Mon Aventure Ch. 10

Informations sur Récit
Petite fête à l'école.
6.1k mots
4.42
13.9k
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Partie 10 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/23/2017
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trouchard
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Traduction d'un texte de RayStar.

Ce récit est une fiction qui mélange plusieurs genres. Vous y trouverez des relations non consenties, des relations interraciales, des relations incestueuses, de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas.

**********

Mon père me dit que Jack leur avait tout expliqué. Il ne voulait pas qu'ils soient surpris lors de leurs visites. Jack avait pensé que c'était la meilleure façon de leur présenter mon nouveau rôle. Mon père rigola et me dit que le dîner de nouvel an se passerait différemment. Il me dit qu'il était fier de moi et que la maison n'avait jamais été aussi bien entretenue.

Mon cœur se gonfla de fierté et j'allai lui faire un câlin. Mais ce câlin fut plus que ce que j'attendais. Mon père passa un doigt entre mes jambes et il le poussa dans ma chatte humide.

C'était mon père! Immédiatement je jouis sur cette intrusion. Je me sentis à la fois soulagée et honteuse. Je me tins contre lui. Étant moins grande, je posai ma tête sur sa poitrine alors que mes jambes tremblaient.

Il retira son doigt et le porta à ma bouche. Je le léchai. Il me poussa et me mit à genoux. Un petit choc me traversa. Il me demandait de sucer sa bite une nouvelle fois. Je fus déterminée à faire un meilleur travail cette fois-ci. J'utilisai toute mon expérience, ma tête se balançant de haut en bas sur sa queue. Je léchai et suçai ses couilles. Ma langue tourbillonna autour de son gland. Et J'engloutis complètement son sexe.

J'avalai son sperme pour la deuxième fois puis je nettoyai sa bite avec ma bouche. Il me tira vers le haut et il m'embrassa, serrant ma poitrine pendant que sa langue s'introduisait dans ma bouche. Je fus électrisée et je faillis jouir une nouvelle fois. Mon père me dit qu'il avait hâte de me baiser.

Septembre était dans l'encadrement de la porte quand je levai les yeux. Elle souriait. Mon père alla jusqu'à elle et lui souleva sa jupe. Elle ne portait pas de culotte et elle avait la poitrine à l'air. Mon père pris son temps pour lui caresser sa chatte et lui sucer les seins. Ma fille lui dit qu'il n'avait pas besoin d'attendre pour baiser, qu'il pouvait avoir sa chatte quand il voulait. Mon père sourit et me regarda.

Puis il chuchota à l'oreille de Septembre avant de partir. Ma fille me dit alors que mes privilèges oraux étaient rétablis. Je pouvais à nouveau servir la famille. Elle ajouta que cela concernait aussi mes privilèges de salle de bain. Je compris le sens et je lui donnai un bain. Je passai la demi-heure suivante à laver les cheveux, le corps de ma fille. Puis je la rasai, je la séchai et je lui frottai le corps avec une lotion. Enfin je séchai et coiffai ses cheveux.

Septembre alla dans sa chambre et je la suivis. Elle enfila une petite nuisette qui couvrit à peine son sexe. Ses petites lèvres roses étaient bien visibles et ses mamelons pointaient sous le fin tissu. A ce moment-là j'étais vraiment excitée. Je sentis un petit filet de liquide couler le long de ma cuisse. Ça aurait pu être de la sueur comme nous étions dans la salle de bain chaude, mais je pensai qu'il s'agissait sûrement de ma chatte qui était assez humide pour couler le long de ma jambe. J'avais envie d'être baisée.

Avril arriva et me repoussa. Elle dit à sa sœur :

- Jolie!

Puis elle lui donna un gros bisou. Elle dégagea un des seins de sa sœur puis commença à le sucer. Espiègle, elle repoussa Septembre sur le lit. Ma fille aînée rigola et ouvrit ses jambes. Avril embrassa la chatte de sa sœur et donna un coup de langue sur les petites lèvres. Puis elle se tourna vers moi et dit :

- Allons-y!

Je répétai mes tâches de salle de bain sur ma fille Avril. Puis dans sa chambre elle enfila une paire de bas. Ils étaient en résille blanche. Elle était très sexy avec. Elle mit une nuisette comme sa sœur. Le tissu était noir et soyeux. Et elle était aussi courte que celle de Septembre. La zone entre le haut des bas et le bas de la nuisette était une invitation au viol. Elle s'approcha de mon visage et me laissa embrasser son clitoris et lui donner un coup de langue avant de se détourner et sortir.

