Qui suis-je vraiment? 04

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Poussée á s'exhiber dans des lieux pub.
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Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/26/2013
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Photos d'identité:

Le lendemain comme prévu, il m'appela pour me dire qu'il devait s'absenter. Pour patienter, il exigea que durant le week-end j'aille faire des photos dans un photomaton situé dans une station métro et que je l'appelle à ce moment là. Pour ce faire il fallait bien évidemment que je m'habille de manière sexy.

A côté de cela, il me dit de profiter de mon enfant. C'était en effet le retour de mon fils d'Italie. Ainsi cela me permettait de palier l'absence de cet homme qui prenait une place de plus en plus importante dans ma vie.

Le samedi matin je laissais donc dormir mon fils un peu plus longtemps. Je m'habillais avec un tailleur strict que je réservais pour les réunions professionnelles, mais dessous je me vêtis des sous-vêtements tant apprécié par mon homme, c'est-à-dire bas coutures retenus d'un porte-jarretelle noir en dentelle que je venais d'acheter dans un magasin proche. Quant au haut c'est un soutien gorge noir qui évitait à mes seins de sortir de la veste. Du fait du froid de novembre je m'étais en outre couverte d'un chaud manteau pour sortir.

Lorsque j'entrais dans le photomaton je l'appelais comme convenu :

- Inconnu : Comment es-tu habillée Laurence?

- Moi : D'un tailleur avec une veste échancrée jusqu'à la naissance de mes seins. Quant à la jupe elle est droite et ouverte sur le côté.

- Et tes dessous?

- Comme tu les aimes, porte-jarretelles et dentelle.

- Vouvoies moi s'il te plaît! Pour l'instant seul moi aie le droit de te tutoyer. D'accord?

- Oui je m'en rappellerais.

- Et tu sais pourquoi tu dois me vouvoyer?

- Parce que je suis une salope.

- Une salope qui aime être soumise. Répète!

- Je suis votre salope qui aime être soumise.

- C'est bien ... Bon, je veux en fait des photos d'identités mais comme tu t'en doutes spéciales. Tu vas donc faire des photos montrant ton évolution. En clair tu vas poser telle que tu es, puis avec tes seins qui sortent de ta veste, puis tu te prendras en photo uniquement en sous-vêtements et enfin totalement nue. Entre les poses, il est hors de question que tu prennes les photos qui se seront développées en dehors de la cabine. Une fois terminé, tu resteras nue et tu m'appelleras, c'est compris!

- Oui je ferais comme vous me le demandez.

Je n'avais pas pensé à cela, mais à tout moment quelqu'un d'attentif pourrait voir ce qui se tramait dans l'appareil. En outre je m'aperçus que le rideau ne cachait pas entièrement l'intérieur de la cabine et qu'il faudrait que je me dévoile pour remettre de l'argent.

Je commençais à rougir, mais décidais de me lancer dans cette nouvelle exhibition. Les premières photos furent rapides car enlever un soutien gorge ne prend pas beaucoup de temps. Par contre enlever son tailleur dans un endroit aussi exigu sans dévoiler à l'extérieur ce qui se passe est plus difficile. Habillée de mon porte-jarretelle, des mes bas et de ma fine culotte je me penchais pour insérer les pièces nécessaires à la troisième série. C'est alors que j'aperçus un clochard qui regardait dans ma direction. J'étais tétanisée, pourvu qu'il n'ouvre pas le rideau.

Tremblante de froid mais surtout de peur, à cause de l'homme qui à quelques mètres de moi devait se poser des questions, je lançais le déclenchement des photos. Le froid avait un autre effet sur mon corps, il raffermissait mais seins dont les tétons pointaient de manière obscène devant l'objectif. Je m'en apercevais en entamant l'effeuillage des dernières pièces protégeant ma peau.

Lorsque je me penchai pour insérer les dernières pièces, l'homme fixait toujours l'interstice entre le rideau et le montant. Il se mît à sourire en voyant mes seins balançant dans le vide. J'étais cramoisie et comptais le nombre de secondes me séparant de la fin de ce calvaire. Une fois fini, j'appelais aussitôt mon inconnu pour clore le défi, ce qui dû se ressentir dans le son de ma voix.

- Moi : Je viens de finir les photos que dois-je faire maintenant?

