Véronique Ch. 03

Informations sur Récit
Poursuite de la déchéance, et découverte d'un nouveau "monde"...
6.3k mots
4.51
48.1k
2

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/04/2015
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Suite à son « drive fuck », Igor avait ramené Véronique sur le parking de l'hypermarché pour qu'il puisse lui-même récupérer son propre véhicule. Celle-ci était restée allongée sur la banquette arrière après son coït anal, essayant de retrouver ses esprits après s'être laissée entraînée du côté obscur. Elle mit un long moment, une fois qu'Igor avait quitté sa voiture sans un regard pour elle, pour se relever, remettre de l'ordre dans ses vêtements, puis tenter de nettoyer le siège arrière maculé du sperme d'Igor qui s'était écoulé de son cul! Elle finit par reprendre le volant pour rentrer chez elle, dans un état de confusion avancé, boulversée par le téléscopage d'un profond sentiment de honte et du souvenir du plaisir inouï ressenti au moment de son premier orgasme anal conscient!

Je croisai Stéphane au boulot la semaine suivante, nous discutâmes de choses et d'autres, et j'appris entre les lignes qu'ils recevaient des amis le samedi soir chez eux. Je commençai à échafauder un petit plan pour profiter moi aussi de cette soirée.

Le samedi soir, Je m'approchai de la maison de Stéphane et Véronique. Il était 19h, le soleil d'automne commençait à décliner. Je m'arrêtai sur une place de parking à une centaine de mètres, m'habillai de manière discrète, puis me dirigeai à pied vers la maison, l'air de rien (espérant ne pas croiser Véronique ou Stéphane!!), et m'étant assuré que j'étais seul dans la rue, je me faufilai le long de leur mur de clôture, caché par une végétation important côté extérieur. J'avais prévu une sorte de marche-pied pour atteindre le sommet du mur (qui faisait presque 2m50 de haut, ils ne souhaitaient visiblement pas être dérangé, mais cela n'allait pas m'arrêter!), je me hissai au sommet du mur : j'avais choisi judicieusement la place, j'étais quasiment invisible de la maison : entre le mur et celle-ci, Stéphane avait planté une belle haie de hauts bambous, puis on trouvait la piscine, avec un cabanon de jardin du côté du mur, enfin la terrasse en bois accolée à la maison.

De ma position, j'avais une vue plongeante sur le salon ouvert sur la piscine par une grande baie vitrée. Je pouvais observer Véronique également dans sa cuisine, sans doute en train de préparer le repas pour ses invités. Elle était vêtue d'une robe assez légère, une robe d'été à motifs floraux, qui mettait bien en valeur sa belle poitrine. Dans le salon, Stéphane était en train de préparer l'apéro, tandis que la plus jeune fille du couple, en première année de classe prépa, mettait la table. A l'étage, je découvris par hasard l'aîné de leurs filles, Marie, en école d'ingénieur, en train de se préparer dans sa chambre. Elle passait et repassait devant la fenêtre, et j'eus soudain la chance de la voir retirer son tee-shirt, exhibant un joli soutien-gorge assez sage, puis l'ôter également, offrant à mes yeux une poitrine magnifique, ferme : une digne descendante de sa mère! elle continua à aller et venir, quelques instants, me permettant d'en profiter avec plaisir, avant de remettre un soutien-gorge plus sophistiqué, en dentelle, et visiblement push-up car celui-ci lui remontait encore la poitrine, comme si cela était nécessaire! elle enfila finalement une robe par-dessus, et la combinaison de l'échancrure de la robe et du soutien-gorge pigeonnant donnait un décoletté ravageur! S'étant recoiffée rapidement, elle sortir de sa chambre en éteignant, et je la vis quelques instants plus tard arriver dans le salon.

