Médecin de Campagne 02

Informations sur Récit
Une nouvelle patiente pour le magnétiseur.
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00

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 12/15/2012
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Cette histoire est une suite de celle publiée sous l'intitulé : "Médecin de campagne 01".

02 -- "La Louise" -- a -

Comme je l'ai conté dans le précédent chapitre ("01 -- La Jeannette"), lorsque j'étais ado, j'ai travaillé pour un job d'été chez un voisin de mes parents, un magnétiseur -- radiesthésiste, qui faisait office de "médecin", comme il en existait dans la France rurale profonde où nous habitions alors. Moyennant quelques subsides, il m'avait établi un espace "sous l'escalier", pour répondre au téléphone et pour introduire les clients dans sa salle à manger, transformée en cabinet médical... Et là, grâce à une petite imposte, je pouvais mater tout à loisir dans le dit cabinet, les "patientes" qu'il recevait et dont certaines étaient vraiment dignes d'intérêt...

Un jour, j'introduisis une cliente qui allait se révéler particulièrement intéressante, comme vous allez pouvoir le constater. C'était une grande femme, assez forte, un peu "hommasse", qui malgré sa quarantaine paraissait à mes yeux d'ado de 16 ans beaucoup plus âgée. Le type même de la paysanne venue tout droit de sa ferme et exclusivement occupée de ses champs, de ses récoltes et de ses troupeaux. De prime abord, je ne l'avais pas retenue comme susceptible d'être une "cliente intéressante". Au point que dès qu'elle fut entrée dans "le cabinet", je ne me précipitais pas sur mon imposte, comme c'était souvent le cas. Cependant je tendais l'oreille pour entendre, à travers la porte, l'objet de la visite de la dame. Je vous en résume l'essentiel :

Louise, c'était son prénom allait se marier, la quarantaine allègrement dépassée, sans jamais avoir connu d'hommes dans sa vie. Elle appréhendait de se retrouver face à un mari sans avoir reçu quelques conseils...

-" Il faut vous dire, docteur, que depuis mes 14 ans j'ai toujours travaillé à la ferme avec mes parents. Il n'y avait pas de place pour penser à autre chose, ça non! Ma mère est morte voici sept ans et ben sûr que je ne va pas demander à mon père ces conseils là. D'ailleurs il est sourd comme un pot et je ne suis pas sûre qu'il me répondrait!... Comme il est vieux et qu'il ne peut plus travailler, et vu que je ne peux plus y arriver toute seule, je suis ben obligée de me mettre en ménage. Ca coutera moins cher qu'un ouvrier!... "

Bernard (le magnétiseur donc) ne savait sans doute pas trop quoi dire à cette femme, car je ne l'entendis pas répondre dans le silence qui suivit. La Louise continuait :

- " J'me suis dit que s'il y avait quelqu'un qui pourrait me conseiller là-dessus, ma pauvre mère n'étant plus là, il n'y avait que vous!... " Bernard se décida enfin :

- " Je comprends bien chère madame, mais je pense que des personnes de votre connaissance, des amies, des voisines..., je ne sais pas moi..., des femmes quoi, et mariées de préférence, pourraient sans doute vous conseiller plus utilement..."

- " Pensez-vous docteur! Que je va m'en aller voir les voisines?!...Sûrement pas!... Elles seraient bien trop contentes de s'en faire des gorges chaudes et qu'en moins de deux, je serai la risée de tout le pays! Ah ben ça non, alors!!... C'est mon vieux père qui m'a dit : "Si quelqu'un peut t'aider c'est lui. Vas le voir et parle-lui..." Y a que vous docteur, j'vous dis!!... "

- " Certes, certes, répondait Bernard, pensif et dont je devinais à son timbre de voix que ce projet ne l'emballait pas vraiment, je comprends mais peut-être pourriez-vous en parler à votre futur mari... Sans doute a-t-il une expérience de la chose..."

