Mia Sans Dessous

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Blog d'une jeune femme soumise.
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mia sans dessous.

****************

par mia michael

1 - De Paris à Lyon.

Tout a commencé par un chagrin d'amour.

Je pourrais dire, c'était de sa faute, lui vous dirait, c'est la mienne. Bah, qu'importe...

Il arrive un moment où il n'y a plus moyen de recoller les morceaux.

Sa dernière phrase, "Tire toi, dégage!", a été la phrase de trop. J'ai mis tout ce que j'avais

dans une petite valise, je me suis tirée et je ne l'ai plus jamais revu.

Je suis partie dans la nuit, avec ma valise dans une main et mon chagrin comme un boulet à un pied.

J'ai été retrouver des copains... J'ai bu, j'ai pleuré... Et puis, j'ai fait des conneries, normal...

A l'époque j'étais très douée pour ça et, là, j'avais une bonne raison de m'étourdir...

Une semaine à boire, à déconner...

À dépenser le peu d'argent que j'avais... puis à faire des dettes. Pour rembourser, j'ai accepté de

l'argent de gens dont il vaut mieux se méfier... Je pressentais que je devrais rendre des services

dangereux, très dangereux.

Tout allait partir en couilles, je le sentais...

Peut-être, était-ce ce que je cherchais??

Paris était devenu trop chaud pour moi et ma vie ne ressemblait plus à rien. La solution, c'était

de me tirer de nouveau, vite, et de changer de vie.

Avec le peu d'argent que j'avais, je me suis rendue à la gare de Lyon. Au guichet, j'ai demandé

un billet..."Pour où??", m'a demandé le préposé. "Pour... Lyon", j'ai répondu, comme ça... C'est beau

comme nom, c'est au Sud, il y a un fleuve et une rivière, dans lesquelles j'allais noyer mon chagrin.

J'ai loué une petite chambre dans un hôtel minable. J'ai traîné une journée, envie de rien...

Et puis le lendemain après midi, je suis allée boire un verre dans le Centre. Il faisait beau,

je buvais une eau minérale... Un jeune guitariste est venu chanter "Hôtel California" et puis un peu

timidement, il a fait la manche. Ça ne marchait pas fort... quand il est arrivé à moi je lui ai dit,

"Je suis fauchée, mais je peux te donner un coup de main pour la manche". Je l'ai vu hésiter, genre,

elle est sérieuse ou elle se fout de moi... Il m'a regardé attentivement et ça l'a convaincu. On a été

à une autre terrasse, il a refait sa chanson et moi avec un grand sourire, j'ai dit de table en table

"Aidez deux jeunes belges qui n'ont même plus de quoi s'acheter des frites". Les gens, ça les a fait

marrer, un peu. Ils m'ont refilé des pièces. On a été de terrasses en terrasses et au bout d'une heure,

on avait un belle somme. Le gars était ravi. Il m'a proposé : "Il y a une soirée techno ce soir, on va

s'acheter des "Xtas" et faire la fête.".

C'est vrai que j'avais une folle envie d'aller m'éclater avec ce gars qui me plaisait, mais je savais

que tout allait recommencer. Je lui ai dit que j'avais un rendez-vous le soir et je l'ai quitté en lui

laissant l'argent.

J'avais changé de ville, j'allais changer de vie.

J'ai acheté le courrier de la Saône et j'ai regardé les offres d'emploi. Vendeuse, serveuse, j'avais

déjà donné. Je sais que j'allais me faire draguer et retomber dans les conneries.

Dans la rubrique "gens de maison", il y avait une annonce plus importante que les autres, entourée

d'un trait gras. Ça disait ceci : "Cherchons une bonne à tout faire jolie et stylée. Bon salaire,

logée et nourrie". Je ne vais pas vous dire que cela correspond exactement à moi, mais je plais...

quant au style, on verrait...

J'avais peur aussi que les gens de Paris retrouve ma trace.

Il me fallait un boulot qui me prenne la tête et où il y a des règles à respecter. Je me disais que

tous mes malheurs venaient de n'avoir jamais eu des règles. Alors, j'avais le choix, un ordre monastique,

genre Ursuline ou alors, bonne, ça me disciplinerait. J'étais un chat sauvage, j'allais me transformer en

chatte stylée. Le Beaujolais était tiré, j'allais le boire! Il me fallait ce boulot! J'ai téléphoné et j'ai

eu un rendez-vous le lendemain à 11 h.

