Terreur à Ténérife Ch. 04

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De retour au pays, le calvaire reprend.
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 12/04/2007
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Chapitre 4 : Le retour au pays, le calvaire reprend.

Les premières semaines de notre retour furent difficiles.

Nous nous serrions l'un contre l'autre en permanence nous assurant l'un l'autre de la profondeur de notre amour.

Mais nous ne faisions pas l'amour.

La tension avait monté entre nous, nous n'en parlions pas, finalement je suggérais que nous rencontrions un psychiatre spécialisé dans les suites de viols ou bien même un simple psychologue.

Jenny me répondit :

- "Ne pourrions nous pas plutôt en parler entre nous? .... Je ne veux pas parler à qui que ce soit de ce que j'ai enduré, ce serait bien trop humiliant! ...."

Alors nous en avons parlé entre nous et il apparut que ne voulais pas lui faire l'amour parce que je pensais qu'elle était trop traumatisée et qu'elle ne voudrait plus être touchée par un homme pendant un certain temps.

Par ailleurs elle pensait qu'elle ne m'intéressait plus parce qu'elle était souillée et elle avait peur que je pense qu'elle était bien trop salie pour l'aimer encore.

Nous avons parlé sincèrement de ces problèmes puis nous nous sommes aimés longuement, tendrement après avoir surmonté nos craintes initiales.

Il y avait encore beaucoup de choses à résoudre entre nous, mais il nous semblait que nous avions pris la bonne direction pour recimenter notre union.

Le souvenir de ces deux semaines de vacances était moins prenant, il était temps maintenant de reprendre le boulot.

Nous attendions cet instant avec impatience en fait, il semblait bon de retrouver une certaine routine, des habitudes qui structuraient notre vie.

Nous nous sommes levés tôt le lundi suivant, avons pris notre petit déjeuner, puis on partit travailler comme si rien ne nous était arrivé.

Je vantais nos vacances auprès de mes collègues de travail faisant abstraction des trois derniers jours de notre séjour.

Le soir, de retour à la maison, Jenny m'attendait assise dans la cuisine elle avait en main un colis envoyé de Ténérife.

Jenny était assise les yeux rivés sur le paquet, elle avait l'air terrorisé.

Je regardais l'inscription sur le paquet et vit qu'il provenait de nos amis du "Banana Man's club" de Ténérife.

Je soupesais l'enveloppe, l'ouvris et en extirpa le contenu.

Elle contenait une lettre accompagnée d'une bonne douzaine de photos.

La plupart des photos représentaient Jenny dans des positions scabreuses, dégradantes incluant des photos où elle paraissait baiser avec des mineurs filles et garçons, en réalité de jeunes majeurs ayant gardé un aspect juvénile.

Il y avait aussi quelques photos de moi copulant avec la jeune fille.

Je ne sais pas si ces photos suffisaient à nous mener en prison bien que je suspecte que c'était le cas, mais elles suffiraient à nous mettre au ban de la société, totalement rejetés par nos amis et nos parents, nos familles.

Jenny s'était remise à pleurer, elle me demanda :

- "Qu'est-ce que cela veut dire? ...."

Je saisis la lettre et la lut rapidement.

Elle m'expliquait qu'afin de réparer les torts que nous avions causés aux habitants de Ténérife nous devrions donner de notre temps pour rapporter de l'argent aux victimes.

Ce temps volontaire serait géré par monsieur Jeffrey Eng, son adresse et son numéro de téléphone étaient indiqués sous son nom.

La lettre indiquait que nous ne serions réquisitionné que trois jours par semaine tant que nous coopérerions sans créer de problèmes.

Je ne connaissais pas le nom de l'homme qui avait signé cette missive, mais cela importait peu finalement.

Au dos du message étaient inscrits les noms et les adresses de nos proches et de nos employeurs.

Il n'y avait été ajouté aucune menace, elles n'étaient pas nécessaires.

J'ouvris le petit paquet sur lequel était collée cette enveloppe, j'y trouvais une douzaine de DVD, il n'y avait aucune note mais nous savions tous deux ce dont il s'agissait.

Je me levais et nous servit une boisson bien raide.

