Programme Hypnotique

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Le hasard peut parfois bien faire les choses.
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Brian Vasquez sortit en douce de l'ascenseur et se pressa de traverser le couloir. Le dortoir de cette fille n'était pas vraiment interdit aux hommes, mais il avait ses propres raisons de ne pas vouloir être vu cette fois-ci. C'était sa seconde visite des lieux cette nuit.

Il atteignit la chambre de Debbi Posta sans attirer l'attention sur lui et frappa doucement à la porte. Il était certain qu'il n'y aurait pas de réponse de la part de la fille qui était assise à côté de lui dans leurs classes des Technologies de l'Information, mais il se devait d'être prudent.

Il savait que Debbi était à l'intérieur de sa chambre. Il l'avait observé entrer au fond du couloir. Elle était à l'intérieur, et elle avait eu tout le temps qu'il fallait pour découvrir le nouvel écran de veille qu'il avait installé sur son ordinateur lorsqu'il s'était infiltré dans la pièce.

Il pouvait se représenter parfaitement la jeune étudiante, compétemment absorbée par le logiciel informatique "Compurape", se tenant nue au milieu de son salon, sa lourde poitrine pointant fièrement. Sa peau fraiche rougie par le froid. Elle 'esquisserait pas un geste pour se couvrir lorsqu'il entrerait. Elle ne le snobera pas comme à son habitude lorsqu'elle le surprenait entrain de la regarder en cours. Elle n'allait avoir aucune réaction de prétentieuse, et aucune résistance à l'encontre de ce qui se passerait ensuite...

C'était ainsi qu'était fait le logiciel "Compurape", c'était ce qu'il faisait aux femmes. et la raison pour laquelle il y avait mis toute ses économies. Autant Debbi le détestait royalement, autant elle allait être complètement à lui pour le reste de la nuit, réalisant tout ses souhaits. Elle ne tarderait pas à s'allonger sur le dos, les jambes grandes ouvertes, gémissante alors qu'il...

"Qu'est ce que tu me veux?" Grondât Debbi Posta, après avoir ouvert la porte, détruisant les espoirs de Brian. Elle portait toujours la veste et le sweet qu'elle portait avant d'entrer chez elle, et il était évident qu'elle n'était pas hypnotisée. Elle le regardât, attendant une réponse.

Brian était complètement perdu. "Heu... bah... je me suis trompé de chambre, excuse." bafouilla-il avant de s'envoler.

Qu'est ce qui s'était passé, bon sang?

+ + + + + + +

Deux heures plus tard, c'était au tour de Debbi Posta à venir frapper à la porte - celle de l'appartement universitaire de son enseignante d'informatique. Elle tenait le disque sans nom, et lorsque la porte s'ouvrit elle le tendit immédiatement à Mademoiselle Baxter. "Et voila," Dit-elle "Un de ces geeks de ma classe d'Info Tech avait implanté cela dans mon ordinateur. C'est supposé fonctionner comme fond d'écran."

Marie Baxter pris soigneusement le disque. Elle était elle même geeks sur les bords, cela dit, personne n'aurait pu le penser. La brune aux long cheveux, qui faisait 7 centimètres de plus que Debbi, gardait un physique ravissant. Elle courrait fréquemment et faisait régulièrement de l'exercice en gym. Elle allait assez souvent bronzer également, et avait un visage pouvant rendre pas mal de jeune étudiante rouge de jalousie. Les jeunes hommes signaient à son cours principalement pour avoir quelque chose à regarder pendant qu'il l'écoutait donner ses leçons.

Marie était toujours désireuse d'examiner un nouveau programme. "Tu as dit qu'il y avait des images hypnotiques dessus?"

"Oui, des subliminales," Répondit Debbi. "Je pense que c'est supposé séduire les femmes. Assez fou non?"

Marie ricana. "Quelque chose que beaucoup de jeunes hommes aime passer leur temps à tenter."

Elle posa le disque sur son bureau, qui était en réalité supposé être sa table à manger, et qui était couverte d'équipement informatique. Elle avait deux ordinateurs performants, et choisit d'insérer le disque dans celui qui gérait l'écran le plus grand. Elle voulait avoir une bonne vision de ce "séducteur."

