Vengeance d'un homme humilié

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un homme cocufié se venge de belle façon.
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Est-ce que tous les couples finissent par s'user? C'est la lancinante question que je me pose depuis quelque temps. Je m'appelle Patrick, j'ai 50 ans et je suis marié depuis 27 ans. Je suis assez grand, d'une corpulence normale plutôt mince, mes cheveux sont à peine grisonnants et mes yeux sont noisettes. Si j'en crois certaines lueurs d'intérêts aperçues dans les yeux des copines de ma femme, je suis encore relativement séduisant.

Je suis ingénieur informaticien spécialisé dans la sécurité des réseaux. L'entreprise pour laquelle je travaille intervient surtout auprès des groupes bancaires. Je m'absente souvent pour des missions de courte durée, à travers tout le pays.

Ma femme, Clara, a cinq ans de moins que moi. Elle est grande, mince, blonde et elle a une classe folle. Nous travaillons tous les deux dans la même entreprise. Elle est secrétaire de direction, son patron a changé depuis peu.

Nous avons eu deux enfants. Ils sont adultes et ont quittés le cocon familial depuis 2 ans.

C'est peu de temps avant le départ des enfants que l'appétit sexuel de ma femme a commencé à décliner. Nous n'avons jamais eu de vie sexuelle vraiment torride. Jamais de cunnilingus, de fellation, ma femme trouvait tout cela dégoûtant. Au lit, notre position favorite était « les petites cuillères ». Nous avons essayé la levrette deux fois, trois peut-être, mais ma femme ne supportait pas, trop vulgaire disait-elle.

Malgré tout, nous aimions faire l'amour et ma vie sexuelle, toute banale qu'elle était, me donnait satisfaction. Je pense que ma femme y trouvait également son compte.

Les derniers temps, lorsque Clara avait encore envie de faire l'amour, elle aimait que je la prenne sans préliminaire, assez brutalement. Elle me disait qu'elle éprouvait beaucoup de plaisir ainsi, peut-être plus que lorsque je lui titillais longuement le clitoris avant de la pénétrer. Cette évolution de son désir m'a passablement troublé. J'aurais aimé savoir si elle avait des fantasmes, jusqu'où elle aurait aimé être forcée...mais je n'ai pas osé lui demander.

Son appétit sexuel s'est éteint lentement. Elle réagissait de moins en moins à mes caresses ou plutôt de plus en plus agressivement, me lançant sur un ton sarcastique : « je n'ai plus envie! Le désir vois-tu, ça ne se commande pas. Chez nous les femmes, la sexualité n'est pas aussi mécanique que chez vous les hommes. »

Depuis quelques temps, Clara a même exigé que nous fassions chambre à part. Au début, cela m'a peiné, puis j'ai trouvé cela aussi bien puisque, de toutes les manières, nous ne faisions plus rien au lit. Au moins, je peux me branler copieusement sans la gêner...

Je pense qu'elle m'aime encore mais rien n'est plus comme avant. Je trouve Clara de plus en plus distante envers moi. D'une certaine manière, elle devient même hautaine avec moi, son mari depuis 27 ans. J'ai vraiment du mal à me faire à ce chambardement dans nos relations.

Faire l'amour : cette expression dit bien ce qu'elle veut dire, si on ne le fait plus, il s'évanouit. Si la tendresse physique n'est plus là, les relations du couple se délitent.

Je me ronge en essayant de savoir ce qui s'est passé, comment Clara a bien pu en arriver à m'ignorer. Est-ce ma faute? Est-ce un problème hormonal chez Clara? Est-ce que mon aspect physique la dégoûte maintenant que je vieillis?

Bref, je ne sais pas exactement ce qui débloque dans le cerveau de ma femme, mais faire l'amour avec elle me manque terriblement. J'ai essayé de le lui faire comprendre, je me suis fait rembarrer sans ménagement! J'ai beau chercher, je ne vois pas comment corriger le problème.

Le nouveau patron pour lequel travaille Clara est un homme de 45 ans, marié. Il est grand, sportif et assez séduisant. C'est quelqu'un que je n'aime pas, un patron au mauvais sens du terme, un type qui aime le pouvoir pour le pouvoir et qui aime l'exercer sur les autres. Je suis plutôt du genre rebelle à l'autorité mais cela n'a guère d'importance puisque je ne dépends pas de son service.