Comme je m'y attendais, Janvier arriva peu de temps après. Quand elle enleva ses vêtements, je fus surprise. Ses tétons étaient percés et des petits anneaux en argent y pendaient. Elle vit ma réaction étonnée et elle gloussa. Puis elle écarta les lèvres de sa chatte pour me montrer une petite bague en argent traversant son clitoris.

- Ça fait mal mais c'est bon. Peut-être que je te le ferais faire aussi. Dit-elle.

Un frisson traversa ma colonne vertébrale. Elle me dit en tordant un de mes mamelons :

- Je l'ai payé avec ton corps. Je vais t'y emmener cette semaine pour payer cette dette.

Je réfléchis à ses mots pendant que je la lavai. Ses cheveux étaient plus courts que ceux des autres filles alors ils demandaient moins d'attention. Elle me demanda de lui laisser un petit peu de poils pubiens au-dessus de sa fente. La petite marque en « V » accentuait ses petites lèvres.

Janvier mit des bas noirs et une jupe qu'elle avait modifiée elle-même. Elle avait fendu les coutures de chaque côté jusqu'à la ceinture. C'était devenu plus un pagne qu'une jupe. Elle sortit un chemisier très fin et très transparent. Elle le mit et on pouvait voir à travers. Ses seins n'étaient pas très bombés mais on voyait bien ses gros tétons roses. Elle rigola et dit :

- Nous allons à l'école. Ça devrait être amusant. Je t'aurai bien demandé de venir mais il y aura beaucoup d'occasion plus tard.

Tout en riant, elle s'approcha de mon entrejambe. J'écartai mes jambes, debout devant ma fille. Elle s'assit devant sa coiffeuse tout en frottant ma chatte. Je fermai les yeux pendant que ses doigts jouaient avec mon sexe. Et je me rappelai ces cinq derniers jours. Ma fille devint cruelle, tordant et tirant mes petites lèvres. Elle enfonça deux doigts dans ma chatte et je faillis m'évanouir. Je gémis et j'eus un orgasme sur ses doigts. Elle leva sa main et je léchai ses doigts pour les rendre propre.

Tout mon corps tremblait.

- Merci Maîtresse! Réussis-je à dire avant de reculer.

- Nettoie la salle de bain et fais-toi jolie. Papa a des amis qui viennent. Et tu vas être le divertissement.

En sortant de la pièce, je sentis mon excitation grandir et j'espérai que j'allais prendre des bites ailleurs que dans ma bouche. Je me laissai transporter par mes émotions et l'anticipation de la soirée pendant que je me douchai.

Les trois sœurs partirent à l'école. Plusieurs évènements s'y déroulaient. Il y avait une journée portes ouvertes pour que les parents puissent voir comme leurs enfants se débrouillaient pendant l'été. Il y avait une orientation pour les premières années où les parents pouvaient rencontrer les enseignants pour la prochaine année. Il y avait aussi une réunion de l'équipe de football. Bien que la saison ne fût pas commencée, l'équipe se réunissaient pour avoir leurs postes et les horaires d'entrainement.

Les filles étaient parties pour plusieurs raisons. D'abord, M. GRAINGER avait mis le vice-directeur dans la confidence. Janvier avait voulu s'assurer d'avoir de bonnes notes toute l'année. Mes filles ciblaient aussi deux femmes à l'école, une enseignante et un étudiant. Janvier voulait aussi récompenser le concierge pour l'avoir aidé et l'entraineur de football. Mes filles attendirent patiemment que le parking visiteurs se vide.

Une fois qu'il n'y eut plus personne dessus, elles vérifièrent aussi le parking de l'école. Il restait moins de 10 voitures, mais il y en avait une vingtaine dans le parking des étudiants. Les filles sortirent de la voiture et marchèrent avec confiance vers l'école comme si elles en étaient propriétaires. Elles allèrent directement vers le bâtiment abritant les joueurs de football. L'entraineur avait congédié plus de la moitié de l'équipe, gardant seulement une douzaine de jeunes hommes dans le vestiaire. L'entraineur venait de leur faire subir des exercices pour évaluer leur condition.