- " Justement!... Vous voulez que je passe pour une idiote?!... Vous trouvez peut-être que je n'en ai pas assez l'air comme ça?... Et en plus je ne suis sûre de rien ; c'est un vieux célibataire de 15 ans plus âgé que moi. Bien sûr, il approche la soixantaine, mais je ne sais pas s'il a eu des expériences... Et si jamais c'était le cas, j'aimerais faire jeu égal avec lui, plutôt que de passer pour une oie blanche!... "

- " Bien, lui répondit Bernard qui devait s'avouer vaincu en son fort intérieur, que souhaitez savoir au juste, chère madame? "

- " Tout, lui rétorqua la Louise, tout... Je connais que ce j'ai pu surprendre de mes parents, quand je les entendais faire leurs affaires dans la chambre à côté... Et je dois dire que ce n'était souvent et cela remonte à loin... Si loin, que je ne sais plus si je m'en souviens encore!... "

- " Bon, dit Bernard visiblement résigné. Alors commençons par le début. Vous avez déjà vu le sexe d'un homme!... "

- " Deux ou trois fois celui de mon père. Lorsqu'il lui arrivait de pisser dans les champs, j'ai pu l'apercevoir à son insu quelques fois..."

- " Bien, bien fit Bernard d'un air songeur, car il devait mesurer l'ampleur du travail à faire. Madame, combien de fois à peu près, vous masturbez-vous par semaine?..."

- " Que je me quoi?... " demanda la Louise qui ne semblait vraiment pas comprendre. A ce point de la conversation, les choses me semblèrent devenir plus intéressantes et je montais sans plus attendre à mon observatoire : l'imposte, je le rappelle, donnant sur "le cabinet" du magnétiseur.

- " Je veux dire, combien de fois vous... vous touchez-vous le... le sexe..."

- " Ah oui!... Eh ben une, ou parfois 2 fois par semaine, quand je me lave là, docteur ". Elle faisait le geste vers son bas-ventre.

- " Oui, enfin je veux dire... Est-ce qu'il vous ait arrivé de vous donner du plaisir en vous touchant là, justement..."

La Louise parut hésiter un instant. Puis elle dit de façon très naturelle :

- " Du plaisir?! J'sais pas!... Mais il me semble docteur, que je vois ce que vous voulez dire!... " Bernard parut soulagé par la réponse de Louise qui ajouta :

- " Il arrive que ça me démange fortement, là sur le haut... Le haut du..., du sexe comme vous dites... Au point que je suis obligée de me frotter, frotter longuement jusqu'à ce que cela s'apaise... Et de plus, ces démangeaisons, c'est par périodes... Entre mes périodes justement! Et sauf votre respect, docteur, il m'est même arrivé de me mettre à califourchon sur le portillon du jardin ou de prendre le manche de la fourche ou du balai pour me calmer la démangeaison! Vous voyez ce que je veux dire docteur... "

- " Je vois parfaitement, dit Bernard décidé à affranchir la dame. Je dois aussi vous dire ma chère Louise qu'il est très normal que cela vous démange à cet endroit et qu'il est indispensable de bien se frotter!... "

- " Ah bon, continua Louise, donc ce n'est pas grave docteur?... "

- " Absolument pas!..., affirma Bernard. Cela s'appelle se masturber, se branler si vous aimez mieux!... Et c'est absolument nécessaire... Surtout dans votre cas!... Je vais vous montrer ça plus en détail tout à l'heure... "

- " Docteur, vous voyez que j'ai eu raison de m'adresser à vous!... Vous m'expliquez tout comme il faut... Et comme je vois que vous êtes bien disposé et que vous êtes gentil avec moi, si j'osais, je vous demanderais de m'examiner là et me dire si c'est en état... Enfin en état de marche, je veux dire! Docteur, vous savez, je me suis bien lavé tout exprès avant de venir, alors..."

Elle s'était mise debout et commençait à se trousser. Elle avait mis des bas très noirs qui contrastaient énormément avec la peau très blanche de ses fortes cuisses. D'où j'étais, en face d'elle et bien que surplombant la salle, je distinguais des sortes de lanières noires le long des cuisses, qui semblaient retenir ses bas. Assortiment dont j'appris plus tard qu'il s'agissait de porte--jarretelles... Que l'on me pardonne, mais à 16 ans, on ne sait pas tout!

