Vacances aux Baléares

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Un jeune écrivain se fait séduire par une voisine peu timide.
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Mon nom est Benjamin R. À 21 ans, je peux me considérer comme un jeune homme privilégié. Alors que je suis toujours étudiant en fac de Lettres Modernes, j'ai publié un livre d'héroic fantasy qui a véritablement cartonné: 100 000 exemplaires vendus en quelques mois.

Ma maison d'édition s'est empressée de me faire signer un contrat d'exclusivité pour mes trois prochains livres, à sortir dans les cinq ans qui viennent. De plus, comme l'histoire de mon livre se déroule sur une île, mon éditeur m'a offert un mois de vacances, tout frais payés, sur l'île de Majorque, aux Baléares. Bon, pour celles et ceux qui ne sont pas doués en géographie, les Baléares sont un groupe d'îles en Méditerranée, à 80 km des côtes espagnoles. Et bien sur, l'endroit le plus connu de l'archipel est IBIZA!!!

Ah je vois que cela vous parle davantage! Sans doute êtes vous en train de vous dire que ce mois sera synonyme de fêtes, boites, alcool et autres divertissements en tout genre. Et bien détrompez vous. Eh oui, désolé! Je suis ici pour travailler et rédiger les premiers chapitres de ma nouvelle histoire. À la grande déception de ma petite amie qui m'accompagne. Elle aimerait que nous sortions davantage, mais malheureusement pour écrire j'ai besoin d'avoir une vie parfaitement réglée. Ici, par exemple, mon emploi du temps est assez strict. Tout d'abord lever à 7h30, puis 45 minutes de footing sur la plage et retour à l'appartement. Douche puis petit déjeuner. Ensuite à 9h, je prend mon ordinateur, mon ipod et je m'installe, chaque jour, à la terrasse du même bar avec vue sur la mer où je travaille jusqu'à 13h (sympa le bureau non?). Enfin je rentre à l'appartement. Je déjeune puis je pars à la plage ou alors je me ballade avec ma chérie, Jeanne.

Et aujourd'hui, comme tous les autres jours,rien ne me fera changer mes habitudes. Rien sauf une certaine Mathilde...

Voila donc près d'une semaine que je vis à ce rythme.

Je finis de relire les dernières pages que j'ai écrites. Satisfait du travail accompli ce matin, je ferme mon ordinateur portable et regarde pendant, quelques minutes, le paysage paradisiaque qui s'offre sous mes yeux. Au large, on devine les formes mouvantes de petits bateaux de tourisme. J'imagine ces familles effectuant une croisière des plus agréable.

L'agitation grandissante autour de moi me fait prendre conscience de l'heure. Il est temps de rentrer à l'appartement.

Je salue Roger, le patron du bar. Cet anglais si amical est un ancien hippy, comme il y en a tant ici. Lorsque ses illusions sur la vie en communauté et le «power flower» se sont envolées, il est resté sur l'île et a ouvert ce bar-restaurant avec son compagnon. Ils m'ont accepté dès le premier jour, lorsque je cherchais un endroit où travailler.

- À demain Roger!

- A la mañana Ben! Et embrasse ta petite Jeanne pour nous! me répond-il avec son accent british toujours aussi présent malgré 40 ans de présence sur l'île.

Jeanne, tiens justement. Je lui envois un sms pour l'avertir que je rentre. Elle m'explique qu'elle est partie faire les magasins dans le centre et qu'elle mangera sur place. Nous nous donnons alors rendez-vous pour 15h, près d'un marchand de glace que nous fréquentons régulièrement.

Tranquillement, mes pas m'entraînent sur le chemin qui mène à notre résidence. Une brise venant du large tempère les effets d'un soleil déjà haut dans le ciel. Mes pensées se tournent vers ma Jeanne.

