Par Amour

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Une femme se vend pour assurer le quoitidien de la maison.
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Par amour

Couluybaca / Jon Maddux

correcteur : Fantazmaster

CHAPITRE 1: Pas de chance

J'avais surfé sur de nombreux sites d'escortes à la recherche d'une femme qui puisse me soulager physiquement le temps que ma femme récupère d'une sérieuse maladie.

Elle serait incapable de subvenir à mes besoins charnels pendant plu-sieurs mois.

Bien sur j'aurai pu avoir recours à des putes, mais je voulais trouver une femme qui soit saine, indemne de toute maladie vénérienne.

Je rédigeais une annonce mentionnant ma délicate situation, précisant que je recherchais une femme ayant ponctuellement besoin d'un protec-teur.

Je trouvais un site de rencontres sur lequel je déposais mon annonce et reçut des centaines de réponses.

Je regardais les photos des volontaires éliminant celles qui me déplai-saient, je demandais à chaque femme dont je retenais la candidature un examen du sang, en faisant la condition principale d'un éventuel accord, beaucoup se montrèrent rétives refusèrent cette stipulation.

Hélène répondait parfaitement à mes vœux.

Elle m'indiqua qu'elle était mariée depuis 14 ans et qu'elle avait besoin d'une aide financière temporaire qui lui permettrait de régler des problè-mes à court terme.

Son mari avait perdu son boulot de conseiller financier ils devaient faire face à une montagne de dettes et risquaient de perdre leur maison et leur mode de vie.

Elle allait devoir déménager et ses jeunes enfants risquaient de devoir vivre dans une banlieue ou régnaient le vice et la corruption alors que ses aînés devraient abandonner leurs études dans des écoles privées pour s'inscrire dans des lycées prolétariens.

Je passais plusieurs heures à discuter avec elle de notre futur arrange-ment avant de prendre rendez-vous.

J'avais plusieurs photos d'elle et j'appréciais son physique.

Elle avait 42 ans, était mère de 4 enfants, elle avait des longs cheveux noirs qui lui descendaient à mi épaules, elle avait mentionné qu'elle n'était pas maigre.

Elle avait accouché de 4 enfants et s'était débrouillée pour perdre les ki-los collectés pendant ses grossesses, elle faisait une taille 40 ce qui était remarquable pour une mère de famille de son âge, elle m'avait indiqué ses différentes mensurations, voulant que je sache à quoi m'attendre lors de notre première rencontre, elle faisait un bon 90 C de tour de poitrine, pour un tour de taille de 70 cm et un tour de hanche de 90 cm.

Ce n'était pas une mince jeune fille, mais cela me convenait parfaite-ment.

Nous avons déjeuné ensemble un midi ce qui nous permit de discuter de notre marché.

Elle avait besoin de 1.500 $ par mois pour faire face à ses obligations, elle avait déjà trouvé un alibi en ce qui concerne la provenance de cet argent, elle feindrait travailler pour une boite de télévente, sachant que c'était là le meilleur moyen de ne pas éveiller les soupçons de son mari quant à la véritable origine de ce "salaire".

L'argent n'était pas un problème pour moi, aussi acceptais-je de lui payer cette petite rente en échange de ses charmes.

Elle était d'accord pour me rencontrer deux fois par semaine pendant les 9 mois à venir.

Nous échangeâmes nos tests sanguins, vérifiant que tout était OK.

On se serra la main prenant rendez-vous pour notre première rencontre deux semaines plus tard.

Dès le début elle accepta d'avoir des rapport buccaux et vaginaux, mais refusait l'idée de se livrer à toute autre pratique sortant de l'ordinaire.

La marge de négociations était faible.

Je me penchais d'abord sur la question des poils : j'aimais les femmes poilues, elle me répondit qu'elle pouvait me faire plaisir sur ce point, elle cesserait de se raser les aisselles, le pubis et les jambes tant que nous serons intimes.

Venait ensuite l'emploi de capotes.

Je n'avais pas enfilé de capotes depuis des années, ma femme et moi même observions les règles naturelles de contraception, j'étais intransi-geant sur ce point, je ne porterai pas de capote.

Elle finit par accepter, mais je dus porter ses émoluments à 2.500 $ au lieu des 1.500 prévus initialement.

