclairage aux chandelles, tu me donne l'image d'une riche héritière décadente qui veut s'amuser avec son nouveau jouet sexuel.

Les premières salles sont remplies de convives qui discutent en buvant du vin et du champagne dispendieux. Au premier regard, on peut avoir l'impression d'assister à une soirée mondaine. Puis l'on remarque les habits osés ou la nudité des participants.

Les invités sont principalement debout et la majorité des ébats sexuels n'ont pas encore commencés. Il y a bien un homme à genou qui mange le cul de sa Maîtresse, mais cela n'empêche pas celle-ci de continuer à discuter avec trois autres dominatrices.

Quelques convives s'assoient dans les fauteuils en cuir. La majorité des esclaves sont debout, au garde-à-vue, prêt à servir leur Dominatrice respective. Un grand noir se tient bien droit avec une laisse autour de sa queue, tandis qu'il tient une bouteille de champagne. Il remplit prestement le verre de sa Maîtresse lorsqu'il est vide.

Certains esclaves sont à quatre pattes. Une Dominatrice se sert même du dos de son esclave pour y étendre ses pieds.

Pendant cette première partie de la soirée, la domination est surtout psychologique alors que la hiérarchie Maîtresse-esclave se renforcie.

Quelques rares esclaves plutôt sages n'ont pas d'érection. Mais tous les autres trahissent un degré d'excitation important : leurs queues sont dures et ils attentent avec impatience le privilège de satisfaire leur Maîtresse.

Une jolie blonde ne porte que des marguerites pour cacher son immense poitrine. Son compagnon, un jeune athlète au teint basané, se tient à ses côtés. À l'exception de son masque, l'homme est complètement nu.

On remarque qu'il porte ce qui semble être un gros plug anal. Il semble un peu inconfortable par celui-ci, mais en même temps, il affiche une grosse érection.

La blonde s'amuse à lui tapoter le derrière pour augmenter les sensations. On devine qu'elle le prépare tranquillement pour une séance ultérieure de sexe anal.

Une invitée avec un masque orné de multiples plumes colorées à installer les mains de son compagnon contre une table. Elle lui donne la fessé, mais sans trop mettre de puissance. C'est probablement des préliminaires avant une séance de punition plus complète avec fouets et cravaches.

On pense reconnaître un couple d'une soirée précédente : une jolie petite asiatique et un grand mâle bâti. Ils nous regardent et sourient, donc c'est probablement bien eux. Tu retournes leurs sourires. Je n'ai aucune idée s'ils font partie ou non de tes plans pervers.

Tu regardes tout autour, puis tu sembles reconnaître le chemin que tu as choisi préalablement. On emprunte un corridor peu éclairé. Tu me fais signe et on rentre dans une petite chambre à coucher.

Un lit massif trône au centre de la pièce. Quatre colonnes de fer forgé encadrent le lit. Un couple semble débuter leurs préliminaires.

L'homme est étendu sur le lit, les bras en croix. La fille qui le chevauche porte une longue tresse noire qui descend jusqu'au milieu du dos avec un masque écarlate.

Elle saisit une longue écharpe noire et attache le bras droit à l'une des colonnes de fer. En quelques secondes, elle complète un nœud serré pour s'assurer qu'il ne puisse pas se libérer. L'homme tente de s'asseoir pour embrasser sa bouche ou ses seins.

Elle le repousse avec une agilité surprenante et elle attache son deuxième bras à une autre colonne du lit. Puis elle l'embrasse langoureusement, passe ses doigts dans ses cheveux et sur son torse.

Pendant ce temps, tu t'approches d'une petite table sur le côté. Un coffret de bois et de métal s'y retrouve. Tu utilises une des clés et celui-ci s'ouvre presque sans bruit.

Tu saisis à l'intérieur deux bracelets de cuir reliés par une chaîne. Tu m'enfiles les bracelets aux poignets en t'assurant que mes mains restent dans mon dos. La chaîne reliant les bracelets ne mesurant que 10 cm, j'ai très peu de jeu avec mes mains. Je te laisse faire : je suis bien conscient des "conséquences" si je n'obéis pas rapidement!