Louise avait remonté haut sa robe et se présentait à Bernard en petite culotte. Et quand je dis "petite", c'est une façon de parler. En effet, la dite culotte était immense, sans doute était-elle serrée aux jambes par un élastique, car elle pendait derrière et débordait sur ses cuisses en tous sens... Même de mes 16 ans et sans avoir beaucoup de repères de comparaison, je ne trouvais pas cela très sexy ; je dirai même : pas bandant du tout... Je pense que Bernard était dans le même état d'esprit que moi, et souhaitait remettre à plus tard l'examen demandé, puisqu'il remit lui-même la robe en place en disant :

- " Oui Louise, nous allons voir ça bientôt!... Pour l'instant je voudrais que vous me disiez si vous avez déjà eu en main un sexe d'homme?..."

- " Oh, bien sûr que non, docteur!, lui répondit Louise plutôt outrée par la question, je vous l'ai dit, je ne sais rien... Pourtant je suppose que je devrais faire un minimum de choses sur ce point à mon futur mari!... " Bernard parut soulagé par la réponse de Louise qui ajouta :

- " Oui, il vaudra mieux en effet, si vous voulez comme vous dites être à la hauteur ... " Puis comme s'il se jetait à l'eau, il ajouta :

- " Bon alors, chère Louise, on y va!... Commençons par le commencement et surtout pas de dérobade par rapport à ce que je vais vous dire et vous demander, hein?... C'est d'accord... " Il était debout devant elle. Rapidement il ouvrit sa braguette et sortit sa bite encore flasque. L'état de son membre indiquait le peu d'envie qu'il avait de faire ce travail! La Louise regarda d'abord avec une surprise évidente la verge plutôt mole et de peu de vigueur de Bernard. Sans doute n'en avait elle jamais vu d'aussi près. Comme pour s'excuser de voir cela, elle dit avec un peu d'étonnement mais aussi beaucoup d'admiration :

- " Ben vrai alors... C'est fait comme ça?... Ben ça alors!... Y a pas de quoi se battre pour ça, hein?!... Dire qu'il paraît que ça fait courir beaucoup de bonnes femmes!..." Et après une petite pause, elle ajouta...

- " Pourtant celle-là me paraît plutôt belle et belle taille!... Par rapport à celle de mon père s'entend, car je n'ai pas d'autres points de comparaison!!..."

Sur un ton qui se voulait très détaché, Bernard qui essayait d'être très professionnel lui dit :

- " Voilà Louise, ce que vous avez là sous les yeux est un sexe d'homme. Autrement dit une verge... Que l'on nomme plus familièrement : une bite, ou une pine, ou encore un chibre... Et bien d'autres termes encore! Vous pouvez aussi le toucher... Allez-y, prenez-le en main, insista-t-il, ça ne mord pas savez-vous! " Louise hésita un court instant et tendit sa main pour s'emparer de la verge qu'elle saisit au niveau de la hampe.

- " Oh lala, c'est doux, fit-elle surprise. " Elle n'osait pas bouger tant elle était admirative du membre qui sous l'effet de la prise en main, commençait à grossir à vue d'œil.

- " Oh et puis, dites docteur, ça grossit... Est-ce normal?", dit-elle étonnée.

- " Oui, dit Bernard qui essayait de conserver un ton détaché. Quand on la caresse, elle grossit et se redresse. Cela s'appelle : bander. Chez l'homme, c'est essentiel pour qu'il puisse entrer dans le sexe de la femme... "

- " Ah bon, fit-elle surprise..., entrer dans le sexe de... Comme pour les vaches et..., et les chiens?! "

- " Evidemment, ma chère dame, c'est la loi de la nature...

- "Et il faut se mettre à quatre pattes comme eux et l'autre dessus?... " fit Louise qui paraissait très sincèrement étonnée. Bernard entrepris de la rassurer un peu :

- " Oui.., enfin pas toujours, chez les humains, il ya quand même d'autres possibi..." Louise le coupa poursuivant son idée :

- " Est-ce que l'on reste comme ça?... Coller ensemble comme les chiens? ",

- " Mais non!... fit Bernard un peu amusé. Je vous disais justement qu'il y a d'autres positions à adopter entre un homme et une femme... A la différence des autres animaux, l'homme peut mettre beaucoup plus facilement son sexe dans celui de la femme... "

- Mettre son... dans celui... reprit la Louise. Eh ben, comme vous y allez docteur!... Nous n'en sommes pas là!... Et quand on est marié, on doit faire ça souvent?...

