Sandra et le Proprio Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Enfin ses règles arrivèrent et elle put souffler un peu. Pour moi, ce fut dramatique, tant j'aime ma femme. Mais pour elle, ce fut le bonheur.

Le dernier jour de ses règles, elle m'annonça que son patron lui accordait un mois de congés supplémentaires. Qu'elle partait demain pour aller vivre un mois complet avec Serge dans sa maison de Montpellier.

J'en fut tout chagrin ... mais je me devais d'aller jusqu'au bout de ce que j'avais accepté de vivre : Sandra était bien la femme de Serge.

Je n'eus plus de nouvelle ... j'étais triste et malheureux et pourtant j'étais heureux de ma condition de cocu. Je me branlais tous les soirs et pensant à Sandra et à Serge.

Et un jour, le mois d'octobre était bien entamé, elle me téléphona.

- Alain, mon chéri, nous sommes revenus, je suis chez Serge, je vais encore resté avec lui quelques jours, je prolonge mes congés

- Tu me manques Sandra ... Je t'aime ... combien de jours?

- Ah ça je ne sais pas, c'est lui qui décide

- Tu vas bien mon amour?

- Très bien, en pleine forme

- Et ...

- Bon je te laisse, à bientôt

Elle raccrocha, sans me laisser terminer ma phrase.

Un soir, rentrant de mon bureau, je la trouvais à la maison. Bien installée dans un fauteuil.

- Chérie, tu es enfin de retour, mais pourquoi, pourquoi si longtemps, oh mon amour tu m'as tant manqué

- Oui mon chéri, je sais, je te comprends mais c'était nécessaire

- Nécessaire?

- Oui évidemment, je n'ai pas eu mes règles et il a bien fallu attendre 15 jours pour faire le test et ensuite attendre 1 semaine pour le confirmer

- Le test?

- Oui le test de grossesse, mon chéri

- Tu veux dire que?

- Oui, mon chéri, je t'annonce que je suis enceinte de Serge

- Enceinte!

- Oui, c'est bien ce que nous avions prévu, non?

- Oui, mais bon, je suis tout retourné

- Je m'en doute

- Tu m'apprends que tu es enceinte d'un autre, fût-il Serge, je suis tout bizarre

- Je suis enceinte de Serge et j'en suis heureuse pour moi et pour toi

- Pour moi?

- Mon chéri, Serge te fais cocu depuis longtemps, toi et moi nous sommes mariés, soit, mais je suis sa femme à lui aussi ne l'oublie pas, c'est à lui que j'appartiens désormais, maintenant il m'a fait un enfant, c'est normal, c'est avec lui que je couche et que je baise, plus avec toi et je suis heureuse que tu sois un bon petit mari bien cocu et content de l'être

- Vu comme ça, je suis d'accord avec toi, c'est vrai que je me sens vraiment cocu

- Et quand mon ventre va grossir tu le constateras encore plus et tiens-toi bien, tous le village sait que je suis avec Serge, ils savent tous que je vis avec lui depuis presque 2 mois, car il ne se cache plus tu sais, et il a aussi invité des copains chez lui et comme tu le sais aussi, je suis toujours nue même devant tout le monde, il est si fier de sa jeune femme ... Si tu savais comme je l'aime ... Il me baise, il me baise, sans arrêt, j'en suis même fatiguée et je ne compte pas qu'il m'encule et me fait boire son sperme.

- Bon ceci dit, tu as faim, tu veux dîner avant de te coucher ou tu préfères regarder un bon film?

- Rien, je repars chez Serge, il m'attend, il m'a juste dit de venir t'annoncer la nouvelle

- Oh non!

- Si je repars et dorénavant jusqu'à l'accouchement, il inverse tout. J'ai arrêté de travailler. Il a d'autres vues pour moi. Maintenant, la semaine du lundi au vendredi je serais chez lui. Le samedi et le dimanche, je serais avec toi ... enfin, je t'expliquerais mieux samedi matin

Elle est donc repartie chez Serge ... Samedi matin, elle est revenue à 9 heures. Radieuse et rieuse.

- Alors voilà je suis là avec toi, mais les règles sont toujours les mêmes et en plus, je ne dois pas dormir avec toi. Tu seras dans la chambre d'amis. Mon oncle viendra 1 week-end par mois dormir avec moi, mon patron aussi, et les deux autres week-ends seront à la convenance de Serge

Je savais n'avoir pas droit à la parole, j'avais accepté de vivre cette longue et terrible expérience et maintenant, seule Sandra pouvait y mettre fin quand elle le voudrait. Elle s'approcha de moi, tendrement, posa un baiser sur mes lèvres.