Il était temps de commencer à mettre en place mes activités. Je me laissai descendre le long du mur, et m'avançai discrètement jusqu'à la cabane de jardin. Je n'étais plus séparé de la maison que par la piscine, j'étais donc à 5 ou 6 m de ma proie. Saisissant mon téléphone, j'écrivai quelques lignes puis envoyai le message. Je me positionnai à l'angle du cabanon pour observer la réaction de la destinataire. Je vis sa plus jeune fille lui apporter son téléphone, Véronique s'essuya les mains avant de le déverrouiller, puis je la vis écarquiller les yeux puis tourner brusquement la tête vers le jardin, l'air affolé! il y avait de quoi, le contenu du message était le suivant :

« slt ma belle! tu as une bien jolie robe, j'aimerais bien voir ce qu'il y a dessous! tu as 5 mn pour trouver une excuse et venir me retrouver derrière ton cabanon de jardin, sans soutif ni culotte. Sinon ... »

Elle relut le message, tourna à nouveau la tête vers la fenêtre (mais l'obscurité naissante l'empêchait de voir dehors), relut à nouveau le message. Je sentais la tension et la panique la gagner, j'imaginais la confusion dans sa tête : refuser mon invitation revenait à risquer la diffusion des images prises lors de son anniversaire, venir me retrouver revenait à accepter le chantage, qui pouvait être sans limites, et en même temps son corps se souvenait encore du plaisir pris avec Igor! Je la vis finalement sortir de la cuisine et s'engager dans les escaliers. Elle redescendit quelques instants plus tard, j'imaginais qu'elle avait été retirer ses sous-vêtements, il me semblait que sa poitrine était moins marquée, et s'entretenir avec Stéphane, qui hocha la tête positivement. Elle disparut alors de mon champ de vision.

Reculant derrière le cabanon, j'attendis patiemment la suite. Quelques instants plus tard, un bruit de pas rapides m'alerta et Véronique surgit derrière le cabanon, l'air toujours affolée.

- Pourquoi est-ce que tu me fais ça? marmonna-t-elle.

- On dit bonjour quand on est bien élevée, pour commencer, rétorquai-je.

- Je ne trouve pas ça drôle! Mes invités vont arriver d'ici un quart d'heure!

- Peut-être pas drôle, mais tu vas y prendre du plaisir! si tout va bien, ce ne sera pas long.

Bougeant rapidement, je saisis Véronique par les épaules, je la plaquai contre le mur du cabanon. Avant qu'elle n'ait plus réagir, j'avais glissé une main entre ses cuisses, vérifiant l'absence de culotte!

- C'est bien, tu respectes les consignes, souriai-je.

- Salaud!! rugit-elle

- Doucement, ma belle, pour le moment tu es pieds et poings liés, et tu fais ce qu'on te dit, répondis-je sèchement. Pour ce soir, j'ai décidé de te donner du plaisir, alors profites-en! Ecarte les cuisses maintenant!

Elle me regardait avec un regard haineux, mais finit par écarter les jambes petit à petit.

Je m'agenouillai à ses pieds, et soulevant sa robe légère, plongeai mon visage dans son intimité! ma bouche trouva quasiment instinctivement le chemin de sa chatte, et je posai mes lèvres sur ses propres lèvres intimes, lui arrachant un cri de surprise. Ma langue s'activa immédiatement, titillant son clitoris, parcourant sa fente : je la sentais s'humidifier progressivement (avec ou contre son gré, je n'étais pas en mesure de le voir dans ma position), mais au fur et à mesure que je lui bouffais le minou, je l'entendais gémir progressivement de plus en plus fort. J'avais saisi ses fesses de mes deux mains, les malaxant, appréciant le grain de sa peau et la fermeté affriolante de son cul. Véronique venait maintenant à la rencontre de ma bouche, elle s'était décollée du mur, me donnant plus accès à son fessier, et je sentais son bassin onduler sous mes coups de langue. Ses halètements augmentaient, je la sentais proche de l'orgasme, j'en profitai pour accélérer le rythme et enfoncer la langue plus profondèment dans son vagin, jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un grognement étouffé, me plaquant le visage entre ses cuisses, se raidissant de tout son corps sous la décharge de plaisir qui la submergea! je donnai encore deux ou trois coups de langue pour la forme, puis me relevai face à elle.