La fille change de position sur le lit : elle s'installe à l'envers du gars, les pieds vers la tête du lit. Elle commence par attacher une cheville au poteau du lit, mais son esclave se débat un peu. Elle lui donne une fessée rapide sur ses couilles et il devient parfaitement immobile. Elle attache la deuxième cheville sans difficulté.

Tu descends mes sous-vêtements de cuir juste assez bas pour exposer mon sexe. Tu places ta main sur ma queue bien dure et tu commences à me masturber. Je pose mon regard sur toi, mais tu me fais signe de suivre l'action sur le lit.

Pour s'assurer de la force des nœuds, elle lui demande de se débattre. Il obtempère, mais sans appliquer beaucoup de force. Insatisfaite, elle lui donne trois fessés sur ses couilles avec plus de force. L'homme laisse échapper un cri et se débat avec vigueur. Sa Maîtresse doit être experte en bondage, car il n'y a aucun jeu au niveau des nœuds.

Finalement satisfaite, elle s'étend langoureusement sur son partenaire. Elle lui caresse la queue avec ses ongles et va même jusqu'à le sucer pendant quelques secondes. L'homme attaché aux quatre membres se tend, espérant qu'elle continue avec sa bouche.

Tu continues à me masturber, mais à un rythme qui varie beaucoup. Parfois tu y vas vite et fort. D'autres fois, tu effleures à peine mon sexe.

Tu sais parfaitement que j'ai besoin d'un rythme plus régulier pour orgasmer, mais ce n'est clairement pas dans tes plans pour le moment.

La fille décide de changer de jeu. Elle prend son joli pied droit et le met à quelques centimètres de la bouche du jeune homme. Il a beau tirer sur ses attaches, sortir la langue, rien n'y fait : il est trop loin de ses orteils. Elle fait son agace pendant quelques minutes.

C'est assurément un des fétiches de son partenaire, car il maintient son érection très dure malgré l'absence de stimulation directe.

Elle décide finalement d'être indulgente. Elle descend son pied et lui permet de licher son petit orteil.

La scène a quelque chose de particulièrement érotique. Tu continues ta masturbation pendant que nous regardons le spectacle.

Elle rentre maintenant son gros orteil et une partie de son petit pied dans la bouche du gars. Il commence à sucer le pied sans attendre. Elle pousse le pied un peu plus profondément et il s'étouffe. Cela ne l'empêche pas de continuer avec un enthousiasme évident.

Elle continue ce manège pendant quelques minutes avant de dire :

- C'est assez. Tu as eu ton plaisir, à moi d'avoir le mien!

Elle retire son pied et agrippe une autre écharpe noire. Elle attache celle-ci à la base de sa verge bien dure. Elle fait un nœud encore plus serré que précédemment. Sa queue déjà bien dure devient encore plus engorgée.

Puis elle s'assoie à califourchon sur sa face.

- Tu dois mériter le plaisir que je t'ai accordé plus tôt!

Elle descend sa chatte à la hauteur de sa bouche et il commence à la manger sans ménagement. Il met autant de passion que lorsqu'il suçait son pied. La fille émet un petit bruit de jouissance.

Elle descend son sexe encore plus bas. Il semble chercher son souffle, mais il n'ose pas arrêter son cunnilingus.

Tu augmentes un peu le rythme de ta masturbation. Je remarque même que ton autre main a glissé sous ta culotte. Tu nous masturbes tous les deux à la même vitesse.

- Fait moi hurler avec ton sexe bien dur sinon tu restes attaché pour le restant de la soirée!

Le gars semble désespéré de combler sa Maîtresse, mais il est attaché tellement serré qu'il ne peut pratiquement pas bouger. Par contre, elle n'hésite pas à bouger ses hanches de bas en haut, d'avant en arrière. Elle fait tout ce qui est possible pour augmenter la stimulation. Elle agrippe la tête de son partenaire et la tient serrée contre son sexe. Elle s'approche très près de l'orgasme, tout comme moi.

Tu retires soudainement ta main de mon sexe et tu la glisses elle aussi sous ta culotte. Ma queue est en feu, je suis au bord de l'orgasme! Moins d'une minute encore de stimulation et j'éjaculerai avec force.

Tu te masturbes avec force avec tes deux mains, tandis que je suis condamné à regarder!