- Ne t'inquiète de rien, Alain, je sais ce qui est bon pour nous, fais-moi confiance

- Je te ...

La sonnerie retentie ...

- Ah ce doit être mon oncle Roger

- Déjà!

- Il est impatient ... mon tonton, zut, j'ai oublié, il faut que j'aille lui ouvrir étant nue, vite je me déshabille ...

Il entra et embrassa, sa nièce sur la bouche comme pour bien me montrer qu'il était son amant.

- Bonjour Alain, tu vas bien, il y a longtemps que nous ne nous sommes vus, n'est-ce pas ...

- Oui, et pourtant nous ne sommes pas loin ...

- Il aura fallu que tu sois le cocu du village et que ta femme en devienne la pute pour que nous soyons réunis

- hummm

- Alors, comme ça, tu es un vrai cocu volontaire ... Je n'y aurais jamais cru, tu sais ... j'ai connu tes parents lors de votre mariage, et je ne sais pas si ton père apprécierait cette situation, mais enfin, à chacun sa vie ... Quant à ma nièce, ça c'est une aubaine que je savoure depuis quelques temps. J'envisage avec la complicité de Serge de le faire savoir à son père ... Je suis certain qu'il ne dirait pas non lui aussi pour baiser sa propre fille

- Tonton, tout de même, pas ça ... dit Sandra

- On verra, on verra ... Mais maintenant viens me sucer devant ton cocu

Il enleva son pantalon et sorti son sexe qui était très gros. Il était debout, Sandra s'agenouilla devant lui et le goba. Elle le suçait avec application.

- Suce ma petite, suce bien la bite de ton oncle, suce ma pute adorée, oui, oui vas-y

Il tenait Sandra par la nuque et baisait sa bouche, il s'en servait comme de sa chatte. Il s'y enfonçait profondément, à grands coups de bite. Il dura longtemps ... et explosa sa jouissance.

- Avale ma chérie, avale le sperme familial, tiens salope, je jute dans ta gorge

Il avait joui et Sandra avait bu. Il se déshabilla complètement et nu aussi, il me dit :

- Alain, sers-nous un café

J'allais dans la cuisine pour faire ce que l'oncle demandait. Quand je revins, il était attablé et Sandra était assise sur un de ses genoux. Il caressait ses seins.

- Assis toi Alain ...

- Merci

- Alors, dis-moi un peu ... ça te plait que je baise ta femme?.....

- C'est complexe et compliqué à expliquer, tu sais

- Oui je comprends, mais tu sais que Sandra est la pute du village ... et que d'autres la baise souvent, mais surtout que Serge la garde avec lui et qu'elle porte son enfant?

- Oui je sais tout ça ...

- Tonton, je ne crois pas que ce soit un sujet de conversation auquel Alain souhaite répondre, dit Sandra

- Alors, répond à sa place

- Alain et moi, avons pris ce chemin par hasard, et je me suis rendu compte qu'il était ce qu'on appelle un cocu consentent ... et moi, je me suis révélée être une vraie salope ... donc nous avons continué dans cette voie et nous en sommes heureux tous les deux, voilà tout

- L'essentiel est que je profite de cette situation et que je puisse te baiser, baiser ma nièce si belle, et que tu sois ma jeune petite pute

La journée passa simplement ... en famille. Le soir, Roger et Sandra allèrent dans notre chambre et j'entendis leurs ébats ... L'oncle fit l'amour à sa nièce et je reconnus les cris de jouissance .... Je compris également qu'il l'enculait quand elle dit :

- Oh tu es aussi gros que Serge, heureusement qu'il me prend par-là souvent

Ils firent l'amour une bonne partie de la nuit... Le dimanche, il la prit encore le matin et la nuit...Lundi je quittais la maison à 6 h 30, ils dormaient.

Le soir .... Quand je rentrais, Sandra avait déjà rejoint Serge pour la semaine.

Début novembre Sandra ne m'a pas appelé cette semaine... Elle est arrivée samedi matin. Je suis très heureux de la retrouver. Elle est de plus en plus belle.

- Enfin je te vois et je peux voir ton petit ventre s'arrondir!

- Tu es content, mon chéri?

- Oui très content!