Voilà deux ans déjà que nous sommes ensemble, même si je la connais depuis l'enfance. Nous avons grandi l'un à côté de l'autre puisque nous sommes voisins depuis toujours. D'abord amis, nous nous sommes rapprochés au décès de son frère (qui était mon meilleur ami). On s'est soutenu durant ces jours difficiles. Et lorsque la douleur s'est estompée pour laisser de nouveau place à la vie, Jeanne était devenue bien plus qu'une amie. Et un soir d'été, voyant un garçon tenter sa chance auprès d'elle, j'ai compris que je l'aimais et que je voulais bien plus que ce qui nous rapprochait. Je me rappellerai toute ma vie de cet instant.

Nous étions à une fête organisée par quelques-uns de mes camarades. J'avais obtenu l'autorisation de ses parents (elle avait 15 ans à l'époque) pour que celle-ci m'accompagne. Un des invités s'était rapidement intéressé à elle, faisant naître en moi un sentiment d'intense jalousie. À un moment, ce garçon s'est mis à lui murmurer des choses au creux de l'oreille, à passer son bras autour de sa taille. C'en était trop pour moi. Je me suis rapproché d'eux. Sans un mot, j'ai pris la main de Jeanne, je l'ai attiré vers moi et, sans attendre une seconde de plus, je l'ai embrassé devant ce pauvre garçon qui affichait un air médusé. Par la suite, ma chérie m'avoua qu'elle aussi était amoureuse de moi. Et à écouter mon entourage, lorsque notre relation devint officielle, j'étais le seul à ne pas avoir vu son amour pour moi.

Depuis, même si nous vivons toujours chez nos parents, nous passons la plupart de nos nuits chez l'un ou chez l'autre.

Deux ans déjà...

L'esprit rempli de ces souvenirs, je me suis à peine aperçu que mes pas m'ont conduit aux pieds de la résidence de tourisme où se trouve notre appartement. Une voix, toutefois, me ramène à la réalité.

- Monsieur! Monsieur!

Je lève la tête en direction du balcon d'où vient la voix.

- Excusez-moi, vous êtes français, non?

J'adresse un oui de la tête à la jeune fille qui m'interpelle.

- Je suis désolée de vous déranger, m'explique-t-elle, mais mes parents sont partis en excursion pour la journée et j'ai besoin d'aide. Peut-être que vous pourriez...

Cette fille a pourtant l'air très jeune, mais il se dégage d'elle une sensualité incroyable. Un visage d'ange. Une voix douce. Une silhouette ravissante.

Le vent qui caresse lentement la façade de la résidence soulève ses longs cheveux... Ainsi que la tunique qu'elle porte. Et vu de ma place au rez de chaussée, je ne peux ignorer que cette tunique est son seul vêtement. Par instant son pubis, dépourvu de pilosité, est parfaitement visible.

Consciente que mon regard se promène vers son intimité, elle rabat sa tunique et me dit en souriant:

- 1er étage, 2ème porte à gauche.

En grimpant les marches de l'escalier qui me conduit au 1er étage, toutes mes pensées se sont focalisées sur cette jeune fille désirable, sur ses formes aperçues, et sur ce violent désir qui naît en moi.

Devant la porte, je perd les derniers scrupules que je peux encore avoir. Je lève la main pour frapper à la porte, mais celle-ci s'ouvre déjà.

Ma charmante inconnue m'invite à entrer.

- Merci d'être venu. Moi c'est Mathilde.

- Benjamin... Quel est votre problème?

- Suivez moi, c'est par là.

Elle passe devant moi pour me conduire au salon. De plus prêt, la tunique se révèle presque transparente. Les formes de Mathilde sont parfaitement visible. Que ce soit son dos, sa chute de rein, ses fesses musclées. Mon Dieu, cette fille est la tentation incarnée! Sa démarche féline ne fait qu'attiser mon envie.

Parvenus au salon, elle me désigne du doigt un ordinateur portable sur une table basse.