- Inconnu : Que se passe-t-il tu as l'air stressée, tu as peur d'être surprise?

- Je crois que c'est déjà fait, il y a un SDF qui me fixe et j'ai peur qu'il n'ouvre le rideau. Je veux partir.

- C'est moi qui décide. Pour la peine tu vas remettre uniquement tes jarretelles et tes bas. Tu mettras ton manteau sans le fermer et tu montreras en sortant à cet homme ton joli minou rasé surligné de tes dessous. Tu en profiteras même pour le remercier de t'avoir maté. Quant à ta culotte tu vas la mettre dans ta bouche et la nettoyer avec ta salive.

- Mais mon tailleur???

- Tu le mettras sur ton bras, ce qui ne te laissera qu'une main pour maintenir fermé ton manteau. Au fait n'oublie pas les photos.

- Mais je vais attraper froid avec la température qui fait.

- Je suis sûr que tu as tellement chaud par l'excitation que cela te procure que tu n'y prêteras pas attention. As-tu compris ce que tu dois faire.

- Oui j'ai compris ce que vous voulez.

- C'est bien tu redeviens gentille ma petite... comment déjà???

- ... Salope,... je suis une petite salope.

- Dis plus fort ce que tu es et ce que tu fais pour qu'il t'entende avant de sortir.

- Je suis une salope qui vous suis soumise.

- Et qui aime s'....

- Se déshabiller en public?!?

- Dis le de manière plus cru!!!

- Se foutre à poil en public!

Abattue, par ce que je venais d'oser dire et par la tenue dans laquelle j'étais je suivis donc les directives. Aussi, en sortant j'exposai mon corps à l'individu et me rapprocha légèrement pour le remercier de m'avoir maté. Propos qui nécessitèrent que j'ouvre la bouche afin de pouvoir passer outre l'encombrement de la culotte dans ma bouche. Tout sourire, car non seulement il m'avait vu nue et surement entendue, il comprenait facilement ce que je mastiquais désormais tel un chewing-gum. Il me retourna les remerciements sans oser me toucher (je l'en remercie encore pour cela).

Faisant demi-tour pour prendre les photos, je m'aperçus qu'elles avaient disparues. J'étais désespérée, mais n'osa pas demander au SDF de me les rendre car cela ne pouvait être que lui qui les avaient. Je rentrais effrayée à l'idée que ces photos circulent et soient échangées à n'importe qui, oubliant en parallèle la gène de se balader dans la rue un samedi en dévoilant régulièrement le haut de mes bas voire la nudité du haut de mes cuisses.

Arrivée chez moi j'eus un appel de mon maître-chanteur.

- Inconnu : Alors ces photos?

- Moi : Elles n'y étaient pas, c'est le SDF qui les a prises et il va les montrer à tout le monde.

Telle une gamine j'étais au bord des larmes.

- Inconnu : Arrête de pleurer car tu aimes cela t'exhiber.

- Moi : Oui mais là tout le monde va voir ces photos.

- Tout d'abord tu accuses sans avoir car c'est moi qui ai les photos. Et si tu n'es pas prête à cela alors il vaut mieux arrêter tout de suite notre relation.

- Mais ...ce n'est pas cela que je voulais dire ...

- Alors que souhaites-tu exactement???

- Euh ... Faire ce que vous me demandez ...

- Tu feras tout ce que je veux?

- Tout ce que vous voulez.

- Je vais te laisser ...

Je crois que mon cœur venait de s'arrêter de battre, il allait me quitter?

- Inconnu : Je vais te laisser la semaine pour que tu réfléchisses, si tu me rappelles alors tu devras suivre mes ordres. Sinon je te dis adieu. Est-ce bien clair Laurence?

- Moi : Oui je comprends.

- Si tu me rappelles je veux que tu sois moins passive et que tu te lâches. Tu es bourgeoise de par ton éducation mais quand je vois les photos et ce que tu as fais auparavant tu es une belle chienne.

- Attendez, j'ai décidé je veux continuer je veux poursuivre notre relation!!

- Je te laisse réfléchir, et nous verrons si tu rappelles d'ici vendredi prochain. Mais au-delà je n'existerais plus pour toi.

