Terreur à Ténérife

Informations sur Récit
Un jeune couple se risque à sortit des sentiers battus.
5.3k mots
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1

Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 12/04/2007
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Terreur à Tenerife

Coulybaca / Vulgus

Bien que cette histoire de Vulgus soit d'une seule traite, j'ai préféré la couper en plusieurs parties afin d'en faciliter la traduction et la lecture.

Chapitre 1 : Notre héros et sa femme Jenny profitent de leurs vacances à Ténérife, ils explorent tout d'abord les lieux consacrés aux touristes... Puis sur le conseils d'autres vacanciers ils vont s'intéresser aux lieux plus interlopes ..... Ils vont rapidement déchanter! ....

Le long voyage depuis l'Angleterre était terminé, et nous avions une opi-nion juste des coutumes locales une fois débarqué à Tenerife.

J'avais été informé que les habitants se montraient inamicaux envers les anglais, bien qu'ils ne soient pas particulièrement amicaux en tout autre endroit.

Nous avions été avertis que les forces de police et les agents gouver-nementaux ne servaient pas d'entremetteurs aux touristes. Si l'on avait quelque chose à leur demander, il valait mieux le dire en espagnol, parce qu'ils ne parlaient pas anglais et n'accordaient aucune patience aux touristes.

Nous avions été reçus bien plus cordialement par les membres de l'hôtel et servis rapidement.

Nous étions impatients de faire un tour pour observer les lieux, mais la journée avait été longue et nous avions deux semaines pour visiter les lieux, aussi avions nous décidé de se reposer un peu, et de partir en ex-ploration qu'une fois que nous aurions mangé.

C'était au mois de juillet et il faisait très chaud à l'extérieur, l'air condi-tionné dans notre chambre était vraiment le bienvenu.

Les températures moyennes sur cet îlot volcanique avoisinaient les 90, c'était juste un peu plus chaud que sur l'île où nous résidions.

Jenny m'aida à défaire les bagages, on prit une rapide douche et une petite somme d'argent pour trouver un endroit où dîner.

La journée avait été longue et fatigante et de plus nous étions tous deux si excités par ce voyage que nous n'avions pas beaucoup dormi ces dernières nuits.

Je ne me lasserais jamais de me voir ma ravissante compagne se dévêtir, Jenny a 23 ans, c'est une ravissante blonde aux yeux bleus et elle mesure 1,72 m, une taille encore rehaussée par la longueur de ses longues jambes parfaitement galbées.

Sa poitrine est opulente et bien ferme, ses nibards sont surmontés de délicieux mamelons roses très sensibles.

Son cul est bien rond, très avenant, tout au moins en ce qui me concerne.

Elle se rase la chatoune, pour notre plaisir réciproque, la saveur de sa chatte n'en est que renforcée.

Quant à moi j'ai 24 ans, je mesure 1,75 m et je possède un membre viril d'environ 18 cm, et plus épais que la moyenne.

Nous formons un couple assez aventureux sur le plan sexuel, mais pas de façon forcenée et uniquement entre nous deux.

Jenny n'avait couché qu'avec quatre autres hommes quatre avant moi. Je n'avais possédé que six femmes en dehors d'elle.

Nous avions, à l'occasion, fait l'amour en extérieur dans des endroits où l'on aurait pu être vu, dans des cinémas, dans notre voiture sur un par-king, et même dans le hall de notre immeuble.

Nous aimions tous deux le sexe oral et Jenny n'hésitait pas à avaler la fumée.

Nous nous sommes aussi amusés à ce qu'elle allume, le chaland, elle le faisait à contrecœur, mais sachant que j'aimais la voir provoquer d'autres hommes elle le faisait.

Elle le faisait plus facilement en vacances, là où personne ne nous connaît et ne nous reverra jamais, ça la gênait mais je pense que c'était une partie du plaisir que je prenais à la voir faire.

J'avais remarqué que bien qu'elle le fasse à contrecœur, je le retrouvais toujours la chatte trempée que ce soit dans la rue où même au cinéma.

Je pense qu'elle aimait cela plus qu'elle le disait.

On nous dit souvent que nous sommes très séduisants et nous nous exerçons tous deux à charmer nos interlocuteurs.