- " Souvent... Souvent ..., fit Bernard qui, surpris par la question, restait évasif. Au moins une fois par semaine et si possible plusieurs fois dans une semaine..."

- " Hein?... Plusieurs fois par semaine?!, s'inquiéta la Louise... Mais dites, pour les vaches, on les met au taureau deux fois par an et encore pas toutes les années!" Louise était visiblement très décontenancée par la réponse du magnétiseur.

Elle ajouta :

- " Eh, dites..., ça ne fait pas mal au moins!", demanda-t-elle inquiète.

- " Bien sûr que non, fit Bernard impatienté. Pas mal, non, même au contraire! Cela fait beaucoup de bien si c'est bien fait! C'est pour ça que vous êtes venue, non?... Pour apprendre!... Alors allez-y Louise, caressez-la bien, en faisant aller et venir votre main comme ça..." Il lui avait saisit la main et lui faisait faire le mouvement sur sa verge. Sous l'effet de la caresse qui se précisait, Bernard bandait de plus en plus. La bite maintenant se redressait complètement et arrivait sous le nez de la Louise. Celle-ci était émerveillée devant tant de magie :

- " Oh oui, docteur. Ca bande!... Hein, c'est comme ça que l'on dit?... Oh oui, elle a grossi et là elle relève bien la tête!!... "La bite bande!", hein? Oui, vous voyez que j'ai compris et que j'ai bien retenu la leçon!...". Brusquement elle arrêta le mouvement :

- " Eh mais docteur, attention : au bout votre peau s'enlève toute!... Cela doit faire mal!... "

- " Non, non répondit Bernard, qui maintenant commençait à souffler plus court. Non, Louise, cela est très normal. La peau doit dégager comme ça le bout là, que l'on appelle le gland...

- " Comme le gland du chêne, docteur? C'est vrai que cela fait penser au gland de l'arbre avec le dessus lisse qui sort de la peau!... "

- " Oui, c'est bien ça... Et chez l'homme, il est important de faire sortir son gland quand il bande... Et ce que vous faites-là maintenant, avec ce va-et-vient de votre main, cela s'appelle : branler... Branler la bite! Toutes les épouses doivent savoir faire ça à leur mari!... Et je dois dire que pour une première fois, vous le faites très bien, cela me fait beaucoup d'effets!... D'ailleurs, regardez le membre qui grossit de plus en plus et redresse la tête!... Il aime beaucoup comme vous le branlez..."

- " Ho là, vous savez docteur, je n'ai pas de mérite! C'est exactement comme ça que je trais mes vaches... Quand je leur prends la mamelle pour les traire, je fais exactement ce même mouvement!... Par contre, je ne savais que l'on appelait cela : branler!... Et vrai que là, ça, je saurai le faire docteur!...", dit-elle en branlant le vit de Bernard d'un tour de main expert... Le magnétiseur, commençait donner des signes d'excitation et moi-même j'avais la bite qui elle aussi grossissait dans mon slip.

- " Voyez-vous Louise, dit Bernard, quand nous en sommes là, lorsque la pine est très raide et dressée, la femme doit la mettre dans sa bouche et la sucer pour continuer à bien faire bander l'homme et aussi pour lui faire du bien..."

- " La sucer docteur? Mais vous n'y pensez pas!..., dit La Louise, qui n'en revenait pas... Mais docteur, je ne fais pas cela aux tétines de mes vaches! Et puis ça doit avoir un goût particulier!... Beurk!!..." fit-elle dégoûtée...

- " Mais non, Louise, vous verrez, c'est très bon! Et puis, je vais vous apprendre à faire cela comme il faut... De toute façon vous êtes venue pour que je vous apprenne oui ou non!?... Alors vous le faites et sans rechigner comme vous me l'avez promis. De plus, chaque femme doit savoir faire ça à son homme, non? Alors..." Bernard défit sa ceinture, laissa tomber à ses pieds pantalon et caleçon et avança sa bite vers la bouche de la Louise. Celle-ci la prit en bouche avec une grimace, et sembla attendre ne sachant que faire de plus.