- Je devais contacter ma meilleure amie sur Skype, mais ça ne veut pas marcher.

Je prend place sur le canapé et commence à chercher l'origine de cette panne. Il me faut toute ma détermination pour ne pas lever sans cesse les yeux de l'ordinateur pour regarder Mathilde qui vient de s'asseoir en tailleur sur un fauteuil face à moi. En tailleur!!! Son sexe largement dévoilé!

Bon sang! J'ai l'impression que la température de la pièce vient de grimper en flèche. À vrai dire, il n'y a pas que la température qui grimpe... Dans mon boxer, mon sexe a atteint sa taille maximale, et prisonnier, il devient gênant.

- Alors c'est grave? me questionne la jeune fille.

- Euh non. Votre WIFI n'était pas paramétrée comme il faut. Maintenant ça fonctionne.

- Oh merci beaucoup. Sans vous je ne sais pas comment j'aurai pu faire.

Le ton de sa voix laisse percer comme une pointe d'ironie.

- Comment pourrai-je te remercier? ajoute-t-elle

Sa position devient de plus en plus provocante. Impossible de ne pas voir qu'elle joue avec mon désir.

- Ah si je sais! Un verre peut-être? Rhum-coca?

J'accepte d'un signe de tête. Mathilde disparait dans la cuisine, d'où me parvient des bruits de verres.

- C'est vraiment un coup de chance de tomber sur un français ici. Tu es en vacances sans doute. Tu fais quoi dans la vie? me lance-t-elle, de l'autre pièce.

- Je suis étudiant et écrivain.

Je l'entend revenir. Et lorsqu'elle pénètre à nouveau dans le salon, mon coeur est à deux doigts de s'arrêter: Mathilde est à présent totalement nue! Elle s'approche de moi. Son corps parfait n'est qu'à quelques centimètres de moi.

- Ça ne te dérange pas si je me met à l'aise? Il fait une de ces chaleurs ici...

Elle me tend mon verre et reprend sa place sur le fauteuil face à moi. J'avale une gorgée du liquide brun. La dose d'alcool y est très importante. Décidément cette Mathilde a décidé de me mettre le feu.

- Tes parents pourraient revenir. Et dans ta tenue...

- Non, ne t'inquiète pas, ils ne rentreront pas avant la nuit. Nous avons tout notre temps!... me réplique-t-elle.

- Nous?

- Oui. Toi et moi... Pour faire plus largement connaissance.

Tout en prononçant ces mots, elle écarte les cuisses. Et pas besoin d'être très proche pour voir qu'elle est toute mouillée.

- Je... Je... C'est que je ne suis pas seul. Je suis ici avec ma copine, et nous devons nous retrouver à 15h.

Elle jette un coup d'oeil sur la pendule murale qui indique 13h23.

- Alors nous avons 1 heure et demie devant nous.

Elle vide son verre d'une seule rasade, et le pose sur la table. Elle en retire un glaçon qu'elle lèche de manière on ne peut plus suggestive.

Ensuite, elle fait glisser le glaçon sur son menton et continue en direction de sa poitrine. J'ai déjà eu l'occasion de voir ce genre de scène dans des films, mais le voir en vrai, là, sous mes yeux... Mon coeur bat rapidement, mon sang bouillonne, mes sens s'échauffent.

- Tu n'as pas chaud? me demande-t-elle avec sa voix de tentatrice?

- Si... mais je te l'ai dit: je ne suis pas seul.

- Hummm quelle chance elle a. Tu ne l'as jamais trompé?

- Non.

Mathilde se redresse et quitte le fauteuil pour venir face à moi. Elle pousse alors l'ordinateur portable et s'assied sur la table basse. Elle me saisit une main et se met à me sucer un doigt.