Inconsciemment, j'avais toujours eu une louche fascination pour les situations... spéciales. J'avais

toujours refoulé ces tendances, mais là, à l'idée de devenir une servante, je m'imaginais à quatre pattes

nettoyant le sol... et puis à la merci de patrons pas commodes. J'allais être servie!

2 - Madame et ...mathilde.

La "résidence" se trouve en dehors de Lyon sur une colline qui domine le Rhône. J'ai pris un bus et j'ai

terminé à pied après avoir demandé mon chemin à un chauffeur de taxi. Je suis arrivée en sueur devant les

grilles d'une énorme propriété entourée de hauts murs. Deux Dobermans sont venus aboyer derrière la grille.

Je sonne, un parlophone grésille, je dis, "C'est pour la place de bonne". Quelqu'un rappelle les chiens et

les grilles s'ouvrent. Je me dirige vers un très grand bâtiment, genre château ou manoir du 19ème siècle.

J'aperçois un tennis et une piscine. La porte du manoir s'ouvre et un homme d'une cinquantaine d'années

m'accueille, "Bonjour, ma femme va vous recevoir". Il me fait entrer dans une grande pièce où se trouve

la maîtresse de maison. C'est une femme d'environ 35 ans, jolie. Elle a l'air très sûre d'elle.

Elle porte une robe très décolletée. "Bonjour Madame", je lui dis. Elle me répond "Bonjour." et me détaille

des pieds à la tête. Au dessus d'elle il y a une peinture très réaliste qui la représente, debout et de dos,

tournant la tête vers le spectateur. Ce qui surprend c'est qu'elle est nue. On reste un moment silencieuses.

Elle dit enfin, "Physiquement, vous convenez. Je veux avoir quelque chose, enfin quelqu'un, d'agréable à

regarder en me réveillant le matin.".

Ces gens ont manifestement beaucoup d'argent, mais c'est le genre nouveau riche. Très riches et très nouveaux.

Vêtements et bijoux de marques, mais trop...et trop voyants aussi. "Oui, physiquement vous me convenez",

répète-t-elle, "mais je veux une bonne obéissante et stylée. Montrez moi comment vous faites une révérence".

Alors là, je suis cueuillie! Une révérence???

Je lui demande, "Euh...comme Marilyn quand elle rencontre la reine d'Angleterre, Madame?". La dame est ra

vie, "Exactement". Alors je fais une profonde révérence. "Très bien.", me dit elle, "Vous nous parlerez à la

3èmepersonne". Oulah! c'est quoi ça?

"A la troisième personne Madame???" Elle fait une petite grimace dégoûtée, genre, quelle gourde : "Oui bon,

on en reparlera. Parlez-moi de vos références... Vous avez des certificats."

Je me tortille, un peu, puis les yeux baissés, je lui dis, "C'est à dire, je... j'ai perdu ma valise et...".

Elle s'en fout, en fait... Mon physique lui suffit. Elle me dit ce qu'elle propose comme salaire.

C'est franchement beaucoup plus que ce que j'ésperais. Elle me le confirme : "C'est un beau salaire, mais

je veux que vous soyez absolument... euh...", elle ne trouve pas le mot qui convient. Je lui propose, "Obéissante?"

"C'est ça! Obéissante. Quel est votre prénom?"

"Mia, Madame."

La dame fait la grimace : "Mia... ça ne me plait pas... Ici, vous serez... Voyons...Lucie... non... Mathilde,

oui, Mathilde c'est bien".

Tête de Mia/Mathilde!

"Ah oui ,encore une chose", dit elle, "Mon mari et moi nous sommes... libres.... Le samedi nous recevons des

amis et vous devrez faire le service peu vêtue". Evidemment, l'annonce disait "jeune et jolie" en plus sa photo

à poil et le salaire élevé, je me doutais qu'il faudrait mettre la main à la pâte, ou plutôt la bouche.

De ce côté j'ai quand même un peu plus d'expérience que dans le ménage, mais je joue les ingénues :

"Toute nue Madame?".

"Non vous aurez un petit tablier." dit-elle en riant.