Jenny travaille dans l'éducatif et moi dans une banque.

Nous commençons à former un couple établi, un peu plus stable que la moyenne, de plus Jenny est très chaude.

Nous firmes un somme et lorsque nous étions affamés en nous réveil-lant.

Nous sommes habillés et nous sommes descendus et avons pris la di-rection d'un restaurant proche.

Comme il était fermé, nous avons été obligés de nous éloigner de notre hôtel tout en faisant un peu de lèche-vitrines.

Il était un peu tard pour dîner et trop tôt pour faire la fête aussi les rues étaient-elles assez vides, c'était une promenade plaisante.

Nous remarquâmes soudain une chose à laquelle nous n'étions pas ha-bitués, il semble qu'une large part de la population noire était dehors et nous environnait.

Nous habitons une très grande ville de prêt d'un demi-million d'habitants, mais la grande majorité de la population de la ville est blanche, on y trouve des pakistanais, une enclave indienne, et même une petite com-munauté asiatique.

Nous avons aussi une population grandissante de noirs venant du Nige-ria, ce n'était pas comme si on pouvait se promener des jours entiers sans voir de noir dans notre ville il semblait simplement y en avoir beau-coup plus ici.

Je remarquais que Jenny ne se sentait pas à son aise, mais elle ne me dit rien, je fis de même.

Après tout nous n'étions pas beaucoup plus loin qu'un jet de pierre de l'Afrique, il allait simplement falloir que nous ajustions nos comporte-ments à ces nouvelles données.

Nous avons trouvé un restaurant et nous nous sommes assis immédia-tement.

Nous avons commandé des boissons et un dîner léger, la nourriture et le service étaient excellents.

Tout se passait bien et nous sommes restés jusqu'à l'heure de la ferme-ture.

Je payais et laissais un généreux pourboire puis nous partîmes rejoindre notre hôtel.

Nous avons regagné notre chambre et avons demandé une bouteille de vin au groom, lorsqu'il l'amena nous nous assîmes au balcon qui surplombait la piscine de l'hôtel et nous sirotâmes notre vin en nous re-laxant.

Alors que nous buvions notre vin je remarquais que notre balcon était quasiment fermé aux regards.

Il y avait quelques autres chambres qui avaient la vue sur notre balcon, mais il ne semblait pas que qui que ce soit nous observe.

Comme Jenny avait beaucoup bu durant la journée, je pensais qu'il me serait facile d'obtenir qu'elle se déshabille pour se décontracter entière-ment nue, de la manière que je préférais.

Ne me faites pas dire ce que je ne veux pas, elle n'était pas saoule, mais nous avions bu quelques verres de vin dans l'avion, puis pendant le repas et maintenant nous sirotions nos verres de vin.

Je la taquinais, la mettant au défit de se déloquer, j'obtins gain de cause, elle était assise à mon coté dans le noir, je posais mes mains sur ses hanches et nous écoutions les bruits de l'océan proche les yeux rivés sur la piscine.

C'était une situation très romantique.

On vida la bouteille de vin, puis nous nous sommes couchés, et avons fait l'amour avant de tomber dans les bras de Morphée.

Ce premier jour s'avérait excellent.

Nous passâmes les quelques jours qui suivirent à explorer l'îlot.

Il était fascinant, je n'avais jamais vu autant de bananiers et de bananes! ....

Le tourisme et la production de bananes semblaient les piliers de l'éco-nomie de Ténériffe.

Nous avons aussi fait quelques achats, mais pas énormément.

On avait acheté des cartes postales que nous avons envoyés à la fa-mille, nos amis et nos proches et nous en en avons gardé quelques-unes unes comme souvenirs.

Nous avons aussi acheté quelques tenues sexy pour Jenny porter les soirs où nous irions traîner dans les boites de nuit, et bien sur une paire de bikinis plus provocants.

J'étais heureux de voir qu'elle était vraiment dans l'esprit du lieu et qu'elle inclinait à porter les fringues ultra légères et sexy que nous avions acheté.

Nous n'avons finalement hanté la plage qu'à partir du quatrième jour.