Cet après midi, Clara me téléphone pour me dire qu'elle rentrera tard car elle a pas mal de chose à passer en revue avec son nouveau patron. Je trouve sa voix bizarre, de plus la façon dont elle me présente la chose me laisse pensif, tout cela me paraît un peu curieux. Je décide donc de passer la voir à son bureau lorsque mon travail sera terminé, il me suffit de monter deux étages.

J'ai fini de préparer l'audit de sécurité que je dois mener le lendemain dans une banque à l'autre bout de la France. Il est très tard, je monte discrètement jusqu'au bureau de Clara me demandant si elle sera encore là. Lorsque j'arrive à l'étage des directeurs, où travaille Clara, tout le monde est parti depuis longtemps.

Je frappe légèrement, pas de réponse. Je recommence, toujours aucune réponse. Je suis sur le point de partir, me disant qu'elle a fini plus tôt que moi et qu'elle est déjà rentrée, lorsque je perçois une sorte de cri. On dirait bien la voix de Clara. Je veux en avoir le cœur net, je tourne délicatement la poignée et pousse la porte qui n'est pas fermée à clé. Personne. J'entre sur la pointe des pieds. Le bureau de son chef est contigu au sien et la porte est entrebâillée, c'est de là que proviennent des râles et des gémissements.

Je m'approche sans bruit et me positionne de telle façon à pouvoir observer sans être vu.

Je reste interdit, son chef est debout, Clara est à genoux devant lui. Il tient ma femme par les cheveux et il imprime à sa tête un lent mouvement de branle tandis qu'elle suce son pénis. Je n'en crois pas mes yeux, elle qui a toujours refusé de me faire le moindre bisou sur le pénis, comment est-ce possible? Il n'a pas l'air de la forcer et elle a l'air d'apprécier de faire cette fellation. Elle a le même air que lorsqu'elle déguste une sucette, son péché mignon qui m'a toujours donné des arrières pensées...

Je n'en reviens toujours pas, je suis même fasciné par le spectacle. Mes pensées tourbillonnent dans une valse insensée. Comment ma femme qui ne veut plus entendre parler de sexe et qui a toujours été très prude peut-elle accorder à ce mec ce qu'elle m'a toujours refusé? Elle suce et lèche avec beaucoup d'application, pas de doute son visage exprime le consentement et le plaisir. Il n'y a pas trente six solutions, soit son patron l'a drogué, soit elle est parfaitement consentante.

Pendant ce temps, son chef la relève en lui tirant les cheveux. Il l'embrasse goulument en lui retirant son chemisier puis son soutien gorge. Il lui empaume les seins qu'il presse longuement arrachant une plainte de plaisir à Clara. Il se penche pour lui suçoter les tétons pendant que ses mains descendent vers la fermeture éclair de sa jupe qu'il abaisse pour chercher aussitôt sa culotte. Ah! Mais Clara est en string, un magnifique petit bout de dentelle noir très excitant que je n'avais jamais vu. Une fois Clara cul nu, son patron lui palpe la chatte d'une main, le cul de l'autre. La chatte de Clara est luisante de mouille.

Que faire? Mon honneur de mâle trompé me pousse à me ruer dans le bureau et à éclater la gueule de son connard de chef afin de mettre un terme à leurs ébats. Mon cerveau tourne à 100 à l'heure, je me ravise, la colère est mauvaise conseillère. Qu'est ce que je gagnerais à provoquer un esclandre? Clara me quitterait peut-être définitivement?

Un gentleman comme moi ne dérangera pas deux adultes consentant sur la voie du plaisir... Je vais plutôt jouer au voyeur, il est vrai que la scène est très excitante, infiniment mieux qu'un film porno, c'est du réel et puis je connais l'actrice...

Pendant que je m'interroge sur la conduite à tenir, le patron de Clara lui fait coulisser deux doigts dans le vagin, elle gémit et râle suivant un rythme lent et crescendo. Soudain elle lâche :

— Assez! Baise-moi maintenant, vas-y fort.

