Surprise sur l'autoroute

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Moment de plaisir en couple qui ne tourne pas comme prévu.
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Ce que je vais vous conter vient d'arriver quelques heures avant que j'écrive les premiers mots de ce récit.

Nous nous trouvions, ma femme Apolline et moi, par ce chaud après midi de mai en voiture de retour de quelques jours de vacances. Il faisait très chaud dans la voiture, il faut dire que nous n'apprécions ni l'un ni l'autre la clim, mais cela ne me déplaisait pas. En effet face par ce temps estival ma femme avait mise une petite robe légère mettant en valeurs ses formes opulentes et, fidèle à son habitude, elle portait pour seul sous-vêtement un soutient à gorge, indispensable pour supporter son impressionnante poitrine. Je vous parlerai plus en détails de ma femme dans un autre récit, pour celui-ci il suffit de savoir qu'elle est une magnifique camerounaise de 24 ans au physique de Vénus primitive. C'est à dire, pour faire court, qu'elle a une poitrine et des fesses des plus généreuses. Je pourrais vous parler de ses lèvres charnues harmonieusement surmontées par un nez épaté, de son regard de braise, de sa longue chevelure coiffée en dreadlocks et de tous ce qui la rend irrésistible mais cela prendrai des pages.

Nous étions donc en voiture et il me semblait que la chaleur commençait à donner à ma délicieuse compagne des envies que je me sentais plutôt disposé à satisfaire. Mon impression fut vite confirmée par le regard de braise devenue plus ardent de mon épouse et par les caresses qu'elle commençait à dispenser à son corps de déesse. Elle faisait jouer ses mains de ses seins magnifiques à son entre jambe que je devinais brûlante. Accélérant le rythme de ses caresses elle se mit à me lancer des regards encore plus ardents tout en passant sa langue sur ses lèvres charnues avec un sourire en coin. Le message étant des plus claires je me mis au devoir de trouver une aire de repos se prêtant à nos ébats à venir. Comme en réponse à nos désirs les panneaux autoroutiers nous annonçaient une aire de repos vers laquelle je dirigeais immédiatement notre véhicule. La zone de repos en question était plutôt grande, peu fréquentée et se trouvait en bordure d'une forêt. Aussitôt la voiture arrêtée nous l'avons rapidement quitté pour nous rendre dans la forêt. Au finale la forêt s'avérait être un bosquet de bonne taille cachant une série de petits parcs herbeux séparés par des haies. Un regard complice de la part de ma Vénus d'ébène me confirma que l'environnement devant lequel nous nous trouvions lui convenait autant qu'à moi.

A priori l'affaire s'annonçait bien, grillage facile à passer, grande étendu d'herbe, nombreuses zones à l'ombre des arbres, j'en avais l'eau à la bouche et une certaine raideur dans le pantalon. Ma Vénus n'eut que le temps de soulever sa robe avant que je me trouve à genoux devant elle, prêt à assaillir à coups de langue l'objet de ma convoitise. Elle se laissa tomber au sol, je l'y rejoins plaçant ma tête entre ses jambes. Je me mis aussitôt au devoir d'explorer chaque recoin de son sexe avec une langue avide, noyant mon visage tout entier dans sa féminité à la fois chaude et humide. Je ne tardais pas à titiller son clitoris avec la pointe de ma langue et tripotais les lèvres de son vagin avec mes doigts. Pendant ce temps Apolline pétrissait avec ardeur est volupté ses seins magnifiques tout en pinçant ses tétons devenus très durs. Ses caresses et mes jeux de langue ne tardèrent pas à lui arracher de langoureux gémissements qui sonnaient à mon oreille comme autant d'encouragements me motivant à accélérer le rythme des coups de langue et des succions dont je gratifiais son sexe plus humide que jamais.

En continuant à la lécher et à enfoncer des doigts de plus en plus nombreux dans son intimité je me mis à caresser son anus avec les doigts de ma main libre ce qui fut accueillis par des gémissements encore plus langoureux. Quelques secondes après je lui enfonçais sans trop de ménagement un doigt dans le cul pendant que j'accélérais encore le rythme de mes attentions l'amenant rapidement à un premier orgasme qu'elle accompagna d'un petit cri, comme elle en avait l'habitude. Sans attendre j'introduisais mon sexe dans sa chatte grande ouverte, si humide et chaude qu'il me fallut un effort pour ne pas immédiatement la remplir de ma semence.