Finalement, vous orgasmez presqu'en même temps. Je pense que le spectacle du couple t'excitait beaucoup! Son orgasme est particulièrement bruyant, tandis que tu es plus silencieuse à mes côtés. Tu ralentis subitement ta masturbation, tu changes ta respiration, tu fermes les yeux, puis tu retiens ton souffle.

Quelques minutes passent en silence tandis que vous reprenez vos esprits.

Malgré son orgasme impressionnant, la fille sur le lit ne semble pas encore rassasiée. Elle prend la dernière écharpe noire et lui fait un bâillon. Elle descend son corps pour être juste au-dessus de la queue toujours en érection.

Elle commence à frotter ses petites lèvres contre le gland bien reluisant. Puis elle enfonce la verge dans son sexe déjà très mouillé.

Tu retires tes mains de ta culotte et tu me les présentes devant ma face. Je comprends le message et je commence à les nettoyer. Avec ma langue, je nettoie chaque doigt recouvert de tes sécrétions.

Tes mains sentent ta chatte comme ce n'est pas possible. J'étais déjà au bord de l'orgasme, mais là tu réussi à m'exciter à un tout autre niveau!

Quand tes mains semblent propres, tu rentres chaque doigt dans ma bouche. Je m'empresse de les sucer avidement. Tu me remontes mes sous-vêtements. Ma queue est tellement dure que si mon string n'était pas en cuir, je pense que je le défoncerai. Tu m'attires à l'extérieur de la pièce et me dit :

- J'ai besoin de te garder bien excité pour ce qui s'en vient!

La dernière image que j'ai du couple c'est la fille qui utilise le gars comme un gros gode.

Deuxième cadeau

Tu me guides derrière moi en poussant dans la direction désirée. Après quelques corridors, tu arrives devant un épais rideau. Tu le tasse partiellement et me fait signe de me glisser à l'intérieur.

Cette chambre privée avec son petit cabinet surmonté d'un grand miroir nous donne l'impression d'être dans un boudoir. À ma surprise, la pièce se termine sur un élégant escalier qui monte vers un deuxième étage dont j'ignorais l'existence.

Sur le cabinet, il y a un coffret similaire au premier, quoique que plus petit. Encore une fois, tu as la clé qui permet de l'ouvrir.

Tu sors un collier de cuir avec une chaîne, très similaire à mes menottes. Tu t'empresses de l'attacher à mon cou. Tu tires sur la chaîne vers le sol et je suis ton mouvement : tu me mets à genou.

Tu ôtes ta culotte bien mouillée de ton premier orgasme et tu la mets dans le coffre. Tu vas t'installer sur la deuxième marche de l'escalier et tu tires à nouveau sur la chaîne.

Je tente de te suivre tant bien que mal. C'est difficile d'avancer seulement sur les genoux, alors que mes bras sont attachés dans mon dos.

Quand j'arrive à toi, tu te retournes, dos à moi. Tu tires sur la chaîne jusqu'à ce que je n'aie plus d'espace libre. Ma face est pratiquement projetée contre tes fesses.

- Si tu veux avoir la moindre chance d'orgasmer ce soir, tu es mieux d'utiliser ta bouche comme un expert!

Ma langue trouve ton cul en moins de cinq secondes. Je commence à te licher comme tu l'aimes si bien. Quelques lichettes sensuelles à l'extérieur. Puis des petits mouvements concentriques autour de ton anus. Il se relaxe naturellement et j'en profite pour te pénétrer avec ma langue.

Je rentre très lentement au début, presque timidement. Puis quand je sens tes fesses se relaxer davantage, j'y vais plus profondément.

Tu tires encore plus sur la chaîne, ma face s'enfuie dans ton cul. Je garde ma langue plus rigide et je commence des mouvements de va-et-vient, comme si c'était ma queue qui te défonçait.

Tu recules même tes fesses contre ma langue tellement tu aimes ça.

J'ai juste le goût de me relever et de mettre ma grosses queue dans ton cul. Je te saisirais les hanches et je te sodomiserais avec fougue.

Je suis convaincu que tu aurais ton orgasme en moins d'une minute! Et je viendrai moi aussi, avec ma queue qui éjaculerais dans ton cul bien chaud.