Jenny jeta un coup d'œil circulaire et vit que de nombreuses femmes avaient les seins nus, elle ôta immédiatement le haut de son bikini.

Ce n'était pas la première fois qu'elle se mettait seins nus à la plage, mais elle n'en avait pas si souvent l'occasion.

J'avais des émotions mêlées, j'aimais la voir seins nus, ses nichons très blancs contrastaient nettement avec sa peau tannée.

J'adorais la voir s'exposer ainsi, j'aimais l'idée que les autres hommes sur la plage m'enviaient et admiraient ses formes somptueuses.

Je savais aussi qu'en dépit de son apparent détachement, elle était très consciente d'être seins nus et d'allumer ainsi les spectateurs sans pren-dre aucun risque.

Le lendemain sa poitrine avait déjà perdu de sa blancheur initiale, mais elle contrastait encore avec le reste de ses appâts.

Nous tombions dans une certaine forme de routine journalière : on se levait tard le matin, puis on se douchait et on prenait un repas léger avant d'aller pour une paire d'heures sur la plage.

Après avoir passé une paire d'heure dans la chaleur étouffante du soleil on prenait un rapide lunch quelque part p^ès de la plage et nous ren-trions nous doucher avant de chercher un endroit à la mode pour souper.

Après le repas nous avions pris l'habitude de rentrer à l'hôtel pour nous relaxer un moment, nous prenions souvent un bouquin et descendions le long de la piscine pour nous asseoir à l'ombre d'un parasol et nous li-sons notre bouquin tout en nous décontractant et en regardant évoluer le gens qui nous environnaient.

Jenny en profitait pour enfiler les maillots de bain ultra sexy qu'elle s'était achetée plus tôt.

Ils lui allaient parfaitement et nous trouvions que le service était excel-lent, certainement du fait de l'intérêt des serveurs pour sa tenue.

Après nous être bien relaxé nous remontions pour un petit somme puis nous étions prêts à entamer la soirée.

Jenny enfilait une tenue légère et sexy et nous sortions pour souper et ensuite aller danser dans une boite de nuit.

Nous aimions tous deux danser et j'adorais mater les jolies danseuses évoluer sur la piste.

Jenny dansait avec d'autres que moi.

Une fois qu'elle avait siroté une paire de verre d'alcool elle était même capable de flirter et cela m'amusait énormément de la voir allumer ses partenaires avant de les quitter sans rien leur accorder de plus.

Comme tous les autres males dans la salle, J'aimais la regarder se tré-mousser avec sa minuscule jupe et sa micro brassière.

Ce spectacle ne manquait jamais de m'exciter comme un poux.

Elle adorait être le centre d'attention de tous ces hommes qui la relu-quaient avidement.

Nous avions visité beaucoup de boites de nuit et nous y étions beaucoup amusés, au milieu de la seconde semaine nous cherchions un nouveau club, on attendait pour un taxi tout en discutant avec un couple de Grands Bretons, qui nous signalèrent un bon petit club fréquenté par les indigènes, où passait un des meilleurs orchestres qu'ils aient jamais en-tendu.

Ils étaient convaincus que c'était la meilleur boite de toute l'île, et celui où ils avaient pris le plus de plaisir.

Il était trop tard pour y aller ce soir même mais ils nous donnèrent le nom du club, nous pressant de nous y rendre.

Je pensais qu'il valait mieux rester dans les endroits fréquentés par les touristes où nous étions en sécurité, mais Jenny était plus aventureuse et elle me pressait de nous rendre dans ce club.

A force de déambuler dans l'île elle finissait par se sentir partout en sé-curité et elle voulait vivre une petite aventure sortant des sentiers battus par les touristes.

A contrecœur je décidais que nous nous y rendrions la nuit prochaine.

C'est ainsi que la nuit suivante nous nous trouvions dans un taxi qui nous emmenait au "Banana's club", le chauffeur nous avait regardé tout sourire lorsque je lui avais dit le nom de notre destination.

Mais je n'en pensais rien, cela, ne m'alerta pas en tous cas...

La boite se tenait à l'extérieur de la ville tout au fond d'une sinistre route bordée de détritus.