- Mon patron est empêché cette semaine, il est en déplacement.

- Ah!

- Serge a donc avancé les week-end libres...

- Et le menu est?

- Serge m'a recommandé de bien faire les choses, il ne sera pas là. En fait ce week-end il n'y aura pas de... visiteur...

- Ah c'est une bonne nouvelle!

- Ne te réjouis pas... Je dois te mettre en condition...

- En condition? Mais pourquoi?

- Ce n'est pas facile à dire, chéri...

- Tu sais, j'en en vu tellement depuis quelques mois.

- Oui mais cela va te peiner, je pense...

- Dis toujours... Ai-je le choix?

- Non.

- Alors...

- Il faut d'abord que tu rédiges un texte de ta main et que tu le signes.

- Un texte sur quoi?

- Tu devras écrire tout concernant notre relation de couple, comment tu la vis, ce que tu penses de moi, de toi, de Serge, de mes amants, de notre futur enfant, de ce que tu es prêt à accepter encore, enfin jusqu'où tu veux que nous allions... et Serge dit que tu dois insister sur ce que toi tu veux... Et à la fin de ton texte, je devrai, moi aussi, écrire ce que j'en pense et après je te dirai ce que je dois t'annoncer de la part de Serge.

- Ah... c'est qu'il y a beaucoup à dire et la fin de ta phrase m'inquiète...

- C'est pour cela qu'il faut que tu rédiges ce texte.

- Bon je m'y mets tout de suite.

- Moi je me repose un peu, je vais me détendre dans le fauteuil.

- A tout à l'heure.

- D'accord.

Me voici donc, dans mon bureau... Je suis assis devant mes feuilles blanches et j'avoue ne pas savoir par où commencer. Je réfléchis durant longtemps. Puis j'écris :

.............."

Aveux d'un cocu marié à Sandra en mai 2002.

Nous avons eu une vie disons normale jusqu'en juin 2003. Ma femme est une très belle femme, jeune, elle a maintenant presque vingt ans, elle est ce qu'on appelle une très belle femme. Vraie blonde aux yeux verts, elle a un corps magnifique avec des hanches très féminines et des seins lourds bien ronds d'un 95 D. Elle est grande.

Depuis notre mariage, je suis fier de sa beauté. Mais en juin 2003, nous avons eu des difficultés financières et le destin nous a placé sur une voie à laquelle nous ne nous attendions pas. Puis deux mois plus tard, notre couple a basculé dans ce que je pourrais appeler notre nouvelle vie.

Serge, l'homme qui est à l'origine de ce basculement est entré dans notre vie. Sandra pour protéger, au départ, notre situation sociale a, en quelque sorte, cédé aux avances et au chantage financier de Serge.

Moi, lâchement, je suis resté coi, j'ai observé, de ma cache, ma femme obéir aux exigences de Serge et se donner à lui. Si j'ai été colère et voulais intervenir, j'ai vite été confronté à un dilemme intérieur. En effet, si tout en moi se révoltait, quelque chose de nouveau naissait aussi en moi. J'étais fasciné et excité par ce que je voyais.

Je devenais voyeur, voyeur de ma propre femme satisfaisant un autre homme que moi et voyeur de ma femme faisant l'amour. Tout le temps qu'a duré cette situation nouvelle, je me suis découvert et j'ai découvert ma femme.

Je l'ai vu boire le sperme de cet homme, alors qu'elle ne me l'avait fait, je l'ai vu se faire enculer pour la première fois, alors qu'elle me l'avait toujours refusé.

Mais ce que j'ai compris, au fond de moi, c'est que ma femme avait aimé se faire prendre comme une salope par cet homme qui aurait pu être son père. Sans doute, la grosseur de son sexe y était pour quelque chose. Son savoir-faire aussi. De mon côté, je compris également que j'avais aimé être ainsi cocu par cet homme qui venait de posséder ma femme.

Puis Serge, sans doute, appréciant le corps et la jeunesse de ma femme, ne nous a pas lâché et il a, par son adresse, obtenu que Sandra le revoit.

Elle était d'accord et moi aussi. Même si nous l'avons reconnu, nous ne nous sommes pas dit ce que nous pensions réellement. Elle n'a pas dit qu'elle brûlait d'envie de refaire l'amour avec lui. Je ne lui ai pas dit que je désirais qu'elle se fasse prendre encore pas Serge et surtout qu'il la possède encore comme je l'avais vu possédée la veille.