La lettre nous enjoignait de contacter monsieur Eng dès que nous la recevrions.

Je reposais les DVD et les photos dans leurs emballages respectifs m'assit et cherchais comment nous tirer de cette histoire.

Nous n'étions pas riches, bien que nous ne soyons pas non plus pauvres.

Nous aimions nos boulots qui nous proposaient à tous deux des carrières évolutives, bien rémunérées, garantes d'un train de vie élevé.

Nous ne pouvions quitter nos emplois quelle qu'en soit la raison.

Et, même si nous mourions rien ne dit que nos turpitudes ne seraient pas étalées au grand jour.

Il n'y avait rien à trouver de ce coté.

Nous devions tout d'abord savoir en quoi consistait ce travail volontaire qu'on nous imposait.

Je suspectais fort que ce genre de job reposerait sur les épaules, ou plutôt l'entrecuisses de Jenny.

Je ne comprenais pas ce qu'ils comptaient obtenir de moi.

Après être restée assise, silencieuse pendant un long moment, Jenny se releva, se saisit du téléphone et me le tendit.

Je le posais sur l'enveloppe le fixant du regard alors que je cherchais désespérément comment nous sortir de ce pétrin.

Mais c'était inutile, et, finalement j'empoignais le téléphone et appelais le numéro de monsieur Eng.

Une femme me répondit me demandant de patienter quelques petites minutes, puis une voix grave retentit, un homme qui se présentait comme monsieur Eng.

Il était évident que cet homme à qui je parlais était noir, son accent était facilement reconnaissable.

Il s'agissait du même accent qu'avait les gens qui parlaient l'anglais à Ténérife.

En fait, on aurait cru entendre parler Harold.

Il me demanda si nous avions visionné les DVD, je lui répondis que nous venions tout juste de rentrer chez nous et que le colis venait d'arriver le jour même.

Il nous enjoignit de regarder tous les DVD, il estimait que cela devrait nous prendre 36 heures, puis de le rappeler ensuite.

J'essayais de lui en faire dire plus au sujet de ce travail à temps partiel qu'on voulait nous imposer, mais il raccrocha sans daigner me répondre.

J'étais furieux, j'avais envie de jeter le téléphone contre le mur, je parvins à me contrôler et je me rassis devant la table.

Je répétais à Jenny ce qu'il nous enjoignait de faire, cela ne prit pas longtemps, pas plus que pour le dire.

Nous cessâmes d'en parler affolés. Nous avons saisi nos verres nous sommes dirigés vers le salon pour mettre le premier DVD dans le lecteur.

Il commença par quelques plans éloignés de nous au club la première nuit.

Ils avaient commencé à nous filmer avant même que nous nous rendions compte de leur présence, avant même qu'Harold ait dansé avec Jenny pour les première fois.

Puis quelques plans montrèrent Jenny dansant avec Harold, mais l'action n'avait pas vraiment commencé avant que nous allions chez le père d'Harold où ce dernier avait profité longuement de ses charmes.

Ils avaient tiré de longues séquences de cet épisode, la plupart, sinon tous les viols survenus dans la maison du père d'Harold étaient filmés en quasi-totalité.

Mais pire encore, les plus scabreuses s'avéraient les scènes avec ces majeurs aux visages enfantins et aux corps juvéniles qui avaient été enregistrés dans le studio cinéma, la scène me présentant violant la jeune fille était criante de vérité, on aurait vraiment dit que je me tapais une adolescente de 14/15 ans.

Nous serions totalement rejetés comme des pédophiles si quiconque voyait ces films pourtant tous tournés avec des majeurs.

Chaque nuit après le travail nous avons visionné 3 à 4 heures de ces enregistrements.

J'aurai aimé que Jenny ne le sache pas, mais certaines scènes follement érotiques me firent bander à mort.

Mais la plupart du temps nous étions submergés par l'horreur et peur.

Ces enregistrements réveillaient les souvenirs les plus terribles de ces trois derniers jours de vacances et c'était franchement limite du supportable.

Ces événements nous poursuivraient donc toute notre vie! .....

On se refusait à le penser! .....