Sur ce il raccrocha. J'étais décontenancée et ne savais plus que penser. La peur que les photos circulent m'avait fait oublier l'excitation que me procure ces strip-teases et la domination qu'il a sur moi. Mais suis-je prête à continuer?

Le week-end en famille me donnerait surement la réponse et je me décidais donc d'attendre le vendredi pour donner ma décision à mon inconnu.

Vive le 7eme art:

Le week-end avec mon fils me fît le plus grand bien car je n'avais pas le temps de réfléchir au choix que je devais prendre. Par contre le retour au bureau me laissa plus de temps à la question fatidique à laquelle je devais répondre : stop ou encore.

D'autant plus que mon responsable m'avertit que nous devions partir 3 jours en séminaire en Tunisie, d'ici 10 jours ce qui allait m'éloigner de ma vie parisienne. Que devais-je faire? Impossible en plus de pouvoir partager ses doutes à ses amis ou sa famille.

Le lendemain, l'absence de mon inconnu et de ses ordres me manquait déjà. Il fallait bien se rendre à l'évidence, l'excitation d'être aussi impudique et de me soumettre aux demandes extrêmes de mon amant était devenue comme une drogue pour moi. J'aimais ce type de relations sexuelles alors étais-je prête à me soumettre totalement à cet homme?

Mercredi main je n'y tenais plus. Non seulement la réponse à la question de la veille était oui, oui et oui!!! Mais en plus je ne pouvais plus patienter jusqu'à vendredi pour lui offrir mon corps à ses caprices.

Excitée et tendue je composais alors le numéro.

- Inconnu : Bonjour.

- Moi : Bonjour. J'appelle pour vous dire que je souhaite poursuivre notre relation. Je ferais tout ce que vous demander et accepterez vos désirs.

- Concrètement, qu'es tu prête à faire?

- Je suis prête à tout pour que vous restiez avec moi, à me balader nue, à ce que vous me sodomisiez quand vous le voulez, même à sucer des inconnus.

- Comment te trouves-tu?

- Honteuse mais j'aime cela me soumettre à vos ordres?

- Tu es une petite bourgeoise qui aime qu'on la domine c'est çà?

- Oui je suis votre bourgeoise soumise.

- Alors demain soir je vais profiter de toi ma petite esclave. Tu mettras la robe de soirée transparente que tu as achetée précédemment avec pour sous-vêtement un string blanc et rien pour tes seins. Pour les chaussures des escarpins avec des talons feront l'affaire. Auparavant tu iras chez l'esthéticienne pour te faire épiler ton minou. Enfin tu écriras au feutre sur ton corps cinq mots qui décrivent le mieux ton nouvel état physique et psychologique.

- Je le ferais pour vous avec plaisir.

- Et pour tous ceux à qui je vais te prêter ... ah ah ah Appelle moi demain à 17H00.

Ce dernier commentaire me glaça le sang mais ma décision était prise j'étais sa soumise. Le soir avec la honte et l'excitation mélangée je me rendais chez une esthéticienne qui avait acceptée de m'épiler intégralement. Telle une petite fille punie, je me retrouvais face à une femme au regard dur et froid rendant cette séance humiliante. Elle me fît écarter les jambes et passa la cire chaude sur mon sexe et mes lèvres. Quelques minutes plus tard et sans ménagement elle tira d'un coup sec sur les bandes. Je ne pus m'empêcher de gémir, ce qu'elle réprima en m'indiquant que quand on voulait jouer les filles imberbes pour son homme il fallait en payer le prix. Elle touchait juste et me sentait totalement humiliée d'être mise à nue comme cela par une illustre inconnue.

Elle poursuivie la séance avec la pince à épiler pour me débarrasser des quelques poils récalcitrants. Telle une coiffeuse elle me montra le résultat en passant un miroir. Il me semblait qu'on ne voyait plus que mes lèvres. C'est alors que mon esthéticienne me passa une crème pour reposer ma peau. Mais les caresses me firent mouiller rapidement, j'étais vraiment honteuse d'exposer à une femme mon excitation. Elle ne s'arrêta pas pour autant et même pris un malin plaisir à appuyer (au sens propre comme au sens figuré) ses massages autour de mon clitoris. Je commençais à sentir des chatouillements dans mon bas ventre et ma respiration devenait plus forte. Su ce elle stoppa net ses caresses avec le sourire en coin de me laisser sur ma fin.