Nous avons entendu la musique bien avant de la voir. Nous ne nous sentions plus gênés de nous trouver entourer d'indigènes maintenant. Tous se montraient extrêmement amical et nous nous sentions en sécu-rité partout où nous allions.

Cependant je me sentis un peu mal à l'aise lorsque nous entrâmes et que je vis que bien plus de la moitié de l'assistance était constituée de noirs.

Mais nous n'étions pas les seuls blancs, nous nous regardâmes dans les yeux et on décida de tenter le coup. Nous avons finalement trouvé une table et nous arrivâmes à nous commander quelques boissons.

L'orchestre était excellent et jouait devant une grande piste de danse.

Je jetais un coup d'œil circulaire, nous semblions être les seuls touristes, mais tout le monde semblait joyeux, la musique était bonne, et bien vite nous nous sommes sentis comme chez nous.

Nous avons dansé un peu et j'ai vu à quel point Jenny attirait l'attention des mâles, et j'en étais assez fier.

Elle reçut plusieurs invitations à danser dans entre deux de nos danses, elle commença par les décliner.

Mais elle aimait beaucoup plus danser que moi, je préférais la voir dan-ser, aussi l'encourageais-je à accepter les invitations d'autres danseurs.

Son second verre vide elle se montra plus coopérante et finalement elle accepta de danser avec un grand noir qui présentait bien.

Elle n'avait jamais dansé avec un noir auparavant, mais il dansait très bien et ils furent bientôt le centre d'attraction des danseurs.

Sa petite jupe flottait dans les airs et laissait entrevoir de tempes en temps des bribes de sa petite culotte, ainsi que ses longues cuisses bien galbées.

Elle était vraiment très excitante, mais il me semblait étrange de la voir entourée de cette foule de noirs.

Ils firent trois danses puis l'orchestre fit une pause. L'homme ramena Jenny à notre table s'assit avec nous et se mit à discuter le plus souvent avec Jenny.

C'était vraiment très convivial, je ne l'avais pas invité à se joindre à nous, il avait simplement suivi le mouvement.

On nous servit trois boissons, le noir se présenta lui-même, il y avait tant de bruit dans la salle que je ne compris pas son nom. Cela ressemblait à Harold, mais cela ne lui correspondait pas du tout.

Nous avons vidé nos verres alors que Jenny et Harold discutaient, je n'entendais pas ce qu'il lui disait, je me contentais donc d'observer les réactions de Jenny, elle semblait nerveuse de l'avoir à ses cotés, elle semblait souhaiter qu'il parte, mais elle n'avait pas le courage de le lui dire.

Elle me jeta plusieurs coups d'œil significatif, mais nous nous trouvions dans une boite de nuit pleine de noirs et c'était un véritable colosse noir, je n'avais aucune envie de le froisser.

Ils terminèrent leurs verres et il invita Jenny à retourner sur la piste de danse pour y faire quelques tours.

Apparemment il lui apprenait quelques danses locales qui semblaient très sensuelles.

Je les observais plus attentivement mais ils furent rapidement engloutis par la foule et à part de brèves apparitions de temps à autre, ils étaient hors de vue la plupart du temps.

Le visage blanc de Jenny était perdu dans un océan de figures noires.

Ils revinrent après plusieurs danses plus et s'assirent de l'autre coté de la table face à moi.

Je ne savais pas pourquoi, mais sa tenue me semblait chiffonnée.

Elle avait beaucoup de peau d'exposée aux regards, et les triangles étroits qui couvraient ses seins me semblaient avoir rétrécis.

De nouveaux verres apparurent sur la table et deux noirs s'asseoir sou-dainement de chaque coté de moi, ils parlaient à voix forte avec Harold dans un langage que je ne comprenais pas.

Ils étaient tout sourires et me semblaient très amicaux.

Les trois hommes semblaient au début de la trentaine, ils étaient tous trois grands et costauds, très imposants.

Je regardais Jenny et Harold boirent, se parlant dans l'oreille l'un de l'au-tre, ce qui indiquait à quel point ils étaient assis serrés l'un contre l'autre.

Je voyais bien que les différents verres ingurgités commençaient à agir sur Jenny mais elle ne me semblait pas très décontractée.