Elle avait les yeux fermés, la bouche entr-ouverte, appuyée lascivement contre le cabanon. Je remis un peu d'ordre dans sa robe, puis posai un doigt sur ses lèvres, et je fis mine de disparaître dans les bambous. Je m'arrêtai un peu plus loin pour l'observer. Elle réapparut de derrière le cabanon, essayant de se recoiffer un peu, et se dirigea à pas chancelants vers la maison, en restant hors de vue du salon. L'intermède avait duré une dizaine de minutes, je me demandais quelle excuse elle avait pu donner à Stéphane pour s'absenter en pleine préparation du repas. Revenant à mon point d'observation initial en haut du mur, je la vis revenir au salon, embrasser Stéphane, puis retourner en cuisine, sans doute pour terminer ce qu'elle avait commencé.

Quelques minutes plus tard, j'entendis le carillon du portail. Stéphane sortit accueillir ses invités. De ma position, je vis arriver un couple à peu près du même âge que Véronique et Stéphane, l'homme était plutôt maigrichon, pas très grand et assez austère, alors que sa femme était plutôt bien en chair, légèrement enrobée mais très opulente, avec une poitrine xxl bien mise en valeur. Ils étaient accompagnés de leur fils, et je compris rapidement les raisons de la tenue de l'aînée des filles, car elle se jeta dans ses bras : c'était donc son petit ami et ses parents. Visiblement les parents se connaissaient bien, et les discussions furent vite animées. J'avais sorti mes jumelles, et j'observais attentivement toutes les personnes, essayant de détecter des failles, des comportements intéressants, ... Véronique discutait dans la cuisine avec la mère du fiancé de sa fille, qui semblait une vraie pipelette! Véronique faisait bonne figure, mais la conversation avait l'air de la saoûler, surtout qu'elle devait encore ressentir dans ses entrailles les souvenirs du cunilingus précédent! Dans le salon, Stéphane et le père était dans des fauteuils, un verre à la main, et je me rendis compte rapidement que ce dernier avait très fréquemment le regard attiré par l'aînée des filles, en grande discussion avec son copain sur le canapé. Je voyais bien qu'il n'était pas indifférent au charme et aux formes de celle-ci, sa position lui donnait une vue de premier choix sur une belle paire de jambes fuselées et sur son décoletté affriolant!

Tout le monde se rejoint au salon, et on trinqua gaiement, avant de passer à table quelques minutes plus tard. Véronique était à côté de Stéphane, et en face du couple d'amis. Le père avait trouvé un nouveau centre d'intérêt, le regard plus souvent qu'à son tour plongé dans le décoletté de Véronique : il avait du repérer d'ailleurs l'absence de soutif de la belle, ce qui ne devait pas lui déplaire! Je n'attendis pas la fin de l'entrée pour lancer ma deuxième attaque : j'envoyai un nouveau message :

« ton voisin d'en face a l'air d'apprécier ta poitrine libérée, petite cochonne! »

Elle se tourna pour récupérer son téléphone sur le buffet derrière elle, regarda le message, et je la vis instictivement porter une main à sa poitrine pour rabattre sa robe! Je souriais dans ma barbe.

J'enchaînai immédiatement :

« j'ai besoin de toi 5 mn. Même endroit. Tout de suite. »

Elle ouvrit le nouveau message, je le vis se décomposer dans mes jumelles. Il me sembla que Stéphane lui parlait, sans doute pour savoir qui lui envoyait ces messages, elle répondit quelque chose que je ne pouvais entendre, et se leva de table, disparaissant de mon champ de vision.

Quelques instants plus tard, elle me rejoignait derrière la cabane de jardin

- Pourquoi tu me fais ça?

- Tu as apprécié la dernière fois, non?

Elle se mordit les lèvres, mais ne répondit pas. Je sorti de ma poche un chapelet de boules chinoises, 6 belles boules d'une trentaine de mm de diamètre.

- Tu connais ce bel objet de désir?

Elle me regarda d'un air interrogateur.

- Je pense que tu vas apprécier. Mets-toi face au mur, maintenant! lui intimai-je.

Elle obéit à contre-cœur, se retourna face au mur.

- Pose tes mains sur le mur, et cambre-toi un peu en écartant les jambes!

Une fois en position, je posai délicatement une main à l'intérieur d'une de ses cuisses, appréciant la douceur de sa peau, et remontai lentement, jusqu'à venir lui emplamer le sexe en douceur. Elle était encore humide du cunilingus que je lui avais prodigué, et je lui massai tendrement les grandes lèvres. Véronique s'était arrêtée de respirer, essayant de résister à l'attouchement, mais cela ne dura pas, et elle finit par laisser échapper un gémissement léger.