Dès que le programme commençât à tourner, l'écran 24 pouce devint momentanément noir. Puis l'écran de veille débutât son travail. C'était un mélange de couleurs inoffensif, aux contrastes assez finement réalisé. Maria hochât la tête, regardant attentivement, mais ne dit rien.

"Votre ordinateur possède un microphone?" Demandât Debbi en se penchant pour activer le son.

"Bien sur."

"Super."

Bientôt un petit point rouge apparu au centre de l'écran. Il ne restât guère immobile, préférant tourner en vague dans son espace vital. La jeune enseignante hochât à nouveau la tête. "Cela doit être le point d'attention," observât-elle. "L'idée et que le sujet se focalise dessus, et qu'au bout d'un moment il soit incapable de détourner le regard."

Et, effectivement, Marie Baxter ressentait le besoin de rester concentrée sur la petite bille rouge alors qu'elle se déplaçait doucement et aléatoirement sur l'écran. Elle réalisât ses propres réactions avec fascination.

La fascination devint plus forte encore lorsque la bille grossit en taille, et Marie commençait à avoir des doutes. "Est tu... est tu sur que ce programme est sans danger?" demandât elle dans une voie assez distraite sans quitter l'écran des yeux. "Je veux dire, tu as bien dit qu'il ne fonctionnait pas, non?"

Debbi se tenait à côté de son professeur, une main innocente posée sur le haut en coton, au niveau de l'épaule de la grande femme. Elle pris tout son temps avant de répondre, et les yeux de Marie restaient collés à l'écran tout ce temps. "En faite," répondit finalement l'étudiante, "Ce que j'ai dit, c'est que cela n'avait pas fonctionné, sur moi. Vous savez, je suis lesbienne, et le programme est conçue pour les femmes hétéros." Sa main serrât l'épaule de l'enseignante, un tout petit peu. "Je pense cependant qu'il fonctionnera vraiment bien sur vous, Mademoiselle Baxter En faite... J'y compte bien."

Marie écoutait les mots de Debbi avec une toute petite partie de son cerveau, et ne comprenait guère le sens de ces derniers. Lesbienne? Debbi est une lesbienne? C'est dégoutant.

Mais à part cette pensée, la brunette ne dit pas un mot, ni ne se dégageât ne serait ce qu'un petit peu des mains qui à présent massait ses épaules de façon affectionnée, presque intime. Elle était si détendue, immobile. Ce serait si agaçant de bouger et de ne plus ressentir un tel bien être. De toute façon, les images sur son écran d'ordinateur changeaient doucement, subtilement, devenant de plus en plus intriguâtes à chaque moment, et elle était sur qu'elle raterait quelque chose si elle tournait les yeux...

Il y eut des flashs de texte en surimpression par dessus l'arrière plan coloré, des mots qui imprégnèrent son esprit sans qu'elle ne fasse aucun effort de concentration Sois passive... soumet toi entièrement... Entre dans le programme...

Elle entendit...

Elle écouta...

Elle obéit...

+ + + + + + +

Debbi observât les lumières disparaitre devant les yeux de son enseignante, et sut que le disque avait fait son travail. elle passât gentille ment un bras autour de la taille de Mademoiselle Baxter -- de Marie, et se pressât contre le dos de son encolure. "Il n'y a pas que les garçons qui regarde tes jambes en cours tu sais," révélât-elle, descendant son ongle au vernis rouge sur la cuisse couverte du jean de l'autre femme.

Le faible bruit des ondes sortant des enceintes de l'ordinateur garderait Marie dans son état de transe même si elle était détournée de l'ordinateur. Debbi la retournât donc, afin de pouvoir placer un gentil baiser sur ses lèvres. La femme sentait une odeur de Cologne puissante qui envoyèrent des vagues de plaisir sensuelle à travers le corps de Debbi. "On va vraiment s'éclater ce soir." annonçât la jeune étudiante en se défaisant de sa veste et son sweater. En dessous, elle ne portait qu'un petit string ficelle rouge et un soutien-gorge assortie.

Le petit appartement de Marie Baxter convenait parfaitement pour un rendez-vous enflammé. Les murs étaient rose, la lumière faible. La seule fenêtre de la pièce était plutôt bien protégée et le lit était dans le salon, détail qui n'avait pas été oublié.