Elle me prévint qu'elle ne prenait pas la pilule ni aucun type de protection contraceptive, et que de ce fait, dès notre première rencontre je devrai lui fournir une prescription pour prendre une pilule abortive.

Je savais que je devrais me préparer à la faire chanter pour obtenir d'elle plus que les rapports classiques qu'elle avait avec son mari.

Je conservai des traces de chacune de nos conversations et des mails que nous échangions.

Elle avait été clair, son mari ne devrait jamais se douter de quoi que ce soit, je la sentais prête à toutes les concessions pour garantir son secret.

Notre premier rendez vous devait se tenir dans une suite de l'hôtel Ra-mada, je m'y rendais très tôt afin de disposer des caméras bien cachées dans des endroits stratégiques.

C'était la cerise sur le gâteau qui me permettrait de faire mes quatre vo-lontés dans son corps, je pourrai aussi me servir de l'enregistrement pour l'obliger à tenir ses engagements si son mari venait à retrouver du boulot et qu'elle penserait ne plus avoir besoin de moi.

Elle frappa à la porte, lorsqu'elle pénétra dans la chambre je notais qu'elle portait la tenue préconisée.

Un élégant bustier blanc très moulant qui soulignait ses formes volup-tueuses, il mettait en valeur son opulente poitrine, elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins épousèrent de façon fort érotique le creux de ses bras lorsqu'elle s'assit.

Une jupe moulante épousait ses formes épanouies, son petit ventre rond, ses hanches larges, son cul ferme, ses cuisses musclées.

Elle s'assit, je lui fis répéter les termes de notre accord, rien que pour les caméras.

Elle me demanda ensuite si j'avais apporté ce qu'elle avait réclamé et me tendit un sachet de papier brun.

Elle l'ouvrit et j'y déposais une liasse de 2.500 $, j'étais ravi, elle me faci-litait les choses en me donnant cette scène à filmer.

Puis elle prit la prescription pour deux mois de pilules et la rangea dans son sac.

Dès ce moment je sus que je la tenais, mais le moment n'était pas en-core venu de refermer le piège sur elle. Je voulais attendre d'être parfai-tement prêt.

J'étais décidé à attendre le prochain rendez-vous.

CHAPITRE 2 : Les closes du marché

Nous devions maintenant régler le déroulement nos rencontres, il me pa-raissait évident que c'était à moi de définir le temps que je voulais jouir de ses charmes.

Elle me confia qu'il était de son intention de m'accorder le minimum de temps chaque semaine, u rendez-vous peut être deux par semaine, mais elle dut changer son fusil d'épaule dès notre première rencontre.

Elle m'avait avoué que son mari n'était plus inters par l'amour oral depuis la naissance de son second bébé.

Par ailleurs elle n'avait aucune idée du temps que cela prendrait pour arracher orgasme sur orgasme de son corps endormi.

J'aimais faire l'amour aux mères de famille et je l'aimais d'autant plus qu'elles étaient enivrées, juteuses et trempées lorsque je les prenais.

Elle apprit ainsi incidemment que j'aimais disposer de femmes fontaines et que j'avais mes propres idées pour amener les femmes que je baisais à mouiller.

Bien sur sa chatte était élargie puisqu'elle avait accouché de quatre en-fants, il m'était difficile de me contenter de sa foufoune, ma bite ne mesurait que 18 cm environ et était pas plus épaisse trois doigts joints ensemble, comme elle avait enfanté naturellement ses quatre gosses ma bite se trouvait un peu perdue dans foufoune distendue.

Pour peu qu'elle secrète une bonne dose de lubrifiant, il m'était impossi-ble de jouir dans une chatte aussi large.

Je lui enseignai une petite ruse, elle tendrait sa main et placer son index et son pouce pour former un anneau à l'orée de son con de mère.

De cette manière je traversais l'étroit anneau avant de la pénétrer ce qui finissait par déclenchera mon éjaculation, je me réjouissais cependant de vomir mon foutre dans l'utérus d'une femme mariée à un autre homme que moi, d'autant plus que je savais qu'elle était mère de quatre enfants.

