Omar - La Traite des Blanches 02

Informations sur Récit
De somptueuses jeunes américaines sont enlevées et vendues.
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 06/08/2007
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Omar - la traite des blanches 2

White Slavery Shipment - II

Coulybaca / Black Demon

***********************

Cette histoire se suffit en elle-même,

cependant elle est aussi la continuation logique de :

Omar -- Le premier jour de croisière (Cruise Ship -- Day 1)

Et Omar -- La traite des blanches 1 (White Slavery Shipment --1)

*************************

Faire une lune de miel en croisière avec son époux si amoureux juste après sa première année d'enseignement avait représenté l'aboutisse-ment d'un rêve pour Julie Armstrong, jeune prof des écoles de 24 ans.

Les jeunes époux auraient du en garder un souvenir enchanté.

Et voila que la banlieue dans laquelle elle avait emménagé avec son jeune mari était sens dessus dessous, la ravissante jeune femme avait subitement disparu.

Sa voiture fut découverte la semaine suivante à 200 km de là près de la petite ville portuaire d'Ashton, elle était garée au fond du parking d'un minable motel.

L'enquête tourna court, les policiers ne trouvaient aucune trace d'elle, elle n'était pas inscrite sur le registre du motel, il semblait qu'elle s'était désagréer dans la nature.

Son mari interrogé n'avait pu que dire qu'ils avaient visité cette petite ville portuaire l'année précédente, ils étaient partis de là pour leur croi-sière de lune de miel vers Mexico et c'est là qu'ils étaient revenus au port leur croisière terminée.

Une enquête fut diligentée sur le navire de ligne dans l'espoir que quel-qu'un ait aperçu la jeune femme cherchant à retrouver l'esprit de sa lune de miel quelques mois plus tôt.

Le mari interrogé à nouveau ne put que dire que sa femme lui semblait maussade les derniers jours de leur croisière, lors de leur retour à Ash-ton mais il avait pensé que c'était uniquement parce que leur croisière se terminait et qu'ils allaient devoir reprendre le boulot.

Il n'y avait aucune trace d'elle sur le cahier de bord du navire qui était rentré au port les jours précédents, l'interrogatoire des matelots tourna court en raison de la forte diversité de nationalité des hommes compo-sant l'équipage.

Faute d'éléments, les autorités avaient fini par mettre l'affaire en suspend sans pour autant la classer définitivement.

La découverte de la voiture sur le motel proche d'Ashton et le fait que les Armstrong étaient partis et revenus de croisière de lune de miel à Ashton étaient les seuls éléments dont disposaient les enquêteurs.

Le navire de ligne était reparti, il était inconcevable d'interrompre ses ac-tivités alors que rien ne permettait d'impliquer un membre de son équi-page dans la disparition de Julie Armstrong.

Il existait cependant un point de convergence entre la jeune mariée et le navire de haute mer.

A mi chemin de sa croisière, alors que le bateau était amarré sur un des quais de Mexico, sa photo avait été sélectionnée par une notabilité du pays.

Cet homme s'appelait Julian Sanchez, il avait fait fortune dans la drogue et la prostitution, et il avait acheté sur photo la ravissante jeune femme au maître d'équipage du navire responsable de la clientèle pour en faire une de vedette dans un de ses bordels.

La discussion avait été courte, Omar avait proposé à monsieur Sanchez un ensemble de plusieurs photos de jeunes femmes toutes aussi ravis-santes les unes que les autres, commentant le cliché retenu par son acheteur.

- "Hummmmm ..... Monsieur Sanchez regardez moi cette paire de jambes ... Elles étaient verrouillées dans mon dos alors que j'étais planté dans la chatoune de cette somptueuse salope!......" puis re-gardant les notes au dos de la photo, il confirmait

- "Un excellent choix monsieur Sanchez ... Madame Julie Armstrong ...... Une ravissante jeune femme de 24 ans, elle était en voyage de noce ....... Une prof des écoles diplômée d'enseignement élémentaire fraîchement émoulue de l'école normale ...... Je devrais pouvoir vous la ramener vers le milieu de ses vacances d'été!..... Cela vous fera une excellente recrue ... Je me réjouis déjà de lui enseigner comment donner du plaisir aux hommes avec ses jolies lèvres ......"

