Mon Aventure Ch. 09

BÊTA PUBLIQUE

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Je commençai à me lever à six heures chaque matin. Habituellement quelqu'un venait et me détachait avant que je me réveille. Mais un jour, personne ne vint. Je savais que mon devoir était de me lever et de préparer tout avant qu'ils ne se lèvent. Alors je me débrouillai pour enlever mes liens et me libérer. Quand ma famille descendit l'escalier, tout était prêt. Intérieurement je souris et je fus fier de moi.

Ce jour-là je devais retourner au travail. J'avais enduré trois jours et quatre nuits sans contact avec ma famille. J'avais vu des hommes noirs venir et passer à la maison mais ils ne me regardaient même pas. Parfois j'avais entendu et vu mes filles s'amuser avec ces bites noires.

J'avais entendu aussi mon mari et mes filles s'amuser dans mon ancienne chambre, dans la salle de bain, dans les chambres des filles. Les images, les sons et les odeurs des orgasmes à travers la maison me peinèrent profondément. Cela augmenta ma détermination à faire partie de la famille à nouveau.

J'avais nettoyé les chambres de fond en comble, lavé les murs et les plafonds. J'avais travaillé du matin tôt jusqu'à tard le soir. La maison semblait n'avoir jamais été habitée. Elle semblait comme neuve. Chaque morceau de linge était lavé, repassé, plié et rangé soigneusement. J'avais cuisiné chaque soir, posé le repas sur la table et avait attendu ma nourriture devant mes gamelles. J'avais tout fait pour devenir une très bonne fille.

Les portes furent de nouveau laissées ouvertes. Je pus voir leurs ébats mais je ne pus pas participer. J'arrangeai mon apparence pour essayer d'être tous les jours désirable. Le lundi, je partis travailler vêtue d'une jupe et d'un chemisier sans rien dessous. L'isolement commençait à me peser, je voulais que ma famille m'accepte.

Dans une librairie, il n'y a pas d'endroit où se cacher. Janvier avait enlevé tous mes vêtements plus épais ou qui me couvraient trop. Beaucoup de regards se portèrent sur moi, surtout quand mes tétons étaient dressés ou quand je me penchais. Mais je fis mon travail normalement. Mes mamelons étaient sensibles, et chaque fois que je passai devant les sorties de la climatisation, je les sentais durcir. De même, comme mon travail, le tri et le rangement des livres, demandait que je me penche ou que je m'accroupisse, je faisais attention d'être prudente.

La journée se passa bien et je rentrai directement à la maison après le travail. La seconde après avoir franchi la porte, j'enlevai ma jupe et mon chemisier. Puis j'avançai nue dans le salon. Je me figeai d'effroi. Mon père et mon beau-père étaient assis dans le canapé. Ils me regardaient. Je me suis tournai et je commençai à courir hors de la pièce. Je me cognai contre Jack. Il m'attrapa et me retourna face à nos parents. Il mit ses mains sur mes épaules et me poussa dans la pièce.

- Elle n'a pas encore gagné le privilège d'être baisée. Mais elle peut sucer des bites. Dit mon mari.

Il me poussa vers les deux hommes et ajouta :

- Si vous avez envie d'une chatte, vos petites-filles seront heureuses de vous proposer les leurs. Chaque chatte, chaque cul et chaque bouche sont à disposition à tout moment. N'est-ce pas salope?

J'avalai ma salive ne rougissant. Mon père ne m'avait pas vu nue depuis que j'étais bébé. Et maintenant on lui disait que je serai heureuse de lui sucer la bite. Mon père et mon beau-père ont eu un regard étonné mais vicieux aussi. Je vis qu'ils détaillaient mes seins, ma chatte rasée, mon corps nu. A ce moment-là, j'eus la plus grande honte de ma vie.

Je pensai qu'ils allaient dire quelque chose, protester peut-être ou défendre mon honneur. Mais leur attention fut détournée de moi quand Septembre entra dans le salon, seins nus. Elle cria de joie, courut vers ses grands-pères et les couvrit de bisous.

Elle prit tout son temps. Elle mit la main de mon père sur un de ses seins tandis qu'elle le serrait et embrassait sa joue. Elle glissa la main du père de Jack sous sa jupe quand elle l'embrassa. Puis elle recula et baissa sa braguette. Elle attrapa son sexe qui commençait à durcir. Puis elle le branla, sentant la queue grandir dans sa main.

Septembre se tourna vers moi et me lança un regard. Je me mis à genoux, m'avançai vers mon beau-père, ouvrit ma bouche et suçai la vieille bite. Je ne pus pas me résoudre à regarder mon père. Je me demandai quelle était sa réaction quand j'entendis une fermeture éclair et qu'une autre bite se présenta devant mon visage. Je fus choquée mais je ne laissai pas passer cette chance. Je suçai les deux queues, léchai les couilles jusqu'à ce qu'ils se mettent à l'aise sur le canapé.

Ma bouche suivit leurs mouvements et j'alternai entre les deux hommes, suçant leur bite et jouant avec leurs couilles. Tout le temps j'eus une queue dans la bouche te l'autre dans la main. Mon éducation me criait dans la tête que je ne devais pas faire ça. Il y avait une ligne qui ne devait pas être traversée et c'était elle. Mais mon envie m'avait trahi. Après avoir été bien baisée et avoir laissé apparaître l'esclave salope en moi, l'abstinence de ces derniers jours m'avait brisé. Je voulais de la bite. Je me fichais de qui ou de l'endroit, j'en avais besoin.

Je fis plaisir aux deux hommes avec la douceur de ma bouche. Il fut évident pour moi que ça ne leur était pas arrivé depuis un bon moment. Mon père gémit et en me tenant la tête, baisa mon visage. Sa queue était moyenne mais ses couilles étaient énormes. Je les aspirai dans ma bouche, laissant ma langue les faire rouler. Mon père laissa échapper un long râle et remplit ma bouche avec son sperme.

J'avalai et je léchai sa bite pour la nettoyer. Puis je laissai ma main jouer avec ses boules et je portai mon attention sur mon beau-père. Il ne tint pas longtemps et explosa dans ma gorge. J'avalai de nouveau mais un petit filet de sperme resta au coin de ma bouche. Je le ramassai avec mon doigt que je léchai. Je nettoyai la queue de mon beau-père avec ma langue jusqu'à ce que chaque goutte de sperme ait disparu. Enfin, je m'agenouillai entre les hommes, la tête baissée, attendant les ordres.

Mon père et mon beau-père, étourdis et satisfaits regardèrent Jack. Il leur fit signe de le rejoindre dans la cuisine. Sans plus personne à servir, je me précipitai dans l'escalier puis la salle de bain. Je regardai dans le miroir la personne qui venait d'avaler la semence de son père. J'eus le vertige.

Comme il ne m'était permis aucune intimité, je ne fus pas surprise quand la porte s'ouvra. Mon père entra dans la salle de bain et me regarda. Je ne pus comprendre l'expression sur son visage.

A suivre...

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
J ' adore

Excellent récit

CocuforeverCocuforeveril y a environ 6 ans
Succulent

j'avoue dévorer ce récit

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