Prise Sauvagement Par Surprise

Informations sur Récit
Un amant inatendu me prend de manière inatendue...
1.6k mots
3.96
48k
2
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Voici une histoire qui narre des événements qui me sont arrivés, évidemment légèrement modifiés pour exalter votre plaisir... Et le mien.

C'était une soirée d'automne. Je me rappelle être particulièrement allègre ce jour là car mes études dans le monde du livre se terminaient sous de belles augures, mes notes étaient bonnes et surtout j'aimais ce que je faisais.

Je ne sort pas souvent mais ce soir, Elisa, l'une de mes amies étudiantes m'a persuadée de l'accompagner boire un verre dans un petit bar pour fêter la fin des partiels.

Pour une fois, sans doute grâce à mon humeur du moment j'acceptai sans hésiter.

Le bar était plutôt exiguë, lumière tamisée, peu d'ambiance mais les prix étaient particulièrement attractifs à cette heure (fin de soirée).

Ma tenue était habituelle, je m'habille souvent de la même façon en automne. Je portai des petites ballerines noires et bien sûr des collants noirs translucides à élastiques sans motifs car cela met en valeur mes jambes, fines et longues malgré ma taille moyenne d'un mètre soixante-trois.

Une jupe noire terminée par un volant en dentelle m'arrivait au dessus des genoux. J'avais un top bleu foncé moulant qui j'imagine me va plutôt bien sans doute grâce à la séance de fitness que je fait une fois par semaine depuis quelques année. Cela me permet d'exhiber une taille bien dessinée, un ventre bien plat en accord avec ma petite carrure, du moins je l'espère... De plus cela dévoile juste suffisamment ma poitrine (90 C), sans trop en montrer!

Au dessus de mon top je porte une légère veste grise compte tenu du climat doux. Mes cheveux sont raides et noirs. J'ai les yeux bleus et un petit nez aquilain.

Nous pérorons au comptoir avec Elisa, tout en buvant une peinte de bière. Je n'ai pas l'habitude de l'alcool et cette quantité suffit à m'égailler ce qui ne veut pas dire que je sois ivre!

A ce moment un jeune homme arrive. Brun à lunette, le type un peu geek et s'assied à côté d'Elisa. Je suis soulagée car je n'aime pas être abordée.

Il nous salue simplement en faisait un léger sourie qu'Elisa lui renvoie. Son portable sonne. Elisa doit s'en aller, elle me fait la bise et quitte le bar rapidement, me laissant pantoise.

J'attrape également ma veste, prête à partir.

"Attendez, je vous ai commandé un cocktail.

-- Comment ça?

-- Et bien à cette heure là pour un cocktail acheté le deuxième est offert, vous n'allez pas me laisser me soûler quand même?"

En temps normal je serais certainement déjà partie mais ce type de garçon m'attire. Pas vraiment sûr de lui, il essaye maladroitement de cacher sa légère timidité.

Je décide de rester et l'aider à boire son deuxième cocktail. Je suis séduite, je crois. Nous sortons et faisons quelques pas dans la rue.

Je ne sais pas trop comment mais je décide de l'inviter chez moi, prendre un café. J'ai peu d'expérience avec les hommes car moi aussi je suis assez timide et la plus part des garçons ne m'attirent avec leurs techniques de drague bien rodées et expérimentées sur des dizaines de proies.

Nous prenons l'ascenseur. Nous nous regardons en échangeant des sourires. Séduisant, c'est le mot. Il s'approche de moi et m'embrase à pleine bouche.

Je lui rend son baisé. Mais que m'arrive-t-il? Je ne me reconnaît plus. Peu importe, c'est agréable. Il me glisse sa main derrière mes fesses et commence à les caresser puis passe sa main sous ma jupe et se montre plus entreprenant quand les portes s'ouvrent.

Nous nous séparons pour rejoindre mon studio, j'ouvre la porte qui donne sur la pièce principale, qui fait office de chambre et de bureau.

Elle est composée d'un lit mezzanine, d'un bureau et immédiatement quand on rentre d'une petite table ronde en bois contre le mur.

J'entre en première, enlève ma veste et la dépose sur le porte-manteau à ma gauche, je fais un pas et entend la prote claquer. Sans mot dire, le garçon me pousse sur la petite table ronde. Je lâche mon sac à main et me retrouve à plat ventre dessus. Qu'est-ce qu'il lui prend? Moi qui le prenait pour le type galant... Je suis plutôt surprise mais amusée.

A peine ai-je le temps de réaliser ce qu'il se passe que je sens ma jupe se soulever et entend le bruit métallique d'une ceinture qu'on enlève.

Une voix roque que je ne lui connaissait pas grogne : "J'ai vraiment trop envie ma belle, impossible d'attendre". Aplatie sur ma table, je suis toujours gaie. Je crois que le cocktail y est pour quelque chose mais diable, pourquoi pas, pour une fois, se laisser tenter?

J'essaye de me retourner pour l'embrasser et lui signifier que moi aussi, j'ai "envie". Il faut dire que ça fait 3 ans que je n'ai pas fait l'amour, ayant tout donné pour mes études.

Cependant, impossible de se retourner. Le garçon exerce une pression sur mes reins avec ces mains ce qui me maintiens sur la table. Pas très confortable...

Il essaye d'enlever mon top et n'y parvient pas, commence à tirer dessus.

"Tu vas l'étirer! Laisse moi t'aider!" Et laborieusement, mon top est retiré et jeté contre la fenêtre face à la table, s'écroule au sol et gît comme un tas de chiffons.