Ayant rapidement repris le contrôle de mon sexe, je me mis à aller et venir alternant vas et viens lents et frénétiques, chose que je le savais, elle appréciait énormément. Me trouvant enfin dans une position adéquate je me mis à caresser avec énergie sa poitrine généreuse, alors qu'elle faisait entrée sa langue dans ma bouche pour m'octroyer un baiser des plus profonds. Au bout de quelques minutes ou dizaines de minutes, je ne le sais pas, de ce régime Apolline me fit mettre sur le dos pour ensuite venir placer son sexe dégoulinant au-dessus de mon visage, je me mis aussitôt à la lécher, à sucer son clitoris, essayant également d'aller le plus loin possible dans sa féminité avec ma langue. Lorsque la cyprine eut trempé mon visage, ma belle s'empala sur mon sexe avec frénésie dans des vas et vients qui faisait ballotter ses seins magnifiques que je ne tardais pas à prendre en main.

Consciente de l'épreuve de maîtrise qu'elle m'imposait et ne voulant pas se retrouver frustrée, elle ralentit quelques peu le mouvement avant de repartir de plus belle ce qui finit par l'amener à l'orgasme qu'elle accueillit en remuant son bas ventre avec délice. Après avoir jouit ma Vénus ne m'oublia pas et mon sexe se retrouva entièrement dans sa bouche pour subir une succion puissante et des coups de langue irrésistibles qui ne tardèrent pas à me faire jouir. Fidèle à son habitude ma coquine avala avec volupté ma semence qui giclait dans sa bouche, léchant même ses lèvres après que le flot se soit tarie pour ne pas en perdre une goutte.

Après quelques minutes nécessaires pour reprendre nos esprits, nous avons commencé à réajuster nos vêtements. C'est alors que j'aperçus trois silhouettes sortant du bosquet pour se diriger vers nous, il s'agissait de trois hommes de dix huit, vingt ans dont l'allure me faisait craindre des ennuis. En effet leurs démarches nonchalantes, leurs tenues à base de casquettes retournées et de survêtements de marques beaucoup trop amples pour eux et surtout leurs airs arrogants n'auguraient que des problèmes. Je finis rapidement de remettre mes vêtements pour adopter une position de garde passive, alors que j'entendais ma femme fouiller dans son sac à main pour y trouver de quoi se défendre au cas ou. Nous allions être vite fixés sur les motivations des nouveaux arrivants et sur le sort que nous était réservé.

« Eh m'sieur c'est pas sympa de garder une gonzesse comme ça pour toi, ch'uis sur qu'elle voudrait bien s'éclater un peu plus, tu nous la prête? »

Je n'eus pas le temps de répondre deux d'entre eux s'étaient trop rapprochés d'Apolline. Ils furent accueillis par des giclées de gel d'auto défense, des coups de sac à main et des coups de pieds dans des parties sensibles qui les firent détaler en s'emmêlant dans leurs pantalons trop larges pour eux. De mon côté je fonçais sur le troisième qui sortait quelques chose de sa poche. Un vigoureux coup de pied entre les jambes lui fit lâcher un couteau papillon et tomber à genoux. Quelque peu enragé je lui portais une immobilisation et en quelques secondes il se trouvait à genoux, en déséquilibre, un bras immobilisé, une de mes mains l'agrippant à la gorge et l'autre attrapant ses testicules. Conscient que seule la chance et notre sang froid nous avaient fait échappé au sort que cette racaille et ses amis nous réservaient je fus tenté de lui broyer les couilles. Mais la violence ne fais pas partie de mes vices et j'espère qu'elle n'en fera jamais partie. De son côté mon épouse avait ramassé le couteau et s'adressant à moi avec un sourire lubrique.

« Je serai bien curieuse de savoir ce qu'il a dans le pantalon celui-là, histoire de savoir si j'ai raté quelque chose. »

Elle se commença à découper le pantalon de notre agresseur puis son slip, dégageant un sexe ramollit par la peur. J'en profitais pour reprendre en main les testicules, maintenant dénudées, pour faire comprendre sa vulnérabilité à notre apprenti violeur. Ma beauté laissa échappé un long rire sonore en se reculant un peu avant de lever sa robe nous montrant son sexe encore humide.