Et sans raison apparente Julie Armstrong avait disparu pour réapparaître dans le monde fermé de l'esclavage sexuel.

Personne ne se doutait, ni même imaginait les épreuves qu'avait traver-sé la malheureuse jeune mariée.

Il était ressorti de l'interrogatoire de son jeune époux concernant leur vie intime, que Julie Armstrong était arrivée vierge au mariage et qu'elle n'avait pas connu d'autres hommes que lui dans sa vie.

Elle n'avait pas eu d'autre petit ami que lui aussi n'y avait il aucun suspect sur lequel enquêter.

S'ils avaient seulement pu imaginer qu'en cet instant, dix jours après sa disparition 2000 hommes environ avaient usé de ses charmes.

Le lendemain de leur escale à Mexico, lors du retour vers Ashton, Julie était follement heureuse, la réception, le mariage, la croisière tout avait été parfait.

Alors que Dave, son mari allait taper une paire de balles de golf sur le pont supérieur face à l'océan, Julie se réjouissait de regagner sa cabine pour y prendre un peu de repos.

Soudain une large main surgie de nulle part s'était plaquée sur sa bou-che étouffant ses appels à l'aide.

Traînée en arrière, elle se retrouva dans le noir complet, enfermée avec son ravisseur dans une cabine dont il avait claqué la porte.

Il enleva sa main de sa bouche, Julie hurla de toutes ses forces, malheu-reusement pour elle les cabines parfaitement insonorisées, personne n'entendit ses cris.

Elle se retrouva épinglée sur le petit lit meublant la cabine, mains blo-quées au dessus de la tête alors que de l'autre main son agresseur s'at-taquait à son chemisier.

Il déchira son corsage de bas en haut, la dépouilla de son minuscule soutien-gorge, elle ne pouvait que sangloter et supplier son ignoble as-saillant d'arrêter alors qu'il se mettait à lécher et mordiller ses mamelons.

Julie avait beau se démener elle ne parvenait pas à endiguer les assauts de son suborneur qui déjà lui descendait son pantalon sur les chevilles.

Juste vêtue de sa petite culotte Julie larmoyait :

- "Non ..... Oh non .... Je vous en prie ...... Je vous en prie ... Arrêtez ...... Je viens juste de me marier ...... C'est mon voyage de noce ....... S'il vous plait ...... Ne me faite pas ça ..... Je n'ai jamais connu d'autre homme que mon mari!......."

Sa petite culotte déchirée, Julie dut subir des caresses qui lui étaient totalement inconnues, il écarta ses cuisses en grand et fourra son groin dans son compas velu.

C'est en lui agrippant les cheveux qu'il avait fort crépus, qu'elle comprit que son violeur était un noir.

- "Oh non ..... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn ...." s'époumo-nait elle frissonnant alors que ce vil individu parcourait d'une langue avide sa fentine.

- Frissonnante elle crocha encore plus fermement ses cheveux, elle succombait à un orgasme inconvenant sous ses caresses immondes.

- "Ohhhhhhh .... Ohhhhhhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh ...... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ....... " frémissait elle éperdue.

Puis son corps s'amollit elle relâcha sa prise sur sa chevelure ses mains tombèrent le long de son corps, elle écarta largement les cuisses lui permettant de laper sa juteuse chatte plus aisément.

Omar se régalait de ses flagrances intimes. Cette délicieuse jeune mariée lui ferait bientôt gagner beaucoup d'argent gagner, mais pour l'instant il s'agissait de prendre son plaisir avec elle et de jouir de ses charmes.

Il l'avait épié et suivie prêt à sauter sur la moindre opportunité lorsqu'elle se trouverait séparée de son mari et voila qu'il pouvait profiter tout son saoul de ses charmes.

Elle était franchement succulente cette naïve jeune mariée, mais il était temps maintenant de lui faire goûter aux assauts d'un vrai homme doté d'un solide membre viril, ça risquait de la changer de la ridicule saucisse de son petit crétin de mari!....."

Omar jubilait en l'entendant pousser ses cris de terreur alors qu'il plngeait son épaisse bite dans son étroite petite chatte.