Il passe une main sous le bonnet gauche de mon soutien gorge noir uni et palpe mon sein. Cela ne dure qu'une seconde et laissant un sein en dehors du soutiens gorge, l'autre au dedans, sans chercher même à me débarrasser de mon soutien gorge, il s'attaque à mon shorty bleu marine. Il le tire avec force, je l'entend craquer puis il le baisse et je le laisse tomber à mes pieds. Je crois qu'il est bon à jeter.

Sans avoir le temps d'y réfléchir ou même de pouvoir lui demander d'être doux étant donné son hardeur, je sens mes lèvres s'écarter brutalement et immédiatement après mon vagin est rempli de son sexe.

"Haaaa!!" Un cri m'échappe et j'essaye de le ravaler immédiatement, connaissant le voisin, un vieil abruti cinquantenaire, qui me reluque lorsque je le croise et me sort des sotises auxquelles je me force à rire.

Il me pénètre sauvagement, brutalement même, avec un rythme soutenu, trop rapide, sans doute.

Mes hanches sont empoignées par ce garçon décidément pas si doux qu'il en a l'air, ses coups de butoir me propulsent en avant et arrière cognant mes hanches contre le bord de la table au grés de ses fantaisies.

Mon vagin est clairement humide et de la cyprine commence à dégouliner sur la moquette. Mince ma moquette! Il va falloir tout laver...

Je rassemble mes forces pour parvenir à articuler quelques mots tout en essayant de ne pas pousser trop de gémissements.

"Doucement... S'il-te-plait... Le voisin est là..."

Pour seule réponse j'ai des râles, des grognements. Ne jamais se fier aux apparences! Moi qui l'imaginais fleur bleue... Finalement, mon plaisir est immense et je me rend compte à quel point j'aime sa façon de me prendre. Pourtant je rassemble mes pensées...

"As-tu mis un préservatif?!

-- Ne t'inquiète pas, je te prends dans les règle de l'art." Et les grognements reprennent. On va prendre ça pour un oui...

"Ralenti, t'es possédé ou quoi?

-- Ta gueule, c'est toi que je possède, petite chienne". On ne m'a jamais traité ainsi, malgré le plaisir, si notre relation dure, ce que j'espère, il faudra qu'il apprenne à se calmer le garçon!

Je crois que la moquette est inondée, mes hanches rougies, mes seins aplatis contre cette foutue table, je n'arrive plus à retenir mes gémissements, cet énergumène ne ralenti toujours pas, m'enfourche jusqu'à la garde en m'écrasant contre la table, et pourtant je n'ai jamais rien vécu d'aussi bon, je crois qu'un orgasme est en passe de me foudroyer.

Tout à coup, une douleur aiguë l'envahie, me force à empoigner la table et à pousser un cri. Que se passe-t'il? Les coups de butoirs ont cessés.

Soudain je comprends, mon dieu! Il m'a pénétrée par le mauvais trou!

"Haaaaaaa! Mon dieu, mauvais trou! Dégage!" Je crie, sans penser au voisin.

Mais il ne se retire pas. J'essaye de me redresser mais il pose sa main sur ma tête et me force à rester à plat ventre, sans ménagement.

"Désolé, mais c'est de ta faute, tu es une fontaine." Et sur ce, il retire son sexe de mon anus de quelques centimètres, et le pénètre à nouveau. Les larmes me viennent. La douleur est

trop forte.

"Arrête! Arrête! Retire toi!" Rien n'y fait, il continue sa pénétration et l'accélère même.

"Connard! Salop!" J'ai beau l'insulter de tout les noms, il continue. Mais la douleur s'atténue au fur et à mesure des allers-venues, heureusement.

Je me sens possédée, compressée contre cette table, sodomisée par surprise, chose que je n'avais bien sûr jamais expérimentée. Je ne suis même pas encore déshabillée. J'ai toujours mes collants, ma jupe et mon soutien-gorge. Mes seins sortis de son bonnet balotte au rythme donné par mon brutal partenaire. Et je crois que j'apprécie toujours autant ce qui est en train de se passer.

Je ne lutte plus. Je vois des étoiles, non pas à cause de la douleur cette fois, mais grâce au plaisir. L'orgasme promis tout à l'heure vient enfin. La moquette est trempée, le voisin à tout entendu, tant pis!

Les râles du garçon se font de plus en plus insistant. C'est une vraie bête. Et il se retire de mon petit trou, souillé. Il a terminé, visiblement.

"Mon dieu c'était vraiment..." Avant que je puisse terminer ma phrase j'entends la porte s'ouvrir et se fermer. Parti! Ce salopard se tire comme ça, et me laisse gisant sur la table, haletante de plaisir, les lèvres dégoulinantes de cyprine et soudain je le réalise, l'anus dégoulinant de sperme!

Ma vie sexuelle sera bouleversée par cet événement et je n'aurai qu'une hâte : retrouver le plaisir d'être prise aussi sauvagement.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 14 jours

Bien raconté et excitante. Le mec a de la chance

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 8 ans
Et la suite?

oui, quelques fautes d'orthographe, mais belles situations et bon scénario de départ, non?

Continue!!!

AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans

J'ai apprécié votre histoire. Certes le texte est court mais on n'a ainsi pas le temps de s'ennuier dans des détails superflus.

AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans

j'ai pas aimé, texte trop court, pas assez de détail. Fautes d'orthographes bizarre (m'aigailler au lieu de m'égayer).

Ne mérite pas 1 étoile sur 5

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Le Propriétaire Pervers Mon propriétaire profite de mon problème de jeu.
Un Medecin Très Attentionné Un medecin vicieux profite d une jeune patiente.
La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
Plus d'histoires