Nous nous rencontrions parfois trois ou quatre fois dans la semaine, par-fois elle ne me faisait qu'une bonne pipe à l'arrière de son espace, d'au-tre fois je lui bouffais le gazon jusqu'à la faire jouir sous les caresses de ma langue, elle rentrait chez elle rassasiée.

Cependant tout dépendait de son cycle menstruel.

Ses cheveux noirs avaient joliment poussé, son mont de Venus était couvert d'un épais buisson crépu que l'on distinguait clairement sous sa culotte de maillot de bain blanche lorsqu'on se délaçait à la piscine de l'hôtel.

Les poils de ses aisselles aussi formaient un épais tapis velu, elle avait dit à son mari que c'était une nouvelle mode qu'elle expérimentait.

Ses jambes étaient couvertes d'une fine toison noire.

Elle portait des pantalons chez elle, mais lorsqu'elle était avec moi des jupes à mi cuisses.

Je le lui avais demandé de façon à toujours pouvoir disposer de son ori-fice naturel, le port du pantalon lui aurait donné la fausse impression de pouvoir contrôler l'usage da sa chatte.

Sa toison broussailleuse me faisait délirer, j'étais incapable de détacher mes lèvres de sa fentine baveuse.

Après avoir joui de ces premiers plaisirs, il était temps maintenant d'ob-tenir ce que je voulais vraiment.

Je n'avais jamais mentionné son petit trou du cul si tentant ou comme je l'appelais sa porte dérobée.

Il était tout à fait clair qu'elle était pucelle du trou du cul et dans son es-prit elle le resterait jusqu'au jour de sa mort, du moins c'est ce qu'elle pensait.

J'avais décidé de lui casser le cul ce jour même et de lui montrer qu'une femme pouvait aussi faire plaisir à un homme par cette voie.

CHAPITRE 3 : La révélation

Cette fois nous nous sommes rencontrés au Super 8.

Nous nous voyions si souvent que je me demandais si je ne ferai pas mieux de retenir une suite au Ramada.

Nous avons passé deux heures à la piscine elle s'allongeait à mes cotés et piquait une tête de temps à autre pour me faire plaisir, j'aimais la revenir vers moi son épais buisson transparaissant au travers de son maillot blanc.

Tous les hommes présents la lorgnaient d'un regard concupiscent et me regardaient d'un oeil envieux, puis nous avions gagné tranquillement no-tre chambre.

Une fois dans la chambre, je verrouillais la porte et lui indiquais que je lui avais acheté une nouvelle tenue rangée dans la garde-robe.

Il s'agissait d'une jupe étroite qui moulait ses formes voluptueuses.

Elle ne perdit pas de temps pour se jeter à mes genoux et descendre mon pantalon, comme toujours ma bite était bandée alors qu'elle l'em-bouchait avec voracité, elle faisait coulisser sa main et ses lèvres sur ma hampe tendue me tétant pour m'amener à juter dans sa bouche, ce qui ne posait guère de problèmes habituellement.

Mais cette fois je voulais me réserver pour user de sa porte dérobée, et après quelques instants je la fis se relever et s'étendre sur le lit à mon coté.

Je me mis à l'embrasser alors que mes mains empaumaient sa savou-reuse croupe que je caressais lentement explorant chaque pouce de ses rondeurs, puis je glissais discrètement mes mains sous sa jupe conti-nuant à lui peloter les fesses avec lubricité.

Elle se saisit de mes mains pour les écarter, roulant sur son dos, je lui enlevais prestement sa jupe et lui écartais les cuisses en grand.

Je lapais et léchais alors avec avidité son entrecuisse détrempé, j'écar-tais ses babines de mes doigts fureteurs et titillais son clito d'une langue habile, son excitation grandissait au rythme de mes coups de langue.

Tendant la main je fourrais mes doigts dans sa chatte affolant son point G de mes caresses luxurieuses.

Ma langue glissait de son clito vers son petit trou et revenait à son clito, je lapais les muqueuses de sa fentine comme un chaton ronronnant de plaisir.

Sa moule secrétait des flots des flots de cyprine qui s'étalaient sur ses cuisses débordant de sa chatoune engorgée alors qu'elle succombait à un terrible orgasme qui la secoua longuement.

cette fois elle prête, j'attrapais la fiole lavement et lui glissais l'embout dans le vagin.