- "Aieeeeeeeeeeee ...... Arrêtez ..... Arrêtezzzzzzzzzzz ..... Ca fait mal ....... Si mal ...... Non ....... Je vous en prieeeeeeeeeeee ........" le priait-elle alors qu'il la labourait sauvagement.

Il la força à s'agenouiller lui précisant :

- "Cela me fait très plaisir d'être le premier homme à te faire goûter à sa queue!......"

- Et comme la bouche plaine de sa bite elle étouffait, il prit plusieurs photos, les éclairs de flash se succédèrent dans la cabine obscure, cela lui procurait les armes qui serviraient peur-être à l'asservir plus tard, elle voudrait sûrement éviter l'envoi de tels photos à son mari et à sa famille.

- Sachant qu'elle était enseignante, ayant relevé son numéro de téléphone sur le registre des réservations, Il décida qu'il l'appellerait l'été suivant pour lui donner rendez-vous dans une chambre d'hôtel d'Ashton.

Il la menacerait d'envoyer à son mari, sa famille et ses proches, les pho-tos d'elle ayant des rapports sexuels avec un noir si elle refusait de le rejoindre.

La ravissante jeune femme savait qu'elle devait lui complaire, coucher avec lui, mais elle était loin de suspecter qu'il la droguerait et la transporterait sur le navire de croisière où il la cacherait dans une cabine à fond de cale.

Elle avait déjà été violée à répétition dans la chambre d'hôtel avnt que des hommes d'équipage complices d'Omar ne la transporte à fond de cale.

Le temps de la traversée il vendit son corps à de nombreux matelots de toutes nationalités avides de goûter aux succulents charmes de la jeune beauté américaine.

Elle fut baisée à couilles rabattues par environ 200 clients, toujours sous l'influence de fortes doses de cantharide qu'il lui faisait ingérer pour l'ex-citer à mort.

Une fois à Mexico, toujours sous l'influence de la cantharide, vêtue d'un corsage blanc et d'une jupe bleue marine qu'elle avait enfilée pour rencontrer son maître chanteur dans la chambre d'hôtel d'Ashton elle dé-barqua discrètement.

Incapable de raisonner sainement; ne sachant pas où elle se trouvait, Julie se laissa entraîner sans protester chanteur.

Cependant elle pensait toujours à son gentil mari, mais l'excitation entretenue par la drogue entre ses cuises, elle pensait surtout à ces nombreux hommes qui l'avaient baisée frénétiquement pendant toute la traversée.

Après un court trajet, il l'aida à descendre de voiture l'emmenant rejoin-dre un mexicain pansu qui semblait les attendre.

- « A monsieur Sanchez, je vous présente l'adorable madame Julie Armstrong ...... »

- "Soyez les bienvenus mes amis .... C'est toujours un véritable plaisir de rencontrer une ravissante américaine!...." rétorqua le mexicain lui baisant la main.

- " Je vous en prie entrez ..... Entrez dans mon humble demeure ....."

- L'expérience des derniers jours l'ayant renseigné sur les intentions de son ravisseur et de son ami, Julie savait déjà ce qui l'attendait.

Bien qu'elle renâcla à leur obéir, elle les précéda dans le salon ou Omar précisa :

- "Monsieur Sanchez voudrait voir ce qu'il m'a acheté ma chérie

...... Agenouille toi sur la moquette et fais lui un pipe ......"

Le mexicain ventru se posta devant elle, Julie tendit docilement la main pour ouvrir sa braguette et extraya de son caleçon une courte bite bien épaisse.

Sanchez voyait la jeune femme trembler comme une feuille alors qu'elle branlait lentement sa bite qui prenait de l'ampleur entre ses doigts habi-les.

Lui enserrant le poignet dans sa main, il avança d'un pas alors qu'elle essayait de détourner son visage.

Il la saisit par les cheveux et le força à demeurer face à lui puis il entre-prit de forcer ses lèvres de son gland turgescent.

- "Ouvre la bouche ma chérie ...... Dit ahhhhhhhhhh ..... "gloussait-il vulgairement.

- "Oooohhhhhhhhhh, oui!......"

- "Et tu dis que cela ne fait que 4 mois qu'elle est mariée?...... Ma, ma quelle jolie petite pute!.... Une excellente recrue!...... Elle va fidéliser une bonne clientèle!....." se félicitait déjà monsieur Sanchez.