Qui étais-je pour être excitée par des caresses féminines moi qui n'aie connu que des relations hétérosexuelles. Gênée, l'abricot lisse je payais et partais honteuse et la tête baissée devant celle qui m'avait épilée et donnée du plaisir.

Le lendemain, à 17H00 comme indiqué j'appelais mon amant qui me donna les renseignements pour la soirée. J'allais donc au cinéma voire un film inconnu. Il exigea de me place au troisième rang au fond sur le côté droit. Une fois assise je devrais poser mon manteau et partir aux toilettes 10 minutes avant le début de la séance pour enlever le string cachant mon sexe imberbe. Et retourner à ma place.

Je me changeai donc dans les WC de mon bureau et excitée par ce qui allait m'advenir j'allais à mon rendez-vous. La place achetée, je me retrouvai seule dans cette salle et comme prévu partais dans les cabinets pour ôter le string. J'en profitais aussi pour écrire sur mon corps les mots définissant mon nouvel état.

De retour à ma place la salle s'était remplie si l'on peut dire d'une femme d'environ 50 ans et d'un homme dans les premiers rangs. Sachant la transparence de ma robe je rejoins rapidement mon siège ou se trouvait une lettre que j'ouvris.

« Sous ton manteau se trouve des lunettes de soleil. Tu les mettras dés que tu auras fini de lire ce texte et tu laisseras ta place à ta droite bien disponible pour un ami. Tu devras alors faire tout ce qu'il te demande. »

Je mis les lunettes qui était bien foncée et couvraient l'ensemble de mes yeux. Deux minutes plus tard un homme s'assît à mes côtés. J'avais chaud et mouillais rien qu'à l'idée de ce qu'il allait me demander. Ces demandes pour éviter qu'il ne parle se firent par un dictaphone.

- Dictaphone : Tout d'abord je veux que tu parles de façon crue avec des mots obscènes. Dis-moi quels mots tu as marqué sur ton corps et pourquoi?

- Moi : Soumise, car j'aime quand on me donne des ordres. Salope, par ce que j'aime montrer mon cul dans la rue et j'accepte de me faire enculer. Allumeuse, car j'aime séduire les inconnus mais suis effrayée par aller plus loin. Prête à tout, pour conserver mon amant. Humiliée, car j'aime quand on me bouscule.

En même temps que je répondais à sa question il me caressa. Puis au travers le tissu il pinça l'extrémité de mon sein. J'eus un cri de surprise qui ne l'empêcha pas de poursuivre. Il descendît sa main vers mon mont vénus où il accru la pression de sa main. Le film mais aussi les spectateurs avaient disparus pour moi. D'un coup il stoppa les frictions sur mon clitoris et me fît écouter la suite de l'enregistrement.

- Dictaphone : Lève toi et enlève ta robe puis rassies toi jambes bien écartées.

Je suivais les ordres et de la manière la plus discrète de zippais ma robe, je passais alors mes bras dans les manches pour qu'elle tombe à mes pieds. Le son du film couvrait le bruit de la fermeture éclaire et du frottement d u tissu sur ma peau. Une fois nue, je me rassis comme stipulé. Sa main ne tarda pas à me caresser mon abricot imberbe qui suintait tant j'étais excitée par ce qui se passait.

Sa main disparue mais revînt avec un engin diabolique. C'était un vibromasseur à deux embouts. Il lubrifia les deux extrémités avec mes sécrétions et simultanément pénétra mes deux orifices avec. Même si la partie dédiée à mon anus était plus réduite que l'autre elle était de très bonne taille ce qui me fît lancer un petit cri que j'espérais être inaudible.

Cette intromission achevée mon « bourreau » appliqua à nouveau le dictaphone à l'oreille.

- Dictaphone : Assois-toi normalement afin que tes trous soient perpendiculaires au siège et permettent à l'objet d'être au plus profond de toi. Tu vas désormais me sucer mais au préalable, je veux que tu me dises ce que tu ressens, comment tu te vois et ce que cela fait d'être enculée alors qu'il y pas si longtemps tu refusais cela à mon ami et en l'occurrence ton maître.

- Moi : Cela est douloureux mais après quelques minutes cela génère une sensation particulière qui me plaît. Et ......

