Ses Expériences 02

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Elle poursuit ses découvertes.
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/23/2005
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Nous avions décidé de déménager et devions effectuer des travaux de rénovation dans notre maison. Nous avions, pour ce faire, fait appel à un entrepreneur indépendant, Robert, que j'avais reçu la semaine précédente et que j'avais accueilli deux jours avant pour qu'il commence à travailler. Ma femme m'avait posé quelques questions en apparence anodines sur son genre et je m'étais contenté de dire qu'il me semblait très bien, très compétent et très modeste, mais que je n'avais, franchement, pas fait attention à son physique.

Le deuxième jour du travail de Robert, Vincianne vint, comme par hasard, constater, en fin de journée, l'état d'avancement des travaux. Elle s'effraya un peu de l'allure de cet homme qu'elle trouva dans la maison. Elle le trouvait frustre et gras et la cicatrice qu'il portait sur la tempe, vilaine blessure de bar, sans doute, lui causait un malaise indéfinissable. Elle toisa ce petit bonhomme bedonnant de toute la hauteur de sa classe, l'impressionnant au plus haut point. Je ne détectai, vraiment, ce jour-là, aucun signe qu'il lui avait tapé dans l'oeil. Pourtant, l'imagination de Vincianne, couplée à la frustration subie la veille au soir - où je m'étais refusé à elle en raison d'un épuisement absolu – lui ravagèrent l'esprit et Robert, c'était décidé, devait lui appartenir. Elle imaginait son corps blanc et puissant, bien qu'un peu grassouillet et sans doute parsemé de poils épars, sa sueur âcre, sa bite sans doute torturée comme un cep de vigne, qui lui fouillerait les entrailles. Elle se voyait frotter son corps à sa salopette, s'abandonner totalement au plus infâme vice. Elle passa, à n'en pas douter, une nuit agitée.

Le lendemain matin, donc, un vendredi, je devais assister à une audience très matinale et demandai à Vinciane d'aller sur le chantier et d'indiquer à Robert le travail à effectuer pour la journée. Elle accepta avec suffisamment peu d'enthousiasme pour ne pas éveiller ma méfiance. Ma femme prit, donc, une douche rapide et, vers sept heures et demie, monta dans sa voiture pour se diriger vers le chantier, l'esprit tout entier tourné vers Robert, la chatte en feu. Elle avait enfilé un tailleur absolument inapproprié pour se rendre sur un chantier, mais tout à fait à même d'impressionner Robert.

En arrivant, elle trouva Robert devant la porte et douta un moment de la fidélité de son esprit. Il était encore plus laid que dans son souvenir, mais attendrissant avec ses gestes malhabiles face à elle alors que je lui avais dit qu'il maniait les outils avec beaucoup de dextérité. Il se sentait particulièrement mal à l'aise face à cette femme élégante, impressionnante, qui lui adressait des regards hautains. Elle lui ouvrit la porte et se laissa frôler par lui, humant l'odeur de savon qui lui tenait lieu d'eau de toilette.

Elle le laissa travailler une heure, perçant une porte, suant à grosses gouttes et produisant une poussière étouffante. Puis Vincianne se décida à entrer dans la pièce où travaillait Robert, prétextant un service à lui demander. Elle se sentit la tête tourner et feignit de se sentir mal. Robert se précipita vers elle pour la retenir et elle roula dans ses bras. Durant quelques secondes, elle resta les yeux fermés, palpant le corps à travers la salopette de travail puis, alors qu'il allait se précipiter vers le téléphone pour appeler de l'aide, elle ouvrit les yeux et saisit la tête de l'ouvrier pour l'attirer vers ses lèvres. Après un léger mouvement de recul, Robert se dit qu'il serait bien bête de ne pas profiter de l'aubaine. Il lui rendit son baiser, ses lèvres rudes suçant les lèvres maquillées de ma femme.

Elle commença à lui masser la pine à travers le tissus épais puis entreprit de lui offrir un strip-tease, abandonnant ses vêtements sur une chaise à peu près propre autour de laquelle elle tournait, s'asseyant à l'occasion, les jambes écartées, offrant à Robert un point de vue plongeant sur la bosse de son pubis à travers la culotte. Robert caressait sa pine à travers le tissu épais. Vincianne mouillait comme une folle et une tache humide s'agrandissait sur le coton blanc. Robert, qui bandait comme un âne, tenta de retirer sa salopette pour être plus à l'aise, mais Vincianne, qui était à présent nue, l'en empêcha, sortant elle-même la pine du vêtement par la braguette, laissant à l'ouvrier sa panoplie complète. Elle palpa la queue qui devint plus grosse encore dans sa main. Elle était brune, courtaude, traversée d'épaisses veines palpitantes et le gland déjà décalotté était très épais et presque mauve. Ma femme approcha son visage pour flairer l'engin. Celui-ci sentait la savonnette et la sueur un peu âcre. Cela dissuada Vinciane de le sucer et elle se contenta de le branler pour l'amener à l'apogée des préliminaires.