Elle resta inerte se contentant de lever les hanches pour permettre au liquide gras de diffuser plus facilement en elle.

Je vidais la bouteille en elle lui emplissant le vagin et l'utérus à ras bord, les trop plein s'écoula sur ses cuisses;

Elle leva ses hanches alors que je me postais entre ses cuisses grandes ouvertes; j'entrai facilement en elle. Sans que je dise un mot, elle avait placé ses doigts en anneau autour de ma hampe, la serrant fortement.

J'allais lascivement en elle plongeant jusqu'à heurter le col de son uté-rus, me régalant de la chaleur de ses muqueuses internes.

Elle me sourit ravie.

-"J'ai quelque chose à te dire!....... j'ai appris il y une paire de jours que j'étais enceinte ...... Je sais que tu voulais m'engrosser je pense que tu dois savoir que tu as réussi!...... Cela fera deux mois ces jours ci. ... J'ai programmé la prise d'une pilule abortive ce soir même ... Je veux avorter avant qu'il ne soit trop tard!......"

Ces mots tournaient follement dans ma tête."

-"Il faudra bien que tu me dises comment vous faites ta femme et toi pour baiser depuis des années sans avoir d'enfants!......"

Je glissais hors de sa chatte et m' assis décidé à lui faire part de ma vo-lonté.

-"Tu as entièrement raison ma chère Hélène, j'aurai du te dire ce que j'avais en tête ...."

J'appuyais sur le bouton lecture et l'enregistrement de notre petit arran-gement sexuel défila.

Elle vit, yeux écarquillés, bouche grande ouverte, le scène ou les détails de notre marché étaient clairement exposés, jusqu'à la fourniture de pilu-les abortives au cas ou!.......

Puis on nous vit tous deux baisant comme des lapins, on la vit rebondir d'orgasme en orgasme, sans oublier ces instants ou elle m'assurait à plusieurs reprises qu'elle n'avais jamais autant joui entre les bras de son mari.

Elle blêmit alors que son anxiété croissait.

-"Que ..... Que comptes-tu faire de cette cassette? ..... Pourquoi as tu enregistré nos rendez-vous?....."

Je tendis les mains et lui saisis ses opulentes fesses que je serrais fer-mement.

-"C'est là la seule contraception que nous utiliserons ma belle Hé-lène!..... Chaque fois que je voudrai me vider les couilles, ce sera dans ton trou du cul ... Comme ça pas de risque de t'engrosser!....."

Elle paniquait :

-"Ce n'est pas sérieux!..... Tu ne peux pas me faire ça!.... Cela fait-il longtemps que tu y penses!..... Dès le début tu avais projeté de me sodomiser!..... De me déshonorer!..... De faire de moi un morceau de viande qu'on remplit de foutre!.... Un garage à bites!...... "

Je lui souris cruellement précisant :

-« Ne joues pas les mijaurées Hélène!.... Tu m'as vendu ton corps, tu devais bien te douter que cela risquait de tourner mal pour toi!.... »

Elle éclata en sanglots tout en grommelant des sons incompréhensibles .

J'empoignais une serviette :

-"Roule sur le ventre que j'essuie les traces du lavement ......."

Elle était blême j'ai craint un instant qu'elle s'évanouisse, je me deman-dais que faire dans ce cas lorsqu'elle entama ses supplications, je la coupais immédiatement.

-"Inutile de discuter Hélène ...... Tu roules sur le ventre et m'offre tes fesses où j'envoie des copies de cette vidéo à ton mari, et la diffuse sur Internet!......"

Elle criait maintenant me suppliant de ne l'envoyer et de ne la montrer à personne.

Je rétorquais que c'était à elle de choisir;

Elle roula alors à contre cœur sur le ventre et je remontais sa jupe et lui essuyais les fesses. Je posais ensuite deux oreillers sur le lit et lui or-donnais de s'allonger le ventre sur les oreillers.

Elle me supplia à nouveau, mais son sort était réglé.

Elle s'étendit selon mes vœux et se prépara à l'inéluctable.

-"A partir de ce jour, lorsque je voudrai éjaculer, tu rouleras sur le coté, ou sur le dos pour me présenter ton petit oeillet si étroit ... Je ne connais personne qui aurait sorti 2.500 $ pour se vider les couil-les sur ton ventre, tu ne peux pas être naïve à ce point!......"