"Pourquoi ne pas refaire le lit pendant que je nous sert quelque chose à boire?" Incita Debbi. Son ton se voulait désinvolte, mais la remarque était enregistré par le microphone et traduit en signale électromagnétique qui s'installa dans l'esprit de Marie sans qu'elle eut la chance de le remettre en question ou de l'arrêter. Hochant la tête docilement, l'enseignante retira ses piles de livres du lit et remis en place les draps et la couverture.

"Ne t'arrête pas, déshabille-toi," dit Debbi depuis la porte de la cuisine, en se servant un verre de vin. Elle regarda avec un désir fascinée Marie retirer son haut et défaire la fermeture de son jean. Son sous-vêtement était fait de coton blanc.

Il y eut un coup à la porte.

Debbi réalisa avec effroi qu'elle avait oubliée de fermer a clé. "Juste une minute!" cria-elle, mais la personne n'écoutât pas. La porte s'ouvrit.

Brian Vasquez entra dans la pièce juste au moment où Marie, déjà en sous vêtements, défaisait son soutien gorge de bonnet C et le laissait tomber au sol. La mâchoire du jeune homme s'ouvrit béante.

"Casse -toi de là, Brian." S'époumonât la jeune fille, tenant de repousser le mâle non désiré à l'extérieur en se plaçant entre lui et Marie. "On veut être seules."

Mais Brian ne se laissât pas repousser si facilement. Il devinait parfaitement ce qui se tramait. Son arrivée n'avait aucun effet sur Marie Baxter -- elle l'ignorait totalement, se défaisant de sa petite culotte sans un regard dans sa direction. Ce n'était guère une attitude normale. "Tu a utilisée mon programme!" l'accusa-il. "T'est quoi? une lesbienne?"

Elle rougie. "Allez maintenant, barre-toi."

Il eut un sourire méprisant. "Tu EST une lesbienne. Si j'avais su cela au début, j'aurait programmé les choses autrement."

"Ecoute, je te verrait pus tard. Je te rendrais le programme demain. Mais ne gâche pas ma soirée."

"Taratata, pas question. Si je pars, c'est pour me rendre à la sécurité du campus. La balle est dans ton camp!"

Debbi était furieuse, mais savait qu'elle ne pouvait plus faire sortir Brian si cela conduisait à se faire attraper. Elle serait virée.

Elle lança un regard vers la prof de science informatique, qui attendait complètement nue. C'était une beauté sans défauts, bronzée intégralement, avec une toute petite touffe de poils au dessus du minou. "Je te donne deux cent dollars si tu te barre tout de suite," déclarât-elle à son rival de classe.

Brian adorait ça. Son sexe se durcissait déjà et il ne comptait pas partir. Il se tourna pour fermer la porte à clé. "T'inquiète, je ne vais pas te gâcher la soirée. Vas-y, fait ce que tu voulait faire. Je vais juste m'assoir et me faire une place de souris." Il posa une chaise a côté du lit.

Debbi savait que Brian ne compter pas rester à observer avant de partir, mais elle avait vraiment envie de sa prof, et cela semblait être la seul option Elle accepta le compromis et ignora le spectateur. Elle porta toute son attention à Marie pendant que Brian prenait place et défit sa ceinture.

Debbi était impressionnée lorsqu'elle approcha du corps parfaitement proportionné de la grande brune. C'était quand même une de ses enseignantes. Pour trois semestres, elle avait pris place dans la clase de Mademoiselle Baxter, levant sa main pour parler, lui rendant ses travaux et acceptant ses critiques. Mais plus que de la peur, elle sentait un désir puissant. un désir brûlant et sauvage. Cela lui procura quelque frissonnement entre ses jambes, simplement à regarder la beauté de Marie.

Elle se souvint donc qu'elle était celle qui devait guider les choses à présent. Elle prit Marie par la main et la guida jusqu'au lit, l'invitant à s'assoir dessus. Prise de vertiges, elle pris la dame dans ses bras. "Serre moi dans tes bras." murmurât-elle, et l'étreinte lui fut rendue, un peu maladroitement.