Mais quel vocabulaire grossier dans la bouche de ma femme!? Clara se retourne et cambre un peu les fesses. Il prend sa bite en main, l'approche de la chatte et dirige son gland vers l'entrée du vagin. Il empoigne Clara par les hanches et s'enfonce brusquement, d'un coup sec. Clara crie sous la poussée, son plaisir est évident et contagieux. Il se met à la pistonner puissamment. Clara répond en rythme, son cul va à la rencontre de la bite qui la défonce. C'est sauvage, de la baise animale à l'état pur. Jamais je n'aurais cru Clara capable de ça, je croyais pourtant bien connaître ma femme au bout de 27 ans de mariage!

Clara transpire et halète fortement sous les assauts répétés de son amant.

Je suis impressionné de voir ce pénis coulisser tel un piston bien huilé à l'intérieur de l'intimité de mon épouse. Tout à coup il s'immobilise en maintenant bien le cul de Clara contre lui et en s'enfonçant au maximum dans sa chatte. Il pousse un long râle de plaisir en éjaculant. Puis c'est au tour de Clara, l'inondation de foutre, qu'elle a sentie en elle, déclenche ses feulements.

Ils ont du mal à refaire surface tant l'orgasme a été violent.

Ma femme reprend ses esprits, ramasse ses vêtements et commence à s'habiller. Je m'éclipse discrètement. Je descends rapidement au parking et manœuvre ma voiture de manière à ce que Clara ne me voit pas mais de manière à les voir, elle et son amant. Ils arrivent au parking se quittent en se saluant d'un signe de tête, je ne peux pas entendre ce qu'ils se disent. Clara monte dans sa voiture et démarre. Pensif, je prends le chemin de la maison. Leur aventure m'a l'air d'être plus basée sur le plaisir, le sexe, que sur la tendresse...et c'est tant mieux, il ne manquerait plus que ça! Même si apparemment les sentiments n'ont pas grand chose à voir dans leur relation, je suis rongé par la jalousie. Il s'y ajoute l'humiliation d'avoir vu ma femme jouir aussi fortement et prendre autant de plaisir sous les caresses et les pénétrations d'un autre homme que moi, moi à qui elle se refuse! Quelle attitude adopter avec elle? Je ne sais trop pourquoi mais je suis convaincu qu'une engueulade en règle n'arrangera rien, bien au contraire. Je vais faire semblant de ne pas savoir.

J'arrive à la maison peu après Clara, il est aux environ de 23h00. Je l'embrasse et je lui mets la main sur les fesses, elle me repousse vivement.

— Tu n'as pas encore compris que je n'ai plus envie, sur qu'elle ton faut-il que je te le dise, tu es vraiment lourd! En plus je suis crevée par ma journée.

Je réponds sur un ton conciliant :

— Et avec ton nouveau boss, ça va? Je ne peux pas l'encadrer ce mec. Fais gaffe Clara, il y a des bruits qui courent sur son compte, il aurait harcelé des secrétaires. S'il te fait des avances, dis le moi, je serais trop content de lui péter la gueule.

— C'est n'importe quoi ces histoires, tu accordes foi aux racontars maintenant? Je t'ai connu plus intelligent. Quant à lui casser la gueule, excuse-moi mais tu ne fais pas le poids. Mon pauvre chéri!

— Comment ça je ne fais pas le poids? Tu fais vraiment tout ce que tu peux pour me rabaisser et m'humilier en ce moment. Fais attention, tu deviens une vraie garce.

— J'en ai assez entendu, me lance Clara sur un ton glacial, bonne nuit.

Et elle me plante là en se dirigeant vers sa chambre. La colère me gagne mais je réussis à me dominer. Je vais me coucher et je rumine mes pensées.

Trompé, je suis un homme cocu! La jalousie commence à me ronger, la culpabilité aussi, je n'arrête pas de me dire que j'ai loupé quelque chose dans notre couple, mais quoi? Il faut que je sache quand leur relation a commencé.

Le lendemain, avant de partir prendre mon avion, je passe au bureau sécurité. Je demande une copie des enregistrements vidéo du bureau du patron de Clara et du bureau de Clara pour toutes les soirées un mois avant la date d'aujourd'hui. Je prétexte qu'il y a eu une tentative d'intrusion dans le système informatique et que je soupçonne que cela s'est peut-être fait depuis les ordinateurs de ces bureaux. C'est pour des cas comme celui-là que tout ce qui se passe dans les bureaux est filmés 24 h /24. Mon subordonné me dit que le DVD contenant les copies des enregistrements sera prêt à mon retour dans trois jours.