- " Eh bien voilà dit Bernard, qui visiblement appréciait cette mise ne bouche. Mettez une main sous mes couilles, là comme ça et caressez-les doucement. De l'autre continuer de branler la tige de la verge. Et avec la bouche, aspirez et pompez bien en serrant les lèvres sur la tige. Là comme ça... Entrez-la plus à fond dans la bouche et puis ressortez là un peu, avec du va-et-vient... Là, d'accord... En même temps passez la langue bien partout sur la tête..., sur le gland surtout... Et branlez bien la tige avec votre main ; vous sentez comme elle bande bien? ". Louise n'osait pas lâcher le morceau et faisait tout ce que lui demandait Bernard, avec une application extrême et en roulant en tous sens ses yeux ronds. Elle pompait en même temps qu'elle branlait et aspirait puis léchait la tête du nœud de sa langue agile... Bernard était bien monté et son engin occupait toute la bouche de la Louise qui ne ménageait pas sa peine, comme pour plaire à son précepteur!... Le magnétiseur en tirait manifestement du plaisir tout en continuant de la guider :

- " Oui, allez-y là, ma belle... Tu vois que vous sucez bien. Là, maintenant passez bien la langue sur le trou de la bite là, en haut... Là, tu le vois le petit trou sur le sommet du gland? Tu appliques bien ta langue dessus quand tu pompes... Oui, comme ça... Putain que c'est bon... Et maintenant, vous allez bien faire tourner la langue tout autour du bout, là à la base du gland... Oh lala, tu apprends vite!.... Je vais faire de toi une super coquine...Et experte en plus!..." Tout à coup, la Louise désemboucha l'énorme braquemart du faux docteur :

- " Oooohhh, docteur, voilà que ça me démange là, en bas... Et ça me démange énormément!!... Est-ce que je peux me gratter, docteur?!... Il faut absolument que je me gratte, je ne peux plus tenir!..." Promptement Bernard la fit se lever de la chaise où elle était assise et l'emmena sur la table d'auscultation où il la renversa sur le dos. Il la troussa prestement et lui descendit rapidement son horrible culotte blanche sans doute de coton. Il lui mit les jambes gainées de grossiers bas noirs dans le plus écartement. Sa bite dressée comme jamais, était juste dans l'alignement de la chatte noire de poils de la Louise. Je me suis dit qu'il allait la baiser directement et sans la préparer, tant son vit était tendu. Je bandais comme un fou, au point que je dû libérer ma bite raide du slip et de mon short. Quelqu'un qui serait arrivé dans le couloir à cet instant, aurait pu me voir, sous l'escalier, debout sur une chaise face au mur, le nez dans l'imposte, le short et le slip sur les talons et la pine bandée à la main... Heureusement dans ces situations là, le ridicule ne tue pas!

Bernard, debout entre les jambes écartées de la Louise renversée, le dos sur la table, avait la bite à quelques centimètres de la fente noire de la fermière. Il ne la baisait pas. De sa main gauche il lui frottait la motte et sans doute le clitoris que je ne pouvais discerner en raison de la distance et surtout de l'invasion des poils. Visiblement, la chatte de la Louise n'avait jamais été entretenue! Bernard de la main droite lui avait mis un doigt dans le trou du con et il la branlait d'un mouvement de va-et-vient qui devenait de plus en plus frénétique. La grande femme soupirait de plus en plus fort et de plus en plus vite, avec des râles de plus en plus longs et rauques... Sans doute n'avait-elle jamais été branlée comme ça!

- " Oh dis-donc, c'est super!... Tu es étroite... Un doigt suffit à bien te boucher le trou! On voit que tu es vierge, ma belle... Un trou où il n'y a jamais eu une seule bite qui y soit entrée!!... C'est un plaisir sans nom de branler une vierge, surtout de ton âge!... Putain, si je ne me retenais pas, je te baiserai bien à fond!..." Mais il voulut rester pédagogue jusqu'au bout et plutôt que de s'enfourner tout de suite au trou de la foufoune de la paysanne, il vint chercher la main droite de la Louise et la dirigea jusqu'à la fente de cette dernière.

- " Voilà, laissez-moi vous guider et tu vas te finir toute seule... Viens mettre le doigt de ta main ici sur ton clito et frotte-le bien ; tandis qu'avec l'autre main, tu mets ce doigt dans ton trou et tu branles bien à fond... N'est-ce pas que c'est bon?... Vas-y, branle-toi bien de plus en plus vite et de plus en plus fort... Avec moi... là comme ça!!... "

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