Debbi ignora les murmures d'admiration de Brian et plaça sa bouche contre celle de Marie, une main emmêlée dans ses cheveux soyeux. Elle fit passer sa langue entre ces lèvres rouges et dans l'accueillante bouche de l'autre femme, l'explorant. Pendant ce temps sa main libre glissa jusqu'aux seins ferme et bronzés de Marie. elle commença à tordre les doux tétons jusqu'a ce qu'il se raidissent, puis descendit, passa le ventre de Marie, atteignant la jointure de ses cuisses . Elle frôla de ses doigts la douceur de ses poils pubiens, mais les cuisses étaient serrés. "Je te désire en tant qu'amante," dit elle tendrement à l'enseignante, séparant les cuisses de ses mains. "Laisse moi te toucher."

Cela suffit à lui donner accès à la chatte de Marie.

L'enseignante universitaire avait toujours eu un dégout pour les lesbiennes, mais avec l'aide du logiciel Compurape, Debbi put rapidement faire son travail de stimulation. L'ordre "Fait-moi l'amour," suffisait amplement. Les baisers se firent plus agressif et passionnés. Les doigts de Marie glissèrent jusqu'à l'attache de Debbi, la défaisant avec expertise et la retirant d'entre elles. elle pressa ses propres seins gonflés contre ceux de Debbi, plus gros et si tendre. elle empoigna l'une des blanches rondeurs, les serrant et les massant avec passion.

Les mamelons de Debbi se durcirent encore pus et elle se sentit fondre alors qu'elle se régalait de la langue de Marie. Elle sonda la chatte de sa prof jusqu'a trouver son entrée humide, et enfonça un doigt en elle, puis un autre. Les deux femmes tombèrent sur le lit, enlacées.

Sentant les ongles de Marie glisser sur sa peau, Debbi décolla ses hanches afin de la laisser faire glisser son string pour le lui retirer. A présent les deux femmes étaient nue, se caressants et se tripotant, à la recherche de plus de contact. Après deux semestres à fantasmer sur elle, Debbi l'avait à présent contre elle, ses doigts lui caressant les grandes lèvres, ses propres doigts a demi perdus dans la grotte humide de Marie.

Debbi se mis sur Marie et de ses bras se releva doucement, laissant ses seins en suspens à l'attention de la bouche de Marie, qui blottit sa bouche avec envie contre ses formes, afin de sucer ses mamelons gonflés, faisant vibrer ses tétons de désir.

elle glissa sur le corps ravissant de la brune hypnotisée jusqu'a se trouver entre ses jambes. Les écartant, elle se délecta de l'odeur de Marie et observa la jolie chatte entretenue. Ses lèvres étaient humides et gonflées, et son petit clitoris était visible. Debbi frotta son visage sur le minou de Marie avant d'y plonger sa langue. Elle était délicieuse.

Elle avait envie du même traitement. Elle releva sa tète et haleta "Lèche ma chatte."

Les bruits statique produit par l'ordinateur n'étaient d'aucun effet sur Debbi et Brian Mais Marie Baxter recevait les messages clairement. Dans son état de docilité forcée, elle se déplaça afin d'échanger de place avec Debbi, s'agenouillant pour placer sa bouche tout contre la tendre chatte de Debbi sans préambule. Elle commença à lécher et aspirer les tendres lèvres.

Brian avait regardé avec avidité la scène. Son pantalon était retiré Son sexe tendue dans sa main, ravi d'assister à l'acte érotique. Il avait assisté aux cours de Baxter et lui même avait fantasmé sur elle depuis qu'elle était entrée dans la pièce. Lorsqu'elle se mit a porter des jupes courts et des hauts collant à son corps, il pouvait l'imaginer penchée sur son bureau, la jupe relevée.

A présent elle était à ses cotés, nue et à genoux, devant la chatte d'une autre. C'était incroyable.

Et Debbi, la jeune étudiante obstinée qu'il avait poursuivit depuis si longtemps... Il ne l'avait jamais vu ainsi. Elle avait les cuisses largement écartés, son buste sautillant de toute part alors qu'elle s'approchait de son orgasme. Il se déplaça fin d'avoir une meilleur vue de la chatte joyeuse et baveuse de Debbi.

"Ooohh, Oui, Oui! Je jouuuiis" Hurlât Debbi au bout d'un moment. Ses jambes tremblèrent alors qu'elle rua comme une jument, mais les lèvres de la prof d'informatique restèrent collés à son intimité. "Putain, oui c'est si bon!!"