Ensuite tout s'est enchaîné et Sandra et moi avons parlé sans limite de ce que nous ressentions et de ce que nous voulions pour notre couple. Nous avons décidé d'un commun accord de poursuivre cette expérience jusqu'au bout.

Nous avons eu avec Sandra quelques moments d'intimité merveilleux jusqu'à ce que Serge lui interdise d'avoir des relations sexuelles avec moi. Sandra m'a dit qu'il voulait qu'elle soit enceinte de lui. Mais de plus, Serge avait dit qu'il voulait la pervertir.

Il commença début septembre Et Sandra fut prise par plusieurs hommes du village que Serge avait convié. Elle devint ainsi la pute commune, la femme publique. Et même son oncle la baisait. Elle s'absenta ... avec Serge et lorsqu'elle revint, elle m'annonça être enceinte de lui. Le coup fut rude mais oh combien excitant.

Elle m'avoua aussi être amoureuse de Serge, en fait elle m'avoua l'aimer différemment de son amour pour moi, mais aimer.

Tout ceci posé, je peux dire aujourd'hui que je sais et accepte que ma femme soit heureuse avec un autre homme que moi. Je suis heureux et accepte qu'elle porte l'enfant de son amant de cœur.

Je suis heureux et accepte qu'elle se donne à lui, qu'elle lui appartienne. Je suis heureux et accepte qu'elle vive avec lui, plus qu'avec moi. J'aime savoir qu'elle soit devenue sa femme, d'une part, mais aussi qu'elle soit devenue une salope et une pute en la donnant à beaucoup d'homme du village.

Je suis devenu le cocu Aux yeux de tous mes collègues et connaissances. J'aime à penser que ces hommes qui me jalousais d'avoir épouser la plus belle fille soient leur amant et la prennent, maintenant, comme leur pute.

J'aime que Serge interdise à Sandra de coucher avec moi, d'avoir des rapports sexuels avec elle. C'est ainsi que je trouve à exprimer ce qu'il faut bien appeler mon masochisme, car j'en souffre, évidemment. Mais c'est aussi terriblement excitant.

Etre cocu soit, mais être dépossédé de sa femme, c'est humiliant, mais excitant cérébralement. Je sais maintenant, que je peux tout accepter et même plus que ce que j'ai déjà accepter.

Alors, que dire de plus. Que je remercie Serge et Sandra de m'avoir révélé et de me permettre d'exprimer mon masochisme. Que je remercie Serge de m'avoir évincé dans le cœur et le corps de Sandra. Que je remercie Sandra de vivre son amour pour Serge pleinement.

Je leur demande de continuer ce qu'ils ont entrepris et les remercie tous les deux Alain.

..........................."

Sandra lut cette confession et apprécia, elle dit qu'elle n'en attendait pas moins et qu'elle était heureuse de ce que j'exprimais car elle voulait effectivement continuer, en ce sens.

Elle prit un stylo et dit qu'elle allait, elle aussi, participer à cette confession comme l'exigeait, Serge. Elle écrivit donc, à la suite de la mienne.

................."

Je suis Sandra, je viens de lire la confession d'Alain. Elle me convient tout à fait. Mais je voudrais, ici, insister sur plusieurs points, surtout pour que Serge soit pleinement satisfait.

En effet, je considère comme un homme qui accompagne ma vie. Je porte son nom par acte d'état civil, mais dans mon esprit et dans mon cœur mon mari c'est Serge.

C'est Serge que j'aime et Alain est mon meilleur ami. Rien de plus, rien de moins. L'enfant que je porte, est le fils de Serge mais il sera déclaré à l'état civil sous le nom d'Alain. Ceci afin que ce dernier soit marqué par l'humiliation du cocu.

Alain vous a dit, dans sa confession, que j'étais, entre autres, baisée par mon oncle, et c'est vrai, et Serge le fera bientôt savoir à mes parents. Je suis réellement devenue aussi la pute du village et je suis fière car ainsi tous les hommes auxquels Serge me donne, peuvent dire à Alain qu'eux aussi ils m'ont eue.

Enfin, Alain nous demande, à Serge et moi, de continuer Alors je lui dis oui, et il va s'en rendre compte, car Serge a bien d'autres intentions à mon endroit.

Sandra.

......................."

Ainsi Sandra avait scellé ma confession par la sienne et la volonté de Serge.

- Bon maintenant tu peux me dire ce que tu as à me dire...