J'enrage, il me faut attendre trois longues journées pour savoir.

Pendant mon absence, je gamberge un maximum. Pourquoi ma femme accorde-t-elle à un autre ce qu'elle me refuse? Pourquoi le fait de savoir qu'elle a une relation sexuelle avec un autre homme me fait-il autant souffrir? Je ne m'étais jamais interrogé sur la fidélité dans le couple jusqu'à aujourd'hui. J'ai vraiment l'impression d'une trahison parce qu'elle se donne à un autre et se refuse à moi. Je crois que je souffrirais nettement moins de la situation si Clara et moi avions toujours une vie sexuelle active.

Malgré les multiples interrogations qui m'assaillent, je me concentre sur mon travail. J'ai de la chance, tout va plus vite que prévu et je gagne une journée.

A mon retour, deux jours plus tard, ma priorité est de récupérer le DVD où est mémorisé ce qui s'est passé un mois durant dans les deux bureaux, celui de Clara et celui de son chef. Je monte le visionner dans mon bureau. On ne voit aucune relation « anormale » entre ma femme et son patron pendant tout le mois précédent. J'en déduis que, soit c'était leur première baise, soit qu'ils font ça ailleurs. Quelque chose me dit que c'était bien leur première fois. En tous les cas, le DVD a bien enregistré la scène torride d'il y a deux jours entre Clara et son patron. La qualité n'est pas formidable, mais il n'y a vraiment aucun doute sur l'identité des protagonistes. Je me réjouis de ce que je tiens là, c'est la preuve irréfutable que ma femme me trompe, cela pourra peut-être me servir...

Ayant terminé, je file chez moi faire la surprise de mon arrivée à ma femme. En fait, elle ne m'attend que le lendemain soir. Arrivé à proximité de chez moi, une intuition me pousse à ralentir et à passer lentement devant la maison. J'aperçois une grosse berline noire garée devant la porte du garage. Aucun de nos amis ne possède une telle voiture. Intrigué, je vais me garer plus loin et revient chez moi à pied. Je rentre en catimini par la porte du garage et me déplace à pas de sioux jusque dans l'entrée. Je tends l'oreille : rien. J'enlève mes chaussures et progresse silencieusement dans la maison, rien au rez-de-chaussée.

Je monte vers la chambre de Clara. Par la porte légèrement entrebâillée, je vois ma femme en train d'ajuster un porte-jarretelles, elle est en chaussures à talons hauts et ne porte qu'un minuscule soutien-gorge. Elle est super sexy, je ne savais pas qu'elle possédait de la lingerie aussi affriolante.

Je me rince l'œil et me réjouis en me disant que c'est pour mon retour qu'elle se prépare ainsi. Je retombe vite sur terre en me rappelant qu'elle ne sait pas que je suis rentré. Alors pour qui?

Je vais pour entrer lorsque je ressens une vive douleur dans le bras droit. Quelqu'un m'a attrapé et me fait une clé au bras. On me pousse sans ménagement dans notre chambre et j'entends mon agresseur dire à ma femme :

— Tiens, j'ai attrapé un cambrioleur, appelle la police.

— Pas la peine, répond Clara, ce n'est que mon mari. Mon chéri, puisque tu es rentré plus tôt que prévu, tu vas assister à un spectacle de choix! Amène-le sur cette chaise, on va le ligoter avec ses ceintures.

Quelques instants plus tard, je me retrouve pieds et poings liés, bâillonné sur une chaise qu'ils ont placée dans un coin de la chambre. J'aperçois enfin le salopard qui m'a agressé, il s'agit du patron de ma femme...

— Alors, me lance Clara, tu voulais me surprendre en galante compagnie? Tu vas être servi mon chéri, tu semblais être un peu en manque de sexe ces temps-ci. Je vais être gentille avec toi et combler une partie de tes désirs. Pas vraiment dans le sens que tu voudrais, mais en tous les cas, tu vas pouvoir sacrément te rincer l'œil.

Elle ajoute d'un ton très méprisant :

— ça améliorera tes petites branlettes du soir.