Pendant ce temps, l'ouvrier caressait ma femme, ou plutôt la pétrissait, ses mains s'attardant sur les fesses douces, sur les seins fermes, sur le ventre qui se contractait. Chaque caresse laissait une trace brune de poussière jusqu'à ce qu'il approche sa main de la chatte brûlante et trempée où il alla cueillir le jus qui fit un peu de boue à l'entrée de la chatte de Vincianne. Elle devenait folle et ondulait de la croupe, recherchant avidement le contact rêche de ces mains un peu brutales. Elle s'empalait sur ces doigts qui lui pétrissaient le con sans douceur, sans expertise, mais elle en voulait plus, elle voulait la pine en elle.

Elle l'allongea enfin sur le dos et se coucha sur sa salopette sale, ouvrant les jambes pour faire pénétrer la queue dans sa chatte. Elle sentit ses jambes délicates se frotter au tissu rugueux et ses genoux touchèrent le sol. Elle souleva les hanches et saisit la queue de sa main, la guidant en elle. Elle s'écorcha un peu la peau du doigt sur la fermeture éclair et s'électrisa à ce contact. Alors que sa main était refermée sur la bite prolétaire, elle se laissa aller. Elle sentit la queue de Robert se frayer un passage en elle, son gros gland mauve poussant vers le fond de sa chatte toute douce et ses lèvres touchèrent le tissu du bleu de travail. Elle montait réellement ce type et elle le sentait distendre sa chatte, sentait ce gros engin remplir le moindre orifice de son vagin, le gland poussant devant lui, aveugle, soucieux de son seul plaisir. Elle laissa sa chatte se faire à cette nouvelle queue, puis chevaucha Robert, construisant son plaisir à chaque tressautement. Elle se complaisait dans cette saleté, dans cette offrande de son corps au plaisir de l'ouvrier, dans cet abandon au plaisir bestial.

L'ouvrier n'en revenait pas de la tournure des événements. Il pensait passer une journée de merde avec cette pimbêche sur le dos et voilà maintenant qu'il poussait sa bite loin en elle, que les lèvres de sa chatte absorbaient sa queue. Il s'amusait à la porter sous les fesses, regardant son gland sortir presque de la chatte, les lèvres s'entrouvrir sur un bruit mouillé et venir caresser jusqu'au méat, puis se décoller pour aspirer sa bite.

A ce moment, ma femme voulut aller plus loin dans l'humiliation, elle retira, à regrets, la bite d'elle et s'allongea dans la poussière, prenant Robert par la queue pour qu'il revienne en elle. Elle sentait les picotements de la terre sur ses fesses et son dos, redoutant la présence d'araignées ou de cloportes qui pourraient courir sur elle. Ses pieds nus calés sur le sol, elle se concentra sur le va et vient rythmé de Robert. A chaque fois qu'il entrait en elle, il allait le plus loin possible, jusqu'à toucher le périnée et à chaque fois qu'il revenait, il sortait presque sa queue d'elle. Elle sentait toute la longueur de ce sexe à chaque pénétration, avec ses veines saillantes et l'énorme renflement du gland mauve. Elle visualisait les frottements de ce gland rustique sur les muqueuses délicates de son vagin et rêvait du sperme épais qui en sortirait pour l'inonder.

Elle se coucha alors face contre terre, ses seins enfouis dans la boue de la sueur de Robert, ses cuisses et sa chatte en communion avec la poussière et Robert vint s'allonger sur elle, glissant sa grosse bite entre ses fesses vers le vagin. Elle sentait son clitoris frotter la boue, et agrippa la main de son amant pour qu'il l'étale sur son petit bouton. Elle supportait tout le poids de l'homme sur ses reins, le tissu du vêtement de travail contre ses fesses frottait avec rudesse la raie de son cul. Il l'écrasait réellement, grognant à chaque pénétration. Les couilles constellées de poils noirs étaient sorties du bleu et claquaient maintenant sur le clitoris et sur le sol, traçant des sillons avec les poils dans la poussière. Elle se fit jouir avec cette bite en elle.

Elle reprit Robert en elle face à face, pour voir son visage se contracter au moment du plaisir. Elle voulait qu'il la pilonne, qu'il l'utilise comme instrument de sa jouissance et, pour finir, qu'il lui jute dessus, sur ses seins ou son cul et qu'il l'abandonne comme ça, toute seule, dans la poussière, comme une bête.

Robert sentait venir un orgasme complet. Son visage était marqué par la crispation, tout entier concentré sur la montée de son plaisir. Sa cicatrice rougissait à vue d'œil tandis qu'il haletait et cherchait l'air par tous les moyens, ses mouvements désordonnés entraînaient sa queue dans de folles trajectoires, heurtant les parois du vagin de Vinciane et l'enivrant comme jamais. Il grognait et invectivait Vincianne : « Tu aimes çà, salope, te taper tes ouvriers, bien les faire jouir. Tu aimes te faire emplir ta petite chatte serrée par ma grosse bite. – Oh, oui, je jouis, vas-y, l'invectivait-elle, lâche-toi, donne-moi tout ce que t'as, décharge.»