Cela nous prit 8 jours pour visionner la totalité des DVD, je suis sure que c'était encore plus dur pour Jenny que pour moi, cependant, à plusieurs reprises, après avoir visionné les DVD elle m'entraîna au lit pour faire l'amour, c'était une chose qu'elle ne s'était jamais permis auparavant.

Je m'allongeais docilement me demandant si une scène du DVD l'avait particulièrement excitée ou si elle faisait l'amour pour se vider l'esprit, ou bien même s'il s'agissait d'une combinaison des deux motivations.

J'avais peur trouver la réponse à cette question.

Cela pourrait m'amener à confesser que certaines scènes particulièrement scabreuses m'avaient fortement excité, et j'avais peur de sa réaction à cette occasion.

Le dernier DVD recelait différentes scènes de la dernière nuit à l'hôtel alors que tous les membres du personnel la violaient copieusement chacun à leur tour.

Tous les rushs étaient filmés au travers de l'entrebâillement de la porte communicante entre les deux chambres contiguës, l'angle de vue était pauvre, mais ce défilé de clients était sinistre.

On avait l'impression qu'elle était prisonnière dans cette chambre et qu'elle avait été violée à la chaîne par de nombreux hommes pendant des heures et des heures, qu'elle en eut récupéré en si peu de temps paraissait incroyable.

Je décidais de revoir ce DVD lorsque je serai seul, je voulais compter le nombre d'hommes qui l'avait possédé.

Je l'ignorais totalement et je voulais le revoir dans ce but.

Mais je devais admettre que de plus j'en tirerai une forte excitation, cette curiosité venait directement de mes burnes! .....

Il était 21 heures lorsque nous avons terminé la lecture du dernier DVD, nous pensâmes et bien qu'il soit tard pour passer un coup de téléphone, nous le passâmes tant notre anxiété de savoir ce que ce monsieur Eng attendait de nous était prenante.

Je me rendais bien compte à quel point nous étions vulnérables, Jenny aussi d'ailleurs.

La même femme répondit à notre appel lorsque je demandais monsieur Eng, il me semblait que c'était une blanche, je ne lui détectais aucun accent particulier.

Elle semblait très jeune, peut être bien de l'âge de Jenny ou un peu pus vieille.

J'e fus mis une nouvelle fois en attente pendant quelques minutes puis la voix basse et ronflante de monsieur Eng se fit entendre.

Il me demanda à nouveau si nous avions visionné la totalité des DEVD, je lui répondis que oui.

- "Dans ce cas vous comprenez bien que vous ne pouvez me poser aucun problèmes! .... N'est-ce pas Mark? ...." commenta-t-il affablement.

Le fait qu'il m'interpelle par mon prénom me renversa, mais je réalisais à quel point nous étions dans le pétrin en ces circonstances.

Je répondis servilement :

- "Non monsieur, nous ne vous poserons au problème! ....Mais, s'il vous plait, pouvez préciser ce qui vous attendait de nous? ...."

- "Mais certainement..." me rétorqua-t-il toujours aussi affable... Venez à l'adresse indiquée sur la lettre demain à 19 heures... Je m'arrangerai pour vous recevoir! ...."

Sur ces mots il raccrocha le téléphone avant que je puisse lui répondre quoi que ce soit, mais en fait, il n'y avait nul besoin de réponse c'était un ordre.

Je répétais à Jenny ce que monsieur Eng venait de m'ordonner, et nous partîmes coucher, je la serrais sanglotant contre moi.

Je restais éveillé pendant des heures, me tracassant pour Jenny constatant piteusement qu'une fois de plus je me retrouvais dans une position où il m'était impossible d'intervenir pou la protéger.

La journée de travail du lendemain me parut interminable, j'étais tenté de ma faire porter pâle pour rentrer chez moi.

Je ne parvenais pas à me concentrer sur mon boulot et je suis sur que j'ai du faire plusieurs bourdes.

Finalement je rassemblais mon énergie me forçant à me concentrer suffisamment pour affronter les dernières heures de travail, mettant de coté les travaux les plus délicats.

Je rentrais à la maison et y trouvais Jenny douchée et habillée, prête à partir.