Maintenant, les garçons discutaient en se douchant et en s'habillant. Les filles s'étaient réfugiées dans une salle et gloussaient pendant que les autres s'étaient éloignés. Puis elles entrèrent dans le vestiaire avec désinvolture. Elles furent accueillies avec un silence stupéfait. Tous les yeux s'étaient posés sur elles, la plupart fixés sur les chattes exposées. Les filles minaudèrent en jouant avec leurs ourlets, les soulevant pour exposer leur sexe aux joueurs.

Septembre quitta ses deux sœurs pour pénétrer dans le bureau de l'entraineur. Celui-ci attendait patiemment. Il était à moitié assis, à moitié appuyé contre le devant de son bureau. Son pantalon était déjà baissé au niveau des genoux et il ne portait pas de sous-vêtement. Septembre pris sa main pour la poser sous sa chemise de nuit et immédiatement il enfonça un gros doigt dans sa chatte.

- Pas maintenant et pas moi. Souffla-t-elle dans son oreille.

Et elle ajouta :

- Je vous promets que je reviendrai un jour et que nous baiserons, mais ce soir, je veux que vous baisiez deux autres chattes blanches.

Septembre joua avec ses couilles en parlant. Elle s'accroupit et commença à sucer la grosse bite noire. A ce moment, le concierge entra et rigola :

- Puis-je en avoir un peu?

Septembre rit et dit à l'entraineur :

- Dites lui le plan, je reviens vite.

En passant devant le concierge, elle l'embrassa et lui donna un coup de coude. L'homme sourit, sentant sa bite grossir.

- Petite chatte chaude de blanche. Dit-il en glissant une main entre les jambes de ma fille pour sentir son humidité.

Septembre se dégagea et sortit de la pièce. Ses sœurs s'amusaient avec les joueurs. Elles se déplaçaient de l'un à l'autre en caressant leur chatte et leurs seins. Elles embrassèrent les garçons et se frottèrent contre eux jusqu'à que chaque queue soit dure comme du roc. Septembre fit un signe et Avril la suivit. Janvier dit aux jeunes hommes :

- Elles vont revenir dans quelques minutes. Et elles amèneront deux filles sexy pour que vous jouiez avec. Voici le plan...

Avril se dirigea vers Stacy. La capitaine des pom-pom girls mettait des papiers dans son sac à dos. Avril l'attrapa per les cheveux et gronda :

- Tu viens avec moi chienne!

Stacy avait torturé Avril pendant toute l'année de lycée et elle ferait surement la même chose à Janvier. Cette fille pensait qu'elle dirigeait l'école. Elle avait de longs cheveux blonds et un joli visage. Elle avait aussi de gros seins et un cul bien rond qu'elle utilisait pour séduire les gens qu'elle aimait et torturer ceux qu'elle n'aimait pas.

Stacy était une blanche de pure souche. Elle évitait de parler ou même de regarder des noirs. Elle avait eu un problème avec un professeur noir, l'accusant de l'avoir mal regardé. Il avait été obligé de partir enseigner dans une autre école. Avril aimait bien cet enseignant et elle avait découvert que Stacy avait exagéré car il lui avait donné une mauvaise note. Stacy n'aurait jamais envisagé de sortir avec un homme noir ou alors d'avoir une fille noire dans son équipe de pom-pom girls.

Avril traina la jeune fille par les cheveux dans le couloir. Septembre était là pour l'aider mais la blonde ne faisait pas le poids contre Avril. Septembre suit, juste au cas où. Stacy avait deux ans de moins mais était à l'école avec Septembre et avait rejoint les pom-pom girls quand Septembre en était la capitaine. Stacy avait été détestable, essayant de prendre la place de Septembre à la tête de l'équipe. Et quand ma fille fut diplômée Stacy prit le relais.

Toujours dans sa tenue de pom-pom girl, la jeune blonde fut poussée à travers la porte. Elle atterrit en tas aux pieds de deux grands joueurs noirs de football. Ils la soulèvent et la plie sur une table. Les deux hommes sont complétement nus, avec de grosses bites bien épaisses qui se tiennent au garde-à-vous. L'un des noirs prit les poignets de Stacy pour la tenir. L'autre remonta sa mini-jupe et retira sa petite culotte.