- Tu aimes ça, n'est-ce pas?

- Salaud! fut sa seule réponse

- Bon, tu n'as pas beaucoup de temps : détends toi maintenant, on passe à la phase 2.

Saisissant la première des boules chinoises, je la posai à l'entrée de son sexe, et commençai à pousser pour la faire rentrer. Véronique se contracta légèrement, mais elle était bien lubrifiée, et la boule disparut rapidement dans son vagin.

- Et de une!

Sans attendre, j'engageai la deuxième derrière, qui disparut aussi facilement dans sa chatte.

- Et de deux!

Véronique serrait les dents, la sensation n'était pas douloureuse mais inhabituelle.

- C'est parti pour une de plus!

Et je fis pénétrer la troisième boule. Je dus forcer un peu plus pour pousser les deux boules déjà en place, mais il ne fallut que quelques secondes pour que son sexe n'avale également cette dernière!

- Eh ben, c'est pas mal! on pourrait en mettre un wagon, on dirait!

Véronique répondit d'un grognement.

- Je continue avec une quatrième? tu crois que ça rentre? l'interrogeai-je.

Et je présentai la dernière boule du chapelet contre ses grandes lèvres maintenant congestionnées, et commençai à pousser. Mais je la retirai avant que sa chatte ne l'ai avalée :

- Non, finalement, je vais essayer ailleurs ...

Et je fis glisser la boule jusqu'à l'entrée de son cul. Véronique voulut s'y opposer, mais je m'y attendais, et je la bloquai contre la paroi de la cabane en lui faisant une clé de bras de ma main libre.

- Non, ne fais pas ça! protesta-t-elle

- Mais si, je vais le faire, et tu vas aimer au final.

Et je commençai à pousser pour forcer ses sphincters contractés.

- Non, s'il te plaît, c'est trop gros ...

- Trop gros! tu ne te souviens pas de ce que tu as pris dans le cul récemment? ça, c'était trop gros, et pourtant tu as tout pris, et tu as aussi pris ton pied, à ce qu'on m'a dit.

Et je donnai une bonne impulsion de mon pouce, la boule finit par franchir la dernière défense de son cul et disparaître dans son fondement. Véronique poussa un glapissement au moment ou la boule froide était avalée par son colon, et se mit à respirer plus rapidement.

- C'est mieux comme ça! tu vas voir que tu vas en redemander!

Et je présentai l'avant-dernière boule contre son anus, et l'enfonçai sans préliminaire d'un coup sec! Elle glappit à nouveau, et sa respiration s'accéléra encore. J'avais relâché son bras, elle s'était à nouveau appuyée des deux mains contre la cabane, et sans s'en rendre compte, s'était encore plus cambrée, faisant ressortir son cul de rêve.

- Il n'en reste plus qu'une!

- Non, je n'en peux plus, s'il te plaît, non ...

- Une petite dernière, c'est tout, et après tu pourras aller retrouver tes invités qui t'attendent, surtout le petit lubrique en face de toi!

Tout en la tourmentant, je faisais jouer la dernière boule chinoise contre son anus, la tournant et retournant, la faisant pénétrer un peu puis ressortant.

- Tu t'imagines si il savait qu'il a en face de lui une chienne lubrique avec 3 boules chinoises enfoncées dans le cul!

Et je fis pénétrer dans le même temps la dernière boule dans son cul, lui arrachant un dernier cri au passage de ses sphincters. Véronique haletait, le vagin et le cul envahis par les boules chinoises, expérimentant les sensations d'une double pénétration pour la première fois de sa vie, la fine paroi séparant son sexe et son colon étroitement comprimée entre les deux jeux de boules. Je lui caressai le cul, lentement, tendrement, puis lui saisit un sein pour me rendre compte que ses tétons étaient dressés de manière obscène! elle était excitée malgré elle, apparemment! je lui susurrai à l'oreille :

- Allez, maintenant il faut retourner jouer le rôle de la maîtresse de maison exemplaire!

Et lui envoyai une grande claque sur les fesses. Elle cria de surprise et de douleur, se retourna, mais j'avais déjà disparu dans les bambous.