À gorgées rapides, je vide mon verre. L'alcool me grise. Je perd toute envie de résister. Si bien que lorsque la jeune fille guide ma main sur son sein, je le saisi volontairement à pleine paume. Sans aucune retenue, je lui palpe les seins. Ces deux globes de chair ferme et chaude. Je rapproche visage pour associer ma bouche à ces caresses. Mais Mathilde me prend la tête entre ses deux mains et plaque sa bouche sur la mienne. Sa langue force le passage pour venir chercher la mienne. Un baiser fort et intense.

Quand ma partenaire retire ses mains de mon visage, c'est pour venir me dévêtir. Je la laisse faire. Elle me retire mon t-shirt, puis me fait mettre debout pour baisser mes pantalon et boxer. Ma queue, dressée avec toute sa vigueur, est face à son visage. Sans plus attendre, sans caresses qui retarderaient le plaisir, elle le prend dans sa bouche. Comme pour ses baisers, Mathilde agit avec force et intensité. Comme si elle agissait dans une sorte d'urgence. Sans romantisme. Du sexe à l'état brut. Du sexe sans amour. Bien loin de la douceur de mes ébats amoureux avec Jeanne. Mais c'est tout aussi troublant.

Ma jeune maitresse semble prendre plaisir à faire entrer ma queue toute entière dans sa bouche, jusqu'au début de sa gorge. En même temps, sa main droite me caresse les testicules. Les seuls instants où mon sexe s'échappe de son emprise si délectable, c'est pour qu'elle puisse me dire:

- Je suis certaine que ta femme ne t'a jamais sucé comme ça.

Je ne lui dis pas qu'elle a raison, et pourtant c'est la vérité. Avec Jeanne nos corps à corps sont plus voluptueux. Nous faisons l'Amour. Là, Mathilde et moi sommes en train de baiser, sans limite et sans morale.

Quelques minutes de ce plaisir intense me conduisent aux portes de l'extase.

- Je vais... jouir! dis-je pour avertir Mathilde afin qu'elle puisse ôter mon sexe de sa bouche.

Mais elle n'en fait rien. Au contraire, elle me suce et me masturbe avec encore plus d'énergie. Je jouis donc dans sa bouche. Mon sperme s'écoule directement de mon sexe vers sa gorge. Elle l'avale bruyamment. Elle paraît ravie de recevoir ma semence de cette manière. Encore une chose que Jeanne n'aurait jamais accepter de faire.

Quand mon sexe cesse de libérer son fluide, ma tentatrice se lève de la table basse. Au passage, je peux voir une trace humide à l'endroit où se trouvait son sexe...

Elle se met à genoux devant la table, place ses mains de chaque côté. D'un mouvement de tête élégant, elle fait basculer sa longue chevelure d'un même côté. Puis, elle m'adresse un regard des plus provocants. Ses yeux, d'un mélange de vert et de marron, sont d'une grande beauté. Et ses quelques tâches de rousseur sont comme une touche supplémentaire de charme sur ce visage mi-ange mi-démon.

- Viens! m'ordonne-t-elle.

Je me place derrière elle. Mon bas ventre contre ses fesses, mes mains sur ses seins. Je la caresse et je l'embrasse. Une de mes mains descend très rapidement sur sa petite chatte ruisselante. Avec deux doigts j'entreprend de la pénétrer.

- Hmmmmm! Ouiii!

Son vagin chaud, moite et étroit épouse mes doigts qui s'activent. Je vais de plus en plus vite. Son sexe libère de plus en plus de cyprine qui s'écoule sur ma main. Je retire mes doigts de son sexe et viens les mettre devant sa bouche. Elle m'adresse un petit sourire. Loin d'être repoussée par la présence de sa mouille sur son index et mon majeur, elle les prend entre ses lèvres et les nettoie de ce liquide.

Je rebande comme un fou. D'une main, je pousse sur ses épaules et de l'autre je l'invite à tendre davantage sa croupe vers moi. Je lui caresse deux trois fois le clitoris avec mon gland, puis je la pénètre sans ménagement.