Elle avait même préparé un lunch frugal.

Nous avons mangé, puis je pris une douche et changeais de tenue, nous avions téléchargé une carte sur internet indiquant clairement l'adresse ou nous devions nous rendre à 19 heures.

Ce quartier de la ville ne nous était pas familier, c'était un quartier de petits bourgeois et cela me rassura, je ne sais pas encore pourquoi.

Je me rappelais encore la maison du père d'Harold et les épreuves que nous y avions endurées j'espérai que cette fois les choses se présenteraient bien mieux.

Je savais qu'il y avait peu de chances en fait, mais l'espoir fait vivre.

On se posta devant la porte je frappais et comprit à la voix que la personne qui me répondait n'était autre que monsieur Eng.

Il était tel que je me l'étais imaginé : un véritable colosse noir dans les 50 ans, un homme très intimidant.

Il s'écarta d'un pas, nous sommes entrés et avons fermé la porte dans notre dos.

Nous l'avons suivi dans un court vestibule qui menait à une salle de réunion.

Nous fumes fortement surpris et même consterné de constater que monsieur Eng n'était pas seul.

Une douzaine d'hommes se tenait assis autour de la pièce un verre en mains.

Ils étaient tous noirs, et d'une cinquantaine d'années, certains étaient très élégants, d'autres arboraient des tenues forts disparates.

Ils ne ressemblaient à ces gens qui se réunissaient ensembles habituellement.

Ils braquèrent tous leurs regards sur nous, monsieur Eng ordonna à Jenny de tourner lentement sue elle-même.

Elle rougit, visiblement elle se sentait très gênée d'être une nouvelle fois le centre d'attention.

Nous essayions de toutes nos forces d'éloigner les souvenirs des trois derniers jours de vacances à Ténérife et voila que tout nous revenait en plein visage, cela nous semblait encore pire du fait que cela se passait dans la ville où nous vivions.

Lorsque Jenny s'eut exécutée, donnant à tous un aperçu de ses charmes sous différents angles, elle se posta face à monsieur Eng attendant son prochain ordre.

Mais en fait cet ordre me concernait :

- "Mark déshabillait Jenny je vous prie! ...." m'intima-t-il poliment comme s'il suggérait une chose des plus normales.

J'entendis Jenny prendre une profonde inspiration, notre épreuve débutait, lorsque nous étions rentrés de Ténérife nous avions ingénument pensé que nos épreuves se terminaient et voila que cela recommençait de plus belle.

Je reculais de deux pas et me postais face à elle.

Nos yeux se rencontrèrent pendant une seconde, elle savait pertinemment que j'aurai voulu ne pas leur obéir, mais nous savions tous deux que nous étions piégés.

Je déboutonnais son corsage et le faisait glisser de ses épaules avant de le jeter sur une chaise toute proche.

Sa jupe suivit rapidement elle se tenait maintenant devant en petite culotte, soutien-gorge, et les pieds chaussés.

Je la contournais et dégrafais son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre le tas de vêtement sue la chaise, puis je roulais sa petite culotte sur ses chevilles, qu'elle enjamba docilement.

Je me redressais et jetais son dernier rempart sur le tas de vêtements les yeux braqués sur monsieur Eng et ses invités le regardant fixer, Jenny avec les autres invités, le regard fixé sur ses charmes.

Monsieur Eng se leva et s'approcha de moi me tendant une caméra numérique de très bonne qualité, il m'intima alors de filmer tout ce qui allait arriver à Jenny ce soir.

Dès que j'eus la caméra en main, il me repoussa en arrière et s'approcha de Jenny.

Il se dirigeait lentement vers elle, il posa une de ses mains sur ses nibards bien fermes et commenta :

- "Ma chérie ton corps est tout proche de la perfection! ..... Tu es bien plus belle que sur tes photos! ..... Je vais vraiment prendre mon pied à te baiser! ...."

Les assistants opinèrent en chœur, quelques-uns uns se levèrent et approchèrent pour inspecter ses charmes de plus près.

Ils se contentaient de regarder au début, puis ils promenèrent leurs mais sur ses appâts.