Brian décidât qu'il était temps d'intervenir. Dans une pièce pleine de femelles, il n'allait certainement pas se rependre dans son boxer. Il se leva et donna son propre ordre à la brunette asservie. "Bouge ton cul pour qu'il me fasse face." dit il.

Debbi lui lança un regard dégouté, mais elle subissait un orgasme intense et n'était pas en capacité de le stopper. Mademoiselle Baxter continua a s'allaiter de l'entrejambe de Debbi, mais en même temps se mis a genou, afin que ses fesses se présentent à Brian.

"Je veux voir ton cul et ta chatte," ordonna-il.

Marie leva ses hanches vers le plafond, se servant de ses deux mains pour écarter ses fessiers.

"C'est bon," soupira Brian, et il 's'agenouilla au bord du lit derrière la prof, regardant son intimité. Elle était lisse et trempée par la salive de Debbi.

Il pris les hanches de l'enseignante et caressa de sa queue l'entrejambe de la jeune femme, se servant de ses jus intimes afin de se lubrifier son membre dressé avant de s'enfoncer dans son intimité sans demander son autorisation. Pendant se temps Marie continuer de laper la chatte de Marie

Debbi, quant à elle, regardait avec plaisir Mademoiselle Baxter se faire baiser. Elle ne voulait pas que cela lui arrive, car elle pensait que les hommes était dégoutant, mais quand même, c'était excitant à regarder la queue imposante de Brian la pistonner sans arrêt alors qu'elle la léchait.

Puis, juste devant ses yeux, Brian sortit entièrement son membre de la prof, avant de lui donner une nouvelle instruction. "Utilise tes mains pour enfoncer ma bite dans ton cul."

Marie le fit sans hésiter. Elle pris sa canne rigide, trempée de ses jus intime, et la pointa contre son petit trou.

Brian s'enfonça rapidement en elle, criant de délice. Marie commença à pousser ses premiers bruits de la nuit, a commencer par un petit aboiement surpris assourdie par la tendre chair qui couvrait sa bouche. Debbi approcha à grande vitesse de son second orgasme. C'était trop bon!

Elle ne jouie pas seule cette fois. Ce fut également le tour de Brian. La chatte de Mademoiselle Baxter avait été aussi serré que toutes celles qu'il avait prises, mais ce cul était vierge. Il s'enfonça entièrement en elle, puis explosa, n'ayant plus le choix, et remplit son petit canal de son sperme chaud.

"Ouiiiii" gémit il alors que son fluide blanc se vidait en elle. "Mon Dieu ouais, prend toi sa!"

Sortant de son cul, il sourit en regardant sa semence couler sur ses cuisses.

Debbi sortie de son orgasme et la partie se terminât. La jeune lesbienne reprit les choses en main, ordonnant a la prof de se laver et d'aller se coucher. Elle ne se souviendrait de rien.

Debbi se tourna vers Brian. "Je veux le disque," dit elle, prête à argumenter.

"Au diable," dit il en se rhabillant. "Tu peut l'avoir, ce n'est qu'une copie." Il lui envoya un baiser et sortit de l'appartement.

Debbi regarda Mademoiselle Baxter pour s'assurer qu'elle obéissait aux ordres, puis en profita pour prendre elle-même une bonne douche, pensant au plaisir qu'elle allait avoir.

Voyons voir... Il y a Audrey des Sciences Sociales, Lise Chang des dortoirs...

Elle adorait faire l'amour à de jeunes hétéros. Elle se doigta en pensant au possibilités.

Elle sortit ensuite de la douche, puis se prépara à rentrer. Elle était crevée et avait besoin de se reposer. Elle se dirigea vers l'ordinateur pour récupérer le disque.

Le programme tournait toujours. Quelque chose au niveau des images sur l'écran attirèrent son attention, et elle hésita à éteindre la machine. Elle regarda les images colorés flouées, regardant la petite balle rouge, et soudainement, réalisa ce qui avait captivée Marie Baxter de la sorte.

Elle était fatiguée, et, oh combien détendue de la soirée. Sa ne pouvait pas lui faire de mal, à juste se détendre et regarder l'écran...

+ + + + + + +

Après dix minutes environ, Brian sortit de sa cachette, sous le lit de Marie. Il était rentré dans l'appartement alors que Debbi était sous la douche, et s'était assis à l'ordinateur, faisant quelques rapide changements sur le programme.

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