Il commença à jouir en elle, s'abandonnant totalement mais elle lui cria de continuer sur son ventre et ses seins. Il saisit sa queue pleine de spasmes et, sans même devoir la branler, il expédia une longue giclée depuis les poils de la chatte jusqu'à la naissance des seins, puis un jet encore, directement dans la toison soyeuse. Il râlait de plaisir et Vincianne sentait avec délectation les projections déjà tiédies souiller son corps. Il finit de jouir sur ses seins, frottant son gland maculé contre les tétons. Il y laissait des traces de sperme mêlé à la poussière, dessinant une carte de sa jouissance du bout de la bite. Vincianne prit en main la bite mollissante et la frotta contre elle. Elle étala le foutre englué dans les poils de sa chatte, le faisant pénétrer dans sa tiédeur encore une fois, comme pour se couvrir à l'intérieur comme à l'extérieur, de cette chaude semence.

Cela eut pour effet de redonner à Robert de la vigueur et il replongea sa bite bandée dans la chatte, bien décidé, cette fois-ci, à juter en elle. Ma femme, repue, tentait de se dégager doucement, mais il insista et fit usage de sa force supérieure pour imposer sa volonté. Elle le repoussa plus fermement, tenta de le raisonner, mais il n'entendait plus que son envie de jouir et ne l'écoutait plus. Vincianne se sentit prise au piège de ce désir impérieux et, forcée, accueillit cette bite pour la deuxième fois. La sensation était bien différente cette fois-ci, l'excitation retombée, elle sentait maintenant les défauts de cette bite, défauts qu'elle considérait comme des qualités une seconde auparavant. Elle sentait la moiteur poisseuse du t-shirt de Robert, collé de sueur, l'odeur fumée du tissu mal lavé, la salopette rêche qui lui blessait les cuisses. La poussière autour d'eux la dégoûtait. Elle ne pouvait supporter de n'être pas maîtresse de son corps et cet inconnu qui lui ravissait son pouvoir l'insupportait.

Plus que tout, le contact du gland qui lui frottait les muqueuses la révulsait. Elle percevait avec une intensité particulière les veines de la pine qui palpitaient en elle, au rythme du plaisir de son bourreau, le bourrelet du gland qui labourait sa chatte et les couilles dont les poils lui piquaient le trou du cul. Elle appréhendait la jouissance de Robert, devinant qu'elle serait abondante et envahissante. Elle ne se trompait pas. Quelques secondes après, Robert perdit le rythme qui l'habitait et sa queue fut prise de soubresauts. Vincianne eut l'impression que le gland doublait de volume et perçut les giclées de sperme affluer dans la bite. Il se libéra dans un râle et ma femme sentit un jet de foutre bouillant percuter le fond de son vagin, la brûlant comme un tisonnier , puis un second, plus puissant encore, et un troisième. Elle avait l'impression qu'il se vidait réellement en elle, que tout le contenu de ses couilles, comprimé depuis trop longtemps, se répandait en elle. Le foutre refluait de la chatte en vagues crémeuses et coulait sur le haut de ses cuisses.

Robert lâchait dans cette salope de bourgeoise toutes ses frustrations longtemps comprimées, abandonnait en elle, dans le fond de sa chatte toutes ses rancoeurs, toutes ses peines, et n'en finissait pas de juter. C'était, pour lui, mieux encore qu'une psychanalyses. Il avait agrippé ses hanches et la maintenait d'une poigne ferme. Il avait l'impression que tant qu'il lâcherait son foutre, elle serait à lui, toute concentrée vers cette jouissance qu'il lui imposait, incapable d'ouvrir son horizon. Le pouvoir avait changé de mains et Robert ne pouvait s'en détacher. A regret, finalement, il se retira, sa pine devenue molle, l'essora dans les poils de la chatte et, juste avant de la remettre dans sa braguette, il secoua sa queue d'un coup sec, envoyant sur le clitoris de ma femme un dernier trait de jute, comme une décharge électrique.

Vincianne enrageait, allongée sur le dos, les cuisses écartées encore sur sa chatte béante et totalement engluée qui bavait ce sperme détesté. Elle se sentait comme abandonnée, mais ne pouvait se départir d'un sentiment confus de contentement. Elle avait abandonné, pour un instant, le terrain de la lutte sauvage du sexe et s'était laissée manœuvrer. Ce qu'elle avait pris pour du dégoût n'était, en fait, que de l'abandon total. Même si elle avait détesté ce viol, elle se sentait maintenant curieusement excitée à nouveau, à l'idée des perspectives nouvelles qui s'offraient à elle.

Bien qu'elle fut furieuse contre Robert, elle se rendit compte qu'elle ne pourrait le renvoyer sans devoir s'en justifier auprès de moi et elle n'arrivait pas à trouver un motif valable. Elle décida, donc, de le laisser travailler, certaine qu'elle aurait sa revanche sur lui.

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