Debout, mais penchée en avant, la jeune fille fulmine, impuissante et effrayée.

- Enlève tes mains de mon corps négro! Cria-t-elle.

Tous les hommes la regardaient, amusés, pendant qu'elle essayait de se libérer de l'emprise de l'homme qui lui tenait les poignets devant elle. Le noir derrière frotta sa chatte avec sa main et rigola :

- Elle est toute mouillée.

Il se pencha et murmura à l'oreille de Stacy :

- Tu me supplieras de te baiser avec ma bite de négro avant que j'en finisse avec toi.

Septembre et Avril remplacèrent le joueur qui tenait les poignets de la jeune fille. Elles tirèrent dessus, soulevant son cul sur la table. Le joueur de football derrière Stacy regarda longuement le cul bien bombé. La jeune blonde essaya de garder les jambes bien fermées, mais le jeune garçon arriva facilement à les écarter puis il aligna ma tête de sa bite avec le vagin de la blonde. Il poussa et sa queue glissa entre les lèvres de la chatte et l'ouvrit. Stacy cria sous l'invasion soudaine.

Une minute plus tard, après que le gars eut enfoncé toute sa bite en elle, Stacy gémissait et secouait ses cheveux blonds d'avant en arrière. Septembre et Avril relâchèrent les poignets de la jeune fille qui, aussitôt, agrippa les bords de la table. L'esprit et le cops de Stacy se livrait une bataille perdue d'avance. Elle criait « non » dans sa tête mais sa chatte répondait à la grosse bite enfouie en elle.

Soudainement, Stacy se sentit très humide et très vide. Cela arriva si vite qu'elle cligna des yeux en face des deux sœurs. Elle vit alors la caméra vidéo et reçut un nouveau choc quand un autre joueur noir se plaça derrière elle et la pénétra avec sa grosse queue. Celle-ci était plus épaisse. L'homme remplit si bien Stacy et il la baisa si fort qu'elle réagit immédiatement.

Un orgasme massif la traverse et il frappe si fort que Stacy se raidit tout en tremblant de partout. Puis elle retombe tout molle. Avril regarde Septembre et dit :

- Merde, je crois que nous l'avons tuée.

- Pas de chance! Rigola Septembre en continuant de filmer la scène.

Mais elle ajoute :

- Elle vient juste d'avoir son premier orgasme et elle s'est évanouie.

L'homme noir continuait de baiser la jeune fille blonde. La jupe de pom-pom girl était relevée et il regardait sa queue entrer et sortir de la petite chatte blanche.

Il gifla le cul devant lui et obtint un petit gémissement de Stacy. Tout autour, les autres joueurs étaient nus et se masturbaient. Alors qu'ils attendaient leur tout, la porte s'ouvrit. Janvier entra, suivie d'une femme d'une trentaine d'années. Celle-ci stoppa net quand elle vit la scène. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais janvier la poussa vers le bureau de l'entraineur.

Celui-ci avec le concierge regardaient par la fenêtre la pom-pom girl se faire baiser. Ils se retournèrent quand la porte s'ouvrit et ils détaillèrent la professeure. Elle était grande avec de beaux seins et un beau cul. Sa taille était fine et elle était vêtue d'une tenue d'enseignant type, un chemisier blanc et une jupe noire arrivant aux genoux. Elle était belle, avec une chevelure noir corbeau et des yeux bleus perçants.

Elle regarda par la fenêtre alors que le jeune joueur noir éjaculait dans la pom-pom girl. Angela WRIGHT, professeure d'histoire, cligna des yeux et déglutit difficilement. Elle se tourna vers le concierge et l'entraineur et commença à protester. Le coach leva la main pour l'arrêter :

- J'ai une douzaine de joueurs qui veulent profiter de ce cul.

Puis il regarda le concierge.

- De plus vous n'êtes que deux. Si tu veux la sauver, il va falloir que tu prennes sa place.

Angela déglutit une nouvelle fois difficilement, regarda les hommes puis la fille. Stacy était immobile, le cul en l'air, la tête à plat sur la table. L'enseignante se retourna vers les deux hommes noirs et leur fit un petit signe de tête. L'entraineur s'assit sur une chaise et lui dit d'enlever ses vêtements. Angela déboutonna lentement son chemisier. Le concierge regardait fixement les gros seins à peine contenus dans le soutien-gorge de dentelle blanche avec des petites fleurs bleues.