Je voulais des règles...stricts, je pense que je vais les avoir ici. D'autre part je dois me planquer un moment et

en plus je peux mettre de l'argent de côté pour aller me faire bronzer sous d'autres cieux...

Les yeux baissés, je lui dis, "Je ferai comme vous me le direz, Madame".

"Parfait. A ce sujet, déshabillez vous, que je puisse juger de votre allure."

Je joue un peu les ingenue (pas facile, pour moi), genre, c'est gênant.

La voix de Madame claque, "Alors qu'est ce que vous attendez??"

J'enlève mon jean et mon tee shirt. Je n'ai plus que mes baskets. Madame fait la moue, "Vous avez une poitrine

de gamine! Tournez vous."

"Vousètes, mieux de dos! A propose, il faudra vous épiler, c'est dégoutant tous ces poils."

"Oui, Madame."

Elle ajoute, "Et vous laver soigneusement tous les matins, vous sentez la trasnpiration!" Si elle avait marché

sous le soleil, autant que moi, elle serait moins fraîche!

La dame appelle son mari. Il est un peu surpris de me voir toute nue, vêtue seulement de mes baskets et de mes

poils pubiens.

Elle lui dit, "Elle est potable... surtout de dos." A moi, "Tournez vous, Mathilde, et marchez."

"Oui, mignonne.."., dit le mari. "Je pense qu'elle convient!"

Je sais en tout cas qui porte la culotte dans le ménage.

Elle lui dit, "Montre lui sa chambre", et à moi, "Prenez une douche et lavez vous bien, ensuite vous mettrez

l'uniforme qui est sur votre lit et vous viendrez vous montrer."

"Bien Madame." Je fais une révérence, toute nue, comme une danseuse qui ferait un entrechat.

En montant l'escalier, Monsieur me prévient. "Ma femme aime bien faire marcher son personnel à la baguette,

mais elle n'a pas un mauvais fond...".

Je lui réponds, "J'ai besoin de travailler, Monsieur, et aussi d'un peu de discipline dans ma vie."

Il rigole, "Pour ça comptez sur elle."

C'est la première fois que je monte un escalier toute nue à coté d'un gentleman habillé.

Je sens qu'elle va être spéciale ma nouvelle.

3 - Un sex-toy nommé mia

Ma chambre est petite, mais avec une belle vue. Sur le lit, il y a un uniforme de bonne d'opérette : robe noire

courte, petit tablier et une coiffe en dentelle. Je me déguise et je redescends... Je toque à la porte, attends

qu'on me dise d'entrer. Je m'avance et fais une révérence "Voilà Madame, je me suis changée". Madame me regarde :

"Relevez votre jupe..." Elle constate que je suis nue sous la jupe. "Pourquoi n'avez-vous pas mis de culotte?"

Je lui dis la vérité : "Je n'en ai pas, je n'en mets jamais, Madame." Elle a une moue dégoûtée et fait alors

quelque chose de surprenant : elle se lève, remonte sa jupe et enlève une culotte brésilienne échancrée noire.

Elle me la tend "Tenez mettez ça" Euh...voilà qui est spécial...et l'idée de coller ma chatte sur le tissu imprégnée

d'elle me trouble beaucoup. Je la prends et la mets en disant : "Merci Madame ". Engager une bonne doit l'exciter

car la culotte est mouillée contre ma chatte. Je sens que je mouille aussi, on se mélange...mais sa voix autoritaire

me ramène sur terre : "Allez chercher Monsieur dans son bureau".

Monsieur a imprimé un contrat qui vient du Net. Je remplis les cases vides et le signe sans le lire. Ensuite Madame

me dit ce que j'aurai à faire. En fait il y a une bonne pour le gros nettoyage et un jardinier qui fait aussi

chauffeur à l'occasion. Moi je dois servir les repas, faire la vaisselle et la lessive et repasser...et surtout

accourir dès que Madame a besoin de moi.

Il y a une hiérarchie dans la maison : je suis au même niveau que la bonne mais je dois obéir à la cuisinière,

qui gère aussi la maison.