La tenant fermment par la nuque il baissa les yeux sur la ravissante américaine qui suçait servilement sa grosse bite olivâtre.

- "Oooooooh ..... Ooooooooooohhhhhhhhhhhh .... " mugissait-il la for-çant à l'avaler en pleine gorge, lui maintenant la tête dans un axe lui permettant de s'enfoncer profondément dans sa gorge.

- « Une fois encaissé le prix de cette chair blanche de première fraîcheur, Omar l'informa » :

- "Je te reverrai demain à la même heure mon frère!.... J'espère que tu vas te régaler avec ta nouvelle recrue cette nuit, pendant ce temps je vais préparer le prochain colis que je t'ai promis!....."

Empochant les 25.000 $, Omar retourna au navire et versa 10 % de son gain aux copains qui lui avaient facilités le transport et le transborde-ment de sa proie.

C'était une dépense inévitable pour s'assurer la complicité des ces matelots qui sécurisaient son petit commerce.

De retour bord le navire, Omar descendit dans la cale pour y rencontrer Abdul et vérifier l'état du colis qu'il avait gardé protégé pour lui.

Il recomptait l'argent que lui avait rapporté la livraison de Julie à monsieur Sanchez additionnée des 25.000 $ que la location de son cul à l'équipage lui avait directement rapporté.

Abdul était un géant noir qui avait un urgent et important besoin d'argent à envoyer à sa famille pour faire soigner son père gravement malade. De ce fait il était vital pour lui de gagner un maximum de fric en un mi-nimum de temps, quelque soit la manière de le gagner, mais si de plus il pouvait y prendre du plaisir!.....

Connaissant cela Omar savait qu'il pouvait compter sur lui, et afin d'en faire son bras droit dans ses futurs méfaits Omar lui dit :

- "Allez mec viens avec moi, si tu veux te faire un petit bonus?......"

Les yeux écarquillés d'horreur Katie Sherman regardait la porte de sa cellule s'ouvrir sur un géant noir qui la lorgnait avec concupiscence.

Elle se mit à trembler comme une feuille totalement paniquée elle se saisit du drap de lit pour couvrir son corps nu et souillé.

Droguée, sous la constante influence de doses de cantharide, Katie s'était fait baiser par un nombre incalculable d'hommes ces derniers jours, des hommes de nombreuses nationalités qui dépensaient une partie de leur solde pour goûter aux charmes d'une ravissante améri-caine.

L'un après l'autre ces hommes s'étaient succédé dans sa chatte apaisant momentanément le feu qui lui embrasait l'entrecuisse.

Elle avait voyagé sur le même navire que Julie Armstrong quelques mois plus tôt, c'était un cadeau de son mari pour célébrer son 25ème anniversaire.

Madame Kartie Sherman, une adorable rousse était décoratrice d'inté-rieur, elle semblait si innocente dans son élégant tailleur blanc sur les photos qu'Omar avait présentées à monsieur Sanchez que ce dernier l'avait retenue pour travailler dans le meilleur bordel du pays.

Une fois sélectionnée, Omar dit au proxénète

- "Ohhhhhhhhhh vous verrez monsieur Sanchez, sa peau est si soyeuse, si claire ....... Je repense à cette pièce spéciale dans votre bordel ...... Cette ravissante décoratrice enjolivera sûrement ce som-bre et sévère donjon ......Elle se fera baiser par ses clients enchaînée au mur par ces menottes que vous m'avez montrées!.... ses pleurs renforceront vivement le plaisir de ses consommateurs.

-

La dernière nuit en mer juste avant de rejoindre le port de départ, épuisée par la croisière avait conseillé à son mari de rester à jouer au casino alors qu'elle retournait se reposer dans leur cabine.

Katie était confiante, elle jeta un oeil dans le long couloir histoire de s'assurer que nul péril ne la menaçait, elle allait introduire sa carte magnétique dans la serrure de leur cabine lorsqu'elle fut saisie par derrière et traînée dans la cabine face à le leur.

C'était la dernière chance pour Omar de se faire une des touristes, il avait eu peur de ne pas parvenir à sauter la ravissante proie qu'il avait offert de livrer à Juan Sanchez au départ de Mexico.