Tout d'un coup l'appareil se mît à bouger, ce qui entraîna une décharge électrique dans tout mon corps. Les tiges tournoyaient dans mon sexe et mon cul de façon aléatoire. Que c'était bon, j'en avais la tête qui tournait, néanmoins je tentais de donner une suite à ma réponse.

- Moi : Et, j'aime ça être obligée de faire des choses obscènes ... hum... Je veux satisfaire mon amant en étant aussi cochonne qui le souhaite ... hum ... je suis vraiment prête à tous pourvu qu'il me m'excite par ses scénarii et me donne autant de plaisir que maintenant ... hum, hum!!! ...

- Dictaphone : Tu vas répéter exactement que je pense que tu es et après tu me pomperas la bite ... Tu es une bourgeoise vicieuse qui est en train de découvrir sa vrai nature ... jouir en étant humiliée et en se comportant comme une pute. A toi et pas doucement.

- Moi : Je suis une bourgeoise vicieuse qui est en train de découvrir sa vrai nature ... jouir en étant humiliée et en se comportant comme une pute.

- Dictaphone : Suce-moi maintenant!!!

Sans remord je venais de m'avilir devant ce soi-disant ami et avais peut-être été entendue par les deux autres spectateurs. Il y avait du vrai dans les propos que je tenais sur moi. J'étais une autre femme et je prenais beaucoup de plaisir à l'être.

Le vibromasseur toujours en marche je me penchais pour ouvrir la braguette et avaler le sexe dressé. Les lunettes de soleil mais aussi mon incapacité à mémoriser, les formes et les visages notamment, m'empêchaient de dire si je connaissais ce sexe. Je commençais donc à lécher ce bâton de chaire. Mon inconnu posa alors ces mains sur l'arrière de mon crane. Il me fît aller jusqu'à la hampe puis fît ressortir son membre. Lentement au début, il accéléra le rythme rendant mon utilité limité à mouiller et caresser son membre avec mes lèvres et ma langue.

Au bout de quelques minutes il réduisit la cadence pour me faire écouter son enregistrement.

- Dictaphone : Je vais t'éjaculer dans ta bouche car tu es une bouche à sperme tu es d'accord avec moi ...

Ne pouvant parler j'acquiesçai symbolisant mon agrément à ces propos.

- Dictaphone : ... mais tu ne vas pas l'avaler, tu vas le garder avec la bouche bien ouverte. Je vais t'enlever le vibromasseur et mettre à la place un autre instrument. Une fois que j'aurais terminée tu videras ma semence dans tes escarpins et remettras tes pieds dans tes chaussures.

Il reprit les mouvements me faisant à deux reprises écraser mon nez dans ses poils pubiens. Son bout était à la limite de ma gorge mais je réussis à ne pas avoir de mouvement de recul. Le sperme tant attendu emplît ma bouche à force de succion.

Comme demandé je me relevais et pendant une minute regardais l'écran bouche ouverte telle un pélican avec le poisson dans son gosier. Mon bourreau me poussa à me mettre au bord du siège pour ôter la machine d'une main et pour rouler et tirer mon téton droit. Il ôter l'objet pour mieux laisser trainer sa main et tirer mon clitoris ce qui me fît basculer dans une jouissance que je su contenir en moi.

L'esprit dans le vague, je sentis alors une vive douleur au niveau de mon sexe. Il venait de me planter une pince sur les deux parties de mes lèvres. Pince qui se prolongeait d'une chainette et d'une petite clochette. A peine je bougeais qu'un bref son sortait de mon bas ventre. J'avais déjà honte à l'idée de sortir ainsi.

Une claque sur mes cuisses me fît comprendre qu'il fallait que je distribue le blanchâtre liquide dans ma paire de chaussure. Je me penchais donc et laissa tomber le sperme dans chacune d'elle. Une fois terminé, je remis mes pieds. C'était poisseux et je craignais à l'avance le bruit que cela générerait en marchant.

Mais pas le temps de rêvasser d'autres ordres tombèrent.

- Dictaphone : Montre-moi que tu n'as plu rien dans ta bouche. Ensuite tu partiras remettre dans les toilettes ta robe mais pas avant. Une fois fait tu sortiras ainsi je te rendrais ton manteau à la sortie. Nous prendrons un taxi pour rentrer chez toi. Vas-y maintenant.

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