- Oui, je vais te le dire, installe-toi dans ce fauteuil.

- Je suis prêt.

- Alors voilà ce que dit Serge

Il ne veut plus jamais entendre que tu dises, parlant de moi, ma femme quand tu t'adresseras à qui que ce soit. Tu pourras dire seulement Sandra.

Il ne veut plus que tu m'appelles autrement que Sandra et moi je t'appellerai Alain. Plus de chérie ou chéri.

Il ne veut plus que je sois avec toi chez tes parents ou chez les miens, s'il lui n'y est pas.

Il exige de nous deux que nous nous ayons une relation exclusivement courtoise, respectueuse et amicale quand nous sommes ensemble dans la maison.

Dorénavant en me parlant de lui tu devras dire... ton mari, et en te parlant de lui, je devrais dire... mon mari.

A tout le monde d'ailleurs nous devrons parler ainsi, y compris nos parents.

Il exige aussi que nous nous montrions, maintenant, ensemble lui et moi dans le village.

Enfin, il change les dernières règles établies et dorénavant, les hommes auxquels il me donnera, viendront me prendre chez lui et plus chez toi. Ce qui implique que je ne viendrai te voir, amicalement, que lorsqu'il me le dira.

- Mais enfin, je ne te verrai donc plus!

- Tu ne me verras que lorsqu'il le voudra, lui!

- Mais...

- Tu sais, Alain, sois heureux qu'il n'exige pas que je divorce d'avec toi!

- Comment?

- Oui, tu as bien entendu...

- Tu le ferais?

- Oui, je le ferais!

- Je suis malheureux!

- Alain, je suis certaine que Serge sait ce qu'il fait. Il m'a laissé entendre que je viendrais régulièrement te raconter ce qu'il fait de et avec moi de sorte que tu sois toujours en humiliation et en souffrance de la femme que tu as perdue.

- Oh vraiment, je ne pouvais imaginer une telle situation!

- Maintenant je rentre chez moi, rejoindre mon mari.

- Sandra, je t'en prie ne me laisse pas sans nouvelle de toi, longtemps.

- Je ferai ce que mon mari voudra que je fasse...

Sandra me laissa seul avec mon désespoir et ma peine.

Je partais tôt au bureau et en rentrais tard. Je ne voyais plus personne. J'évitais de circuler dans le village. Je faisais mes courses ailleurs. Le week-end, je restais enfermé pour ne voir personne mais je restais à la maison au cas où Sandra viendrait.

Mais j'ai dû attendre plusieurs semaines avec qu'elle ne vienne un samedi après-midi. Nous étions quelques jours avant Noël. Son ventre avait grossi. Je la regardais avec amour. J'en oubliais immédiatement ma peine. Je la priais de s'asseoir. Je lui préparais un chocolat chaud, comme elle l'aime.

Elle était enceinte de trois mois et demi. Nous avons parié de sa santé et de la pluie et du beau temps. Puis elle dit que Serge lui avait dit de venir me voir pour m'informer...

- Je dois te dire tout ce que j'ai noté.

Elle sortit un papier de son sac à main.

- Serge, m'a demandé d'être explicite et de ne rien omettre, c'est pour cela qu'hier, nous avons écrit ce bout de papier :

- Je dois commencer par te dire que je reçois, chaque jour de la semaine, la visite d'un homme différent, la plupart vient du village. Il n'y a pas de règle précise. Le premier qui arrive, je dois l'accepter. Le bouche à oreille a fonctionné et maintenant, mon mari, estime qu'une soixantaine d'hommes sont sur les rangs. Le matin, je dois mettre un carton vert sur la vitre du salon, si je suis encore disponible et après, un carton rouge, si je ne suis plus disponible. Ainsi il n'y a pas d'embouteillage. Mais les vieux sont plus nombreux. Mais la demande est forte. Heureusement qu'il y a les week-ends. Ces deux jours me permettent de satisfaire un bon nombre d'hommes. En moyenne disons, six le samedi et six le dimanche. Les week-ends, ce sont plutôt les jeunes qui adorent me partouzer. Ceux du village emmènent quelquefois leurs copains des cités. Il y a eu des arabes et des noirs. A cause de cela, Serge me dit de te préciser que mon vagin peut prendre les plus grosses bites imaginables, que mon cul est devenu très accueillant. Et que plus ou moins, je bois le sperme de douze hommes par semaine.