Tu montes quelques marches subitement. Ma face n'a plus d'appui contre tes fesses et mon corps est penché vers l'avant. Je perds l'équilibre et tombe presque face première dans les marches, mes mains étant incapable de me retenir.

Tu me rentres un des talons hauts dans l'épaule et me dit :

- Je sais parfaitement à quoi tu penses gros pervers, mais tu ne me viendras pas dans mes fesses ce soir. Ce soir, les seules fesses qui vont être défoncées sont les tiennes!

Je n'ai pas de réponse à ça.

Tu enfonces ton talon haut plus profondément dans mon épaule :

- Qu'est-ce qu'on dit?

- Oui, Maîtresse!

Tu sembles satisfaite. Tu ôtes la pression sur mon épaule, tu tires sur la chaîne pour me mettre debout et tu me fais monter les marches. Tu me guides lentement pour éviter que je tombe à nouveau.

Troisième cadeau

A l'étage supérieur, tu empruntes un étroit corridor avec plusieurs portes sur le même côté. Tu ouvres la troisième porte à notre gauche et me guide à l'intérieur. La chambre est petite et très sombre. Le mobilier se limite à un divan en cuir rouge et une table de chevet.

Une fine lumière apparaît d'une ouverture au fond de la pièce. Il semble y avoir un balcon. Tu m'amènes près de cette balustrade et je m'aperçois qu'elle donne une vue surprenante sur une grande salle du premier étage.

Je reconnais immédiatement la pièce : elle sert parfois de salle de réception ou bien de salle de spectacle. Nous avons déjà été dans cette salle, mais je n'avais jamais remarqué les loges à l'étage supérieur. Ce n'est pas surprenant, car si une personne ne porte pas attention au plafond, les loges sont faciles à manquer compte tenu de l'éclairage tamisé.

Près du centre de la pièce, il y a une petite scène où se déroulent habituellement des prestations érotiques. Ces démonstrations osées ont tendance à attirer tous les regards.

Avant que le Manoir soit converti en haut lieu de débauche et de luxure, cette pièce était probablement une salle pour des concerts privés d'opéra ou d'orchestre de chambre.

La décoration des lieux est encore plus luxueuse que dans les autres pièces du Manoir. Un énorme chandelier en cristal est accroché au plafond. Il scintille et reflète la lumière des nombreuses bougies et chandeliers installés près des murs du premier étage.

Le balcon nous donne une perspective inégalée pour regarder tous les participants plus bas. C'est le comble du voyeurisme.

Sur la scène, un homme complètement nu se fait fouetter allègrement. Il ne porte pas de masque, mais une cagoule qui lui couvre complètement le visage.

Derrière lui, une dominatrice manie un long fouet de plus de six pieds. Elle porte un costume de maîtresse de cérémonie ou de directrice de cirque, tout en rouge et blanc. Elle complète le tout avec un minuscule chapeau rouge et un masque blanc.

Son allure un peu burlesque avec son costume coloré contraste avec l'apparence plus austère de son esclave cagoulée. Elle lui fait faire des tours autour d'elle sur la scène centrale. De cette façon, elle s'assure que tous les spectateurs aient une vue complète de l'esclave.

Avec sa cagoule qui lui couvre complètement les yeux, l'esclave à quatre pattes a un peu de misère à se diriger sur scène. Sa Maîtresse n'hésite pas à le fouetter pour lui indiquer le chemin.

À un moment, il quitte presque la scène par inadvertance, mais il reçoit un coup de fouet particulièrement vicieux. Même au deuxième étage, on entend parfaitement le bruit caractéristique de l'instrument, ainsi qu'un cri de douleur particulièrement strident qui s'échappe derrière la cagoule.

Après quelques tours, elle s'assoit à califourchon sur son dos. Elle délaisse le fouet pour utiliser directement sa main. Après quelques fessées, elle l'enjoint de continuer à avancer et le monte comme une cavalière sur un cheval qu'elle a complètement rompu à son manège.

Tu tires sur la laisse pour ramener mon attention à toi. Sur la table de chevet, il y a un autre mystérieux coffret ainsi qu'une bouteille de vin rouge. Tu te verses un verre dans la seule coupe disponible et tu prends ton temps pour le déguster.

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