- Aaah c'est bon! Met la moi bien au fond!

Elle hurle presque lorsque je commence à la pistonner. En temps normal je hais les filles qui sont vulgaires et expressives de la sorte quand je leur fais l'amour. Mais là, je ressens comme une surdose d'excitation.

Mathilde et moi sommes transportés dans un plaisir brutal que rien ne peut arrêter.

Je la prend violemment. Chaque coup de rein la fait gémir, presque crier de plaisir. À chaque fois, je fais pénétrer ma queue extrêmement dure, le plus profondément possible. Ma partenaire a du mal à garder le haut du corps relevé. Elle se met alors presque à plat ventre sur la table basse. De son visage tourné vers la droite, je vois ses yeux fermés, ses joues rouges, sa bouche ouverte pour chercher de l'air et laisser des "han" de plaisir s'échapper.

Cette jeune demoiselle aime être prise avec force? Être malmenée? Qu'il en soit ainsi! Je vais en profiter. Je me retire de son sexe et glisse un doigt sur son anus.

- Mais... commence-t-elle.

- Chuuut!!!! Tu voulais faire des choses que ma copine ne me fait pas? Alors va jusqu'au bout!

Désireuse de relever ce défi, Mathilde se tait. Je peux alors commencer à préparer son "autre" trou à me recevoir. Je pousse sur son anneau resserré pour faire entrer le bout de mon doigt. Puis, je le fais aller et venir plusieurs fois, l'enfonçant toujours plus profondément. Ensuite, j'associe un deuxième doigt couvert de mouille, pourqu'il pénètre plus facilement. Ma victime consentante gémit de douleur.

- Caresse ton clitoris, ça t'aidera à aller mieux.

Obéissante, elle plaque sa main sur son sexe et se titille son petit bouton.

Prenant mon temps, je lui doigte l'anus pour qu'elle se sente prête à me recevoir de ce côté. Et lorsque je la devine détendue et suffisamment décontractée, je prend une capote (J'en ai toujours avec moi puisque Jeanne ne prend pas la pilule) et la place sur mon sexe en parfaite érection.

Mon gland, ainsi enveloppé, prend donc la direction de ce trou étroit. Les premiers instants, Mathilde se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier de douleur. Je ne tarde pas à bouger mon bassin pour que mes va-et-viens lui procurent du plaisir au lieu de cette douleur des premiers instants. Quelques secondes plus tard, ma partenaire ne semble plus avoir mal, mais bien au contraire, d'apprécier cela bien plus qu'elle ne n'aurait imaginé.

Je peux donc me livrer sans retenu. Attrapant les hanches de Mathilde, je laisse libre court à ma frénésie de sexe et de désir. Je me délecte de l'étroitesse de son petit cul, je me régale du bruit que fait mon pubis lorsqu'il vient frapper cette paire de jolies fesses.

Elle jouit la première, provoquant en moi ma seconde envie d'éjaculer. Je me dégage de son anus et retire précipitamment mon préservatif. Tout en maintenant Mathilde couchée sur la table basse, d'une main sur le dos, je me branle avec vigueur.

Un premier jet de sperme jaillit pour venir s'abattre sur le creux de ses reins. Les suivants retombant sur ses fesses.

Couchés sur le sol, ma partenaire vient poser sa tête sur mon torse.

- Alors Monsieur l'écrivain est comblé?

- Comment ne pas l'être?!?

- Rien de tel qu'un petit jeu de rôle pour pimenter notre vie de couple mon amour!

- En tout cas, tu m'as vraiment surpris avec des capacités que je ne te connaissais pas, mon coeur.

- Sans doute qu'en prenant mon deuxième prénom pour ce jeu, j'ai libéré une autre facette de ma personnalité: Jeanne la douce - Mathilde la fougueuse.

- Ma femme et ma maitresse en une seule et unique personne! Quel heureux homme je suis!

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