Elle dit à son mari : "Tu sais qu'elle n'a pas une seule culotte? En plus, elle est poilue comme une chèvre, on

finirait par retrouver des poils dans notre assiette". Rires de Madame et Monsieur. "Tu l'amèneras en ville et tu

le feras épiler...et puis tu lui achèteras des culottes, des grandes, des culottes de domestique, quoi." Je fais la

grimace. "Faudra vous y faire", me dit elle, "ce n'est pas dans un bar à putes, ici". Je suis sûre qu'elle sait de

quoi elle parle.

L'épilation, aïe! Je préfère le rasoir, mais c'est agréable d'avoir un pubis et une chatte toute douce.

Le lendemain, j'attends dans la cuisine avec la gouvernante/cuisinière. C'est une grosse matrone d'une cinquantaine

d'années qui n'a pas l'air commode...non plus.

Je suis épilée et ma nouvelle culotte monte jusqu'au-dessus du nombril. Ce sont des rappels de ma nouvelle condition...

On sonne. "C'est pour vous, dépêchez-vous", me dit elle. Je monte avec le plateau.

Je frappe à la porte de la chambre, j'entre et j'ouvre les volets. "Bonjour Madame, vous avez passé une bonne nuit?"

Elle ne répond pas. Baille et s'étire. Elle dort nue. Elle est appétissante : très brune, avec des seins poires qui

accuse un peu de fatigue... Elle a des poils noirs sur le pubis, mais son sexe lui-même est épilé. Madame mange dans

son lit, salement, elle met des miettes partout, renverse du café dans les draps. Je reste debout à attendre.

La bouche pleine, elle me donne ses ordres pour la journée :

"Aujourd'hui, vous ferez la lessive et puis Marthe -- la gouvernante -- vous dira ce qu'il y a à faire."

Tout en mangeant son croissant, elle écarte les jambes et se caresse le sexe avec une parfaite impudeur. Elle constate :

"Le matin, je suis toujours excitée". Puis "Vous savez ce que vous êtes en plus de bonne, Mathilde?". "Euh...non, Madame".

Elle me montre son sexe. "Mon sex toy". Elle ajoute "Vous vous êtes bien lavé les dents ce matin?" "Oui Madame" "Eh bien

allez-y et appliquez-vous!"

Alors pendant qu'elle termine son croissant, je m'agenouille entre ses jambes et j'embrasse son sexe mouillé. Ses grandes

lèvres sont très saillantes. Si je suis déjà lavée, par contre, elle ne l'est pas et elle a une forte odeur de brune...

pas lavée. Sueur vers l'aine, un peu fade vers le vagin et très marine quand j'entrouvre ses lèvres de ma langue, vers le

méat et le clitoris. Ce sont des odeurs puissantes, un peu dégoûtantes, mais excitantes aussi. Je la lèche, le goût est

moins prononcé que l'odeur... Elle mouille beaucoup. Je dois lécher trop mollement à son goût, parce qu'elle pousse sur ma

nuque "C'est quoi ça?? Vous n'avez jamais léché une chatte? ". Ooops bon, bon, je me mets à la lécher avec ...fougue...tandis

qu'elle pousse sur ma nuque et fait un mouvement de va-et-vient comme si elle se branlait avec tout mon visage.

Mon nez disparaît même dans son vagin par moments. Là tout mon visage est un sex toy. Heureusement, ça ne dure pas trop

car elle se raidit et jouit rapidement.

Je reste un moment le visage contre sa chatte mouillée. "Nettoyez maintenant" me, dit elle. Ah? Bon! Je suce et avale ses

sécrétions et ma salive mêlée. Au bout d'un moment elle me repousse. Elle me regarde, touche de la main mes joues, mon nez

et ma bouche toutes mouillées. "Qu'est ce qu'on dit??". "Merci Madame". Elle me pince la joue méchamment. "Non, pas deux

mots, faites une phrase." Une phrase, oui... : "euh... je vous remercie, Madame, de m'avoir permis de lécher votre chatte,

je m'appliquerai à le faire mieux la prochaine fois." Elle me repince la joue, moins fort et en souriant "Hé bien voilà,

vous êtes peut-être moins stupide que vous en avez l'air, et puis pas besoin de vous changer les piles". Elle rit,

approche son visage du mien et me renifle "L'odeur de ma chatte va très bien, ne vous lavez pas".

Elle lâche mon visage. "Bon assez joué, il y a la vaisselle qui vous attend".

Je redescends, ma grande culotte est...un peu mouillée!

A suivre

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