« C'est mou, on va voir si j'arrive à te motiver, petite bite va! »

Devant le spectacle d'Apolline qui commençait à se masturber en gémissant et tressaillant sous le contact de ses doigts sur ses lèvres et son clitoris rendus sensibles par nos ébats, mon captif ne pu s'empêcher d'avoir une érection d'abord timide puis franche et d'assez belle taille.

« Comme c'est mignon, ça mérite une récompense. Tu t'en occupe chérie? T'es bien placé pour ça! »

Je ne compris pas jusqu'à ce qu'elle crache sur le sexe de notre captif, et bien qu'un peu réticent au départ je lâchais les couilles, et changeais de position pour saisir le sexe de notre racaille. Je commençais alors lentement à le branler ce qui ne paru pas lui plaire. Tant et si bien qu'il tenta de se libérer, une pression à la gorge réduit cette rébellion à des paroles.

« Arrête enfoiré, espèce de pédé, arrête............ »

Il me suffit d'accélérer le mouvement de ma main pour que cesse toute protestation. Il faut dire que le spectacle de ma femme continuant à se masturber en entrant dans une véritable transe sexuelle aurait fait oublier n'importe quoi et j'en étais également très excité. A vrai dire si excité que j'en serai presque venu à sodomiser mon captif pour soulager mon désir. Progressivement notre jeune racaille sembla se prendre au jeu et usa de la faible mobilité dont il disposait pour donner un peu plus d'amplitude au mouvement de masturbation qu'il subissait. Ainsi pendant qu'Apolline se laissait tomber à terre dans un long gémissement, les jambes grandes écartées, le sexe ouvert, mon captif se laissait totalement aller au plaisir que je lui procurais. Bien décidé à ce que ça ne soit pas trop agréable pour lui, je jouais à stopper le mouvement puis à le reprendre avant d'arrêter à nouveau lorsque je le sentais arriver au moment fatidique. Après avoir pleinement profité d'un nouvel orgasme me femme se releva :

« Tu devrais le laisser faire ce qu'il a faire ce pauvre garçon. »

Sur ces mots elle se mit à genou devant mon prisonnier les mains tendues en dessous de son sexe, je relâchais quelque peu mon étreinte et il s'agita violemment pour achever de se faire branler. Le résultat ne se fit pas attendre il se mit à éjaculer abondamment en hurlant de plaisir et Apolline recueillit son sperme qui se mit rapidement à déborder de ses mains. Une fois qu'il eut fait son affaire, ma belle porta ses mains au visage de notre jeune « victime ».

« Goûte à ça mon grand, je suis sur que tu m'en lécheras les doigts. »

A ma grande surprise il ne se fit pas prier et commença à laper son propre sperme dans les mains d'Apolline. D'abord lentement puis avec gourmandise, jusqu'à lui lécher les doigts comme elle l'avais prédit. Après ça je le lâchais, il se laissa tomber à terre comme perdu dans les délices de l'orgasme qu'il venait de ressentir.

Nous n'avons pas tardé à nous éclipser et à reprendre la route, pour finalement nous arrêter quelques kilomètres plus loin pour nous remettre de nos émotions. Alors que nous nous reposions depuis quelques minutes ma Vénus se tourna vers moi en portant une main au sexe et avec un sourire.

« Ca t'as excité hein? J'ai cru un instant que t'allais lui défoncer le derrière à ce petit con et encore un peu et il t'en aurait supplié. »

Sur ces mots elle ouvrit ma braguette et se mis à me sucer avec gloutonnerie en faisant jouer sa langue sur toute la longueur de mon sexe. Malgré nos ébats récents elle réussit à m'arracher une puissante éjaculation qui me fit hurler de plaisir. Gardant mon sperme dans sa bouche elle me gratifia d'un langoureux french kiss me faisant partager ma propre semence avec elle. Après cela il me fallu de très longues minutes avant d'être en état de rouler à nouveau pour nous ramener à la maison, cette nuit là je dormais comme une masse.

Il s'est écoulé huit jours entre cette journée et le moment où j'écris ces dernières lignes et je dois dire que si ce n'était la présence de mon épouse j'aurai bien du mal à ne pas penser que j'ai rêvé tout ça.

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