Elle semblait terriblement nerveuse mais incapable de se décourager Harold.

Harold avait un bras qui tombait derrière sa chaise, sa main était posée sur l'épaule de Jenny, mais cela semblait très naturel.

Il semblait ne la serrer contre lui que pour pouvoir lui parler.

L'un des hommes assis à mes cotés dit quelque chose à Harold qui gri-maça et hocha la tête et soudain il tendit la main et écarta le tissu qui couvrait l'un des nibards de Jenny, ils éclatèrent tous trois de rire.

Jenny repoussa sa main, il l'enleva et il se remirent à causer.

J'essayais de me lever.

Il était évident qu'il était grand temps de quitter cet établissement, de s'éloigner de ces trois hommes et de toute cette foule noire et de retour-ner dans un club sécurisé pour touristes.

Mais comme je me mettais debout, l'homme de l'autre coté de moi posa ses mains sur mes épaules et me rassit de force sur ma chaise.

Ils me sourirent alors, ils ne semblaient pas menaçants. Mais j'étais in-capable de me relever et je ne savais pas quoi faire.

Je jetais un nouveau coup d'œil vers Jenny et vit une forte anxiété se peindre sur son visage.

Juste à ce moment je la vis sursauter brutalement et je remarquais qu'une des mains d'Harold se trouvait sous la table à cet instant.

Je hurlais à Harold et Jenny qu'il était temps que l'on parte. Harold me regarda fixement puis se remit à causer avec Jenny sans plus se préoc-cuper de moi, alors que sa main remuait sous la table.

L'un des hommes qui m'encadraient se pencha plus en avant et me dit d'une voix épaisse :

- "Vous ne comptez pas nous quitter si tôt? .... La fête vient juste de commencer! ... ".

Je ne savais que faire. Je ne pouvais pas lutter contre ces hommes, ils me mettraient Ko trop facilement.

J'étais forcé de rester assis, désarmé, et de laisser faire tout en regar-dant le spectacle.

Harold continuait à s'amuser des charmes de Jenny. L'heure suivante ils nous obligèrent à consommer de nombreuses boissons, je ne sais pas ce qu'on buvait, mais c'était drôlement fort.

Jenny dut retourner sur la piste de danse.

Elle était perdue dans cet océan de visages noirs, mais je suis sure de l'avoir vue à deux reprises et je pourrai jurer que sa brassière pendait misérablement sur sa taille, elle dansait une de ces danses sensuelles qu'Harold lui enseignait le torse nu au milieu de cette négritude.

Pendant qu'elle dansait j'arrivais à convaincre mes voisins que je devais me rendre aux toilettes pour hommes, ils m'y escortèrent puis me rame-nèrent manu militari à notre table.

On venait de se rasseoir lorsque je vis Harold ramener Jenny à notre ta-ble.

Elle affichait un air que je trouvais des plus douteux.

A peine étions-nous assis qu'Harold sortit sa petite culotte de sa poche la tint en l'air l'étalant comme un trophée qu'il présentait à ses deux comparses qui m'encadraient.

Je jetais un oeil sur Jenny, elle avait l'air totalement désarmée et profon-dément humiliée, et je me sentais incapable d'intervenir.

Mon désarroi s'accrut encore lorsqu qu'Harold se pencha et roula une pelle à Jenny.

Elle se débattit pour éviter ses baisers, mais il la tenait bien et je pus voir son épaisse langue explorer la bouche de ma femme alors qu'elle s'était résignée à le laisser faire.

Profondément choqué, je les regardais se rouler des patins, sa main se glissa entre tissu et peau et il empauma ses chauds nibards comme si elle lui appartenait.

Je luttais pour me lever avec le même pitoyable résultat que la première fois.

Ils me renvoyèrent brutalement sur ma chaise et les deux colosses qui m'encadraient en me souriant secouèrent leurs têtes et se remirent à re-garder Harold qui molestait Jenny.

Finalement Harold cessa de l'embrasser et enleva sa main au grand soulagement de Jenny, un de ses nibards restait exposé aux regards, elle tendit la main pour le recouvrir, mais Harold stoppa son geste.

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