L'un d'eux lui frappa légèrement la cuisse et elle s'empressa d'écarter ses cuisses pour le satisfaire lui offrant un bien meilleur accès à sa chatoune.

Il inséra un doigt dans sa foufounette, sourit et commenta pour les autres

- "Elle commence déjà à juter messieurs! ..... Je pense que nous détenons là une salope innée! ....."

Sur ces mots il braqua ses yeux sur Jenny et lui demanda :

- "Es-tu une salope née? .... Aimes-tu te faire baiser? ...."

Jenny le regarda misérablement et soupira :

- "Oui monsieur! ...."

Monsieur Eng se tourna vers l'un des hommes et lui dit :

- "Jérôme, pourrais-tu faire venir ton esclave? ..... Qu'on s'amuse un peu avec elle! ...."

Le dénommé Jérôme sourit, se leva, sortit de la pièce et revint ramenant une femme nue attachée à une laisse par un anneau lui perçant les tétons.

Il ôta sa laisse et la poussa à coté de Jenny.

Elle était très attirante, une grande rousse avec un visage de madone.

Je suppose qu'elle devait avoir une trentaine d'années.

A voir l'expression qu'elle affichait sur son visage on comprenait vite qu'elle était là contrainte et forcée.

Jérôme lui enjoignit :

- " Chienne dit à Jenny comment il se fait que tu m'appartiens! ....."

La femme rougit, regarda Jenny et lui confia :

- "L'année dernière je suis allée en vacances à Ténérife avec mon mari... Un soir, nous avons rencontré un couple au cours d'une soirée dans un club, ils nous recommandèrent un club fréquenté par les indigènes....."

- "Nous nous y sommes rendus et un homme nommé Harold prit contrôle de nous deux! ..... Il me fit faire des choses... Des choses dégoûtantes, alors qu'ils prenaient plein de photos et de films de mes "performances"... Et maintenant j'appartiens à monsieur Smith! ...."

Jérôme, monsieur Smith lui fit préciser :

- "Dis-lui ce que tu fais pour moi chienne! ...."

- "Je fais tout ce qu'il veut... je copule avec lui et ses amis et même des complets étrangers quand cela l'amuse! ...."

- "Un jour par semaine je me produis dans une boite à strip-tease dans le quartier nigérien et je baise avec tous les clients qui le veulent! ....."

- "Un autre jour dans la semaine je m'occupe des membres d'un club privé... Et je me fais baiser par tous les gens qu'il m'envoie chez moi, parfois je dois tourner dans des films pornos! ...."

Alors que cette pauvre femme expliquait sa vie à Jenny, je la voyais pâlir atrocement.

Elle ne nous laissait aucun espoir.

Elle ne pouvait que subir la vie de viols et de dégradations continuelles qu'on lui imposait, et ce pendant je ne sais combien d'années! .....

Tandis que la femme qu'il appelait « Chienne » parlait, monsieur Smith et ses amis s'étaient levés et avaient entrepris de se déloquer.

Ils se rassirent une fois entièrement nus et monsieur Eng ordonna à Jenny et à « Chienne » de commencer leur prestation.

Rien de nouveau pour "Chienne" je suppose, mais la seule expérience qu'ait eu Jenny avec une autre femelle s'était passée avec cette jeune fille au visage enfantin à Ténérife, sous l'objectif de la caméra.

Cependant elle savait en gros ce qu'on, attendait d'elle.

Elle laissa "Chienne" diriger leur accouplement et elles commencèrent à se gouiner au centre de la salle de réunion face à une douzaine de mecs en rut qui les reluquaient avec concupiscence.

Elle commencèrent par se frotter l'une contre l'autre en se roulant des pelles bien baveuses, puis elles se laissèrent tomber à genoux puis s'étendirent sur le plancher se pelotant tout en s'embrassant.

J'essayais d'être aussi discret que possible en les filmant, enregistrant les plans que je savais qu'ils apprécieraient, mais me tenant aussi loin de l'action que je le pouvais.

Avant bien longtemps elles finirent par un classique soixante-neuf, mais je peux préciser qu'en dépit de leurs efforts, elles n'avaient joui ni l'une, ni l'autre.

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