L'entraineur baissa les yeux et Angela dégrafa sa jupe. Après l'avoir enlevé complétement elle se tourna pour faire face au coach. Celui-ci apprécia le spectacle. La grosse poitrine se soulevait et sous la culotte assortie, il put voir une touffe sombre de poils. L'enseignante posa sa jupe sur une chaise et défit lentement son soutien-gorge. Il lui fallut une minute entière pour l'enlever avant que les hommes n'aperçoivent les gros mamelons roses.

Les mains de la femme couvrirent ses seins et elle baissa les yeux, rouge d'embarras. L'entraineur lui demanda d'approcher. Elle obéit et il prit ses mains pour les écarter de sa poitrine. Il prit doucement les gros seins et pinça les tétons raides. Puis il passa un doigt entre les jambes de la femme, pressant doucement la culotte, sentant la petite fente. Il tira la culotte vers le bas et afficha sa toison pubienne.

Le concierge se lécha les lèvres en regardant son acolyte poser ses grosses mains sur le cul d'Angela. L'entraineur attira la femme vers lui jusqu'à ce que ses jambes s'ouvrent et qu'elle soit à califourchon sur lui. Le noir libéra son sexe qui se leva droit comme un i et visa la chatte. Angela baissa les yeux et haleta quand elle vit la bite qui allait la pénétrer.

Le gourdin noir se posa à l'entrée de sa chatte et l'entraineur tira l'enseignante vers le bas, sa queue ouvrant son sexe. Ses petites lèvres se séparèrent et elle retint son souffle. L'homme sentit de la résistance et regarda son visage. Elle retourna son regard et commença à dire :

- Je suis vier...

Mais l'homme la tira d'un coup sec et la pénétra. Angela eut mal.

L'entraineur l'abaissa sur lui jusqu'à ce que sa bite soit complétement à l'intérieur d'elle. Il se serra contre elle, pressant ses seins contre sa poitrine. Puis il la souleva et la reposa, une fois, deux fois, trois fois et la douleur disparut. Elle se pressa complétement contre lui, et il sentit qu'elle embrassait son cou. Alors il recommença à la soulever et abaisser sur sa queue. Puis elle prit elle-même l'initiative et bougea sa chatte de haut en bas sur la bite noire. Dans le temps, l'entraineur avait brisé quelques filles. Il vit tout de suite que celle-ci allait devenir une cochonne pour black.

Il la baisa violemment pendant qu'elle l'embrassait. L'enseignante eut une drôle de sensation dans son ventre mais elle ne voulait pas que ça se termine. Mais son corps fut bientôt hors de son contrôle et elle gémit alors qu'un orgasme la frappa. Sa chatte se serra sur la grosse bite et elle se laissa aller pour qu'elle la pénètre le plus profondément possible. L'entraineur sourit à cette réaction.

- Je vais jouir maintenant. Murmura-t-il à son oreille.

Elle gémit d'excitation mais chuchota :

- S'il te plaît, n'éjacule pas en moi.

Elle embrassa son cou. L'entraineur sourit et déchargea son sperme dans son ventre. Elle soupira et continua à embrasser son cou. Plusieurs minutes s'écoulèrent et il la tint empalée sur lui. Elle respirait fort. Finalement elle ouvrit les yeux quand sa queue commença à débander.

Angela fut attrapée par derrière par les grandes mains du concierge. Il la berça dans ses bras tout en la portant dans le vestiaire. Elle pouvait sentir le sperme de l'entraineur s'échapper de sa chatte ouverte. Elle leva les yeux et vit la caméra vidéo dans les mains de Janvier. Elle commença à dire quelque chose quand elle fut allongée sur le dos sur la table à côté de la pom-pom girl.

Elle regarda la caméra, ne sachant pas trop que dire tout en sentant qu'on la pénétrait à nouveau. Elle était vaguement consciente d'être baisée alors que son esprit réfléchissait sur le fait qu'elle était filmée. Quelqu'un s'approcha de sa tête et elle sentit des mains sur ses seins. Ses jambes furent poussées vers le haut et écartées par le concierge. Il la baisa lentement, savourant cette petite chatte serrée.

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