Comme ils ne s'étaient pas séparés lors de cette croisière de retour il avait craint de voir ses plans tomber à l'eau.

Aussi lorsqu'il avait vu qu'elle quittait enfin son mari, Omar s'était précipi-té à l'étage de leur cabine se dissimulant dans la cabine face à la leur qu'il savait inoccupée.

Katie avait subi un viol aussi rapide que brutal, elle n'avait pu que san-gloter et supplier son agresseur de la laisser en paix, mais en vain.

Sa robe retroussée, sa petite culotte déchirée elle avait perdue ses chaussures et ne et n'avait donc pas pu planter ses talons dans ses jambes pour se défendre.

La cabine étant insonorisée, personne n'avait pu entendre ses hurle-ments de terreur et de douleur alors que son assaillant plantait sa bite dans son étroite petite chatte.

Mains bloquées au dessus de la tête, alors que sa bite était partiellement engagée dans sa foufoune, un éclair l'avait aveuglée.

Le viol terminé, le sale bâtard l'avait forcée à le sucer elle avait à nou-veau était aveuglée par un éclair lumineux.

Ayant lu dans les journaux que les crimes et méfaits à bord des navires de ligne, dans les eaux internationales étaient rarement résolus, elle avait décidé de ne pas rapporter son viol et de ne pas en parler non plus à son mari.

Elle prit une douche vaginale et pria pour que son viol n'ait pas conséquences fâcheuses, elle ne fut soulagée que, lorsque le bateau ayant accosté, elle avait repris le chemin de sa maison en compagnie de son petit mari chéri.

Cependant, lorsqu'un mail lui parvint, annoté comme personnel et confidentiel, elle s'affola, le contenu la remplit de honte et de dégoût, elle décida que personne ne devait jamais voir ces photos obscènes, elle devait convaincre son maître chanteur de les lui rendre, quel qu'en soit le prix à payer.

Elle ne voulait surtout pas qu'il diffuse ces photos dans son entourage, que son mari, ses parents, ses proches puissent en avoir connaissance.

Elle reçut alors le fatidique coup de téléphone : son agresseur voulait la rencontrer, la menaçant de diffuser les photos en cas de refus de sa part.

Elle chercha à savoir ce qu'il lui en écouterait pour récupérer les photos la seule réponse qu'elle eut en retour fut :

- "Toi!....."

Elle craignait le pire, mais que pouvait-elle y faire, elle se résigna au fait qu'elle devrait à nouveau coucher avec lui pour qu'il lui rende les photos si compromettantes.

- "Elle devait passer trois heures en sa compagnie!......" lui avait-Il précisé.

Katie devait maintenant décider comment elle se rendrait au port de dé-part de leur fatale croisière 3 heures pour s'y rendre, 3 heures à lui ac-corder et 3 heures pour rentrer chez elle .....

Elle devait disposer d'une dizaine d'heures pour mener à bout cette opération récupération des photos.

Se sentant coupable, Katie prévint son mari qu'elle devait s'absenter pour son travail, sachant très bien qu'elle allait prendre un vol intérieur qui n'excéderait guère une demie heure.

Elle gara sa voiture sur le parking de l'aéroport puis se rendit au comptoir d'embarquement.

Plus tôt, en retenant son billet, elle s'était sentie aussi coupable que si elle avait volontairement trompé son mari, alors qu'elle agissait ainsi sous lune impitoyable contrainte.

Bien que ce soit totalement irrationnel, elle prit son billet sous le nom de Katie Mandel, comme si le fait d'utiliser son nom de jeune fille lui facilite-rait les choses.

Lors qu'ils constatèrent sa disparition, la découverte de sa voiture à l'aé-roport, ne fut pas confirmée, le nom de Katie Sherman n'apparaissait sur aucun registre d'embarquement.

Le fait qu'elle ne se soit pas volatilisée dans la même ville ni dans le même état que les deux autres disparues ne permit pas d'établir de lien entre ces disparitions non résolues.

L'enquête conclut que madame Katie Sherman avait été accostée par un inconnu et vraisemblablement tuée par cet inconnu qui avait fait disparaître le corps, puis le tueur avait pris sa voiture et l'avait garée sur le parking de l'aéroport où il avait pris l'avion.

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