De dépit, de honte et d'impuissance, elle mit un coup de poing dans la paroi, puis voulut se mettre en marche pour rentrer à la maison. Mais je la vis s'arrêter presque aussitôt : la pression des boules dans ses entrailles sollicitait ses muqueuses sensibles, et lui envoyait des décharges de plaisir dans les reins! Elle reprit sa marche lentement, d'une démarche mal assurée : j'imaginais le ballet des jolies boules, nichées dans des lieux si chargés de plaisir, montant et descendant, roulant et glissant entre elles, vibrant pour une partie d'entre elles de ce fameux mécanisme des boules chinoises! Véronique tressaillait sans cesse, ses sens boulversés, des frissons de plaisir parcourant son corps. Je la vis disparaître au coin de la maison, puis, quelques assez longs instants plus tard, reépparaître dans le salon.

Elle échangea quelques mots avec Stéphane, et reprit place à table. Je m'approchai silencieusement de la maison, jusqu'à arriver à côté de la porte-fenêtre la plus proche de la table. Les rideaux fins étaient tirés, ce qui me permettait de voir à l'intérieur sans risquer d'être vu, même en me mettant quasiment contre la fenêtre. Véronique était appuyée sur les coudes à table, elle avait les yeux un peu dans le vague : sa voisine avait repris sa conversation à flux continu, mais cela n'avait pas l'air de la déranger. D'autres choses devaient accaparer toute son attention! Quelques minutes plus tard, ils passèrent à la suite : on débarassa les assiettes, Véronique essayait d'être le plus naturel possible mais je voyais qu'elle luttait pour bien paraître. Ses filles l'aidèrent, puis revinrent au salon mettrent de nouvelles assiettes, pendant que Véronique restait seule à la cuisine pour dresser le plat principal. J'en profitai pour sortir ma botte secrète : un petit boîtier discret, avec une petite roulette. J'avais omis de le dire à Véronique, mais deux des fameuses boules chinoises n'étaient pas équipées du mécanisme classique qui générait des vibrations seulement lorsqu'on les secouait, mais d'un dispositif télécommandé : en gros, un double-vibromasseur de forme sphérique ... et j'avais la télécommande dans ma main! Guettant par la fenêtre de la cuisine pour voir sa réaction, j'envoyai une impulsion courte avec la roulette de commande : Véronique écarquilla soudainement les yeux, et porta une main à son ventre, se retenant à la table de l'autre main. Elle tourna la tête vers la fenêtre, essayant de comprendre ce qui lui arrivait. La fenêtre de la cuisine n'avait pas de rideaux, je me montrai, goguenard et lui présentai le boîtier : tout en la fixant, je mis le doigt sur la roulette de commande, et l'actionnai! elle porta les deux mains à son ventre, ouvrant la bouche de surprise devant l'afflux de sensations dans son vagin et dans son cul! je coupai le signal, puis remis la main sur la roulette. Elle me fit non de la tête, mais je relançai les vibrations sans en tenir compte, à un niveau plus élevé : elle se raccorcha à la table, une main sur la bouche pour ne pas crier, faisant toujours non de la tête, mais je maintiens cette fois le niveau pendant de nombreuses secondes.

Soudain, alors que je ne m'y attendais pas, l'aînée des ses filles apparut dans l'encadrement de la porte! Heureusement pour moi, elle ne me vit pas, sa mère qui semblait aller mal attira son attention. Je me glissai sur le côté de la fenêtre, coupant les vibrations, gardant juste un œil dans la pièce :

- Maman, tout va bien? demanda sa fille Marie d'un air inquiet

- Oui, j'ai un peu mal au ventre, mais ça va passer.

- Je vais t'aider à ramener la suite au salon, va t'asseoir.

- Merci

Véronique laissa sa fille s'occuper des plats, et revint prendre sa place à table. Mais son esprit tournait à plein régime, et elle était envahie de l'appréhension de ce qui allait se passer si je décidais de déclencher les vibro-masseurs pendant le repas! Je n'étais pas pressé, et je les laissai continuer leur repas pendant un bon quart-d'heure avant de poursuivre mes tourments. Véronique semblait s'être relaxée un peu, il était temps d'en remettre un coup.

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