Elle pleurait et reniflait misérablement lorsque je me postai entre ses cuisses bien ouvertes.

-"C'est promis Hélène, cela va te faire mal au début, mais la douleur s'estompera rapidement!....."

Son trou du cul était excrément serré, son boyau broyait ma bite d'une main de fer, je rassemblais mes forces et lui évasais le goulot cherchant à passer le relier obstacle, elle crispait son sphincter anal cherchant ins-tinctivement à m'empêcher de la pénétrer.

-"Ouvre tes fesses et fais toi accueillante .... "lui intimais-je autoritai-rement.

Elle s'efforça d'obéir cramponnant ses deux fesses pour élargir son trou du cul.

Je forçais puissamment son oeillet frémit et avala soudain ma bite qui disparut lentement dans ses entrailles.

J'avais enfin réussi à mater son trou du cul rétif, je m'enfonçais de plus en plus profondément dans son fion qu'elle avait su garder inexploré jusqu'à ce jour. Ses muqueuses épousaient maintenant ma bite qu'elles enserraient d'une poigne de fer, elle se mit à crier alors que je commençais de succulentes allées et venues dans son boyau asservi.

-"Si tu veux prier enfouis ton visage dans un oreiller, ça évitera d'ameuter tout le quartier!....."

Centimètre après centimètre je l'embrochais impitoyablement.

-"Ton mari serait drôlement fier de sa petite pute de femme, s'il sa-vait ça, n'est ce pas ma chérie?.......

Je me reposais quelques instants bien enfoui au fin fond de ses entrail-les, couilles frottant contre ses fesses.

Elle haletait, son corps était couvert de sueur, la transpiration collait ses cheveux sur son crane, elle soufflait comme si elle était en plein effort.

Elle tenta de respirer profondément pour contrôler sa respiration et sou-lager sa douleur.

Je ne me souciais pas vraiment de sa souffrance, je voulais la briser mentalement, lui évaser le goulot pour amenuiser la résistance lorsque j'emploierai la sodomie comme moyen contraceptif.

Je faisais tourner ma bite dans son trou du cul que je martelais de toute ma vigueur, lui distendant son sphincter anal un maximum.

Dix minutes plus tard, ses larmes cessèrent, sa respiration se calma elle restait simplement étendue sur le ventre, grommelant entre ses dents, alors que je lui labourais le fion.

Je me retirais à plusieurs reprises serrant ma bite entre mes doigts pour retarder mon éjaculation, je voulais l'enculer assez longtemps pour ac-coutumer ses intestins à cette pratique.

Cela faisait une bonne semaine que j'attendais pour me vider dans son cul et je voulais en profiter à fond.

Je lui pilonnais le fondement depuis une bonne heure lorsque je me dé-cidais de jouir.

J'écartais ses grosses fesses en grand ce qui me permit de m'enfoncer encore de quelques centimètres dans son boyau asservi et je l'avisai :

-"Tu sais maintenant quel genre de contrôle des naissances j'utilise avec ma femme ........ Toutes les bonnes mères de famille de-vraient en faire autant!......." grommelais-je sourdement alors que je me vidais les couilles dans son trou du cul ravagé.

Lorsqu'elle sentit le flot de sperme jaillir dans ses profondeurs elle se mit à crier à nouveau, humiliée de s'être fait traiter comme vide couilles, ré-servoir à foutre, un réceptacle dans lequel déverser mon trop plein de sève.

Lorsque ce qui avait été le meilleur orgasme de ma vie s'estompa, un flot de foutre s'écoula de son trou du cul sur la face interne de ses cuisses, je m'essuyais avec une serviette sèche et me rhabillais.

Elle se lova en position fœtale et se mit à pleurer à chaudes larmes.

-"Rappelle toi bien ça ... Désormais tu te feras baiser comme de-vraient le faire toutes les bonnes mères de famille ..... Par ton étroit trou du cul!..... Je te prendrais encore par ton con mais je t te préviens que désormais je me viderai les couilles au fin fond de tes intestins. ... Tu m'entends?....... Dorénavant ce sera ma porte dé-robée!....."

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