Je suis anéanti. Comment ma femme peut-elle m'humilier ainsi devant quelqu'un que je ne connais pas? Je suis furieux, j'enrage. Malheureusement ces fichues ceintures tiennent bon et ils ont bien serré les liens, je suis impuissant, à leur merci.

— Détend-toi mon chéri plutôt que de me lancer des œillades assassines. Tu vas prendre une petite leçon de baise et assister à mon dépucelage!

Mais qu'est-ce qu'elle raconte? Cela fait longtemps qu'elle n'est plus vierge. Oh! Bon sang, je crois que je viens de comprendre. Evidemment c'est de son cul qu'elle parle, de son anus. Quelle sacrée salope. Mais pourquoi me fait-elle ça?

Pendant que je rumine impuissant, Clara a pris les choses en main :

— Lèche-moi d'abord, oui comme ça, des grands coups de langues, vas-y!

C'est elle qui mène la danse. Elle est accroupie et son patron est derrière elle à lui lécher la chatte. L'œil brillant elle demande à son patron :

— Alors il te plaît mon cul? Lèche-moi l'anus, titille-moi la rondelle.

Clara a le buste allongé sur le couvre-lit, ses genoux écartés reposent sur la descente de lit.

— Lubrifie-moi maintenant, la vaseline est sur la table de nuit.

Son chef enduit son index et parcourt doucement l'œillet virginal de ma femme puis il dépose une noisette de crème au centre et enfonce le bout du majeur. Il le retire et recommence la manœuvre plusieurs fois. Il se sert maintenant de son pouce et commence un lent va et vient pour détendre les muscles du sphincter.

— Viens, lance Clara, d'une étrange voix pleine de désir animal, sodomise-moi.

Le gland commence à forcer son cul pendant que Clara pousse. La bite écarte les muqueuses et s'introduit avec lenteur dans l'anus, ça y est, le gland a franchi l'étranglement et progresse librement. Son chef tient Clara fermement par les hanches, il pèse de tout son poids sur sa bite qui disparaît lentement dans son cul offert. Clara sent les poils des couilles lui effleurer les lèvres de sa vulve, elle gémit. Son chef est au fond, il demande :

— Ca va, tu supportes?

— Oh, oui! Comme c'est bon, répond Clara. C'est encore meilleur avec mon mari qui me regarde. Attend un peu et tu vas pouvoir me ramoner à fond.

— Mon chéri, regarde comme il m'encule bien avec sa grosse bite. Il va juter en moi, me cracher tout son foutre dans le cul. Je ne t'ai jamais permis de me la fourrer là, hein?

Je fulmine, je suis ivre de colère mais aussi fasciné par le spectacle. Je regarde ma femme se faire tringler le cul et une partie de moi trouve ça bandant.

Pendant ce temps, la bite se retire très lentement. Puis, lui bloquant les reins à deux mains, le chef de Clara s'enfonce à nouveau, plus rapidement. Petit à petit, il accélère le rythme de ses va-et-vient. Sa mentule entre et sort facilement du cul qui est maintenant béant. Clara feule de plaisir, elle commence à accompagner les mouvements de reins de son chef, son anus va à la rencontre du pénis qui la sodomise.

Ma salope de femme a l'air d'adorer ça, quelle chienne. Clara lance soudain :

— Encule moi bien à fond, comme une pute, vas-y fort!

Elle se projette en arrière contre le bas ventre de son chef à la rencontre du vit qui lui a dépucelé le cul. Elle glisse une main sous son ventre pour presser les couilles de son chef qui se met à grogner de plaisir. Elle lâche les bourses pour se fourrer deux doigts entre ses lèvres ruisselantes de mouille. Elle les enfonce dans sa chatte et s'accorde au rythme du pilonnage de son chef qui lui bourre le cul à fond. Son chef accélère son va-et-vient, son ventre fait un bruit de clapotis sur la croupe de Clara. Tout à coup, il s'immobilise en pressant les hanches de Clara contre lui et pousse un long grognement de plaisir en éjaculant. De son côté, Clara sent la montée du jus le long de la tige et quand, enfin, il gicle en elle, elle pousse un hurlement sauvage d'une intensité que je n'avais jamais entendu auparavant. Elle tape sur le lit en criant :

— Tu jutes mon salaud! Tu m'en fous plein le cul! Que c'est bon d'être enculée! Oh, tu m'as bien dépucelée le cul.